Isabelle Morot-Sir

Anatole isabelle Morot Sir



Une anecdote et une tradition familiale bien sympathique. 🧀

J’aimerais bien trouvé moi aussi « the » chalet avec terrasse



Je n’aurais pas dû Jeanne Selene

Drame fantastique tout est dit 😱



La révélation des sentiments complètement emporté par la plume 🖊 de Ninon Amey je me croyais aussi en vacances avec eux 🏔

C’est une nouvelle préquel je veux lire la suite 📖 !! Ça tombe bien elle attendait patiemment dans ma PAL kindle je ne vais pas attendre plus longtemps ....



Audrey Martinez

Une jolie histoire mystique, une rencontre qui sauve. 👼



Clara et Lily de Lareme Debbah là aussi une nouvelle mystique plus triste 😔 et en même temps pas tant que ça 😏



Blanche ou la librairie enchantée

💗 alors déjà une histoire de librairie 💛 et de libraire, j’adore! Ca me fait toujours rêver 🧡.

Connaissant déjà la plume de Lily b Francis💜, je ne suis pas surprise d’avoir ❤️ adoré cette rencontre colorée 😊 🤍💙


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J’ai apprécié



Le résumé ou plutôt les promesses faites par ce dernier.

Le français correct dans lequel est écrit le roman.



J’ai regretté



La crise d’adolescence de Tamara. Elle aurait pu être une héroïne forte, un modèle, mais elle apparaît trop souvent comme une gamine capricieuse. C’est dur d’avoir envie de compatir à son sort et c’est énervant de ne pas y parvenir. Néanmoins, aussi horripilante soit-elle, elle ne méritait pas de tomber sur Liam. Vraiment pas. D’ailleurs j’ai davantage l’impression de la voir sous l’emprise de Liam qu’amoureuse de lui. Non parce qu’elle lui pardonne des choses… qu’elle reproche à d’autres de manière assez violente.



Les aberrations. Quel est le message d’une oeuvre qui te présente un violeur multirécidiviste comme un mec sympa ? On pourrait croire que le but est de montrer que le violeur, ça peut être monsieur tout le monde. Sauf que non. Il est présenté comme le mec sympa qui ne violera pas Tamara car elle est enceinte… et qui la fera rire. Il devient un ami. Je suis la seule à voir le souci ? Ou vous aussi vous trouvez cette amitié malsaine ? Et je ne parlerai pas non plus du sociopathe… qui n’en est pas un en fait. En tout cas la façon dont il est écrit donne l’impression que l’auteur n’a pas saisi le sens du terme. Et je peux continuer longtemps dans les aberrations car ce livre en possèdent plein qui décrédibilisent totalement l’univers. Or c’est dommage parce que la base était vraiment sympa.



L’absence de suspense. Dans cette histoire, il se passe beaucoup de choses sauf que la tension ne se ressent pas. A force de voir Tamara s’en sortir, on ne la croit jamais en danger et ça finit par rendre l’intrigue ennuyeuse. J’aurais aimé frémir un minimum… surtout dans le cadre d’une dystopie.



Et je termine par le gros morceau : Liam. Il n’a rien de l’amant idéal. Il commence par culpabiliser Tamara après son geste désespéré. La jeune fille est contrainte de faire des enfants. Elle ne veut pas. Elle veut donc se tuer. Et lui, plutôt que de compatir, il la gronde comme une gamine. D’où tu grondes quelqu’un en détresse émotionnelle ? D’où tu te permets de lui dire qu’elle n’a pas à se plaindre de son sort parce que d’autres vivent pire qu’elle. D’où tu viens lui dire qu’il vaut mieux être violée dans un cadre agréable que vendre son corps dans un infâme bouge… Et le plus beau, c’est qu’il conclut qu’en lui disant qu’il n’est pas le pire des donneurs. Sérieux ? Elle ne le connaît pas, il la culpabilise après une tentative de suicide et il n’est pas le pire des donneurs ? Là j’ai quand même un doute.

Et magique, la suite va le confirmer. Liam va éprouver cinq secondes d’hésitation quand il comprend que Tamara a été droguée. Ensuite il couche avec elle. Il prétend avoir une morale mais il profite d’elle à la première occasion. Alors oui, il doit coucher avec elle, c’est son devoir… Mais il pourrait quand même éprouver un petit peu de culpabilité d’avoir ainsi couché avec elle. Cela pourrait le torturer un minimum, non ? Ben pas du tout.



Et la romance débute comme ça. Elle débute par une première fois où il abuse d’elle. Et le cadre a bon dos car au final il se réveille quand même en imaginant le bonheur que ce serait de le faire tous les matins à ses côtés. Mec, tu viens juste de la violer, ça n’a rien de romantique. Parce que oui coucher avec quelqu’un de drogué, c’est du viol. Ne le faites pas. La personne ne va pas du tout réagir comme Tamara si vous outrepassez son consentement.



Je ne parlerai pas non plus du pseudo caca nerveux qu’il fait à Tamara quand il la découvre enceinte. Aurait-il oublié le principe même de sa fonction et de la sienne ? Est-ce qu’il ne s’est pas dit qu’il était possible qu’il ne la voie plus parce que la tâche a été effectuée ? D’ailleurs pourquoi n’était-il pas au courant alors que c’est censé être un honneur d’être donneur ? Bref. Admettons. Le problème est qu’il ment aussi à la jeune fille, et que son mensonge sert quand même de retournement à l’intrigue. Ce n’est pas un petit mensonge… et il s’en excusera pas. Je pourrais aussi parler de la manière dont il s’en débarrasse pour la refiler à ses parents…



Bref je déconseille
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Ce recueil mêle une nouvelle fois tous les styles littéraires : du suspense, de la romance, de l'humour, du fantastique. Le thème du voyage est bien abordé par chaque auteur.e, selon son style, à sa façon. De ce fait, chaque destination est unique et originale. On prend plaisir à voyager avec eux.

Ces courts textes permettent de découvrir l'univers des auteur.e.s, même si je les connais quasiment tous.



J'ai eu quelques préférences qui, évidemment, collent à mes lectures habituelles. Ainsi, les nouvelles d'Amélie B, de Daryl Delight, d'Audrey Martinez, d'Isabelle Morot-Sir et de Larème Debbah m'ont plus particulièrement touchées.



Bravo et merci à tout.e.s. Vivement le prochain recueil !
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Les réseaux sociaux permettent parfois de jolies rencontres. Je suivais depuis un moment déjà le compte Instagram de Isabelle Morot-Sir et ses mises en scène à base de jolis carnets griffonnés, de tasses, de fleurs et de chats (ou de chien, son chien est trop mignon). Et finalement, il y a quelques jours, l’auteure m’a contactée pour me proposer de découvrir l’un de ses romans. J’avais l’embarras du choix, elle en a écrit plus d’une quinzaine. Et je lui ai demandé de m’aider, parce que je ne savais pas quoi choisir, tous les résumés me donnaient envie. Alors Isabelle m’a envoyé Une histoire de coquelicot.



Il y a parfois des résumés qui nous font sourire parce qu’ils nous parlent. Et là, je n’étais pas franchement perdue dans l’univers d’Améthyste. Améthyste est étudiante aux Beaux-Arts, pour payer ses études – et aussi par passion – elle travaille chez un tatoueur. Elle est assez solitaire, fuit les grosses soirées et aime se promener dans les bois avec son furet Poppy.



Alors, vous me direz que je n’ai pas de furet, que je ne cours pas forcément après les promenades dans les bois et que je dessine de la même manière, sans aucun progrès, depuis que j’ai quatre ans, mais il n’empêche que son univers m’est assez familier. J’ai commencé ce roman en sortant de chez le tatoueur et les furets, je commence à bien les connaître, normal avec une meilleure amie présidente d’une grosse association de protection de ces petites bêtes. Chez Muriel, il y a souvent près d’une dizaine de furets, entre les siens et les abandonnés en attente de familles. Et si je n’aimais pas franchement ces petits fromages de chèvre sur pattes aux dents pointues, j’ai fini par m’y faire et même à me prendre d’affection pour certains d’entre eux – j’ai même failli en glisser un dans ma poche la dernière fois, mais je pense que Muriel aurait été triste, c’est un de ses furets.



Une histoire de coquelicot est une histoire toute douce, une histoire d’amour entre Améthyste et Tancrède. La jeune femme aux cheveux rouges et aux yeux pers manque de se faire renverser par le garçon en vélo lors d’une marche dans les bois. La rencontre est orageuse. Quelques temps plus tard, elle reconnaît le fou du guidon lorsqu’il entre dans le salon de tatouage.



Une histoire va se tisser entre les deux. Une jolie histoire, avec quelques mystères et rebondissements tout de même. Ce roman court est agréable à lire, mignon, le style manque parfois de fluidité et de simplicité, mais reste plaisant. Une belle découverte. On sent que l’auteure aime les choses simple, la nature et les animaux. Je ne suis pas surprise d’apprendre qu’elle vit entourée de chevaux et d’animaux divers entre Prague et la France.
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Les Carnets de Lou-Anne - Carnet 1 : La Louve est le premier volet de cette série de Fantasy. Il n'y a pas de chapitre, c'est le premier carnet dans son intégralité qui est raconté, ce qui est très original.



Lou-Anne Deschamps se retrouve projetée dans une autre époque, le Moyen Âge, après avoir fait une très mauvaise chute qui aurait pu lui coûter la vie dans une forêt méconnue.



Le chevalier Sir Robert la recueille dans son château situé dans le Duché des Falaises Blanches et fait penser ses blessures. Elle lui raconte d'où elle vient sans rien lui dissimuler et il lui suggère d'écrire son histoire dans un carnet.



Plusieurs personnages feront sa connaissance comme le druide guérisseur, Tybur, serviteur de confiance de Sir Robert, le chevalier Renan de Dunvar, capitaine de la garde de Vivefleur, les Darvars qui sont un peuple très puissant et cruel...



Lou-Anne est originaire du Vercors et a fait l'école des Officiers de la gendarmerie nationale. Elle est plutôt courageuse et déterminée. Elle veut rentrer chez elle mais ne sait pas comment ni si cela lui sera possible. Qui devra t'elle rencontrer pour lui expliquer le mystère de sa présence dans ce monde inconnu ? Réussira-t'elle à s'intégrer dans ce monde qui n'est pas le sien ? Que va lui apporter cette aventure ? Trouvera-t'elle un équilibre entre ce qu'elle a perdu et ce qu'elle va y trouver ?



Dès les premières lignes on devine tout de suite que la jeune fille est passée de notre monde actuel à un monde médiéval car le décor est tout de suite planté, elle, dans un château entourée d'un chevalier, cherchant son stylo bic pour écrire. On sait qu'on va passer un bon moment de lecture avec une héroïne qui vient de franchir les barrières du temps.



L'auteure, Isabelle Morot-Sir, nous invite à suivre les aventures de Lou-Anne dans ce monde médiéval avec son lot de suspense, d'espoir et de désespoir, avec une plume accrocheuse et agréable. C'est très original ce roman en forme de journal et je le conseille pour tout public. La publication du deuxième carnet est prévu pour cette année.
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J'ai trouvé ce second tome bien différent de La Citadelle des dragons, mais je l'ai apprécié tout autant !

Déjà Mona et Tar'dva : les deux personnages principaux ont pris vingt ans et ne sont plus les héros de l'histoire... Ils laissent la place à leur fille Nor' !



Nor', l'héroïne de La Citadelle dans la montagne est présentée comme l'opposée de ses parents et pourtant, elle leur ressemble énormément : dans sa démarche de dragonnière (eh oui, elle aussi), dans sa capacité d'adaptation,... Nor' est un personnage très fort, qui m'a énormément plu, dès les premières lignes ! Elle est déchiré entre ce qu'elle est et ce qu'elle doit être.

Avec Nor', il y a foule de personnages :

Vâlvâtaie, son dragon ! Il est à son image : différent des autres mais pourtant si fort ! J'ai eu beaucoup de mal à me le visualiser.

Sky, dragonnier et érudit. Il brave l'impossible par amour avec sa dragonne Lyra, qui elle m'a moins plu... Arf, on ne peut pas aimer tout le monde, hein.

Gros Poing et sa famille, ils sont géniaux ! Tout le monde rêve d'une famille pareille.



Ce tome est également plus "dur".

Dans La Citadelle des dragons, la guerre faisait rage et elle a été arrêtée pacifiquement grâce à Mona, dans La Citadelle dans la montagne : Nor' fera se qu'elle sait faire : combattre.

De plus, les personnages masculins font très "mâle" et les gifles pleuvent... Surtout une qui m'a choquée : je ne m'y attendais pas du tout ! Sacré Tar'dva ! Le pouvoir est clairement aux hommes.



J'ai lu ce roman en une petite après midi : je me suis délectée de chaque page, de chaque description,... On visualise très bien l'environnement fantastique dans lequel évolue Nor', pour mon plus grand plaisir !!!



La fin, elle est parfaite ! Elle clôture cette duologie comme il faut, tout en laissant entrevoir une ouverture possible, au cas où...





Isabelle Morot-Sir a un style qui me convient plus que bien.

Elle a le don de me scotcher à ses romans et de me donner l'illusion d'être dans le roman, aux cotés de ses personnages. J'adore !
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Une histoire de coquelicot est un roman qui se lit avec plaisir.



Améthyste est plutôt réservée et très intelligente, vêtue toujours de noir avec une robe courte ou moulante ou bien avec un leggings sous un long pull...



Elle est plutôt sauvage et possède de splendides cheveux roux très longs et bouclés. Elle fait des études à l'école des Beaux-Arts et travaille dans une boutique de tatouage. Poppy, son furet, est son meilleur ami. Elle est issue d'une famille de policiers.



Elle n'est ni peinée ni en colère avec qui que ce soit mais elle affectionne farouchement la tranquillité. Elle ne recherche pas l'amour mais que lui réserve le destin ?



C'est une romance pleine de charme et d'émotions avec des personnages attirants et une intrigue qui rajoute du suspense au récit. 



L'auteure, Isabelle Morot-Sir, a une écriture attachante et douce, j'ai très apprécié ce roman que j'ai lu d'une traite. A découvrir !
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C'est le deuxième livre d'Isabelle Morot-Sir que je lis et encore une fois, j'ai beaucoup apprécié l'écriture. Je la trouve fluide avec un vocabulaire recherché, bref, très agréable à suivre.

Côté monde, j'ai vraiment aimé toutes les petites touches d'hommage à La Ballade de Pern de Anne McCaffrey. D'autant plus qu'Isabelle Morot-Sir parvient malgré tout à créer un univers différent et bien personnel.

L'histoire aussi est très sympathique, on est loin des récits de fantasy où les gros bras sont à l'honneur en trucidant à tout-va. Il s'agit pour notre héroïne, l'attachante Mona, de trouver une solution pour mettre fin à la guerre mais en citant Gandhi et Sun Tzu !

J'ai aussi beaucoup aimé tous les éléments qui faisaient référence à la notion de deuil et d'acceptation. Les petits détails de l'histoire qui permettaient peu à peu aux personnages détruits psychologiquement de revenir à la vie, qu'il s'agisse d'humains (Mona) ou non (Fléau).

Je me suis beaucoup attachée aux personnages avec un petit faible pour Morkeleb (un dragon) et Fléau (un cheval de guerre).



La tournure du récit, bien qu'il y ait une fin, laisse la porte ouverte à une suite et j'en serais vraiment ravie !



Bon, par contre, Publibook, il va falloir booster un peu vos correcteurs parce que niveau coquilles, il reste du boulot et c'est dommage, ce beau roman mérite mieux !



En conclusion, un roman de fantasy qui m'a beaucoup plu et que je conseille à tous ceux qui aiment la fantasy de caractère sans être "bourrine".

En faisant un tri dans ma liseuse, j’ai retrouvé ce recueil de nouvelles dont, originalité, une nouvelle écrite 18 mains.



Voici un retour rapide sur chaque nouvelle.



Anatole (Isabelle Morot-Sir) nous conte une histoire bien sympathique. Anatole est une sorte de « nounours » des montagnes, un homme serviable et attachant.



Je n’aurais pas dû (Jeanne Selène) nous parle d’abandon / de disparition. Ça donne des frissons.



La révélation des sentiments (Ninon Amey) me permet de retrouver les personnages de « La liberté de nous aimer » (ma chronique par ici) pour mon plus grand plaisir.



La liste (Audrey Martinez) nous offre une belle bouffée d’espoir.



Clara et Lilly (Larème Debbah) a une touche de fantastique pleine d’espoir qui me plaît beaucoup.



Blanche, ou la libraire enchantée (Lily B. Francis) nous raconte une très belle rencontre qui réchauffe le cœur.



Croque-moi… (Georgina Tunasorin) m’a laissé un peu sur ma faim (sans mauvais jeu de mots lol).



Sans âme (Eve Ruby Lenn) ne m’a pas emballé plus que ça.



De si belles vies entremêlées (Isabel Komorebi) décrit d’une façon poétique la naissance de l’Amour.



Enfin, la dernière nouvelle a été écrite à la manière d’un cadavre exquis par les 9 autrices. J’ai aimé, mais sans plus à cause de la trajectoire prise par l’histoire.
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Cet été, j'ai eu la chance de découvrir le dernier roman d'Isabelle MOROT-SIR, LE REFLET DU THE, que je remercie pour l'envoi.



Dans ce roman, nous suivons Solveig, une jeune fille, à peine sortie de l'école qui a été engagée comme tireuse d'élite dans l'armée de son pays, le Snofjell envahi par le Vikmund.



Peu habituée aux dystopie, j'ai adoré découvrir Le reflet du thé ! Solveig est un personnage auquel on s'attache et s'identifie très rapidement. L'auteure a su faire sortir ses faiblesses mais également sa force. Elle représente le parfait mélange de la douceur et de la détermination.



Cette histoire met en avant deux pays voisins mais qui ont chacun une vision différente de la place de la femme dans la société. Doit-elle rester chez elle, ou, au contraire, se battre auprès des hommes pour la liberté de son pays ? Là où le Snofjell prône l'égalité des sexes, le Vikmund place la femme sur un piédestal. Ce livre remet en question la société mais également la guerre.



Le reflet du thé n'est pas seulement une histoire de guerre mais aussi une histoire d'amitié, de fraternité et d'amour. J'ai adoré la relation qu'entretenait Solveig et son coéquipier, Folder. Mon petit cœur romantique a été comblé par l'histoire d'amour qui se déroule sous nos yeux. Une histoire d'amour le temps d'une parenthèse.



Je remercie grandement Isabelle Morot-Sir pour sa confiance, j'ai beaucoup aimé retrouver sa plume.
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J'ai été agréablement surprise par ce recueil.⁣

J'avais peur que les histoires soient trop courtes ou inintéressantes mais pas du tout, j'ai adoré chacune des nouvelles qui sont toutes aussi intéressantes les unes que les autres.⁣

La plume de ces auteures rends la lecture fluide.⁣

Et les histoires sont toutes très différentes. Certaines sont douces d'autres tristes, il y en a pour tout les goûts.⁣

Il se passe beaucoup de choses dans nos montagnes .

Une dystopie réussie !



Dans ce roman, on découvre l'histoire de Solveig qui voit sa vie basculer du jour au lendemain. La guerre éclate et elle va être réquisitionnée dans la section des tireurs d'élite ; elle n'a même pas 19 ans.



On est dans une société imaginaire où l'armée du sud affronte l'armée du nord. C'est le Vikmund au sud qui déclare la guerre à Snofjell au nord.



Enfant, Solveig accompagnait son grand-père à la chasse, c'est là qu'elle a appris énormément. C'est en partie pour ses connaissances acquises enfant et son sens de l'observation qu'elle va intégrer l'équipe des tireurs d'élite.



Bien que ce roman traite d'une guerre fictive, l'auteure nous offre un roman empreint d'un réalisme se rapprochant de la seconde guerre mondiale. C'est passionnant et effrayant à la fois. Le thème de la guerre est sombre mais l'auteure arrive à y ajouter une jolie étincelle et un brin d'espoir.



L'idée de suivre une femme au front est innovante. L'auteure a su se démarquer avec brio. Ainsi, ce roman frappe et bouscule les consciences.



Dans « Le reflet du thé », les habitants de Snofjell sont tous mobilisés pour la guerre, hommes et femmes. Au nord, on ne fait pas de différences entre les êtres humains. Solveig n'est donc pas une exception ; d'autres femmes participent également aux combats. Chaque individu est placé selon ses capacités et non pas, par son identité de genre.



Contrairement à l'armée du nord, au Vikmund, les femmes et les hommes n'ont pas les mêmes droits ; les hommes uniquement partent sur les champs de bataille.



Isabelle MOROT-SIR nous pousse à la réflexion avec cette histoire qui met en scène des idées, des idéaux. On a notamment des questionnements forts intéressants sur les modèles économiques. J'ai beaucoup aimé ces interrogations.



Solveig est une jeune femme habituellement joyeuse. Mais la guerre change les gens. Solveig n'en reste pas moins brillante et extrêmement courageuse. J'ai eu un gros coup de cœur pour cette héroïne épatante !



Elle va être en binôme avec Folder. Leur relation est forte et émouvante. Ils se protègent mutuellement. Ils sont complices, complémentaires, et ont une confiance aveugle l'un pour l'autre.



Le récit est très addictif, tant il est impossible à lâcher avant de l'avoir terminé. La plume d'Isabelle MOROT-SIR est très fluide et immersive.

Ainsi, avec cette histoire, on est très vite immergé dans cette guerre, une guerre atroce et éprouvante où pour sauver sa peau, il faut sacrifier ceux d'en face. C'est intense et ça semble très réel. Ce texte est très bien alimenté concernant la seconde guerre mondiale.



Plusieurs aspects représentatifs de la guerre sont présents jusqu'aux journalistes, des correspondants de guerre qui peuvent choquer à travers des mots, et aussi les courriers et colis émouvants que peuvent recevoir les combattants.



Le stress post-traumatique est mis en évidence dans cette lecture, c'est bien amené.



La guerre est un sujet sérieux, délicat et grave. Mais l'auteure parvient à apporter une touche de légèreté grâce à de l'humour bien dosé.





Un titre lumineux, pour un roman fort. Le sens du titre est d'ailleurs expliqué au cours de cette lecture.



Un roman fort en émotions, puissant qui a su toucher profondément mon petit cœur. .



Si vous aimez les romans historiques, sur la guerre particulièrement, je vous le recommande fortement.

C'est une très jolie romance, bien ancrée dans la réalité. Il y a tous les ingrédients qui font d'une romance, une bonne romance. De plus, les chapitres sont courts et bien travaillés, ils donnent du rythme à l'intrigue.

J'ai passé un très bon moment aux côtés d'Alexine.

Isabelle m’avait prévenue que je n’allais pas lire une romance, et clairement ce n’en est pas une. Par contre, honnêtement, je n’étais pas prête à me prendre une telle claque en lisant une dystopie ! Isabelle, voilà une plume que je pensais connaître, depuis le temps que je la lis… là non plus, ce n’était carrément pas le cas ! Mais franchement, quel auteur peut vous embarquer dans des genres tellement opposés et en même temps réussir à vous en mettre plein la vue, et ce, peu importe le style dans lequel vous le lisez ? Isabelle Morot-Sir en fait assurément partie ! Quel bonheur que de découvrir un de ses livres !



Avec cette dystopie, Isabelle nous dépeint un monde tellement cruel, tellement proche du nôtre finalement. Cela fait franchement froid dans le dos, pourtant, l’homme est cruel, ou du moins certains d’entre eux.



Je n’ai pas l’habitude de lire l’auteure dans ce style, mais franchement, elle a maîtrisé son intrigue du début à la fin pour nous en faire une petite merveille. Je dois avouer que même si je suis totale fan de l’auteure, j’avais un peu les chocottes de me lancer alors que j’ai une confiance aveugle en sa capacité de me transporter en à peine quelques mots.



Malgré le thème plutôt sombre de ce nouveau roman d’Isabelle, elle a su y mettre quelques notes de lumière, et c’est un des points forts de ce roman justement. Peu importe la noirceur, il y a toujours une lueur d’espoir, si infime soit-elle.



Lancez-vous, vous allez adorer !

Le commentaire de Nathalie :

Lou-Anne se voit ''imposer'' par son mentor, Sir Robert, d'écrire dans un journal son aventure pour qu'il en reste une trace. Une aventure hors du commun. Quelle aventure si extraordinaire a-t-elle vécue pour mériter de figurer dans ses pages. C'est à elle de vous le dire ou plutôt de vous l'écrire et à vous de le lire. Mais je vais vous donner un petit aperçu pour vous titiller l'envie.

Sir Robert à trouvé Lou-Anne blessée dans un trou à ours. De retour à la maison, il l'a soignée et remis en forme. Tout en lui expliquant sa nouvelle vie, car oui, Lou-Anne a traversé le temps. Maintenant elle doit apprendre à vivre dans un monde éloigné du sien. Apprivoiser les gens, apprendre leurs us et coutumes et surtout rester elle-même, mais autrement. Grâce à Sir Robert, elle réussira à trouver sa place. Son talent de gendarme enquêteur reprendra le dessus. Que ce soit de retrouver un rouleau à pâtisserie, un chat ou un chapeau. Elle enquêtera même sur un meurtre.

Nous ferons aussi la connaissance de deux hommes qui auront une certaine importance dans son parcours, mais différemment : Carl de Lame qui la courtise malgré l'horreur qu'elle a de son métier et Le Capitaine des Gardes de Vivefleur qui la surveille de très près.

Maintenant surnommée La louve par les habitants du village, que va-t-il lui arriver ?

Vite le tome 2.

Pourquoi j'aime lire les livres de cette autrice, c'est simple, j'entre dans un nouvel univers à chaque roman. Mais un thème revient souvent de l'espoir et de la persévérance.
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Je craignais un livre un peu cul cul et finalement j'ai passé un excellent moment.

L'histoire est originale, tirée par les cheveux mais pourquoi pas, tant que c'est bien ficelé, bien écrit.

Ces jeunes gens sont attachants, cela fait rêver. Idéal en plein confinement

Peu satisfaite de ma lecture en cours, je voulais trouver une jolie histoire, toute douce, dans laquelle me plonger. J’ai craqué pour ce roman, que je n’avais pas encore eu le plaisir de découvrir, inclus dans prime reading. Qu’est-ce que j’ai bien fait ! C’est exactement ce qu’il me fallait pour passer un excellent moment. J'ai adoré ! 😍



Améthyste, étudiante aux beaux-arts, tatoueuse à ses heures perdues, mène une vie somme toute assez simple, dans laquelle tout est orchestré dans les moindres détails. Son furet Poppy suffit amplement à combler ses besoins affectifs. Jusqu’au jour où elle croise le chemin de Tancrède. Dès lors, toutes ses certitudes seront remises en cause. Mais que cache cet homme, sous ses airs de mec parfait ?



Dans la même veine qu’Un ange dans ma vie (voir mon avis 37), c’est encore une très jolie romance que nous offre Isabelle ici. Évidemment, on se doute rapidement que Tancrède cache quelque chose à sa belle, mais on ignore quoi exactement et on le découvre au même moment que notre héroïne. Les personnages ont un charisme fou et on a l'impression de les connaître, de faire partie de la famille. On n'a plus envie de les quitter.



Pour finir, c'est un roman court, qui se lit vite et bien, mais qui nous permet de nous évader durant quelques heures dans un petit cocon de douceur.

C’est exactement ce dont j’avais besoin. Merci, Isabelle, pour toutes ces jolies histoires ! 💖💖💖

J'ai suivi avec beaucoup de plaisir le parcours de l'héroïne. Au fil des rencontres et des embuches, elle se développe ne baisse pas les bras et prend son destin en main avec courage et passion. Elle donne un bon modèle, qui sait aussi écouter la sagesse où elle le trouve.

Le livre traite de beaucoup d'autres sujets : esclavage, survie, tolérance, amitié,... avec profondeur et espoir.

Je regrette beaucoup que L Univers n'ait pas été plus approfondi. Ce livre foisonne d'excellentes idées que ce soit sur le plan astronomique, animal, végétal. En tant que biologiste j'ai été heureuse de la cohérence des mondes, des animaux et des aliens. J'aurai aimé une réponse à la couleur verte du soleil, à ses véritables effets. ET la suite ? Je ne veux pas trop en dire mais il doit y avoir une suite. La fin n'est qu'un commencement, il ouvre un champs des possibles foisonnant. Toutes ces questions soulevées dont on aimerait une réponse surtout quand on est aussi curieuse que moi. Une fois le roman terminé, mon esprit est parti en roue libre d'imagination, impossible à arrêter.

La qualité de l'autrice est indéniable. Elle nous transporte dans son monde avec des visuels magnifiques qui se dessine sans souci. Elle nous transmet les émotions avec force. Nous vivons l'histoire avec la même passion que les héros.

Si vous aimez la romance, n'hésitez pas. le fond science-fiction est utilisé pour sublimer et non alourdir le genre. Moi qui voulait du romantique sans excès, j'ai adoré l'équilibre et je me répète, la justesse scientifique.

Merci pour ce magnifique voyage, entouré de force et d'amour.

❤️ Coup de cœur ❤️

Merci à Isabelle de m’avoir permis de découvrir cette nouvelle pépite ! Je connaissais un peu Alexine, l’héroïne de ce roman, pour avoir déjà lu Le passager et Anatole, deux nouvelles que vous pouvez retrouver dans deux recueils gratuits. Ici, l’auteure a voulu que le lecteur découvre une partie de la vie d’Alexine plus en détails et elle a bien fait !

Il s’agit cette fois d’une romance. Et quelle romance ! J’ai a-do-ré ! Elle m’a permis de ressentir les émotions que je recherche quand je lis : j’ai vibré avec Alexine, sourit, pleuré, espéré…

Je n’ai pas envie de vous parler de l’histoire, parce qu’il vaut mieux que vous la découvriez par vous-même. L’auteure vous réserve quelques surprises, ça serait dommage que je spoile. Mais je vous encourage vraiment à le faire, parce que sinon vous rateriez quelque chose !

J’ai lu ce roman en moins de 24h. Impossible de décrocher, il fallait que je découvre la suite. C’est d’ailleurs une des caractéristiques des romans d’Isabelle : une fois qu’on commence, on ne peut plus s’arrêter avant la fin. Et puis, il faut le dire, elle sait conter les romances d’une manière si fabuleuse que je suis totalement sous le charme ! Je me pose en fan absolue.

Merci, encore une fois, Isabelle, de nous offrir de si belles histoires, de nous transporter dans un autre monde pendant quelques heures. Qu’est-ce que ça fait du bien ! Vivement le prochain !

La couverture est juste magnifique !

Ce roman est constitué de deux tomes :



Tome 1: " La citadelle des dragons "

Mona, secrétaire chez un notaire, voit sa vie bouleversée, lorsqu'elle se retrouve propulsée dans un autre univers.

Elle va devenir la gardienne de ce royaume en guerre.

La jeune femme va se rapprocher de Tar 'dva, chef des dragonniers.

Le destin, était-il écrit ?

J'ai adoré suivre Mona qui voit sa vie complètement chamboulée.

Malgré la guerre imminente, une romance voit le jour, j'ai trouvé cela très agréable à suivre.

Les personnages ont tous un caractère très fort, j'ai un coup de cœur pour Morkeleb, un dragon qui a beaucoup d'humour et Fléau, un redoutable cheval de guerre.

Ce premier volet m'a permis de bien m'immerger dans l'univers que nous propose l'auteure.





Tome 2: " La citadelle dans la montagne ".



Vingt ans ce sont écoulés depuis la guerre.

Nor', une fille dans ce monde de dragonniers, revendique sa place de guerrière dans cette société machiste.

Va-t-elle se soumettre ou se rebeller ?

Cette deuxième aventure est tout aussi bonne que la première.

J'ai aimé découvrir d'autre personnages, d'autre endroits, de nouveaux peuples. Isabelle Morot-Sir nous décrit très bien les lieux qu'elle nous propose, j'ai eu l'impression de tout pouvoir visualiser.

Ce roman fait 608 pages, mais je ne les ai pas vues passer, j'ai tourné les pages à une vitesse folle, embarquée dans un univers comme je les aime.

Le style est fluide, très agréable.

J'espère que l'auteure ne va pas s'arrêter à deux tomes, j'aimerais tellement retrouver cet univers.
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