Citations de Jill Shalvis (151)
She realized that their lives had gone on without her, almost like she didn't even exist.
“He was a smart enough guy to get that she was the one for him. He was also smart enough to know that he was going to have to work his ass off for it.”
“When you find someone who knows you’re not perfect but treats you as if you are anyway, someone whose biggest fear is losing you, it’s worth whatever you have to go through.”
“Okay,” Max piped up. “I have a girlfriend now so I know this one. When Rory says ‘wow’ like that, it’s not a compliment. It means she’s thinking long and hard on how and when I’ll pay for my stupidity.”
“I'm sorry I was so hard on you. I nearly pushed you away—"
"Impossible," he said. "Don't you know yet? If I ever lost you, I'd lose myself.”
“Pru Harris’s mom had taught her to make wishes on pink cars, falling leaves, and brass lamps, because wishing on something as ordinary as stars or wishing wells was a sign of no imagination. Clearly”
"You use the past to fix the now," she said. "You make your mistakes - which is allowed, by the way. After all, you're only human, but you learn from them. Grow from them. Things can't always be forgotten, but they can be forgiven."
He made her look at him and that was new for her. Eyes open. Heart open.
New and terrifying.
Ce serait certainement génial de faire l’amour avec toi, mais il existe des choses plus importantes que le sexe. Tu ne crois pas ?
Soudain, le visage de Dexter, son sourire séduisant, envahirent son esprit.
Allait-elle se refuser le plaisir de faire l’amour avec l’amant le plus insensé qu’elle ait jamais connu ou bien allait-elle faire ce que toute femme sensée ferait à sa place ? Se réjouir du fait que les deux hommes qui la rendaient folle de désir n’étaient sans doute qu’un seul et même individu ?
"S’il est sage de se conformer aux règles, il est beaucoup plus drôle de les contourner."
« Miss Coincée » , « Elle finira vieille fille » , « Tellement géniale qu’elle n’est même pas parvenue à trouver un cavalier pour le bal de fin d’études » , « Classe, la tenue de croque-mort ! »
Zoe Gaston jeta un regard méprisant aux commentaires griffonnés au bas de sa photo de terminale. Elle détestait cette manie de coller des étiquettes aux gens. Cela dit, elle avait quand même une drôle d’allure sur cette photo. Des cheveux corbeau hérissés, l’œil charbonneux, les lèvres et les ongles intensément noirs et la tenue qui allait avec. Eh oui, elle avait été cette adolescente aux joues rondes, douée pour les études et qui s’affichait en style gothique de la tête aux pieds.
En d’autres termes, un ovni, une inadaptée totale.
- Ce n’est pas juste, dit Chloe en se renfonçant dans son siège, boudeuse. Moi aussi, je suis douée avec ma langue, sauf que je ne peux rien faire sans avoir une crise d’asthme.
- Je sais que je vais regretter d’avoir demandé, intervint Tara, mais comment sais-tu que tu es douée?
- Je me suis entraînée sur des courgettes.
Ses deux sœurs éclatèrent de rire.
- Oh, et elle m’a aussi recommandé de me tartiner la figure avec un soin à la goyave parce que, d’après elle, j’ai la zone P trop sèche ! Comme si j’avais une zone P ! Celle-là va nous causer des problèmes, je peux vous le dire.
- Je crois que c’est plutôt la zone T, dit Ford en traçant la lettre sur son visage.
- Voilà, dit Tara. Un homme comme ça, ça se mérite. Tu devrais peut-être commencer par un modèle plus classique.
— Dors, répéta-t-il en rentrant dans la chambre.
Il lui effleura le bras, et elle attrapa ses doigts.
— Reste, dit-elle en lui serrant fort la main.
— Tant que tu voudras.
- La nuit dernière, au beau milieu de tout ce chaos, j'ai eu une révélation, dit Maddie à mi-voix. J'adore cet endroit. Et je vous aime aussi, les filles.
- Je ne partage pas mes gaufres, répondit Chloe en lui adressant un regard en coin.
C'était Chloe. Elle portait une minijupe en Jean et un pull en angora noir qui, en glissant d'une de ses épaules, dévoilait une bretelle noire en soie. Elle était tout simplement magnifique.
- Salut, lança-t-elle.
Depuis leur petit intermède sous la douche, chacune de leur rencontre était empreinte d'une certaine gêne qui se mêlait à leur habituelle agressivité pleine de sous-entendus. Là encore, l'atmosphère se chargea. Il
s'éclaircit la voix.
- Salut.
- J'ai oublié de te remercier pour la Vespa.
- J'ai oublié de te remercier de ne pas être morte dans ma douche.
- Pfff, tu es juste content de ne pas avoir eu à expliquer un truc pareil à Tara !
Il fronça les sourcils et sentit son estomac se nouer.
- Oh, ça va, je plaisantais ! dit Chloe en souriant. Il faut que tu te détendes, shérif, sinon la vie n'est pas drôle du tout.
Elle lui tendit deux gros sacs. Quelle vision appétissante !
- Je suis repassée au resto prendre à manger pour Maddie, Tara et moi, et j'ai trouvé Amy en train d'emballer ton dîner. Elle a envoyé le livreur à l'auberge, et je me suis chargée de ta livraison : un repas pour deux personnes ou pour un shérif affamé, au choix.
Elle fit un pas en avant, mais il l'arrêta net.
- Tu as ton inhalateur ?
- Dans ma poche, shérif. Chef, ajouta-t-elle en faisant un petit salut militaire. J'ai le droit d'entrer ?
C'était évidemment une très mauvaise idée, mais elle le dépassa sans attendre sa réponse, traversa son salon quasiment vide et gagna sa salle à manger d'une démarche chaloupée.
Elle entendit soudain des pas derrière elle, dégaina son inhalateur et pivota.
Sawyer, en nage, échevelé et ultraséduisant, se tenait derrière elle. En un coup d oeil, il prit en compte son attitude et l'inhalateur qu'elle tenait comme un revolver et demanda :
- Tu comptes me tirer dessus ?
Chloe remit l'inhalateur dans l'élastique de son pantalon.
- Qu'est-ce que tu fais ?
C'était une question bête, mais Chloe était énervée. Vêtu d'un pantalon de survêtement et d'un tee-shirt, Sawyer respirait fort mais n'était pas non plus à bout de souffle : il était clair qu'il faisait son jogging, ce qui donna fortement envie à Chloe de faire la même chose. Mais courir était aussi mortel pour elle que traverser devant une voiture lancée à toute allure.
- Tu vas bien ? demanda-t-il.
- Évidemment.
Il était plus facile de considérer Sawyer uniquement comme un uniforme, une édifiante et irritante figure d'autorité. Mais que cela plaise à Chloe ou non, il était bien plus que ça. Certes il était coriace, inflexible et secret, mais, de temps en temps, il laissait filtrer autre chose, comme lorsqu'il avait considéré avec inquiétude ses blessures la nuit où elle avait sauvé les chiens, et où il n'avait pas appliqué la loi, pour une fois.