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Citations de Jean-Luc Fromental (75)


Attention mon garçon, ces couteaux ne sont pas nés pour ne pas servir.
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« L’art de la guerre », une aventure de Blake et Mortimer à New-York

Vol BOAC 534 London-New York, 7:30 pm.

B- Traverser l'Atlantique pour aller une fois de plus palabrer sur la paix, quelle perte de temps
M- Bah, il paraît que le nouveau siège des Nations Unies est une merveille d'architecture, ça nous changera de nos vieilles pierres.
Et puis il faut entretenir la flamme si fragile de la liberté.
"La plume est plus forte que l'épée »! Ce n'est pas à vous que je vais rappeler le vieil adage…
J'ai hâte d'entendre votre discours, mon cher Francis.
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- Tu sais qu'à Paris, ils n’utilisent pas la graisse de bœuf pour faire les frites ?

- Alors quoi, dis ?

- de l'huile végétale.

- Ces Parisiens, que des bons à rien...
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- Écoutez, ça, souligné par Olrik:"Celui qui occupe le terrain en premier et
attend l'ennemi est en position de force"
- On dirait que notre ami cherchait à se convertir à l'inéfable sagesse chinoise.
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" La plume est plus forte que l'épée ".

Ce n'est pas à vous que je vais rappeler le vieil adage.

J'ai hâte d'entendre votre discours, mon cher Francis.
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Comme madame Bovary, qu’elle n’avait pas lu, Christine redoutait l’ennui et cultivait l’idée que la grande vie attend toujours au prochain carrefour.
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Nous savions tous les deux que c’était un accident. Mais moi, contrairement au marin, je n’éprouvais pas de remords. Un flingue n’a pas le choix : il tue ce qu’on lui fait tuer.
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Mouton, en principe, ce n'est pas un métier. Pas comme chien. On peut être chien' de chasse,
Chien d'avalanche, chien d'aveugle, de berger, de cirque, de traîneau, chien des douanes ou chien policier. Une multitude de carrières s'offre à vous quand vous êtes un chien.
Mais mouton ?...
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- Pour qui travaillez-vous ? KGB ? CIA ?
- Ni pour la Russie, ni pour les USA. Ni même pour la couronne britannique. Nous travaillons pour la paix. (p. 92)
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Et du ciel si blanc, une neige immaculée s'est mise à tomber.
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Donc si je n'existe pas, vous non plus. S'il n'y a plus d'Olrik, à quoi servent Blake et Mortimer
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Elle cédait peut-être au premier venu, mais pas du premier coup.
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— Tu ne coucheras pas avec moi, n’est-ce pas ?
— Vous me mettriez à la porte après, monsieur. Et moi, j’aime travailler chez vous…
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Entre deux tasses de thé, j’étais adopté. J’obtins même le droit d’emmener Christine en promenade, comme dans un roman de Jane Austen. En partant, j’entendis la mère chuchoter à la fille : Belle prise.
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"C'est ce qu'on appelle l'indice de touchabilité, reprit Tibor le chat, un peu pédant. La quantité de plaisir qu'on peut tirer du fait de toucher quelque chose de doux, de chaud et d'affectueux. J'avais trouvé ma vocation. Je serais la machine à plaisir qui manquait à cette maison. J'étais naturellement coquet, mais j'ai dû le devenir davantage encore pour mettre en avant mes traits les plus séduisants. Le pelage que tu vois me coûte pas moins de neuf cents coups de langue quotidiens. Je taille mes griffes au millimètre pour préserver une certaine sauvagerie sans risquer d'infliger des blessures trop graves à mes partenaires quand je consens au jeu ou à la pelote. Plaire, crois-moi, c'est du boulot, mais je suis traité comme un roi et je n'ai plus à tuer mon déjeuner."
Océane
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Tout le monde ou presque a un nom, quand on y réfléchit. Les chiens et les chats ont des noms, les poissons rouges en ont, une tortue peut s'appeler Janine ou Esmeralda, même votre ours en peluche jouit d'un patronyme.
Mais les moutons...
Mon idée là-dessus est que si on ne les baptise pas, c'est pour ne pas s'y attacher. Tout ce qu'on gratifie d'un nom propre devient particulier. Django est votre hamster. Tous les hamsters ne sont pas Django. C'est sans doute pourquoi il est préférable que ce qui se mange, pardon de le dire aussi crûment, reste anonyme.
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L’écheveau de la reine. Pourquoi exhumer un scandale vieux de soixante ans, avec lequel l’Angleterre n’est jamais venue à terme, mais que le reste du monde – qui s’y étant pourtant, en son temps, follement intéressé – a effacé de sa mémoire ? Sans doute parce qu’à l’âge du conspirationnisme aigu, du fake et de la post-vérité triomphante, il n’est pas inutile de montrer à quel point ce genre d’affaires, mêlant sexe, politique, espionnage, préjugés raciaux, de classe de genre, résulte d’un engrenage hallucinant de hasards, d’accidents, de maladresses, de rancœurs personnelles, de conflits d’intérêt, de raisons d’État, de voyeurisme et d’autres facteurs trop ténus et imprévisibles pour les identifier tous. Aucune théorie du complot ne résiste au démontage d’un mécanisme si complexe. En retournant l’échiquier politique britannique, l’Affaire Profumo mit fin à quatorze ans de règne conservateur, fit entrer le Royaume-Uni dans les Swinging Sixties, signa l’avènement de la presse de caniveau et devint l’évènement people de l’année 1963. Les fins connaisseurs du dossier ne manqueront pas de relever les libertés que s’accorde ce livre avec certains faits ou chronologie d’une telle intrication que des milliers d’articles et des douzaines d’ouvrages plus ou moins fiables ne sont jamais parvenus à les mettre au clair. Le corpus de l’affaire, constitué de rapports, d’enquêtes journalistiques, de témoignages à charge et à décharge, de biographies et de mémoires sensationnalistes, est un lieu de contradictions, omissions, conjectures, opinions biaisées, dénégations, incriminations réciproques – un dédale d’où ne peut sortir aucune vérité incontestable. Il semble que chaque camp, chaque protagoniste ait la sienne. Nulle femme à la nudité aveuglante jaillira de ce puits de mensonges et de mobiles ténébreux. Après le temps du reportage et celui de l’analyse, celui de la fiction a-t-il sonné ? – Jean-Luc Fromental
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Au delà d'un certain point, un pingouin quotidien de plus ou de moins ne fait plus la différence. On vit pingouin, on pense pingouin, on rêve pingouin, on devient pingouin.
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Old Bailey, Londres, 30 juillet 1963. C’est le moment de vérité. Après ces mois de harcèlement, de déballages de caniveau, de mensonges plantés comme des banderilles, le monstre qu’ils ont créé attend l’estocade. Plus de sanctuaire. L’arène réclame la mise à mort. Où sont-ils les puissants, les profiteurs, les petites filles perdues qui me mangeaient dans la main ? Plus d’ami, plus d’allié. On ne veut plus me connaître. Si on se souvient de moi, c’est seulement dans la lumière poisseuse du scandale. Alors ce soir, j’ai décidé de regagner mon dernier refuge, à Chelsea, de m’assoir devant ce Grundig TK-14 et dire tout ce que je sais. Ma vérité est la vérité, mais il semble que je sois désormais le seul au monde à pouvoir l’entendre. Ce que je ferai ensuite, dieu seul le sait. C’est mon procès que je recommence. Je serai mon juge le plus sévère. Et s’il s’avère qu’au bout du compte je suis coupable…
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Avec les mots de tout le monde, il faut écrire comme personne.
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