Jean-Yves Mitton

1525, Vera Cruz. Maïana, une jeune mixtèque se confesse au padre Enrico Segura et raconte son incroyable vie. Les dessins de Jean-Yves Mitton sont précis et superbes. L'histoire violente mais intéressante donne envie de connaître la suite des aventures de Deux fleurs de Maïs.

Le premier abord est plutôt déroutant à cause de la mis en page et des couleurs criardes. Mais le scénario de Simon Rocca est prenant et donne envie de lire la suite.

La Révolution chamboule l'organisation de la France et a même des incidences sur la destinée du jeune Yann, qui se retrouve exilé de France par les gredins qui gravissent l'échelle du pouvoir.

C'est sans compter son désir de revanche et sur le destin qui replace inlassablement les cartes aux trésor sur son chemin.



En dépit de la perte de sa main, Yann retrouvera-il la piste de Locmaria ?

Sans dévoiler toute l’intrigue et laisser la surprise au lecteur, ce que j’avais annoncer dans la critique du tome 2, nous ne sommes finalement pas dans une histoire de voyage dans le temps ou de récit fantastique.

Cela reste une histoire un peu tirée par les cheveux mais cela se tient un peu. Il faut reconnaître que le scénariste arrive à retomber sur ses pieds et à répondre à toutes les interrogations de ce récit si farfelues, même si, je le répète, c’est un scénario très tiré par les cheveux.

Une histoire finalement plaisante, intrigante et pleine de surprises ; par contre, cette Cécilia est plus qu’énervante, j’ai rarement vu un personnage aussi exaspérant et inutile.

Une BD difficile à classer. Je l'ai étiqueté comme livre sur le thème de la Guerre du Pacifique mais on pourrait très bien le classé comme livre « fantastique ».

Un groupe d'investisseurs ont débarqué sur une île achetée au Japon pour construire un parc de loisirs. Le but est d'explorer l'île pour reconnaître les lieux et définir leur projet hôtelier. Seulement, tout ne se passe pas comme prévu avec la survenue de nombreux incidents tragiques : un guide explose sur une mine, un autre tombe dans un piège acéré mais le pire est à venir : l'attaque de soldats japonais de la Seconde Guerre mondiale, d'un avion « Zéro » qui torpille leur bateau et l'apparition d'un bunker hérissé de barbelés. Une situation de fou où les morts s'accumulent…

Le groupe d'investisseurs est un peu grotesque et la situation totalement étrange : les investisseurs ont-ils sauté dans le temps en pleine Guerre Pacifique ? Une situation ubuesque mais intéressante même si les réactions des différents personnages sont un peu bizarres (du moins dans une situation pareil), j'attends la suite pour voir où nous mène le scénariste.

Yeso Yamashita est un jeune pilote kamikaze en partance pour sa mission suicide sur la flotte américaine. L’occasion pour lui de se souvenir pourquoi il en ait arrivé là…

L’occasion pour nous de découvrir le destin d’un jeune qui s’engage chez les kamikazes en désespoir d’un amour impossible. On découvre aussi quelques uns de ses camarades : homosexuel, bouddhiste, brute épaisse… des personnages aux raisons différentes de leur engagement chez les kamikazes.

Ce n’est pas inintéressant mais cette introspection de ce jeune pilote est un peu rébarbative à lire ; je n’ai jamais trop aimé les dialogues intérieurs qui manquent de spontanéité et ralentissent le rythme du récit. Ici, c’est un long monologue entrecoupé de quelques dialogues entre les personnages.

L’intérêt de cet album est surtout de découvrir qui étaient les kamikazes, loin d’être des fous fanatiques, ils avaient chacun leur raison plus ou moins inavouables de mourir : famille décimée, amour impossible, rédemption par le sacrifice, homosexuel…

Je restes mitigé face à cette troisième lecture de Attila je pensais que c'était lui qui avait de la stratégie et des connaissances. Alors que durant toute l'histoire, c'est cette Lupa ancienne citoyenne romaine qui avait embrasser le christianisme qui lui révèle les failles de Rome. Je trouve que les ficelles sont grosses bien sûr il y a un peu de sexe on est en plein durant l'antiquité. Je trouves qu'il manque quelque chose à la bande-dessiné pour la rendre plus crédible moins porter sur les châtiments car ils sont barbares. J'espère que la suite sera meilleure.

Après avoir entendu quelques temps avant de m'attaquer à Attila mon amour tome 2 Les portes de feu. Le premier m'avait déçu pour la nudité, on commence à connaître les motivations de la Lupa et aussi de comprendre comment elle va l'aidé dans ces conquêtes de Roma. Je l'ai préféré de loin au premier, j'espère que le troisième sera encore meilleur.

Il y a peine quelques jours j'avais lu un livre de Philippe Vidal qui parlait de Attila le hun. Dans celui-ci, l'auteur nous décrit comment les autres écrivains ou scénaristes l'ont décrit comme étant le Fléau de Dieu. Même chose dans cette bande-dessiné qui nous montre l'homme avec ses concubines et non son épouse. Vers la fin du récit il devra se battre avec la Lupa une femme qui se prend pour une louve. Beaucoup de nudité, pas je n'aime pas ça, une femme c'est magnifique mais en mettant pas mal on oublie la raison de cette histoire qui ce veut un portrait de Attila. Espérons que les prochains tomes seront meilleur.

Une bd très intéressante sur des pirates ! Enfin je trouve ce que je recherche meme si dans ce tome ci l'histoire se concentre sur la ville et ses habitants je n'aime pas vraiment Josselin je penserai qu'il serai plus intéressant mais Yann , Yann rattrape tout cela il est a lui seul la meilleure chose qu'il soit arrivée a cette bd ! Hate de lire la suite

Un petit goût de paradis, car "il faut cultiver le jardin" façon Candide de Voltaire...si ce n'est que la réalité vous rattrape et laisse présager de nouveaux massacres en vue, comme le pressent Yann...

Alors qu'on pensait l'histoire bouclée, Le Scorff ayant trouvé le trésor de Kermadec, voila que Bonaparte charge Kerbeuf de se remettre à la poursuite du malouin, et c'est aidé de Robert Surcouf que celui-ci se jette à l'oeil pour venir à bout d'une quête vieille de douze ans : tuer Yann Le Scorff...



Même si Mitton tient toujours le scénario et qu'il n'y a aucun reproche de ce côté-là, je ne serais pas du même avis en ce qui concerne le trait de Felix Molinari. En effet, ayant suivi cette série exclusivement pour Mitton, je me sens un peu blousé de le voir passer la main, pour quelqu'un dont le dessin rappelle un peu le sien... mais en plus brouillon et fatigué.

Dommage, l'ensemble perd un peu en qualité.

Continuant sa chasse au trésor en traversant l'époque troublée de cette fin de 18eme siècle, Le Scorff affrontera la Monarchie, la Révolution et l'Empire, croisant les eaux de nombreux personnages célèbres, mais toujours dans le but ultime de mettre la main sur le secret de Kermadec.



Terre à l'horizon pour Yann, ce 3eme tome, l'Ile de la Liberté, dévoile enfin le mystère du vieux Kermadec et se cache son trésor...

Suspense, suspense...



Rien à redire, le scénario digne d'un film d'Errol Flynn et les merveilleux dessins de Mitton rendent cet album presque indispensable pour tous les fans de pirates !!

Après n'avoir rien compris au tome 1, je me suis dit "ça va peut-être se calmer un peu dans le 2, et on va pouvoir suivre l'action."

De l'action, il y en a, pour sûr, puisque dans ce tome, la Guerre des Gaules débute... avec ses légions de tribus gauloises, ses troubles politiques, ses alliances, ses trahisons...



Je me mords les doigts, parce que je sens bien que derrière ce fatras politique se cache une histoire en or, mais la multitude des clans et des noms à coucher dehors a formé une sorte de barrière entre l'album et moi. N'arrivant pas à la franchir, l'interet s'avère finalement assez modique, et c'est quand même déçu qu'on ferme ce tome, un poil trop compliqué, et peut-être un peu élitiste, s'adressant avant tout à des férus d'Histoire.

L'histoire de Messaline revisitée par Jean Yves MITTON. Valeria Messalina a eu une vie assez intense et très commentée. Ses excès ont alimenté la littérature de l'époque et beaucoup de phantasmes. L'auteur nous propose dans ce premier tome l'entrée dans l'âge adulte de l'héroïne, elle a 18 ans et elle est initiée....Le dessin est bon mais les personnages féminins se ressemblent un peu trop. Pour adulte bien, sur comme c'est précisé sur la couverture.

Désolé, si j'ai sauté le tome 5 mais je ne l'avais pas ni chez moi ni à ma bibliiothèque. C'est la fin de cette série Attila mon amour, je trouve que toutça va trop vite comme s'ils manquaient de temps les Mitton et Bonnet. Et autre chose, l'idée des échecs est bonne et exploité de façon intelligente mais le reste je reste toujours sur ma faim autant au niveau des stratégies des batailles et du personnage lui-même.

Je viens de terminé à l'instant que la quatrième tome de la série Attila. La première partie de l'histoire avec la partie d'échec grandeur nature est une bonne trouvaille mais après ça on continue à nous raconté le côté saltimbanque de la Lupa. C'est seulement vers la fin que nous avons une attaque en règle de Attila avant ça on voit un peu les stratégies qu'on utilisé les saltimbanques pour survivre. Je reste quand mitigé par cette lecture.

Mitton, après avoir taquiné les Gaulois et les Vikings, avec plus ou moins de réussite, et un soupçon plus ou moins léger d’érotisme,s’attaque à la Rome Antique, sujet se prêtant bien plus que l’on pense à mélanger Histoire et sexe. Choisissant la période trouble entre le règne de Caligula et l’avènement de Néron, l’auteur laisse libre cours avec un talent artistique certaines, à ses envies de pornographie, la moindre situation étant propice -comme on peut s’y attendre dans toute bonne œuvre du genre qui se respecte- à une scène plus ou moins longue/explicite/utile d’ébats passionnés. Après, l’intérêt historique passe, ne nous leurrons pas, au second plan, mais il faut reconnaître à Mitton un soucis du détail et une certaine rigueur (hum) qui place cette série un cran au dessus de ce qu’on peut trouver habituellement dans cette catégorie. Un peu de (grande) musique pour accompagner? http://bobd.over-blog.com/
Lien : http://bobd.over-blog.com/

Très bonne série historique comme Mitton sait les illustrer.

Depuis trop longtemps absent de la bande dessinée classique Jean-Yves Mitton revient avec une trilogie qui lui permet de renouer avec une époque qui lui est chère, celle de la barbarie viking.
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