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EAN : 9782253091424
192 pages
Le Livre de Poche (10/01/2018)
4.08/5   130 notes
Résumé :
D'abord une histoire d'amour, comme il y en a tant d'autres. Mais très vite, les insultes, les coups, l'engrenage de la violence. L'homme avec lequel Jacqueline Sauvage s’est mariée à dix-sept ans transforme sa vie en enfer, régnant sur le foyer en véritable tyran. Leurs enfants, humiliées, frappés, terrorisés, ne sont pas épargnés. Tous partagent le même sentiment paralysant : la peur. Cette peur qui les empêche de partir ou encore de le dénoncer.
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Critiques, Analyses et Avis (35) Voir plus Ajouter une critique
4,08

sur 130 notes
Comme le dit, si justement, Kerry Reichs dans « L'épopée du perroquet » publié en France en 2012 : « Lire c'est rêver les yeux ouverts ».
Bibliophile depuis ma tendre enfance, je lis pour étancher ma soif de connaissances mais aussi pour m'évader.
Que j'aurais aimé me trouver dans un monde imaginaire à travers « Je voulais juste que ça s'arrête » de Jacqueline Sauvage pareillement à des oeuvres de fictions comme « le petit prince » d'Antoine de Saint-Exupéry, par exemple.
Il y a des livres qui ne devraient pas exister et celui-là en fait partie. Il y a des drames dévastateurs qui font sortir de l'anonymat des personnes qui s'en seraient bien passées. Notre auteure est une d'entre-elle.
Je ne suis pas passée à côté de la bande-annonce du téléfilm relatant le calvaire enduré par cette femme et ses enfants lors de sa diffusion le 1er octobre 2018. Dès lors, venant des téléspectateurs, J'ai entendu des critiques majoritairement positives sur cette adaptation télévisuelle. En ce huitième mois de l'année, je ne l'ai pas encore vu. Pourquoi ? Me diriez-vous. Tout simplement parce que je n'avais pas lu le roman éponyme publié aux Editions Fayard le 22 février 2017. Bien qu'étant dans ma PAL depuis fort longtemps, je n'avais pas envie de l'ouvrir. Plus précisément, je n'étais pas disposée à me plonger dans cette histoire et surtout je ne voulais pas être taxée de voyeurisme face au vécu tragique de cette famille.
Le temps a passé. Il y a peu, une personne proche me parle de belle façon de cette autobiographie. A travers son explication intelligible et convaincante, elle est arrivée à me transmettre ses émotions et j'ai donc « franchi le pas ». Quelle en soit remerciée.
Je publie donc un commentaire en espérant qu'il soit constructif et reflète véritablement mon ressenti.
La dernière page définitivement tournée, je dois admettre que j'en ressors avec un sentiment mitigé. Vu la lourdeur du sujet, je n'ai pas passé un bon moment. C'est court (deux-cent-cinquante-deux pages), rapide et facile à lire. Mais pour le reste, je suis plus circonspecte.
Adolescente, Jacqueline Sauvage rencontre Norbert Marot, âgé de quelque mois de plus qu'elle. de cette idylle va naitre une histoire d'amour, comme il y en tant d'autres, qui se concrétisera rapidement par un mariage. Mais très vite, les insultes, les coups, l'engrenage de la violence. L'homme qu'elle a épousé à dix-sept ans transforme sa vie en enfer, régnant sur le foyer en véritable tyran. Leurs gosses, humiliés, frappés, terrorisés, ne seront pas épargnés. Tous partagent le même sentiment paralysant : la peur. Cette peur qui les empêche de partir ou encore de le dénoncer. La situation semble malheureusement inextricable jusqu'à ce lundi 10 septembre 2012 où leur existence bascule. Elle ne sera plus jamais la même…
Ce jour où Madame Marot commet l'irréparable. Trois coups de fusil. le bourreau est mort. Pour expliquer son geste, elle affirme avoir craint pour sa vie et celle de sa descendance en raison de menaces qui auraient été proférées par son mari le matin et dont elle a cru qu'il allait les mettre à exécution.
Le 28 octobre 2014 et le 03 décembre 2015, la mise en cause est condamnée, par deux fois, à une peine de dix ans d'emprisonnement. Scandalisée par ce verdict incompréhensible qui a suscité une intense émotion, l'opinion publique prend fait et cause pour la détenue. A l'heure des réseaux sociaux et de la médiatisation, « l'affaire Jacqueline Sauvage » voit le jour.
Après plusieurs années d'incarcération, François Hollande choisit alors de lui accorder, le 28 décembre 2016, une grâce présidentielle totale.
« Je voulais juste que ça s'arrête » revient sur les quarante-sept années qui l'ont conduite au pire. le presque demi-siècle de vie avec le père de ses quatre enfants, qui la battait.
Qui est-elle vraiment ? Quel est ou quels sont les traits de sa personnalité ? Comment expliquer l'installation sournoise de la violence puis l'escalade qui s'en suit ? de quoi était fait son quotidien ? Celui de ses filles et de son fils ? Pourquoi cette soumission ? Ce manque de réaction ? Cette incapacité à partir ? Que s'est-il réellement passé ce jour de septembre 2012 ? Comment se sont déroulés, après coup, les procès ? Quelles ont été ses conditions de vie en prison ? Comment a été accueillie « la délivrance » ?
Ces questions non exhaustives ne trouveront des réponses que si vous décidez de vous plonger, vous aussi, dans ce douloureux mais néanmoins véridique témoignage.
La base de ce bouquin est assez simple puisque, concomitamment à des passages faisant référence au parcours de vie de l'auteure et de sa famille, elle est axée sur les deux procès judiciaires subis par l'intéressée.
En assistant, si j'ose m'exprimer ainsi, aux audiences publiques de la cour d'assises d'Orléans en première instance puis à celles de la cour d'appel de Blois, nous pénétrons dans l'intime de cette femme. Nous sommes au sein même des débats et de ces jugements qui ont provoqué un quasi scandale judiciaire. Nous flirtons avec un monde peu connu : le milieu des magistrats, des avocats. J'ai entamé cette lecture pour tenter d'en comprendre les tenants et aboutissants en faisant abstraction de ce que j'en avais déjà lus, vus ou entendus. Si j'y effectivement trouvé de l'intérêt, je dois admettre que l'ensemble n'a pas répondu totalement à mes attentes. Certes, Jacqueline revient sur son vécu, sur la réalité des faits. Elle s'explique valeureusement mais cela manque, selon moi, de précisions. C'est confus, survolé, peu inaudible par moment.
Cet avis n'est que subjectif bien évidemment. Je ne suis pas habilitée à me prononcer sur cette affaire et encore moins à la juger.
Nous nous rendons compte de la dynamique infernale dans laquelle elle s'est enfermée au fil des ans et des sévices. Réduite à vivre sous le joug d'un homme utilisant diverses stratégies pour obtenir ou maintenir un contrôle coercitif sur elle-même et son proche entourage. La tyrannie, l'impulsivité, l'irascibilité de cet individu nous saute aux yeux. La brutalité maritale définie comme une prise de contrôle et caractérisée par la fréquence, la gravité des actes s'exprime alors désastreusement dans toute sa splendeur. C'est pénible et torturant à parcourir.
La force de cette confession est de le lever le voile sur le problème, l'ampleur et les conséquences de la violence conjugale. Mais également de nous faire réfléchir sur cette exception juridique que nous appelons la légitime défense.
Ecriture simple empruntant le langage du quotidien qui autorise, comme je l'ai déjà mentionné, une lecture prompt qui ne nous transporte pas cependant. Au regard du thème abordé, j'espère ne pas me montrer péjorative en indiquant que ce texte manque d'intensité, de pénétration, de vivacité.
Pour terminer, je vous confirme que cet opus est effectivement intéressant à découvrir car il a le mérite de dénoncer les violences faites aux femmes. Il est poignant. Ne m'a pas laissée indifférente, bien au contraire mais il ne m'a pas émue, bouleversée comme a pu le faire celui d'Alexandra Lange « Acquittée ». J'avais alors été plus sensible à son histoire, à sa façon de la raconter. Je ne regrette toutefois pas même si je n'en garderai pas un excellent souvenir. Vite lu, vite oublié.
Il m'a d'ailleurs été difficile de le noter et encore plus de le chroniquer.
Je l'entreprends ? : Oui pour quiconque apprécie la catégorie sciences humaines, faits de société.
Je recommande également pour les lectrices ou lecteurs qui souhaiteraient en apprendre davantage sur ce drame familial qui met en exergue la brutalité quotidienne faite à la gent féminine au sein même du couple.
Récit qui a le mérite d'exister sans pour autant nous tenir en haleine.


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Au-delà de la souffrance d'une femme victime de violences conjugales, ce qui m'a interpellée, c'est le motif pour lequel Jacqueline Sauvage a été déboutée par la Justice à plusieurs reprises. Voici une des deux raisons invoquées : la part de responsabilité de Madame Sauvage dans la relation toxique et pathologique du couple. Donc, elle est coupable. Et responsable des coups qu'elle recevait. Vous avez compris, mesdames ? Si votre conjoint vous frappe et viole vos filles, c'est que vous l'avez cherché...et mérité.... C'est normal que ce motif me choque ???????
Bref! Jacqueline Sauvage a pu bénéficier de la grâce présidentielle.
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Qui n'a pas entendu parlé de Jacqueline Sauvage et de son incarcération. Cette histoire est bouleversante comme toutes celles qui se rapportent à ce genre de vie. En lisant, et aux dires de Sauvage, la justice ne comprend pas pourquoi cette femme n'a pas quitté son mari, pourquoi elle n'a pas protégé ses enfants des coups et de l'inceste dont ses trois filles ont fait l'objet (et que Sauvage a découvert lors de l'audition aux audiences des Cours d'Assises).
47 ans de vie avec un type pareil, cela, ne passe pas auprès de la Cour, pourquoi Sauvage n'a pas réagit avant ?
Le déclic, Jacqueline Sauvage l'explique dans le livre, c'est Pascal, (son fils qui s'est pendu), lors d'une ultime altercation avec son père.

Lu en février 2019 / le Livre de Poche - Prix : 6,90 €.
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Le témoignage bouleversant et glaçant de Jacqueline Sauvage, condamnée deux fois à dix ans de prison pour avoir tué son mari et qui après un long combat de ses avocates et de ses filles, a été graciée par François Hollande. 42 années de violence physique, psychologique, économique et sexuelle perpétré par un tyran. Ses filles ont été violées, son fils s'est suicidé. Entre coups, humiliations et menaces de mort, elle raconte sa vie brisée par la violence conjugale. Poignant.
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cette malheureuse histoire nous en avons tous entendu parler par les médias. Une histoire tragique avec au coeur les fameuses violences conjugales.
Je trouve pour la part dommage que ce témoignage ne soit pas aussi poignant que la réalité a dû l'être pour elle.
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Citations et extraits (13) Voir plus Ajouter une citation
Je suis veuve depuis trois jours et, ce jeudi matin, je me réveille pour la première fois en prison, à Orléans. Numéro d'écrou 26 625. Ici, je serai Jacqueline Sauvage. C'en est fini de "la Marot" ; elle a vécu, elle n'est plus. Je reprends mon nom de jeune fille après quarante-sept ans d'union en dents de scie, la lame contre la gorge. J'ai été si souvent blessée dans ma chair.

Le seul bonheur de mon mariage se résume à la naissance de mes enfants.

Je suis veuve depuis lundi soir et, par l'un de ces abominables coups du sort que nous réserve parfois l'existence, je suis aussi la mère d'un fils qui s'est suicidé. Samedi dernier, nous étions six. Nous ne sommes plus que quatre.

L'intérieur de mes yeux clos, comme un arrêt sur image, le visage de mon fils. Pascal que j'ai tant aimé, que j'aime tant. La chair de ma chair. Je n'ai pas eu le temps de lui dire au revoir, de lui dire que, peut-être, j'allais enfin pouvoir me sauver, les sauver.

Les chagrin pénètre dans mes entrailles. La faute, aussi, de n'avoir pas su empêcher l'horreur. Qu'y a-t-il de pire pour une mère que de perdre son enfant ?

Depuis que l'on m'a annoncé la mort de Pascal, plus rien n'a d'importance, plus rien ne compte. Je ne suis plus. J'aimerais disparaître, m'enfoncer dans le sol pour ne plus voir, ne plus pleurer, ne plus sentir cette douleur insoutenable dans mes tripes. Je ne réfléchis plus. J'exécute. Mes pensées toutes entières sont à lui, à lui seul et à cette boule au ventre que me brûle les entrailles.

Savoir à son pas, au grincement de l'escalier, que la nuit va être longue, douloureuse, me réfugier déjà ailleurs dans un recoin de mon cerveau, un endroit qu'il ne pourra pas atteindre malgré les injures, l'humiliation et la douleur.

J'aurais dû mourir, j'aurais préféré mourir que de survivre à la mort de mon petit. Mais comment aurais-je pu laisser si longtemps ma famille en proie à ce monstre ?

Souvent je me demande comment j'ai pu en arriver là. Comment tout cela a commencé. Identifier le jour où tout a basculé, où j'aurais dû partir.

Et lorsque je lui réponds que je n'ai fait ça que pour lui, il m'envoie une énorme gifle en plein visage. Un coup, sur moi. Le premier.

Il était tout, il était moi, il était nous. Il nous disait comment penser, comment agir, comment pleurer même. Il n'y avait plus d'autres voix pour contrer la sienne. J'étais isolée de ma famille, je travaillais beaucoup. Et quand je ne travaillais pas, je m'occupais de mes enfants. C'est ainsi que je devins une femme battue. Que je devins une de celles dont on ne comprend pas pourquoi elles restent.

C'était toujours de leur faute. C'était toujours de ma faute. Nous ne distinguons plus le vrai du faux, c'était lui qui nous poussait à penser ce qu'il voulait.

Mes filles étaient terrifiées par leur père. Elles grandissaient, et Norbert ne le supportait pas. Et plus l'adolescence s'affirmait, plus cela devenait impossible. Les filles avaient envie de vivre leur vie, elles réclamaient de plus en plus d'indépendance. Lui, ne les laissait pas, il ne pouvait pas. Nous étions ses choses et il fallait qu'on le reste.

Norbert était ébranlé, piégé, parce que ses enfants étaient devenus autre chose que lui. Ils étaient devenus des belles et bonnes personnes. Lui le sentait. Et cela le rendait fou.

C'est là que tout a changé. C'est là que quelque chose en moi s'est réveillée. Quelque chose qui m'a commandée. Qui a pris possession de moi. J'ai obéi. J'ai obéi à cette voix qui me disait : "C'est lui ou toi Jacqueline. C'est tes enfants ou toi." Dans mon corps, les blessures ont ravivé les souvenirs de ses coups.

L'odeur de poudre a réveillée ma raison. Je l'ai tué. J'ai tué mon mari. Je tremble. Reprendre ses esprits. Une chose à la fois. Je remets le fusil dans la chambre. Puis j'appelle les pompiers : "J'ai tué mon mari."

"Tu peux maintenant dormir tranquille, mon chéri." J'ai pensé très fort à ses boucles d'ange. Ses boucles sur lesquelles il se repose aujourd'hui. Loin de Norbert, loin de ce monstre qui l'a tant fait souffrir. Mon fils. En partant, j'ai mis la main sur mon coeur. J'ai senti qu'il était là. Qu'il était avec moi. J'ai compris que c'était lui qui m'avait empêchée de mourir. J'ai compris que c'était lui qui avait donné de la force à ses sœurs pour se battre. Repose en paix, mon fils.
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Ce sont des gifles. Ce sont des poings. Je ne sens plus mon visage tant il me fait mal. Il continue à me mettre des coups en me poussant vers l’extérieur de la maison. Je suis dehors, dans le froid. Mon visage est tuméfié, en sang. Il est dans ces colères qui ne s’arrêtent plus. Quand chaque coup en entraîne un autre.
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Ce jour-là, il m’avait frappée. Un poing dans la lèvre. Ce jour-là, il m’avait coursée comme un animal apeuré dans la maison. Ce n’était pourtant pas la première fois, ni la centième. Une scène si routinière, une violence si fréquente. La peur. La douleur. La honte. Encore et toujours. Une fois, dix fois, cent fois.
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Adolescente, bien qu’un peu « garçon manqué », je commençais à dévisager les jeunes hommes qui venaient chercher leurs copines devant le centre d’apprentissage où j’étais inscrite.
J’apprenais à coudre, à repasser ; je venais de fêter mes quinze ans.
Je savourais ma liberté nouvelle : pour parcourir les trois kilomètres et demi séparant notre maison de l’école, mon père m’avait offert une petite Mobylette.
Si l’indépendance me grisait, je n’en abusais pas, respectant les horaires imposés par mes parents. Ils m’élevaient de façon stricte afin que je sois une demoiselle « comme il faut ».
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– Mais vos filles avaient été violées par leur père…

– Je n’arrivais pas à croire qu’il ait fait ça. Violer ses propres enfants ! C’est honteux ! 

J’ai crié pour que ma vérité soit entendue. Pour ne pas les laisser dire ça. Pour ne pas que la présidente laisse penser ça. Ce n’est pas comme cela que ça s’est passé. 
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