Le secret des ordinateurs, c’est qu’il suffit d’avoir le bon petit génie de l’informatique pour en forcer l’entrée.
Il vaut toujours mieux savoir à qui on a affaire.
L’époque des truands à chaînes de cou et à gourmettes en or est révolue. De nos jours, les hommes de la Mafia s’habillent chez les tailleurs les plus respectables et déjeunent à la table voisine de la vôtre au Four Seasons ou au Piano Bar, le restaurant du Dorchester, à Londres. Ils ont des actifs dans le bâtiment, dans l’immobilier, les loisirs, la télévision… Prenez n’importe quel domaine d’activité, ils y sont.
On n’est jamais assez nombreux pour encaisser les mauvaises nouvelles. On se sent moins responsable.
Ces choses-là, parfois, sont comme un puzzle. On essaie des combinaisons, on cherche en vain dans toutes les directions, puis soudain les pièces s’assemblent comme d’elles-mêmes et l’image apparaît, bien nette, dans tous ses détails.
Ce serait blasphémer que de dire que vous marchez sur les eaux.
La plupart des gens font un autre choix. Ils laissent faire en s’abritant derrière la courtoisie et les bonnes manières.
Les meurtriers les plus recherchés étaient de véritables obsédés.
On dit que lorsqu’on n’aime plus le champagne, on n’aime plus la vie.
Le passé était comme un pays étranger. On ne retrouve jamais ce qu’on y a perdu. Il faut faire avec ce qu’on a.
Il y a des limites au politiquement correct. Je ne tiens pas à l’envoyer dans une expédition aussi risquée, en pleine nuit et sous la pluie, pour tenter de neutraliser l’un des pires spécimens que l’IRA nous ait jamais balancé dans les pattes.
Un secret cesse d’en être un à partir du moment où une seule personne est au courant.
Elle serait l’aiguille, et Londres la meule de foin. Il y a huit millions d’Irlandais au Royaume-Uni. Une sacrée diaspora.
Les téléphones portables ne sont pas opérationnels en permanence, surtout ceux des gens en cavale.
Quand on appartient à l’aristocratie britannique, on est tout le temps invité partout.
Il suffit de voyager en avion privél. D’être quelqu’un de riche, d’important, qui passe partout sans qu’on l’importune.
Il y a trop de choses dans les ordinateurs de nos jours, voilà le problème. Malgré toutes les précautions, ils ne sont jamais complètement inviolables.
Je ne crois plus, je ne peux plus croire quand le mal gouverne le monde en toute impunité !
Il n’y a plus de justice dans ce monde devenu fou.
Ce n’est pas des gros poissons qu’il faut se méfier, mais du menu fretin.