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3.77/5 (sur 213 notes)

Nationalité : France
Né(e) à : Pessac , 1969
Biographie :

Jean-Marc Troubet, dit Troub’s est né en 1969, à Pessac.

Il a fait des études aux beaux-arts de Toulouse, puis d'Angoulême. à l'atelier bande dessinée où il obtient son diplôme en 1994. Depuis, il vit en Dordogne, et, est devenu dessinateur-voyageur.

Ses voyages en Chine, en Australie ou à Madagascar ont donné l’objet de plusieurs livres d’illustration ou de bande dessinée.

Dessinateur contemplatif, amoureux de la nature et des animaux, il a également consacré un livre aux vaches.



Source : Futuropolis
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Ce mois de mars est une ode à la nature, aux espaces infinis, et aux échanges qui nous font grandir. Il marque la sortie d'Au pied des étoiles, le livre à quatre mains d'Edmond Baudoin et Emmanuel Lepage : une rencontre inoubliable, et un grand moment de bande dessinée. Troubs vous entraîne au Ghana, dans le Royaume des kapokiers, pour découvrir l'équipe extraordinaire du parc de la Mole. Et avec Thomas Azuélos et Aurélien Ducoudray, vous le saurez, Il ne devra plus y avoir d'orphelins sur cette terre.


Citations et extraits (65) Voir plus Ajouter une citation
- Rien de neuf ?
- Oh, rien. Je regarde les politiques là.
- Je vois ça. Et qu'est-ce qu'ils disent ?
- Ooh.. ils disent, ils disent... ah ça tu peux croire qu'ils savent le faire ! Mais pendant ce temps-là...ils font pas grand-chose.
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- Héébéééééé !! Oulàààà ! Hébé ! Il est pressé le facteur ! Il fonce à la soupe.
- Tu crois ?
- Il faut bien qu'il mange un peu.
- Il doit avoir bien faim alors.
- Ça oui... ça toujours été pressé, les facteurs.
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Le président Berdy a effectivement été reçu (assez discrètement) à L'Elysée par Sarkozy en février 2010. [...]
- [...] c'est dingue de voir ça quand même !
- Pourquoi ?
- On fait des affaires avec un tyran.
- Ça n'est pas si simple.
- C'est une façon de soutenir une dictature. Non ?
- Couper les ponts serait encore plus dramatique pour la population. Il faut toujours privilégier le dialogue. Même si c'est pour le bizness. Le fait qu'il y ait des entreprises étrangères ici permet d'avoir des représentations diplomatiques. Des ambassades. Des observateurs. Sans Bouygues il n'y aurait pas d'ambassade de France. Pas de Centre culturel. Et toi, tu ne serais pas là.
(p. 59-60)
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Il baragouine l'anglais et on finit par se comprendre. Il se trouve que nous avons le même âge. Ça crée des liens.
- Aux Turkmènes !
- Aux Français !... Les Américains ne sont pas bons. Il ne faut pas les écouter. Il faut arrêter de les suivre, vous les Français. C'est vrai. Tu as fait la guerre ?
- Non !
- Moi oui ! En 87. Pendant 8 mois. J'ai tué mes frères afghans... A cause des Russes. On suivait les Russes. Et maintenant, c'est les Américains qui tuent mes frères. Il ne faut pas les suivre.
(p. 66)
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Rien ne vaut la liberté.
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René [Dahon] est un ami de longue date, un des responsables de 'Roya Citoyenne' inculpé pour aide aux migrants :
- Il y a 180 militaires et gendarmes qui sont arrivés par ici et qui restent dans les hôtels pendant environ trois semaines. Du pain bénit pour les hôteliers. Ça coûte 60 000 euros par jour, ce dispositif. Ils testent des dispositifs et entourent la propriété de Cédric Herrou.
Un drone survole à 3 000 mètres d'altitude.
(p. 33)
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Le temps de dessiner, Ngo explique aux gens ce que je fais là, bien mieux que je ne pourrais le faire, ni même le penser.
Je suis une sorte d’ethnographicologue, venu relever au pinceau les motifs et les témoignages artistiques de la tradition dayak. Pour en faire un livre, une étude à caractère artistico-scientitifique, pour que tout cela ne sombre pas dans l’oubli.
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Les hommes inventaient des problèmes sans même penser à leur trouver des solutions.
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Il y a de tout dans la police, comme partout. L'un s'est fait attraper, il passait des migrants. Il prenait 200 euros par personne. L'autre, à qui j'avais dit que j'avais honte pour la France, m'a répondu : 'Monsieur, hier, j'ai donné mes chaussures à un réfugié.'
(p. 32)
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Lou Nodet a 12 ans, elle a écrit ce poème lors d'une marche à travers les Alpes, avec sa mère, l'été 2017.

Il y a toujours un moment pour rêver
Un moment où la vie paraît plus colorée
Plus accueillante
Les hommes rêvent les femmes rêvent
Tout le monde rêve
Seulement, quand un rêve disparaît
Qu'il n'y a plus aucun moyen de le rattraper
Car quelqu'un l'a tué
Alors tout devient sombre et problématique
Comment font-ils tous ces réfugiés
Qui à la frontière se font bloquer ?
Où vont tous ces rêves
Ces espoirs qui s'envolent ?
Y a-t-il encore une chance
Qu'une personne ramène ces rêves
Pour éviter que tous ces gens
Ne tombent à l'intérieur d'eux-mêmes ?
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