Jean-Louis Mourier

Relire le début des aventures trollesques : il était une fois un village de trolls chasseurs, attaqué par les humains des territoires magiques de Troy un peu énervés d'être une nourriture de choix. On découvre le troll Teträm plus malin que la moyenne, son fils Gnondpom encore bébé, sa fille adoptive qui s'ignorait humaine et qui découvre son pouvoir aléatoire plein de surprises, le vieil ermite du marais, le troll bêta et jaloux, le pétaure qu'on fait avancer en chantant, et le méchant sage puissant qui n'aurait jamais dû s'attaquer aux trolls. Il y a les jeux de mots à chercher dans les noms des personnages, la sauvagerie sanglante mais rigolote (ah l'art de faire une brochette chez les Trolls !) bref, toutes les bases qu'on retrouve au fil des épisodes. Un lancement qui, un jour déjà lointain, m'a donné envie continuer la série.

Spin-off de l’univers de Lanfeust de Troy, nous retrouvons ici un village de trolls ayant la particularité d’avoir en son sein une humaine élevée depuis toute petite par un couple de trolls.

Les humains se faisant hachés menus régulièrement, décident d’investir le village pour tuer et capturer l’ensemble des trolls du village.

Après avoir beaucoup apprécié Lanfeust de Troy mais beaucoup moins Lanfeust des étoiles, le monde des trolls pouvait être une nouvelle aventure interessante dans ce monde de fantasy riche en magie, en créatures et en humour.

En ce qui concerne ce dernier, on est loin de la première série (cela reste tout de même drôle) mais l’histoire est prenante et les personnages intéressants. J’attends la suite pour savoir si cette nouvelle quête menée par un troll et une humaine qui se prend pour une troll vaut vraiment le détour... mais le potentiel est là au niveau du scénario...

Une autre bonne BD signée Arleston et son humour singulier que j'apprécie beaucoup.



Dans le même univers qui nous a donné Lanfeust de Troy, cette fois nous nous retrouvons dans un village de trolls. Des trolls ma foi fort sympathique malgré leur diète de chaire humaine. Teträm, un troll plus intelligent que la norme, est aussi le père de la seule humaine du village, la coriace Waha, qui ignore d'ailleurs sa propre humanité. Lorsque leur village est attaqué , seuls Teträm et sa fille parviennent à s'enfuir. Commence alors pour eux moult aventures pour secourir leurs semblables.



Drôle, direct, un peu absurde, remplis de jeux de mots,on ne s’ennuie pas avec cette série. Dans la première Bd, le dessin n'est pas encore aussi finement travaillé que dans les autres tomes, mais il reste très vivant et dynamique. J'aime beaucoup le duo entre Tetram et Waha. Un duo père-fille adorable et très complice qu'on en voit certes pas souvent. Tetram peut se montrer aussi doux que sanguinaire et Waha défis toutes les conventions sociales sur les filles ( la force physique, le caractère, l'absence de gêne, le manque de rafinement,etc). Pour la personne qui déteste les stéréotypes et les filles faibles, je suis vraiment ravie!

Encore un très bon tome des Trolls de Troy.



Avec cette fois une compétition ! Celle de dessiner le plus beau troll.. Oui mais encore faut-il pouvoir les approcher ?!



Après tout un stratagème, les trolls se voient prisonniers et enchanté à poser pour les peintres lors de l'exposition universelle.



Prit au jeu, les trolls vont eux aussi vouloir peindre et se dessiner.. Ce qui donne des résultats assez étonnant.



Merci pour les magnifiques tableau revisité à la fin, de quoi nous faire sourire et passer un bon moment.



Elise__♥

Quand les Trolls de Troy se frottent à l'Art parce qu'une princesse du désert ne se mariera qu'à l'issue d'un concours de peintres, occasion d'une Exposition Universelle... on se doute si on connait la série de BD que ça va mal se finir pour les humains, même avec leurs pouvoirs magiques.

Ce tome est une parodie qui revisite le monde actuel, les figures marquantes de la peinture, et même la scène culte de la distribution de potion chez Obélix et Astérix : bref, c'est plein de second degré culturel.

Ça donne des gags souvent faciles mais quand même c'est drôle. Et la finesse est dans l'illustration, qui nous fait le cadeau de quelques pages bonus "exposition des tableaux trolls" absolument savoureuses.

Retour dans le passé pour ce tome 22 des Trolls de Troy, ces gentils ogres poilus qui dévorent la chair fraiche avec des bouilles adorables. L'aventure se passe dans l'enfance de Waha, l'humaine adoptée. Un ptit regard caustique sur la société (le stagiaire, les spams...), quelques références culturelles, des jeux de mots approximatifs, beaucoup d'onomatopées, la recette des trolls fonctionne toujours. Mais c'est une recette sans originalité, dont on connait à l'avance la saveur lorsqu'on a lu, comme moi, tous les autres tomes de la série.

Comme pour le tome précédent, j'ai moins rigolé que ce dont j'avais pris l'habitude.

Groupe de rauque dans celui ci, attention cela va déménager. Des lecteurs mp3 dernière génération, un groupe prénommé les Groaring trolls, de quoi donner la "rock'n trolls attitude".



Mais malheureusement pour notre bien détesté vénérable Rysta Fuquatou, se cache dans l'un de ces précieux lecteurs la formule rendant enchanté définitivement les trolls. Quel dommage qu'il tombe entre les mains, les pattes, les griffes, les masses poilues de nos chers compagnons les trolls...



Comment va t il faire pour tenter de le récupérer? Aurait il cette fois ci trouver un moyen définitif d'éradiquer l'agressivité de nos copains poilus?



Petite anecdote qui m'a fait sourire dans ce tome, je m'appelle Anne-Charlotte, et je découvre ma quasi homonyme, la mouche Ansharlotte!

Le village des Trolls, ces charmantes créatures poilues qui ont peur de l'eau parce que ça rend propre et qui croquent avec délice tout humain et animal à portée de main, est envahi par une cohorte de chercheurs d'or !

On retrouve les jeux de mots approximatifs, l'humour décalé, la sauvagerie joyeuse, le runing gag de la maison construite par le troll Pröfy, dans un scénario un peu critique de la société (comme l'était le numéro précédent). Mais le plaisir de cette série BD tient essentiellement pour moi dans le dessin : j'adore la tête des enfants trolls.

Lanfeust a tellement bien fonctionné que son auteur principal a décidé de s’y remettre en créant une série qui se déroule dans le même univers mais avec les ancêtres des personnages de la première saga. Nous voilà dans le monde de Troy, où nous suivons une tribu trolle, mais surtout un troll et sa fille adoptive, une humaine.

La tribu trolle se fait attaquer par les humains et soumettent les habitants à l’esclavage. Mais les humains se retrouvent confrontés à une difficulté, cette humaine élevée comme des trolls et possédant des pouvoirs.

L’univers est ici déjà connu, mais les personnages sont nouveaux et nous découvrons ainsi les débuts de ce qui s’appelle la saga Lanfeust de Troy. Il s’y déroule toujours autant de combats avec une pointe d’humour.

Le dessin est très réussi et les couleurs installent une ambiance très fantasy. C’est un premier album très prometteur qui se laisse lire facilement.

Une fois encore Profy s'est lancé dans la construction d'une cabane pour son union avec Waha. Mais piqué par une drôle de bestiole, il retombe en enfance. Alors qu'il démolissait son toit, Waha utilise son pouvoir aléatoire qui conduit Profy sur une ile tropicale. A sa place est apparu un indigène prêt à passer au grill un pirate rondouillard. Il ne reste plus qu'à Waha de réunir une équipe pour aller sauver son amoureux...

On ne change pas grand chose et on recommence. Bon c'est clair qu'en terme de renouvellement, ce n'est pas la bonne série : quelques bon mots, le dessin de Mourier (toujours bon et rehaussé par des couleurs éclatantes), cela suffit à faire un album agréable sans plus.

Ce second tome est un peu décevant. Tout comme l’album précédent, je trouve que l’humour de la situation des trolls réduit à une taille mini n’est pas assez exploitée. Le récit n’est pas assez drôle et manque donc de situations drôles.

Et puis la conclusion est vite expédiée, comme si Arleston voulait se débarrasser d’une histoire qui traîne en longueur…

Un album très drôle et terriblement crue. La scène du barbare qui se fait arracher l’œil est particulièrement gore… âmes sensibles s’abstenir !

L’humour est particulièrement réussit également avec de nombreux jeux de mots et de clins d’œil. Cela faisait longtemps qu’il n’y avait pas eu un très bon album de Trolls de Troy, ici, on retrouve le style de la série : humour, gore et provocant.

Une femme avec un terrible pouvoir passe dans la forêt des Trolls. Sa magie ? Faire pleuvoir tout simplement, une assurance-vie efficace contre les Trolls.

Après quelques albums avec une histoire en 1 tome, on retrouve un récit qui court sur, au moins, un second tome. Et bien, on ressent tout de suite une histoire plus intéressante. Arleston a le temps de construire un scénario plus travaillé avec plus de péripéties et moins de gags potaches.

Trop bien après quelques semaines sans lire de BD de retrouver ces chers Trolls!!!



Nous voyageons en Orient, découvrant religions et cultures de Trolls blancs.

Mmmh pas commodes et un peu débiles d'ailleurs! Pas que nos trolls habituels soient plus intelligents mais ceux ci n'attirent aucune sympathie!



La femme du gouverneur j'ai nommée Meshanta a besoin pour son pouvoir personnel de petits trolls blancs et roux! Et bien sur sur qui cela tombe.... La famille de Waha!



Tome découpe en deux parties, point appréciable mêe si j'ai enchainé les deux du coup!

Outre le fait que le titre est à l'école des Trolls, à force de vouloir trop en faire, l'auteur ne sait plus ou chercher l'inspiration. Il nous plonge donc dans l'enfance de Waha, période que nous n'avions pas encore exploré. Alors oui, c'est du Arleston, avec l'humour et tout, presque un renouveau pour cette série, car l'enfance fait de Waha un personnage tout différent.Et même si je préfère cette histoire à la précédente, il va falloir songer à changer de sujet, parce que les plaisanteries les meilleurs sont les plus courtes... Bref, je crois que j'en ai marre des Trolls!

Si tu veux voir des jeux olympiques qui détonnent, amis lecteurs, viens voir les trollympiades!!!

Des épreuves inédites matchs de poules, 110 foulées d'obstacles, lancer de pétaures...et bien d'autres..toujours aussi drôle..

Voici voilà le premier tome des Trolls de Troy. D'un côté nous avons les humains, combattant les trolls grâce à leurs pouvoirs plus farfelus les uns que les autres. Qui a dit que faire tomber les dents ou pousser les poils était un pouvoir! Une belle bande de rigolos du coup par moment!

De l'autre, nous rencontrons les trolls, qui eux, semblent aimer manger l'humain sous toutes ses formes, et dés le plus jeune âge. Wahou, bah on est mal barrés !



Barrés? Oui c'est également un terme qui peut tout à fait définir nos chers trolls. Ils sont complètement déjantés même. J'adore.



Parmi ces terribles poilus, on rencontre principalement Teträm et sa famille. Petite particularité, sa fille, Waha, est une humaine adoptée. Ça promet !



Dans ce tome, le village de Teträm se voit détruit par une bande d'humains et les trolls sont enchantés et sous le contrôle des hommes.

Débute alors une quête pour Teträm et sa fille afin de les libérer.



J'ai beaucoup apprécié les dessins ainsi que les discours un peu tordus de tous nos personnages. J'ai hâte de lire le tome2!

Petit coup de coeur: le coup des chaumières qui tombent dans la lumière! J'adore!

Douzième tome de la série des trolls. Plutôt un bon tome, centré sur les deux petits trolls Gnondpom et Tyneth (à vous de trouver les jeux de mots). Ils sont plus drôles que le reste de la tribu et donc tout marche mieux. Arleston les utilise d'ailleurs assez régulièrement comme héros principaux, ayant du se rendre compte de l'effet général obtenu.

Les points faibles sont les mêmes que pour le reste de la série. L'intrigue est assez simpliste et comme souvent quand ces deux-là sont de la partie, ils se font kidnapper. Méfiance aussi avec la violence assez extrême, pour une couverture qui pourrait attirer les plus jeunes.

Importance est redonnée ici à un des pouvoir magique des humains, qui reste quand même la spécificité principale du monde crée par Arleston. Cela apporte toujours une touche plus intéressante quand il n'oublie pas d'utiliser cette particularité dans son intrigue

Un premier tome particulièrement amusant avec des jeux de mots plutôt sympa !... A commencer par le nom du groupe : les "Trolls de Phalompe"....à ne pas confondre avec les trompes de.....

Tatram , un troll et Waha sa fille adoptive (qui est une humaine) vont se lancer à la recherche des ingrédients, leur permettant de sauver leur peuple d'un envoûtement humain. La fille adoptive, a l'avantage de posséder des dons, mais ne les maîtrise pas...ce qui amène des situations cocasses !

Une Bd vraiment distrayante !

Bilan mitigé après la lecture de ce tome. Sans doute parce qu'avec ce titre, on a tous tendance à s'imaginer ses propres épreuves de jeux olympiques trolls. Et que du coup, même si celles qui sont envisagées sont sympas, elles ne sont pas les notres. Le sujet permet en effet de facilement tisser un scénario autour de l'idée de base, sans trop se fatiguer. L'humour de la série est toujours présent, c'est sympa aussi de découvrir différentes nations trolls. Mais tout cela n'est que prétexte aux blagues, à la différence de certains tomes précédents où l'intrigue s'écoulait parfois sur plusieurs albums. La particularité de Waha qui est une humaine adoptée par les trolls n'est même pas exploitée, toutes les peuplades trouvent normal qu'elle soit là, on ne sait pas bien ce que donne sa participation à l'épreuve de lancer...



Certes le but avoué de la série est plus d'aller chercher l'humour pour l'humour par rapport aux autres séries du même univers. Mais il est dommage de ne pas exploiter certains éléments en les creusant un peu plus.