Ingénieur de recherche du CNRS, Jean-Pierre Alix est responsable du programme « Sciences et société en mutation » du CNRS auprès de la Présidence. Diplômé de l’École des hautes études commerciales, il a obtenu un DEA de l’université de Paris (en économie) et suivi le programme doctoral de HEC en 1989.
Chargé d’études « Rationalisation des choix budgétaires » au ministère de l’Agriculture, il choisit ensuite le CNRS, attiré par l’aura des scientifiques et convaincu qu’un haut niveau de gestion est nécessaire à l’organisme. Il deviendra, après quelques années d’apprentissage de la gestion de la recherche, secrétaire général du Programme de recherches océanographiques (PIROCEAN) en 1980, avant d’être responsable des relations internationales Terre-Océan-Atmosphère-Espace au CNRS. Il a ensuite rejoint le Comité national d’évaluation de la recherche puis le ministère chargé de l’Aménagement du territoire pour développer la méthodologie de l’évaluation. De 1995 à 1997, il a été nommé conseiller pour la recherche du ministre de l’Éducation, de l’Enseignement supérieur et de la Recherche. Entre 1997 et 2005, il a été directeur des publics, puis directeur du développement à la Cité des sciences et de l’industrie.
Depuis 1998, Jean-Pierre Alix est secrétaire général du Mouvement universel de la responsabilité scientifique (MURS) et rédacteur en chef de la revue Science et devenir de l’Homme.
Mais voici qui est étrange: s'il arrive un moment que tu cherche du regard où est passé ton trésor et que tu constate qu'il a tout simplement disparu, alors que tu pensais n'avoir travaillé que pour lui donner une réalité, et qu'une autre réalité entièrement différente a pris sa place, sache que tu approches du but. Tu croyais peindre un paysage et tu as pout être réussi à peindre un tableau.
Deux sortent de personnes sont capables de parler de peinture (disons le, mais seulement par plaisanterie): les peintres et les philosophes. mais les philosophes, persuadés qu'ils parlent de peinture, sans jamais avoir jamais tenu de pinceaux, parlent habituellement d'autre chose et ne disent que des sottises.