Jacqueline Mirande

Vous voyez bien qu'il est simple d'esprit.
j'ai choisi cette citation car l'homme est à l'esprit simple, il est cool.

par Alain jund

"Il m'a fait repenser à ton frère et à toi, à vos conditions si différentes. Tu avais tous les dons et Géraud en avait si peu ! Le brillant chevalier,c'était toi , mais lui était l'aîné. A la mort d'Aymar, votre père, tout lui est revenu, les fiefs, la vicomté, la puissance et l'argent. Toi, tu devais suivre le destin commun à tous les Pleaux cadets en simple chevalier ou t'en aller courir la fortune en tournois. Tu n'as pas pu le supporter. Tout s'est mélangé en toi, jalousie, ambition, révolte. Et tu as imaginé cet accident de chasse."
A l'époque, le destin de prince n'était pas prit à la légère. L'aîné avait tous les droits, mais pas le cadet ! Il devait être simple chevalier ou fuir hors du Royaume. Je me suis dis que le destin de Raymond était difficile à avalé, avec toutes ses qualités : Beauté, courage, hardiesse, ... mais pas le trône !
La colère est montée en lui comme un volcan effusif ! Il voulait cette puissance ... et pas celle de son frère.

Lisa-Marie.K

Le champ de foire s'etait a nouveau vidé au profit de l'eglise car à la piété se joignait le desir de ne pas manquer la beauté du spectacle , j'ai choisie cette citation car sa montre les emotions a l'epoque du moyen age. Furkan E

Il écarte doucement les ronces ,jeta un œil et se rejeta vivement en arrière de peur de se faire voir.

J'ai choisi cette phrase car ça montre la prudence des gens de l'époque .

Antoine.p

bonsoir
j'ai besoin des résumés de chaque chapitres
c'est quelqu'un peut m'aider je lui serai très reconnaissant

Il écarta doucement les ronces, risqua un œil et se rejeta vivement en arrière, effrayé à l’idée qu’on puisse le surprendre. Les deux cavaliers tiraient hors d’un buisson le cadavre d’un pèlerin – il avait encore son chapeau à coquille accroché au cou. L’avaient-ils tué et où l’emmenaient-ils ? Car, à présent, ils le traînaient.

Le temps n’avait plus de sens, la durée s’abolissait. Plus rien n’avait d’importance que lui, ses baisers, ses caresses. Ce qu’elle n’osait pas encore nommer, son amour parce que ce mot-là, lui ne l’avait pas encore prononcé.

Le silence était une facilité. Mais aussi un mensonge.

L’amour est une étrange force qui nous mène à sa guise, fait de nous un bateau ivre sur une mer tantôt calme et tantôt furieuse, ballottés du creux des lames à la crête des vagues, parfois disloqués, quelquefois noyés…

Je préfère voir des poules dans la cour d’honneur de la Bastière plutôt que des touristes qui viendraient visiter, caméras en bandoulière, débraillés, familiers, stupidement curieux et imperméables au vrai charme de l’ensemble, à sa vraie beauté.

On ne naît pas cynique. On le devient. Souvent parce qu’on est trop sensible et que la vie vous a donné trop de coups.

Les cris et les reproches ne m’impressionnent plus. Ne me jugez pas prétentieux mais je sais ce que je vaux.

Des mains solides, faites pour saisir et qui ne devaient pas lâcher aisément ce qu’elles tenaient.

Un dur métier, en vérité…
Il exigeait une âpre lutte pour se faire connaître et apprécier des organisateurs de colloques internationaux. La traduction immédiate, en redoutant l’erreur qui vous disqualifie, les heures passées à étudier des dossiers, imposaient une grande fatigue nerveuse. Et les voyages étaient trop rapides pour que l’on puisse voir autre chose des pays étrangers que les salons identiques d’hôtels cosmopolites et banals.

A ce que je vois,c'est fait.Puis-je savoir sur quoi il étaie son accusation?
_Tu as tort de le prendre sur ce ton,dit Raymond.L'affaire est grave car aux yeux du prévôt les deux morts sont liées.
-Il l'admet enfin!
-Mais essaie de comprendre ,si tu es compromies dans l'un ,tu l'es aussi dans l'autre.

Ce n’est pas parce qu’on a souffert de son enfance qu’on est obligé de la traîner sans cesse après soi.

J’ai autre chose à faire qu’essayer de rendre bon moral à des écervelées qui se sont donné des bâtons pour se faire battre ! On ne dessine pas des trucs de ce genre quand on veut garder sa situation, ou du moins on évite de les laisser traîner. Je n’ai pas pour mission de raccommoder ce qui est cassé.

Quand on commence à glisser sur la pente, qui peut dire où on s’arrêtera !

Les êtres ne sont pas simples ! Il n’y a pas les bons d’un côté, les méchants de l’autre. Nous sommes un mélange de défauts et de qualités, de bête et d’ange. C’est cela que j’ai voulu vous faire comprendre en vous racontant cette histoire. Et qu’il n’y a pas d’exception, pas une, vous entendez ? Tout se paie, tout se monnaye, dans le monde où nous vivons !

Il y a beaucoup de pétrole sous le sable de ces pays-là ! Le conseiller financier du sultan, un Anglais du nom de Philip Howard, était censé arbitrer le match. En fait, il était acquis à l’une des deux sociétés mais le concurrent évincé s’en doutait. Il l’avait laissé entendre et n’était pas le seul à soupçonner l’honnêteté d’Howard. Mais Howard a la chance d’avoir pour femme une des plus belles créatures que j’aie rencontrées. Helen, un prénom prédestiné ! Sa beauté arrangeait souvent pas mal de choses. Il faut croire que cette fois-là, elle n’avait pas suffi à désarmer la méfiance du concurrent.