AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet

3.31/5 (sur 59 notes)

Nationalité : France
Né(e) à : Paris , le 23/08/1949
Biographie :

Jacques Weber est un acteur, réalisateur et scénariste françaisJacques Weber
Il s'initie à l'art dramatique dès l'adolescence et délaisse alors ses études. Après le Conservatoire du XVIIe arrondissement où il rencontre Francis Huster, il entre à l'âge de 16 ans à la Rue Blanche, puis au Conservatoire National l'année suivante. Trois ans plus tard, il obtient un prix d'excellence au Concours de sortie et refuse d'être engagé à la Comédie Française pour rejoindre Robert Hossein à Reims.
Parallèlement à une riche carrière théâtrale, Jacques Weber commence une activité cinématographique sporadique, faisant une petite apparition dans Raphaël ou le débauché en 1971, puis abordant des rôles secondaires dans Faustine et le bel été de Nina Companeez (1972), Etat de siège de Costa-Gavras (1973) et R.A.S. d'Yves Boisset (id.). On peut aussi l'apercevoir à la télévision dans plusieurs séries et téléfilms.
Malgré quelques rôles remarqués (Rive droite, rive gauche (1984) de Philippe Labro et Escalier C (1985) de Jean-Charles Tacchella) ce n'est qu'en 1990 avec Cyrano de Bergerac de Jean-Paul Rappeneau qu'il se fait connaître du grand public. Il obtient grâce au rôle du Comte de Guiche le César du Meilleur Acteur dans un second rôle en 1991. Depuis, il prête sa carrure solide à des personnages de composition hauts en couleurs, aristocrate herculéen dans Beaumarchais, l'insolent d'Edouard Molinaro (1996) ou psychologue frustré dans 7 ans de mariage de Didier Bourdon (2003). Il signe un long métrage pour le cinéma en 1998, Don Juan, tiré de la pièce de Molière, dont il est le personnage principal. Il réalise, également, des adaptations pour la télévision : Ruy Blas (2002) et Figaro (2008).
A partir de 2006, il se fait plus présent au cinéma et se spécialise dans la comédie. Si son temps d'apparition à l'écran n'est jamais très important, c'est parce que Jacques Weber se consacre principalement à sa carrière théâtrale dont le succès ne s'est jamais démenti au fil des ans.
+ Voir plus
Source : wikipedia, Allo ciné
Ajouter des informations
Bibliographie de Jacques Weber   (14)Voir plus

étiquettes
Videos et interviews (42) Voir plusAjouter une vidéo
Vidéo de

C à vous https://bit.ly/CaVousReplay C à vous la suite https://bit.ly/ReplayCaVousLaSuite — Abonnez-vous à la chaîne YouTube de #CàVous ! https://bit.ly/2wPCDDa — Et retrouvez-nous sur : | Notre site : https://www.france.tv/france-5/c-a-vous/ | Facebook : https://www.facebook.com/cavousf5/ | Twitter : https://twitter.com/CavousF5 | Instagram : https://www.instagram.com/c_a_vous/ Au programme : À J-8 de l'arrivée de la flamme olympique à Marseille et alors que le sport est la grande cause nationale 2024, retour sur la place du sport dans la vie de nos invités : avec notamment Michel Cymes et le champion du monde, Bixente Lizarazu qui nous a confié combien le sport avait changé sa vie. Mais aussi, Kad Merad, Jacques Weber, Francis Perrin, Pierre Arditi, Nicole Garcia ou encore Stéphane Guillon et Jean-Pierre Darroussin, nous ont parlé du plaisir de partager une scène de théâtre.

+ Lire la suite
Podcasts (4) Voir tous


Citations et extraits (30) Voir plus Ajouter une citation
Jacques Weber
Macron est grand escroc, un mensonge permanent.
Commenter  J’apprécie          280
Pour qu’un livre ne s’effondre pas sur son étagère, il faut le caler avec d’autres livres, en ôter régulièrement la poussière, et le feuilleter quelquefois pour qu’il vive.
Les anciens recommandaient que les belles reliures soient emmaillotées dans des molletons, enfermées dans une armoire de chêne. À l’abri de la lumière, le livre, tel un moine tibétain, s’éloignait de son enveloppe charnelle. Reliures, gravures et calligraphies conféraient à la lecture un caractère sacré. On passait la soutane, aurait dit Gustave.
Le livre de poche quittait le sanctuaire pour aller chez les gens, et les étagères se garnissaient. On lit souvent en attendant un train, un amour, un dentiste. On lit, on attend, la nuit ou le matin ; une promesse de bonheur est derrière la page tournée. Certains reculent la fin, d’autres s’y précipitent.
Le livre est fermé, ma compagne nue dort à mes côtés, le chat est regroupé au coin du lit, la ville derrière la fenêtre scintille et éclaire le ciel, la tour Eiffel est éteinte. La peur me prend, me surprend. Avant l’aube, madame Arnoux est partie en carrosse, on a remis la Légion d’honneur au pharmacien des Bovary, Emma est morte empoisonnée au chapitre précédent.
Commenter  J’apprécie          140
Ici, ça sent le passe-droit d’ambassade ! Von Steinberg faisait tous ses films en studio, et la Chine n’a jamais été aussi poétique et belle. Ouiiiiiiii, je suis pochardé, bourré, gorgé, pompette ! J’ai ramassé une pistache et pris une casquette ! Et alors ? La trouille me prend tout. De ma paire de couilles à mon cœur. Il ne faut pas jouer avec le feu, comme on dit aux enfants. »
Quel con !… Voilà ce que je voulais dire. Mais non. Je me tais, laissant les mots me mordiller les boyaux.
Commenter  J’apprécie          130
Un mot, c'est un trait, une longueur sans épaisseur,entre le souvenir et la vérité

Commenter  J’apprécie          70
C'est dans un bistrot que j'ai rencontré Jeanne, ça sentait le café et la cigarette. Au coin de ma rue, on ne fume plus, mais le parfum des fées est indélébile, ses volutes y glissent "des bagues à chaque doigt, des tas de bracelets autour des poignets", Jules et Jim fument en terrasse.
Commenter  J’apprécie          40
L’alcool fut longtemps la gourde et le désert. Il créait un monde et me permettait d’y survivre. Tout, même le drame, avait l’éclat du neuf. Tout était rare et, chaque instant, espoir ou désespoir.
Commenter  J’apprécie          40
En 1969, quoi qu'on vive, c'était toujours l'après-1968.
Commenter  J’apprécie          50
J’étais le turbulent, le cancre, le bébête grossier et gourmand, mais surtout celui qui savait, qui sentait maladroitement que l’argent avait l’odeur des dessous chic et de la vieille pisse.
Commenter  J’apprécie          30
Un rade, c’est pas ça, c’est pas un distributeur automatique. Ça cause, ça schlingue, ça boit en planque et pète en silence, on dit : « La même chose ! Comme d’habitude ! » On pense : « Oh les beaux jours ! » ou « Chienne de vie » selon le soleil ou la pluie, le zinc est déjà sale et la journée toute neuve.
Commenter  J’apprécie          20
Jacques Weber
L'art est le théâtre de la liberté.
Commenter  J’apprécie          40

Acheter les livres de cet auteur sur
Fnac
Amazon
Decitre
Cultura
Rakuten

Lecteurs de Jacques Weber (100)Voir plus

Quiz Voir plus

Philosophes au cinéma

Ce film réalisé par Derek Jarman en 1993 retrace la vie d'un philosophe autrichien né à Vienne en 1889 et mort à Cambridge en 1951. Quel est son nom?

Ludwig Wittgenstein
Stephen Zweig
Martin Heidegger

8 questions
159 lecteurs ont répondu
Thèmes : philosophie , philosophes , sociologie , culture générale , cinema , adapté au cinéma , adaptation , littératureCréer un quiz sur cet auteur
¤¤

{* *}