J’aime aller dans le ciel où se perdent les heures, où se défont les rythmes. Grimper très haut avec un livre : les mots n’y sont plus tout à fait les mêmes, comme si dans un oxygène plus rare ils respiraient mieux que sur terre, faisaient valoir la précision de leur découpe ou la beauté devenue plastique de leur sens.
J’aime à transporter les affaires des hommes en des espaces qui les exposent à leur insignifiance.