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Citations de Jessie Inchauspé (17)


Quel est donc ce bon ordre ? Il est le suivant : les fibres d’abord, les protéines et les graisses ensuite, les féculents et les sucres en dernier...
Si les glucides (les féculents ou les sucres) sont les premiers à parvenir dans l’estomac, ils transitent très rapidement vers l’intestin grêle. Ils sont alors décomposés en molécules de glucose qui passent tout de suite dans le sang et provoquent un pic de glucose. Plus nous mangeons de glucides, et plus nous les mangeons vite, plus l’afflux de glucose est massif – et plus le pic de glucose sera élevé. Supposons que notre assiette soit composée de pâtes et de légumes (disons du brocoli, j’adore le brocoli) et que nous mangions d’abord les pâtes, puis les brocolis. Les pâtes, qui sont des féculents, se transforment en glucose, et sont rapidement digérées. Ensuite, le brocoli « flotte » au-dessus des pâtes en attendant son tour pour s’évacuer dans le tuyau...
L’impact des glucides consommés après les fibres sur notre organisme est atténué. Nous pouvons prendre le même plaisir à les déguster, en subissant moins de conséquences négatives.
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En bref, savez-vous l'impact que votre dernier repas a eu sur votre corps et votre esprit ?
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Il est courant d’être accro au sucre. […]Ce problème n’est pas lié à un manque de volonté. Rappelez-vous : le sucre active la zone du cerveau responsable de l’addiction. Plus nous en mangeons, plus nous en avons envie. Et notre cerveau est programmé, depuis nos origines, pour en avoir très envie
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Manger n'est pas seulement un plaisir, c'est aussi une nécessité. Mais parfois, à notre insu, la nourriture a sur nous des effets indésirables.
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Nous n’avons pas besoin de sucre pour vivre. Souvenez-vous que nous n’avons pas besoin de fructose mais seulement de glucose, que nous pouvons fabriquer nous-mêmes si nous ne le mangeons pas. Nous n’avons pas besoin non plus de sucre pour « avoir de l’énergie » (en réalité, le sucre sape notre énergie).
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Le grignotage est une invention des années 1990, tout comme les jeans taille basse (ce qui devrait nous faire réfléchir).
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Le glucose est tellement essentiel au fonctionnement de notre organisme que son excès a des répercussions sur tous les aspects de notre santé physique et mentale.
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L’animal a tendance à manger avec son estomac, et l’homme avec son cerveau a écrit le philosophe Alan Watts
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regardez la ligne « Fibres alimentaires ». Comme je l’ai décrit tout au long de ce livre, les fibres sont les seuls glucides que le corps ne digère pas – plus l’aliment contient de fibres, plus la courbe de glucose sera lisse. Voici donc un conseil : pour les aliments secs, intéressez-vous au ratio glucides/fibres. Choisissez les produits dont les ingrédients se rapprochent le plus d’un gramme de fibres pour cinq grammes de glucides. Comment faire ? Prenez le nombre des glucides, divisez-le par cinq et essayez de trouver un aliment qui contienne la même quantité de fibres (ou la plus proche possible). Pourquoi cinq ? Parce que c’est le ratio le plus proche de celui que l’on trouve dans les fruits et notamment les fruits rouges. Ce n’est pas une science exacte, mais j’ai constaté que plus un aliment s’approche de ce ratio, plus la courbe sera lisse.
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En 2015, une équipe de chercheurs de l’université de San Francisco a montré que nous pouvions guérir certaines maladies en mangeant exactement le même nombre de calories, mais en changeant les molécules consommées. Ils ont par exemple observé que les calories provenant du fructose étaient pires pour la santé que celles provenant du glucose (le fructose, comme nous l’avons vu dans la première partie, provoque une inflammation de l’organisme, un vieillissement des cellules et se transforme davantage en graisse que le glucose).
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Puis, en avril 2019, j’ai lancé le compte Instagram @glucosegoddess. À mesure que la communauté grandissait, réagissait à mes expériences et me communiquait ses résultats, j’allais de surprise en surprise. Je comprenais que presque chaque problème physique ou mental était lié à la glycémie.
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Ce n’est pas parce que nos parents sont diabétiques que nous le serons automatiquement. Notre ADN peut en accroître la probabilité, mais c’est notre hygiène de vie qui est le principal facteur de risque.
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Publié par l’université Cornell aux États-Unis en 2015, il démontrait que si nous mangeons les éléments d’un repas – féculents, fibres, sucre, protéines et graisses – dans un ordre précis, nous réduisons le pic de glucose global de 73 % et le pic d’insuline associé de 48 % .Ceci est vrai pour chacun de nous, que l’on soit diabétique ou non.
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Si une cellule est saturée de radicaux libre et excessivement abîmée, elle peut décider de mourir pour s'épargner d'autres problèmes. Ce n'est pas sans conséquence. Lorsqu' des cellules meurent, ce sont des parties de nous qui disparaissent.
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Bien sûr, notre code génétique influe sur notre prédisposition à l’apparition de certaines maladies ; mais nous détenons par notre liberté de choix alimentaires le pouvoir immense d’agir sur cette probabilité – concernant la sévérité de cette maladie aussi bien que son apparition tout court. Inverser, soigner, c’est possible.

Quel est donc ce bon ordre ? Il est le suivant : les fibres d’abord, les protéines et les graisses ensuite, les féculents et les sucres en dernier. D’après les chercheurs, l’impact de cet enchaînement est comparable aux effets des médicaments prescrits aux diabétiques pour limiter les pics de glucose.
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En cas de dérèglement du taux d’insuline, l’organisme n’est pas enclin à se reproduire car il déduit que nous ne sommes pas en bonne santé. Par conséquent, les femmes et les hommes présentant des taux d’insuline élevés courent un risque accru de connaître des problèmes d’infertilité. Plus notre alimentation provoque de pics de glucose, plus nos taux d’insuline sont élevés et plus le risque d’infertilité est grand.
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D’après les nouvelles études, le meilleur indicateur du risque de maladie cardiaque est ce que l’on appelle le rapport triglycérides/cholestérol HDL (qui nous renseigne sur la présence de cholestérol LDL de type B, petit et dense) et la protéine C-réactive (qui nous renseigne sur les niveaux d’inflammation). Au final, le chiffre de la protéine C-réactive, qui augmente de façon concomitante à l’inflammation, est un meilleur indicateur des maladies cardiaques que le taux de cholestérol.
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