Jackson Guice

Des étudiants et leurs professeurs trouvent au fond de la mer une amphore très ancienne... mais très vite le temps vire à l'orage et leur bateau est arraisonné par une bande de pirates. Une fois l'orage passé, ils se trouvent nez à nez avec un cyclope ! Mais ce n'est pas le seul monstre de la mythologie qui erre sur cette île...

On est tout de suite plongé dans cette histoire de voyage au monde de la mythologie avec ces étudiants et ces pirates qui ont fort à faire face aux monstres qu'ils rencontrent.

Les étudiants ne sont pas stéréotypés type « vacances à Ibiza » et ça c'est déjà un bon point, et les pirates de leur coté ne sont aussi pas trop cliché « gros bras ».

Ce premier tome ne s'appesante pas trop en description et rentre assez vite dans le sujet, ce qui est plutôt entraînant mais on reste encore un peu sur notre faim sur l'aspect « mythologie »... même si on a droit à quelques spécimens de la Grèce antique : cyclope, basilic ?, oiseaux du lac stymphale, Minotaure ?... Mais tout ça augure d'un tome 2 encore plus passionnant (?)

Lors d'un voyage en Grèce, un groupe de jeunes Américains étudiants en archéologie découvre dans la Mer Égée une urne qui pourrait bien se révéler être la légendaire boîte de Pandore ! A peine s'émerveillent-ils de leur découverte qu'ils sont assaillis par un groupe de pirates mercenaires. Au même moment, une terrible tempête éclate. Pris dans la tourmente, les deux groupes qui s'affrontent se retrouvent projetés sur le rivage d'une île, aussi isolée que mystérieuse, qui abrite le mythique Mont Olympe. Etudiants et mercenaires vont alors devoir s'allier pour faire face à des créatures de légende surgissant sur leur chemin. Leur seul espoir : survivre assez longtemps pour gagner le sommet de l'île et son temple afin d'y déposer l'urne et apaiser la colère des dieux.



On passera sur la 1ère partie du pitch, dont le caractère aussi hollywoodien que capillotracté fleure bon le risible, pour s’attarder sur tout le reste de ce diptyque : un bon revival des pepla mythologiques d’antan mis en valeur par les bons dessins de Butch Guice.

Tout le bestiaire fantastique y passe et on s’amusera à reconnaître toutes les créations du magicien des FX pré informatiques Ray Harryhausen. Le scénario est finalement assez sympa avec les mercenaires, leurs muscles et leurs pétoires, qui doivent compter sur les cerveaux des universitaires et leurs connaissances pour faire face aux monstres de l’Antiquité : la tête et les jambes quoi ! Certains reconnaîtront le chouette humour de Geoff Johns, qui depuis lors a réalisé une belle carrière en gravissant tous les échelons de l’écurie Detective Comics.

Cette association entre films de genre classiques et récits d’action modernes se prêterait merveilleusement à une chouette… Oui, mais non Hollywood préfère pondre à répétition des remakes qui respirent la paresse scénaristique.

Olympus se déguste comme une agréable bd d'action qui n'a d'intention que de divertir, un peu comme ces feuilletons qui passent dans l'après-midi sur de nombreuses chaînes de tv.



Personnelllement, je suis à la recherche de la bd qui sortira un peu de l'ordinaire tout en empruntant des chemins nouveaux. On peut dire que c'est presque le cas en l'espèce où un groupe de jeunes gens sont envoyés dans la dimension de l'Olympe tout en croisant des créatures mythologiques bien connues.



Certes, il y a une dose de fantastique dans ce récit mais la manière de l'aborder n'a aucune originalité. Ce n'est pas très inspiré car tout est si prévisible. Reste que c'est lisible et plutôt bien dessiné.

Une BD qui rend un terrible hommage comme tu l'a dis Albéric, à tous les péplums mythologiques de la fin des années 50 au début des années 80.



Le pitch : Un ile perdue, des naufragés et des pirates des mers obligés de faire cause commune pour survivre dans un environnement peuplé d'une nuée de créatures mythologie de l'antiquité.



C'est clairement le scénario d'un film bien barré que j'aurai aimé voir à l'écran .


Lien : http://david-gemmell.frbb.ne..

Un second tome vraiment passionnant avec encore pas mal de références à la mythologie grecque.

L’ambiance : « on vie une aventure fantastique, on a même pas peur, faut juste monter tout en haut de la montagne et on est sauvé ! » est le gros point faible du récit. On se croit plus dans un jeu vidéo que dans une véritable aventure. Dans la critique du premier tome, je précisait que les étudiantes ne sortaient pas d’Ibiza mais elles sont à mon avis loin des réactions attendues dans un tel événement.

L’essentiel n’est pas là car le côté mythologie et action est très prenant et on ne s’ennuie pas une seconde, du moins pour ceux qui s’intéressent à la mythologie.

Mon second regret est que j’aurai aimé une histoire plus étoffée, il y avait de quoi créer un récit en plusieurs tomes ; ici on jeté dans cet univers, tout s’enchaîne rapidement et on ne s’attarde pas sur les créatures : le combat des Spartes sans chair ni sang aurait valu son intérêt... dommage.

Lors d'un voyage en Grèce, un groupe de jeunes Américains étudiants en archéologie découvre dans la Mer Égée une urne qui pourrait bien se révéler être la légendaire boîte de Pandore ! A peine s'émerveillent-ils de leur découverte qu'ils sont assaillis par un groupe de pirates mercenaires. Au même moment, une terrible tempête éclate. Pris dans la tourmente, les deux groupes qui s'affrontent se retrouvent projetés sur le rivage d'une île, aussi isolée que mystérieuse, qui abrite le mythique Mont Olympe. Etudiants et mercenaires vont alors devoir s'allier pour faire face à des créatures de légende surgissant sur leur chemin. Leur seul espoir : survivre assez longtemps pour gagner le sommet de l'île et son temple afin d'y déposer l'urne et apaiser la colère des dieux.



On passera sur la 1ère partie du pitch, dont le caractère aussi hollywoodien que capillotracté fleure bon le risible, pour s’attarder sur tout le reste de ce diptyque : un bon revival des pepla mythologiques d’antan mis en valeur par les bons dessins de Butch Guice.

Tout le bestiaire fantastique y passe et on s’amusera à reconnaître toutes les créations du magicien des FX pré informatiques Ray Harryhausen. Le scénario est finalement assez sympa avec les mercenaires, leurs muscles et leurs pétoires, qui doivent compter sur les cerveaux des universitaires et leurs connaissances pour faire face aux monstres de l’Antiquité : la tête et les jambes quoi ! Certains reconnaîtront le chouette humour de Geoff Johns, qui depuis lors a réalisé une belle carrière en gravissant tous les échelons de l’écurie Detective Comics.

Cette association entre films de genre classiques et récits d’action modernes se prêterait merveilleusement à une chouette… Oui, mais non Hollywood préfère pondre à répétition des remakes qui respirent la paresse scénaristique.