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Citations de Inga Vesper (150)


C'est toujours une histoire d'hommes. Ils guident leur existence, et elles n'en tirent aucune leçon. Elles se relèvent, se remettent du rouge à lèvres et courent après le suivant. Jusqu'à ce que l'un d'entre eux les détruise. (p.366)
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Depuis le moment où elle est née, on lui a répété qu'elle ne valait rien. Peut-être qu'elle n'imaginait pas qu'un homme puisse simplement rester à ses côtés, lui vouloir du bien. Elle voulait être certaine qu'il ne se lèverait pas pour partir, comme les autres. (p.366)
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C'est plus compliqué que ça. Une femme comme Deena ne peut pas gagner. La société lui dit qu'elle a besoin d'un homme pour être entière. Et si elle n'en trouve pas, elle est stigmatisée pour son échec. (p.365)
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-Ta gueule, grogne Mme Ingram. Tu crois que c'est si facile ? Tu crois que toutes les femmes devraient désirer être libres? Mais être libre, c'est sacrément difficile, Geneviève. (p.416)
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Les gens ne voient que ce qu’ils ont envie de voir.
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« Quelqu’un tousse à l’intérieur de la chambre. Souza sort son pistolet à son tour et l’arme. Puis il croise le regard de Mick et abaisse le chien. Pour une
oreille avertie, les deux clics métalliques qui viennent de résonner dans le couloir sont aussi assourdissants que le double bang d’un avion supersonique. Durant le battement de cœur qui suit, le monde est parfaitement immobile.
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Tu batifoles, tu convoles, tu t'envoles et tu dégringoles.
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...il fera chaud demain, alors qu'est-ce que ça change ? C'est ce que Maman aurait dit.
Où est le problème? Il fait chaud, tu fais avec. Dieu va pas changer le temps pour tes pauvres fesses.
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Relève-toi, relève-toi. Relève-toi, sale pute stupide tu es trop bête pour baiser alors comment oses-tu me dire ce que je peux et ce que je ne peux pas faire avec ma propre fille.
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La détresse des Noirs engendre la prospérité des Blancs…
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- Tu ne travailles pas, dit-il.
- Ah bon ? Les tâches ménagères sont un travail, comme leur nom l’indique. À moins que tu croies que je prépare ton dîner pour m’amuser ?
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- Qu’est-ce que c’est que ça ? Il y a comme une odeur. Tu n’as pas de douche chez toi ?
- Non, m’dame, je m’ lave aux bouches d’incendie dans la rue, pa’c’que je suis de South Central, et qu’ c’est comme ça qu’on fait.
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Je ne lui fais pas remarquer qu’il dit aussi que les Noirs n’ont aucun talent pour faire pousser les choses, ce qui explique qu’ils n’aient pas de jardinière et que leurs bébés meurent souvent.
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Franck n’aime pas quand j’arrose les fleurs pendant mes règles. Il dit que les émanations féminines les feraient faner. Mieux vaut laisser la bonne s’en charger.
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Une raison de vivre. C'est bien ce qu'est un enfant, au fond. Une raison de se lever chaque jour et de continuer à aller de l'avant.
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La mort d'un jeune est toujours inacceptable. Au chagrin se mêle la colère, et le deuil n'est jamais serein. On n'a pas seulement envie de pleurer, on a envie de brandir le poing et de hurler son désespoir, de maudire le Ciel lui-même.
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La maternité est un concept social, rien d'autre (…). Et comme tous les autres, on peut s'en passer.
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Vous veillez dessus comme sur la virginité de votre frangine, sauf que ce coup-ci, vous assurez, d'accord ?
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L'inspecteur se tourne vers elle.
- Bravo à tout le monde. Surtout à vous. Vous avez tout pour devenir un bon...
Il s'arrête. La vérité s'affiche dans son regard et les barrières s'élèvent. Un silence embarrassant s'installe, rempli de tant de choses qui ne sont pas encore prêtes à être dites à haute voix.
Mais Ruby parle quand même :
- Vous voulez dire un flic ? Merci, monsieur. Un jour, peut-être.
- Une femme flic, plutôt, corrige l'inspecteur.
Le chef s'esclaffe :
- Une femme flic ? Blanke, vous perdez...
Mais Ruby l'empêche de terminer, ajoutant d'une voix sûre :
- Un jour. Bientôt.
- Que Dieu vous entende, dit Mme Crane.
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- (...) Tout le monde a quelque chose à cacher, à Sunnylakes.
- C'est insensé.
Il attrape une cuillère et enfonce sa crème glacée sous la surface du soda. De petites bulles, accrochées à la boule, entraînent des nuées gazeuses vers le bas du verre.
Ruby prend le temps de réfléchir.
- C'est vrai, elles cachent toutes quelque chose. Joyce avait un grand secret. Ça la dévorait de l'intérieur, et pourtant elle n'avait personne à qui en parler. Les gens de Sunnylakes, ils vivent au pays des rêves. Et ils veillent à ce que personne ne vienne percer leur bulle. Ils... jouent à faire semblant. Vous avez sûrement remarqué.
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