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Critiques de Jacqueline Sauvage (35)
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Je voulais juste que ça s'arrête

Naviguant entre souvenirs et réalité, Jacqueline Sauvage nous raconte son enfer, ses espoirs, ses peurs. Désillusion d'une justice qui ne l'entend pas, des années de prison puis un combat médiatique et une grâce présidentielle. Vraiment un récit poignant qui nous fait comprendre pourquoi il fallait " que ça s'arrête".
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Je voulais juste que ça s'arrête

Un livre bouleversant je ne comprend tellement pas ce jure qui l'a tant jugé après tout ce qu'elle a subit. Sa remise gracieuse était tellement mérité. Jamais cette femme n'aurait dû passer autant de jour derrière des barreaux. Une histoire qui m'a ému autant en film qu'en livre.
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Je voulais juste que ça s'arrête

Qui ne connaît pas l’histoire de Jacqueline Sauvage ? De plus, le livre a inspiré un film TF1. Jacqueline nous raconte son histoire, la violence de son mari envers elle et ses enfants. Elle explique pourquoi elle n’est pas partie plus tôt. Son histoire m’a touchée, comment un homme peut-il faire subir cela à sa femme et ses enfants! On ressent dans l’histoire, la force et le courage qu’il a fallu à Jacqueline pour faire ce geste. Cependant, je ne comprends pas comment on a pu laisser cette femme en prison! Enfin, je suis soulagée de savoir qu’elle a pu sortir de cet enfer. Je retiendrais de ce livre qu’il ne faut pas baisser les bras même lorsqu’on ne croit plus en rien et qu’on a l’impression que tous les malheurs nous tombent sur le coin de la tête.

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Je voulais juste que ça s'arrête

Qui n'a pas entendu parlé de Jacqueline Sauvage et de son incarcération. Cette histoire est bouleversante comme toutes celles qui se rapportent à ce genre de vie. En lisant, et aux dires de Sauvage, la justice ne comprend pas pourquoi cette femme n'a pas quitté son mari, pourquoi elle n'a pas protégé ses enfants des coups et de l'inceste dont ses trois filles ont fait l'objet (et que Sauvage a découvert lors de l'audition aux audiences des Cours d'Assises).

47 ans de vie avec un type pareil, cela, ne passe pas auprès de la Cour, pourquoi Sauvage n'a pas réagit avant ?

Le déclic, Jacqueline Sauvage l'explique dans le livre, c'est Pascal, (son fils qui s'est pendu), lors d'une ultime altercation avec son père.



Lu en février 2019 / Le Livre de Poche - Prix : 6,90 €.
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Je voulais juste que ça s'arrête

Une histoire bouleversante qui entraîne le lecteur dans la violence intra-familiale. C'est dur, c'est vrai et les émotions vous submergent.



Que cet homme-bourreau ait pu maltraiter sa famille entière pendant autant d'années sans que personne ne réagisse est presque invraisemblable et pourtant c'est presque systématiquement le cas.



Entre les voisins qui n'ont rien entendu, les autorités qui n'ont rien vu, l'entourage qui ne dit plus rien puisque rien ne change, les enfants qui essaient de faire leur vie comme ils le peuvent après avoir vécu l'enfer, et puis, Jacqueline qui reste envers et contre tout, et croit encore que oui, oui, il changera, oohh mais il y a des moments d'apaisement parfois, non, non, ce n'est pas si grave que ça, où voulez-vous que j'aille?, de toute manière quoi qu'on fasse, rien n'est jamais bon et les années passent, les naissances arrivent, les liens familiaux et amicaux se distendent jusqu'à ne plus exister parce que oui, dans un climat de violence, c'est comme ça, les gens fuient et laissent les victimes avec leur bourreau.



Jusqu'à ce qu'un jour, la victime dit maintenant, ça suffit, j'en peux plus, ça doit s'arrêter, il va me crever et là, oui, on arrive à une catastrophe, enfin aux yeux de certains parce que pour d'autres, ce n'est que justice, qui aurait dû arriver bien plus tôt mais là encore, dépendra de quelle justice on parlera.



Force est de constater que les bras armés de la Justice se sont obstinés à vouloir condamner (encore) la victime.

Visiblement, certains ont besoin de vivre eux-mêmes la situation pour être humain et comprendre comment la manipulation, la violence et l'emprise peuvent mener à des comportements abjects.
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Je voulais juste que ça s'arrête

C’est un livre qui m’a bouleversé tant par son histoire que son écriture ainsi que sa réalité. C’est un style d’écriture visuelle et j’avais l’impression d’être avec l’auteure et de l’entendre me raconter son histoire.
Lien : https://l-univers-d-ocseve.b..
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Je voulais juste que ça s'arrête

Je ne me suis jamais vraiment intéressée à cette affaire jusqu’à maintenant, car elle était beaucoup trop médiatisée à l’époque .



Je savais néanmoins qu’elle avait tué son mari à coups de fusil , que ce dernier la battait depuis près de cinquante ans et qu’elle avait été graciée par François Hollande.



Après ce long combat, elle décède en juillet 2020 et je me suis laissé tenter par son histoire bouleversante.



Dans ce récit, elle nous livre tout ce qu’elle n’a pas pu ou su dire durant ses procès, j’ai éprouvé beaucoup de compassion pour elle et ses enfants.



Je suis révolté contre cette justice qui lui fait comprendre qu’elle est responsable de son malheur et des violences perpétrées sur ses enfants car elle a choisi de rester...
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Je voulais juste que ça s'arrête

Jacqueline Sauvage est née en 1947. Elle rencontre Norbert à 15 ans. Norbert est un gros dur. Au moment de leur rencontre, il sort d'une maison de correction. Leur idylle pasionnée est secrète car Norbert n'est pas quelqu'un d'apprécié. Jacqueline tombe enceinte. Malgré les mises en garde de sa famille, Jacqueline va s'entêter dans cette relation. Une relation qui va la conduire à sa perte.



Si vous suivez l'actualité, vous avez forcément entendu parler de Jacqueline Sauvage. Battue pendant 47 ans, elle finit par tuer son mari. S'en est suivi de longues années d'incarcération et de procès, jusqu'à la grâce présidentielle accordée par François Hollande le 28 décembre 2016.



Il m'est difficile de chroniquer ce type de témoignage. Chacun a son avis concernant la culpabilité de Jacqueline Sauvage quant au meurtre de son mari. Doit-on faire justice soi-même lorsque l'on a vécu dans la violence ? Violence physique, verbale, psychologique, sexuelle ... Jacqueline et ses enfants n'ont jamais été épargnés. Et si Jacqueline avait quitté son mari ? Et si elle avait porté plainte dès le départ ? Et si, et si ?



L'histoire de Jacqueline Sauvage me rappelle inévitablement celle d'Alexandra Lange, victime également de violences conjugales. Cette affaire a été médiatisée et a donné lieu à un film, "L'emprise", avec Odile Vuillemin, Fred Testot et Marc Lavoine. Ce film m'avait d'ailleurs pris aux tripes.



Pour survivre, ces deux femmes ont tué leur époux. Face à la justice, elles ont d'ailleurs été défendues par les mêmes avocates. Des avocats qui ont compris leur souffrance, et qui ont pu les défendre au mieux devant la justice. Une justice bien étrange, qui condamne une femme en danger à des années de prison ... Passons ...



Je ne jugerai pas le geste de Jacqueline Sauvage. Je pense surtout à elle, au calvaire sans fin que sa famille a vécu, et je n'ai aucune pitié pour son mari, qui pour moi était une ordure. Et encore, le mot est faible, bien trop faible !



J'ai trouvé ce témoignage révoltant. Il m'a fait mal au cœur. La violence conjugale est un fléau que je ne comprendrai jamais. Je souhaite à Jacqueline Sauvage et ses enfants de pouvoir trouver l'apaisement désormais.


Lien : https://louloutediary.blogsp..
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Je voulais juste que ça s'arrête

L'histoire de Jacqueline Sauvage est une affaire complètement dingue.



Cette femme a été battue, maltraitée par son mari, Norbert Marot, pendant 47 ans. Elle a essayé de fuir son compagnon à de nombreuses reprises mais son emprise étant tellement importante et forte qu'elle n'a jamais osé le faire. Chaque geste ou action de sa part, et son mari rentrait dans une colère tellement forte que Jacqueline avait réellement peur. La famille de Jacqueline Sauvage était contre cette union et son mari l a donc éloigné de sa famille. Elle n'avait plus du tout de soutien de ses proches. Norbert Marot a aussi pendant toutes ces années, pratiqué des attouchements et des viols sur ses propres filles.

Après une énième dispute, des insultes et des coups en veux tu en voilà, Jacqueline Sauvage s' empare d'un fusil, tire sur son mari et le blesse mortellement.

Suite à ce geste, la justice va entrer en jeu et là, la vie de Jacqueline va continuer de s'effondrer. On a l'impression que la justice l'enfonce, que tout est fait pour qu'elle reste incarcérée. Pour la justice, le fait qu'elle ne soit pas partie et qu'elle ai accepté tous ces coups pendant tellement d'années, démontre que son geste ne peut pas être considérée comme de la légitime défense. Après quelques années de procès et d'appels, avec l'intervention de ses avocates et de ses filles, Jacqueline Sauvage obtient finalement une grâce présidentielle.



Ce roman est vraiment très fort en émotion. J'ai même ressenti de la colère et de la haine envers le mari de Jacqueline. Cette femme a tellement vécu dans la peur de faire mal les choses que pendant son procès, elle n'arrive pas à se défendre, ni à mettre des mots sur son calvaire. Dans cette affaire, la justice est écoeurante. On comprend bien que le geste fatal est intervenu dans le but de se protéger elle et ses enfants.

J'ai réellement été bouleversée par ce roman. Il y a quelques années, j'ai vu le film qui a été tiré de cette histoire. Malgré cela, on reste toujours aussi touché par l'histoire de cette femme.
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Je voulais juste que ça s'arrête

Ce livre n'est pas pour assouvir une curiosité malsaine, c'est une vue de l'intérieur du déroulement du procès et du désarroi de la principale intéressée. Si certains se demandent encore pourquoi certaines femmes battues ne déposent pas plainte, vous trouverez vos réponses dans ce livre. Quand on sait tout ce que cet homme a fait subir à sa famille et que la Justice française a continué d'en douter jusqu'au bout, au point de condamner cette femme, à 2 reprises, à 10 ans de prison pour lui refuser ensuite une liberté conditionnelle... C'est tout simplement de l'acharnement...
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Je voulais juste que ça s'arrête

Ce livre est poignant. Il permet d ouvrir les yeux sur un véritable problème de société de nos jours.

J ai pu y découvrir une femme forte et ses enfants combatifs.

Il faut parfois avoir le cœur bien accroché dans certains passages. des mouchoirs à proximité parfois aussi. a lire avec toute la bienveillance que l on peut avoir surtout lorsque l on sait que c est une histoire vraie
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Je voulais juste que ça s'arrête

Au-delà de la souffrance d'une femme victime de violences conjugales, ce qui m'a interpellée, c'est le motif pour lequel Jacqueline Sauvage a été déboutée par la Justice à plusieurs reprises. Voici une des deux raisons invoquées : la part de responsabilité de Madame Sauvage dans la relation toxique et pathologique du couple. Donc, elle est coupable. Et responsable des coups qu'elle recevait. Vous avez compris, mesdames ? Si votre conjoint vous frappe et viole vos filles, c'est que vous l'avez cherché...et mérité.... C'est normal que ce motif me choque ???????

Bref! Jacqueline Sauvage a pu bénéficier de la grâce présidentielle.
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Je voulais juste que ça s'arrête

Jacqueline Sauvage est une mère de famille victime de violences conjugales. Elle abat son mari qui levait encore et toujours la main sur elle, la terrorisait continuelement. En 2012, elle lui tire dessus. Condamnée à dix ans d'emprisonnement, un mouvement voit le jour pour défendre l'idée qu'elle se trouvait en état de légitime défense. Finalement, la grâce présidentielle lui est accordée en 2016. Un témoignage dur et à la première personne qui ne laisse personne indifférent !
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Je voulais juste que ça s'arrête

Témoignage bouleversant d'une femme battue pendant 47 ans par l'homme qu'elle a aimé et en qui elle a cru pendant tout ce temps.



Histoire vraie, racontée avec beaucoup de cœur et d'amour.

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Je voulais juste que ça s'arrête

cette malheureuse histoire nous en avons tous entendu parler par les médias. Une histoire tragique avec au coeur les fameuses violences conjugales.

Je trouve pour la part dommage que ce témoignage ne soit pas aussi poignant que la réalité a dû l'être pour elle.
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Je voulais juste que ça s'arrête

Une vie gâchée au nom de l’amour. Une emprise psychologique infernale, un engrenage impossible à gripper. Aucun jugement ne peut être porté contre cette femme qui pour ma part aurait dû le tuer beaucoup plutôt. Une famille dévastée par un seul homme, qui même si il a eu une enfance déplorable, qui pourrait expliquer un tant soit peu son comportement, ne l’excuse absolument pas.
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Je voulais juste que ça s'arrête

Il est difficile d'évaluer ce livre : on est forcément touché par l'histoire de Jacqueline Sauvage et de sa famille, bouleversé par l'emprise de ce monstre et ébahi devant la triste froideur des procès. Il est difficile en le lisant de se rappeler que c'est une histoire vraie. Elle aurait dû être interrompue tellement plus tôt ! Malheureusement, cette histoire rappelle à quel point là société peut garder ses yeux fermés et à quel point il est difficile au sein de sa propre famille d'agir alors que l'on risque le pire.



Ma note est relativement basse cependant car, en dépit de ce témoignage horrifiant, j'ai eu du mal avec le style de l'écriture et avec la chronologie. Je sais bien que ce n'était pas l'objectif premier, mais il me semblait juste de le partager malgré tout.
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Je voulais juste que ça s'arrête

Un livre poignant, touchant, rempli d'années de souffrance. Une lecture bouleversante. Des incompréhensions aussi vis à vis de la justice.

Jacqueline Sauvage a subi durant des années des violences conjugales. La justice ne comprend pas pourquoi elle n'est pas partie avant, pourquoi aucune plainte n'a jamais été déposée à l'égard de son mari, pourquoi elle n'a pas protégé ses enfants plus tôt... C'est un livre révoltant, où il faut se poser bien des questions sur notre justice actuelle...
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Je voulais juste que ça s'arrête

Une lecture que j'ai beaucoup appréciée car l'auteur explique son point de vue, sa vie, pourquoi elle en est arrivée là : à assassiner son mari et père de ses enfants. J'éprouve beaucoup de compassion pour elle et je suis heureuse qu'elle ait bénéficié d'une grâce présidentielle.
Lien : https://joy369.unblog.fr/
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Je voulais juste que ça s'arrête

L’histoire de Jacqueline Sauvage, on l’a connaît tous.

C’est celle d’une femme, mariée pendant quarante-sept ans à un homme qui l’a d’abord aimé, pour laisser rapidement place à la violence, aux insultes, à l’humiliation, à l’enfer. Cette femme connaîtra des années de torture quotidienne, mais également leurs enfants subiront eux aussi. Jusqu’au jour où, (je ne spoile rien), le lundi 10 septembre 2012, Jacqueline tue son mari de trois coups de fusil après une énième agression.



Comme elle le dira si bien, « c’était lui ou nous ». Elle l’a tué pour se sauver, pour les sauver, elle et ses enfants. Mais malgré cela, la justice la condamnera, en première instance puis en appel, à 10 ans d’emprisonnement.

L’affaire est médiatisée et suscite l’incompréhension des gens. La médiatisation provoquera des débats sur la notion de légitime défense préméditée dans le cas de violences.

Heureusement pour elle, grâce au soutien de ses filles et l’aide de ses 2 avocates, qui ont trouvé les mots juste à sa place, elle a pu être graciée en 2016 par François Hollande.



C’est évidement un témoignage bouleversant. Jacqueline nous confie les choses qu’elle n’a su exprimer lors de procès, des détails qu’elle n’arrivait pas à prononcer facilement á haute voix. Elle disait ne pas regretter son geste ce qui évidement, lui a couté préjudice car elle était considérée plus comme coupable que victime.

D’ailleurs encore une fois, je m’indigne devant cette justice merdique, (oui j’ose le dire). Les juges avec leur question, leur jugement et leur manque de compassion : ça me débecte.



Cette femme a eu une vie semée d’horreurs, de violence. J’ai eu si mal pour elle, en lisant toute cette culpabilité qu’elle a en elle, vis à vis de ses enfants, notamment pour celui qui s’est donné la mort. C’est un témoignage poignant sur un sujet brûlant. Les violences faites aux femmes.
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