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Critiques de Jenny Colgan (1929)
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La petite boulangerie du bout du monde

En lecture, je ne connais que très rarement la déception... Mais la couverture de celui-ci résume à peu près le contenu: un coeur percé d'une ancre marine ( l'histoire d'amour de l'héroïne avec un marin pêcheur), donc un petit poisson et un bateau , plus un noeud marin; une baguette, un croissant, ça c'est pour la boulangerie de Polly, experte en pains de toutes sortes et le petit macareux mignon entouré d'un cercle rouge, pour la mignonne historiette de l'oiseau apprivoisé. Tout y est donc résumé, avec beaucoup de naïveté, que je nomme ainsi pour ne pas parler de mièvrerie. On pourrait se contenter d'admirer ce tableau simple. J'ai tenté d'aller jusqu'au bout et, je l'avoue, j'ai craqué à 20 pages de la fin. L'écriture est très sommaire, à moins que ce ne soit la traduction?
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La charmante librairie des jours heureux

Nina, 29 ans, travaille dans une bibliothèque de Birmingham, elle apprend qu'elle va être licenciée, les restrictions budgétaires ne permettent pas de garder tout le personnel. C'est lors d'une formation qu'elle va former le projet risqué mais enthousiasmant d'ouvrir une librairie itinérante. Elle va pour cela, choisir de s'installer dans un petit village écossais. Nous avons droit à de belles descriptions de ce pays qui donnent des envies de voyage et quelques passages hilarants de Nina confrontée à la manipulation du gros van qui va lui servir de librairie.

Dans ses romans, Jenny Colgan est une spécialiste de la reconversion professionnelle du bonheur, les personnages prenant des risques professionnels pour exercer avec passion et talent le métier qu'ils aiment (voir « La petite Boulangerie du bout du monde » et ses autres livres) et s'en sortent à merveille, s'il vous plaît !

Certains événements sont un peu tirés par les cheveux bien sûr, un peu comme tous les romans ressemblant à des contes de fées où l'imaginaire prédomine. Comme lorsque par hasard, le besoin d'une librairie ou d'une bibliothèque émerge dans le village écossais pour créer de la vie, du lien social, alors que Nina est en train de s'interroger sur son avenir de bibliothécaire à Édimbourg et la pertinence de son projet de fonder une librairie itinérante dans la petite bourgade en Écosse. Mais cela fait tellement de bien.

Les romans de Jenny Colgan sont des enchanteurs, ils font tout simplement rêver comme les contes de notre enfance. Ils s'intercalent bien, pourvu que le sujet plaise, entre des lectures plus exigeantes.

En plus de faire rêver, le roman n'est pas dénué d'humour, par exemple, lors de l'épisode de l'essai du van, le propriétaire ne veut pas le lui vendre car c'est une femme « une fumelle » selon son expression, par ailleurs, deux villageois piliers du bar sont comparés aux personnages du Muppets show, ils ne cessent de pouffer dans cette scène où sont confrontés Nina et le propriétaire du van réticent et méprisant. Toutefois, Les" Voui" et les "Nan" de la traductrice sont agaçants et mièvres.

On note au passage, un clin d'oeil à - La petite boulangerie du bout du monde -, le van qu'elle achète a un passé de boulangerie comme dans le roman cité. J'avais beaucoup aimé ce roman de l'auteure également.

Je recommande ce livre à ceux et celles qui ont besoin de féerie en ces temps de pandémie. de plus que l'édition grand format est belle, le livre est parcouru de petites illustrations en début de chapitre qui me rappellent les romans jeunesse de mon enfance, tels ceux d'Enid Blyton que Jenny Colgan cite souvent dans le roman.

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Noël à la petite boulangerie

En me promenant dans ma librairie, j'ai vu avec joie que les livres de Noël étaient installés. Me sentant d'humeur lutine, j'ai fait une razzia sur les contes et sur la fameuse Petite boulangerie.



Je n'ai pas lu les précédents tomes mais la quatrième de couverture de cet opus était alléchante. J'avais envie d'une lecture légère me préparant doucement à la joie des Fêtes. Pour être léger, c'est léger !



Dès les premières pages, je me rends compte que je ne vais pas me froisser un neurone en lisant le roman. le style est plat, le vocabulaire pauvre. J'ai eu l'impression de lire de la littérature jeunesse. Et encore, certains bouquins jeunesse sont mieux écrits.



Les personnages sont à peine esquissés, leur personnalité est indigente. Au bout de trois romans, c'est fort de café (à la noisette, évidemment). L'auteur aligne les clichés aussi bien sur les personnages que sur les situations qu'ils vivent. Et tout est cousu de fil blanc, j'ai senti venir la fin à des kilomètres. Il n'y a aucun suspense.



C'est dommage parce que l'auteur aborde des sujets intéressants comme les conséquences de nos choix, la facilité de jugement, le poids de nos erreurs ou encore l'héritage familial. Avec des personnages plus travaillés et un style plus riche, le Noël à la petite boulangerie aurait pu être un très bon roman.



Là c'est seulement moyen. Je ne vais pas dire que je n'ai pas apprécié l'ambiance des Fêtes, les paysages de Cornouailles et Neil, le petit macareux, ça serait mentir. Et je me suis même parfois sentie émue mais l'ensemble est trop léger à mon goût. Et la fin est mièvre. Autant le corps du roman est mangeable autant la fin est indigeste.



Ma première rencontre avec Jenny Colgan n'est pas mémorable et je pense en rester là avec ses boulangeries petites ou grandes et ses cupcakes.



CHALLENGE LE TOUR DU SCRABBLE EN 80 JOURS

CHALLENGE MONOPOLY

CHALLENGE DES 50 OBJETS

CHALLENGE LES DÉDUCTIONS ÉLÉMENTAIRES
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Noël à la petite boulangerie

Une lecture détente à l'approche de Noël, on se met doucement dans l'ambiance.

Autant les deux premiers opus, j'ai apprécié l'ambiance du village, le parcours difficile de la petite boulangerie, autant j'ai été exaspérée par la richesse dégoulinante de Reuben et tout le fouinfouin autour de la grossesse de son épouse. Sans grand intérêt il faut bien le dire.

J'ai apprécié retrouver Neil même si ses passages sont très succincts dans ce dernier tome.

Je pense que le troisième tome s'essouffle quelque peu, et il y a beaucoup de broderie autour d'un grand drap blanc pour pas grand chose.



Malgré tout, c'est une lecture apaisante mais que j'oublierai très vite.

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Rendez-vous au cupcake café

Aimant bien les romans de Jenny Colgan, je n'ai pas résisté à acheter Rendez-vous au Cupcake Café quand il est sorti en poche.

Lorsqu'elle est licenciée, Issy décide de tenter sa chance en ouvrant à Londres un salon de thé spécialisé dans les cupcakes.

En effet, la jeune femme a un talent particulier pour réaliser ces petits gâteaux. Un don qu'elle tient de son grand-père boulanger.

Mais les ennuis ne vont pas tarder à arriver, et Issy devra se battre pour réaliser son rêve...

Le résumé me tentait et c'est un réel plaisir pour moi de retrouver la plume de Jenny Colgan.

Malheureusement, ce roman ne fût pas tout à fait à la hauteur de mes espérances !

Il y a trop de ressemblances avec La petite boulangerie du bout du monde.

Issy est sympathique, l'histoire est mignonne, on a des personnages secondaires forts et attachants ; il faut avouer que l'ensemble fonctionne très bien toutefois j'ai eu une impression de déjà lu hyper forte.

Au début ça allait et plus je tournais les pages, moins j'étais surprise par ma lecture. C'était très très prévisible, j'aurais presque pu l'écrire.

Alors oui, j'ai passé un bon moment.

Oui, c'est très agréable à lire.

Une lecture parfaite pour se changer les idées pendant les vacances :)

Mais je ne suis pas sure de relire cette romancière de suite car je trouve qu'elle ne se renouvelle pas.

Je mets trois étoiles et demie, ça ne mérite pas plus.
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Noël à la petite boulangerie

Quelque temps a passé depuis que Polly Waterford s'est installée à Mount Polbearne, petite île des Cornouailles, comme boulangère. Elle habite avec Huckle son petit ami, dans le phare de l'île en compagnie de leur macareux rescapé, Neil. Sa meilleure amie Kerensa lui apprend tardivement qu'elle attend un bébé mais elle ne semble pas être épanouie comme elle le devrait. Kerensa finit par révéler son secret à Polly. Parallèlement, Polly et Huckle connaissent des désaccords devant l'insistance du jeune homme qui voudrait concrétiser leurs projets à deux. Et quand Polly découvre l'existence de son père alors que pendant toutes ces années, elle ignorait qui il était, c'est un troisième bouleversement qui l'attend.



J'ai gagné ce roman à un jeu concours et ayant vraiment pris beaucoup de plaisir à lire les deux premiers tomes de La petite boulangerie du bout du monde, j'étais ravie de découvrir ce troisième volume. Je dois reconnaître malheureusement que j'ai moins aimé celui-ci aux deux autres.

J'ai trouvé que l'intrigue mettait un peu de temps à démarrer et les personnages sont aussi moins mystérieux car on les connaît bien mieux à présent.

Une part nettement moins grande est donnée à Neil, le macareux, c'est dommage car il apportait beaucoup de douceur et d'humour à l'histoire.

Le couple Polly/Huckle est aussi un peu évincé par celui de Kerensa et de Reuben alors que ce couple est moins attachant que celui de notre héroïne.

On retrouve moins aussi l'atmosphère de petit village britannique si bien dépeinte dans le premier volume, je le regrette car on voyage moins avec ce Noël à la petite boulangerie que précédemment et j'ai nettement moins retrouvé ce charme que j'aimais tant précédemment.
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Noël à la petite boulangerie

Une histoire d'amour qui se termine bien n'est pas un roman ... mais un conte de fées ou plutôt un conte de Noël dans le dernier opus de Jenny Colgan dont j'ai apprécié la fraicheur et dégusté avec délectation les délicieuses recettes de pâtisserie britannique.





Polly, dans la quête de ses racines, cherche son père et illustre le drame de nombreux enfants privés de traditions familiales et déracinés à la suite de rencontres éphémères. Il y a une morale à méditer dans ces belles pages !





J'ai beaucoup apprécié cet ouvrage offert par Babelio, malgré ses trop nombreux dialogues ; c'est un superbe cadeau de Noël que Jenny Colgan nous a cuisiné : chapeau l'artiste !
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Toute résistance serait futile

Jenny Colgan est vraiment une auteure à part qui nous sort des sentiers battus. Ici elle nous offre une romance qui mêle mathématiques et alien, cela fonctionne ! Les personnages sont ultra attachants et décalés.

Elle nous livre également un regard critique et intelligent sur l'homme et son rapport destructeur à la nature, aux animaux et à l'être humain.

Elle nous emmène là où on ne s'y attend pas et la fin arrive comme un énorme uppercut en pleine tête.

Il n'y a pas la fraîcheur de la petite boulangerie, ni cette touche magique qui s'en dégage mais la lecture est unique.
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La petite boulangerie du bout du monde

Merci aux éditions Prisma et à Babelio pour la découverte de ce roman, c'est un gros coup de cœur !

Je suis tombée amoureuse de ce village des Cornouailles et de ses habitants. L'auteure a su dresser un tableau où chaque personnage a sa place et où l'on pleure, rit et frémi avec eux. L'odeur du pain qui cuit plane sur ce livre, et donne un côté cocon à tout cela.

La petite boulangerie au bout du monde, est un roman qui fait du bien et réchauffe le cœur !

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Noël à la petite boulangerie

Ah noël et ses festivités, en particulier ses douceurs sucrées… C’est une période habituellement chargée pour Polly Waterford et sa boulangerie de Mount Polbearne, au succès croissant (haha). Et encore plus cette année, puisqu’aux soucis professionnels (si la boulangerie fonctionne, elle n’en est pas pour autant rentable) s’ajoutent les personnels : Kerensa, sa meilleure amie, lui annonce sa grossesse sans en être très heureuse, ce qui vient croiser les propres angoisses de Polly, puisque son fiancé, Huckle, commence à lui mettre à la pression sur les mêmes sujets – mariage puis enfant(s), ou enfant(s) puis mariage ? – sans qu’elle arrive vraiment à se projeter dans l’un ou l’autre. Et comme si cela ne suffisait pas à alourdir son planning, un secret provenant de son passé resurgit… Comment Polly va-t-elle gérer tout ça ?



Bonne question, merci à moi-même de l’avoir posée puisque c’est l’enjeu de ce roman sans prétention, et malheureusement, sans aucune originalité. Pourtant la recette est éprouvée : prenez un endroit ravissant, ici un petit village touristique de bord de mer en Cornouailles et sa petite société aux personnages pittoresques, une héroïne censée être attachante, avec un compagnon censé l’être tout autant, un macareux de compagnie parce que ça sonne bien et c’est typique de la région ; donnez-leur un job sympa, une boulangerie pour l’une, une entreprise d’apiculture pour l’autre, des amis hyper riches pour faire rêver, et des rebondissements plus ou moins crédibles ; secouez… et vous obtiendrez : « Les enquêtes d’Hannah Swensen » ? « Les enquêtes d’Agatha Raisin » ? Mais non voyons, il n’y a pas de meurtre ici ! Et c’est bien ce qui manque, comme la cerise sur le gâteau, pour que le roman soit au complet. Comme si Jenny Colgan avait pris certains des ingrédients typiques des cosy mystery bien connus pour en faire son propre mélange, une espèce de cosy romance, qui doit être très confortable pour les amateurs du genre (dont je ne semble pas faire partie).



Ce qui m’a particulièrement gênée, c’est l’égoïsme de Polly, qui ne m’a pas parue particulièrement sympathique (dommage pour ce type de roman dont c’est le pilier) : elle rejette dans un premier temps son amie enceinte, trop choquée dans un premier temps de la situation dans laquelle s’est mise son amie pour la soutenir, avant de se reprendre (heureusement pour un roman qui exalte l’amitié et le soutien que les amis doivent apporter en cas de coup dur ; heureusement que Kerensa n’a pas pris à la lettre ce principe rabâché régulièrement dans le roman, sinon cette longue amitié aurait été assez endommagée) puis de trahir son secret puisque rien ne doit se mettre entre son fiancé et elle.



Quelques petits messages progressistes (sur la honte, désormais révolue mais encore présente dans les années 1980, d’être fille-mère en Grande-Bretagne) viennent adoucir des propos un peu manichéistes (quel bonheur de vivre de manière bohême à la campagne par rapport à ces vilains citadins stressés et désagréables ! ; l’argent ne fait pas le bonheur, etc. etc.). Heureusement, ça se lit vite !

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Rendez-vous au cupcake café

Une auteure que je ne connaissais pas et qui ne démérite pas de sa réputation de romans tout doux...

Rendez-vous au cupcake café est le premier tome d'une duologie mettant en scène une jeune trentenaire, Izzy, qui, récemment licenciée d'une société immobilière - et par son "petit ami" en prime, décide de monter son commerce de pâtisserie.

Jalonné de différentes recettes alléchantes, nous suivons son parcours et celui des personnages secondaires. Tous les ingrédients sont réunis pour un bon feel-good : des personnages sympa, une héroïne à laquelle on s'attache, un rêve à accomplir, de l'émotion (surtout sur la fin), quelques stéréotypes ( le requin notamment^^) et le tout saupoudré de romance marshmallow qui fait du bien.

Je reste juste dubitative sur le prologue mais peu importe, je resigne pour un Jenny Colgan ( la suite comme ses autres séries!!)



Challenge Jeu de l'oie littéraire

Challenge Trivial Reading 8

Challenge Coeur d'artichaut

Challenge Série 2020
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Une saison au bord de l'eau

Super coup de cœur pour cette nouvelle saga de Jenny Colgan qui sait nous emmener avec grand plaisir sur des territoires hauts en couleur avec des héroïnes tristounes qui vont retrouver le goût de vivre ainsi que le goût de la cuisine et du partage. Beaucoup de personnages secondaires qu'on suit également avec plaisir et un anti-héros Joël qui devient de plus en plus attachant. J'ai aimé ce titre feel-good et j'ai hâte de découvrir la suite.
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Rendez-vous au cupcake café

Mon opinion :



J’étais pourtant contente à l’idée de lire ce livre de Jenny Colgan car j’ai vraiment dévoré ses deux premiers romans : « La petite boulangerie du bout du monde » et « Une saison à la petite boulangerie ».

Quelle mauvaise surprise !

J’ai eu beaucoup de mal à entrer dans l’histoire et à la page 79, je m’ennuyais ferme dans ma lecture.

J’ai eu l’impression de relire « La petite boulangerie du bout du monde » en beaucoup moins original.

Trop de clichés et de similitudes avec le livre cité précédemment. Malgré quelques passages touchants entre son grand-père et elle, l’alchimie n’était pas au rendez-vous pour moi.

Une lecture que je vais vite oublier…avant de poursuivre la saga de la « Petite boulangerie ».


Lien : https://veroniquemasagu.com/
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Une saison à la petite boulangerie

La suite de la petite boulangerie, on retrouve avec joie les personnages attachants du premier tome, et notamment Neil le petit macareux. Les affaires tournent bien quand un grain de sable vient enrailler la machine lors du décès de la propriétaire des lieux. L'héritage est sous la coupe d'un neveu qui confond business et qualité du produit.

Je ne peux pas trop en dire, au risque de vous révéler l'ensemble du roman.

C'est une lecture détente, qui fait du bien, sans prise de tête, et agréable. Se retrouver sur une île, ça plait ou pas, pour le coup, parfois ça doit être appréciable d'être loin de tout.

Si vous voulez lire un livre tranquille à la bonne odeur du pain croustillant, tout chaud et qui embaume l'atmosphère, ouvrez vite ce livre, en prime, vous vivrez une terrible tempête dans un phare, un sauvetage en mère, on ne s'ennuie pas dans ce roman qui se lit comme un rien.

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La petite boulangerie du bout du monde

Voici un livre qui ne paie pas de mine, et pourtant il vous offre une bonne bouffée d'iode, et d'optimisme.

Si vous avez le moral à zéro, si tout vous semble perdu, sachez que vous n'êtes pas seuls dans ce cas là ! Polly va éclairer votre lanterne. Suivez son exemple, piochez dans son courage, retroussez vos manches, laissez vous porter par votre passion, tirez un trait sur votre vie d'avant, et ouvrez une nouvelle porte vers demain.

Mais aujourd'hui, prenez juste le temps de vous détendre avec la lecture de ce roman, aux odeurs divines, à la croûte juste croustillante, et le moelleux de la mie, une bonne cuillère de miel, et vos papilles seront à la fête.

C'est tout un village qui vous accueille sur une île, tout un petit monde qui tourne autour de la petite boulangerie, entre les pêcheurs qui partent la nuit et vous reviennent à l'aube avec du poisson frais, entre l'odeur du pain frais et du café fraîchement passé, je peux vous garantir, qu'un arrêt s'impose.

On se laisse emporter non par les vagues mais par le défi de Polly, et finalement, elle nous entraîne dans sa petite vie vite devenue simple mais efficace, heureuse et rayonnante.

J'aime bien lire parfois ce genre de livre comme un conte de fées de mon enfance, tout semble facile, et magique, ça fait rêver, on referme le livre rebooster à bloc et détendue.

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La charmante librairie des jours heureux

Nina va perdre son poste de bibliothécaire... c'est triste, certes, mais cela lui permettra de redonner un coup de fouet à sa vie plutôt monotone ! Grâce à son audace inespérée, elle nous entraîne dans la campagne Écossaise et la beauté de ses paysages.



Le préambule est une excellente entrée en matière : l'introduction est un plaidoyer pour la vie sans smartphone et pour la lecture (ce qui m'a fait adhérer d'office au propos) et la suite est du même acabit ! C'est une ode à la ruralité et aux livres, évidemment.



L'atmosphère est douce, paisible, peut-être un peu trop, malgré l'enchaînement de petites péripéties. Même si quelques romances viennent s'immiscer dans l'histoire, ce n'est pas le sujet principal, car l'épanouissement personnel au travers d'une passion (en l'occurrence, les livres) et d'une reconversion prennent déjà beaucoup de place.



L'écriture est simple, agréable, fluide. le rythme est entraînant (malgré quelques longueurs éparses), les rebondissements sont bien menés (même si souvent sans surprise...), et les (nombreux ?) clichés sont bien utilisés.



Je peux enfin dire que j'ai lu un vrai roman "feel-good" : pas de démarrage dramatique, pas de trauma en introduction, pas non plus d'atroce maladie pour débuter ! Et je suis agréablement surprise de l'effet positif de ce livre sur mon moral ! En revanche, j'ai été un peu déçue que la plupart des références littéraires soient des inventions de l'autrice... La bibliothèque des cœurs cabossés (https://www.babelio.com/livres/Bivald-La-bibliotheque-des-coeurs-cabosses/672868) m'a semblé plus intéressant à ce niveau là (même si moins rythmé).



J'ai vu qu'il y avait une suite (avec d'autres personnages) mais je ne pense pas m'y plonger dans l'immédiat : je préfère garder ce type de lecture pour les périodes ou j'ai besoin de moments de détente.
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La charmante librairie des jours heureux

Nina travaille à la bibliothèque de Birmingham, faisant de sa passion son travail. Mais depuis quelques temps, le doute plane au-dessus d'elle et de ses collègues. Rentabilité oblige, le projet qui s'annonce est de construire une grande médiathèque délaissant de ce fait les petites bibliothèques de quartier. Pauvre Nina, que va-t-elle faire ? Elle peut bien postuler au nouveau poste proposé mais il semble terriblement loin de ce tout ce qui fait son amour de la lecture.



Et si elle envoyait tout valser ? Et si c'était pour Nina l'occasion de réaliser son rêve ? Avoir sa propre librairie. Restons tout de même un peu sur terre, une librairie, cela coûte une certaine somme mais qui a dit qu'un local ne devait pas être en mouvement ? C'est ainsi que nous partons dans une aventure littéraire et écossaise avec Nina à bord de son van rempli de livres.



Ce que j'aime avec Jenny Colgan, c'est l'assurance de passer un bon moment. Feel-good, oui mais pas niais pour autant avec toujours une trame plus en profondeur. Et là, elle me gâte ! Un livre qui parle de livres, que demander de plus ? Ce bouquin c'est du plaisir, de l'émotion, des livres, de l'amour, des beaux paysages, des doutes, des espoirs et surtout l'envie d'y croire.
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La petite boulangerie du bout du monde

J'ai beaucoup aimé passer du temps sur la côte anglaise avec Polly et ses amis, c'est un livre plein de bons sentiments, avec des personnages attachants et plus complexes qu'il n'y paraît. L'intrigue est bien menée et l'envie de tournée les pages ne m'a pas lâchée. J'ai hâte de lire la suite. Un excellent livre pour la plage !
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La petite boulangerie du bout du monde

Je vais faire rapide : plus de mec, plus de boulot, plus de maison, la gentille, dévouée, empathique, sociable Polly décide de partir au fin fond des Cornouailles dans un village pittoresque avec des habitants plutôt bourrus.

Et donc, le même scénario, elle est tellement adorable que tout le monde (sauf une personne mais qui va forcément succomber), elle redonne le moral à tout le monde, redresse tout ce petit village où presque plus un commerce ne fonctionne, sauve un macareux, sauve une boulangerie, sauve un pêcheur qui ne voulait plus l'être, sauve un apiculteur de sa tristesse, sauve sa meilleure amie (en quelque sorte) de sa vie triste et décadente.



Le petit monde merveilleux des livres feel-good ...



Sauf que le là, le soufflé retombe ...



Au départ, j'ai aimé les descriptions de ce paysage plutôt atypique, de cette bonne ambiance amicale mais je me suis très vite lassée... trop mielleux, trop mièvre, des personnages qui manquent d'authenticité, de profondeur.



Le feel-good n'est définitivement pas pour moi ...

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Une saison à la petite boulangerie

Hélas, ça confirme, je n'aime pas les suites...

Alors oui évidemment, Polly est toujours adorable et on sent le pain à travers les pages.

Mais je trouve que l'on tombe dans la série tellement il y a de dialogues et que l'on est dans les histoires de village du " qui couche avec qui?".

Alors les adeptes vont m'en vouloir mais je trouve qu'il n'y a rien dans ce livre, c'est creux et parachuté et je déteste deviner les chutes des histoires.



Alors pourquoi 3? Because, c'est sympathique et si on a des soucis, rien de tel pour s'évader.

De plus je connais bien cette région, c'est magnifique et rien que pour l'évasion et les odeurs, je n'ai pas regretté l'avoir lu.
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