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Citations de Jill Shalvis (151)


— Notre Ford est un très bon parti, poursuivit-elle, et quatre têtes bleutées opinèrent sagement. D’ailleurs, Tara est également de cet avis, vu que l’autre jour elle l’a invité à venir lors d’une réunion et lui a fait retirer son tee-shirt devant toutes les autres dames.
Cette fois, ce fut au tour de Ford de s’étrangler.
— OK, ce n’est pas du tout comme ça que ça s’est passé. Je…
— Ne sois pas timide, mon chou. Tu es très bien sans tee-shirt. (Lucille regarda Logan.) Même si je suis sûre que vous seriez pas mal non plus torse nu. En fait, on pourrait peut-être faire un concours, là, tout de suite.
Mon Dieu.
Les membres de la clique de Lucille se redressèrent sur leurs chaises et hochèrent leurs têtes permanentées avec vigueur.
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- Salut, dit-elle dans le vide. Oui, j’arrive tout de suite.

Elle fit un sourire d’excuse qui voulait dire: « Vous avez vu, je suis super occupée; là, il faut vraiment que j’y aille. » Puis, elle le salua de la main, tourna les talons et commença à s’éloigner tout en poursuivant sa conversation téléphonique imaginaire pour s’épargner des adieux maladroits.

C’est alors que son téléphone sonna. Aïe! Elle se tourna à demi, risquant un regard en direction du bel inconnu à la moto; sourcils arqués, il l’examinait d’un air amusé.

- Je crois que vous avez un appel. Un vrai, cette fois.
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Les femmes n'aiment pas dire leur âge,
Les hommes n'aiment pas agir selon le leur.

Ne roule jamais plus vite que ton ange gardien ne vole.
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"La famille, c'est comme une pile de crêpes, il y a toujours quelques ratés."
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- Tu t'es offert une petite escapade en solitaire, Maddie ? demanda -t-il d'une voix sourde.
- Pas du tout.
Elle ferma les yeux et tressaillit quand il lui mordit doucement le lobe de l'oreille.
Mon Dieu !
-Peut-être, dit-elle alors.-En dehors de ceux que j'ai faits avec toi, c'était mon plus beau voyage depuis longtemps.
-Il n 'y a rien de mal à voyager en solitaire, murmura-t-il.Mais c'est mieux à deux.
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— Je triple la paie, renchérit-il.
Il ne pouvait plus jouer. Il était déjà en retard, et ça empirait de seconde en seconde. Le conseil n’avait pas besoin d’une excuse de plus pour lui répéter qu’il n’était pas capable de gérer sa surcharge de travail. Grace sourit : une expression éblouissante. À tel point qu’il sentit quelque chose lui tirailler le ventre, une sensation qu’il avait cru définitivement morte.
— Qu’y a-t-il de si drôle ? demanda-t-il.
— Tripler la paie ?
Elle souriait toujours, mais quelque chose dans sa voix le prévint qu’il s’engageait sur un terrain glissant… Mais qu’avait-il bien pu faire ?
— Oui. Un problème ?
Derrière lui, plusieurs femmes reniflèrent avec mépris, et les autres hochèrent la tête. Tout cela lui donna la sensation d’être un idiot.
— Je l’aurais fait pour ce baiser que vous m’aviez promis, déclara Grace.
Il était bien temps de lui avouer cela !
— Ooh ! roucoula Lucille en joignant les mains d’un air ravi. Petite pause, mesdames ! Laissons un moment d’intimité à ces deux-là.
Elle lança un regard de biais à Josh.
— Allez-y, murmura-t-elle, payez-la.
Josh secoua la tête.
— Mon portefeuille est dans ma voitu…
— Je ne parle pas d’argent, docteur Scott. La petite a dit qu’elle le ferait pour un baiser.
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Au moment où vous penserez avoir touché le fond, quelqu'un vous balancera une pelle pour que vous continuiez à creuser.
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- Ton inhalateur est dedans? (...)
- Dans la pochette, siffla-t-elle. La pochette dans le sac.
D'un air prude, il sortit un gloss, une plaquette de pilules et le dernier Cosmopolitan avant de mettre la main sur la pochette.
- Putain de bordel de Dieu, si je trouve un tampon, je te jure que ça va mal se passer!
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Bon ! il fallait qu’elle se reprenne. Fantasmer sur un client n’était pas très professionnel – même si ledit client occupait une place de choix dans ses pensées. Mais, à vrai dire, toute la population féminine de Sierra Summit rêvait de lui, elle en était sûre – non qu’il n’y eût rien d’autre à faire, dans cette petite ville perchée au-dessus de Los Angeles ; mais Colin West, malgré son air de ne pas y toucher, était l’archétype de l’Homme avec un grand H.
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- J'ai complètement raté mes quinze ans. La jeunesse, ce n'est pas fait pour les ados, ils la gâchent complètement. (page 69)
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Elle poussa un petit grognement de plaisir à la vue de son torse nu. Elle l’avait caressé, embrassé, elle s’y était abandonnée, épuisée, comblée, mais elle ne l’avait jamais réellement vue. Son pouls s’accéléra Voilà ce qu’elle voulait, le voir tout entier et voir ses yeux, son visage lorsqu’ils feraient l’amou. Pendant qu’elle lui ouvrirait son cœur.
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—Tara? Tu es là?
N'ayant pas vraiment le choix, la jeune femme sauta du lit et commença à réunir ses vêtements.
—Une minute, hurla-t-elle. Je viens.
—C'est déjà fait, susurra Ford. (Les marques d'ongles sur ses fesses en étaient la preuve.) Qui est-ce, Tara?
Elle s'apprêtait à enfiler ses chaussures, puis eut un moment d'arrêt en prenant conscience que Ford était toujours au lit. Nu.
—Oh, mon Dieu. Habille-toi!
Elle essayait de discipliner ses cheveux quand il se leva et l'attira à lui, bloquant ses gestes frénétiques.
—Réponds-moi.
—C'est Logan, répliqua-t-elle d'une voix étranglée en le repoussant.
Il tint bon.
—Logan, répéta-t-il en fouillant dans sa mémoire. Logan, ton ex?

-Oui. Attends... (Elle arrêta d'enfiler sa robe.) Tu le connais ?

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"Chloe avait l'impression que les gens disaient "je t'aime" au lieu de "je suis désolé" ou "pardon d'avoir été un vrai con". Ce n'est pas une expression à utiliser comme un pansement ou pour réparer quelque chose."
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—Grave cet endroit dans ta mémoire, dit-il d’une voix rauque. Souviens-toi de nous, à cet emplacement exact.
—Tu veux dire, ici, dans cette pièce ? Nous deux, tout transpirants ?
Il lui mordilla le lobe de l’oreille, et elle frémit.
—Chaque fois que tu fais un pas en avant, tu en fais deux en arrière, dit-il. C’est trop bête.
Il la fit pivoter entre ses bras et effleura ses lèvres avant de l’attirer contre lui et de planter son regard dans le sien.
—N’oublie pas cet endroit. Il est à nous.
Cette fois, il parlait sérieusement, sans la moindre trace de provocation.
Il lui était attaché, il l’aimait bien juste comme elle était. Maddie rattrapa Jax au moment où il allait partir, et elle se serra contre lui.
—Je n’oublierai pas.


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Le chocolat ne remplace pas l'amour.
C'est l'amour qui se substitue au chocolat.
Le chocolat est bien plus fiable qu'un homme.
Les Accros du chocolat
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Chloé considéra le corps maigre, pâle et ravagé par la maladie, de Lance. Elle pouvait compter ses côtes. Son souffle crépitait à chaque respiration.
- Est-ce qu'elle a compris... Je veux dire, est-ce qu'elle...
- Est-ce qu'elle accepte que je meure ? ( Il soupira.) Non, oh non ! Mais elle m'aime. ( Il secoua la tête, émerveillé ). Et si j'ai trouvé quelqu'un de capable d'aimer ce corps et l'homme qui est piégé dedans, il n'y a aucune raison que tu ne trouves personne.
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Tirez des leçons des erreurs des autres. Vous n'aurez pas le temps de toutes les commettre vous-mêmes. Phoebe Trager
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— Il faut juste un coup de peinture. Je pense que..., commença Maddie.

— Non, dit fermement Tara. Je t’adore, trésor, mais, je t’en supplie, ne pense pas !

Chloe étouffa un petit rire.

— J’adore ta façon de dire à quelqu’un que tu l’aimes avant de l’insulter. Super classe.
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En ce 10 décembre, San Francisco avait déjà revêtu ses habits de lumière depuis Thanksgiving. Jason n’avait rien de Scrooge, le personnage de Charles Dickens, mais il se serait volontiers passé de tout ce décorum, de ces guirlandes qui clignotaient, de ces faux cadeaux emballés dans des papiers de couleurs criardes, de ces lumières vives et de cette musique mièvre qui vous poursuivait partout en ville. Tous ces préparatifs le rendaient nerveux.
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Moins de cinq minutes plus tard, il l’avait équipée de pied en cap et armée d’une hache. Désignant l’énorme pile de rondins qu’il avait débitée dans le pin qui s’était abattu quelques jours plus tôt, il dit :
—Vas -y, lâche-toi.
Avec un sourire à la fois crispé et reconnaissant, elle agrippa le manche de la hache. Pourtant, au moment de se lancer, elle eut un instant d’hésitation.
—Il y a un problème ?
—Ça me fait bizarre que tu me regardes, dit-elle avec un air d’excuse.
—Je suis un voyeur.
Elle roula des yeux et écarta une mèche de cheveux de son visage.
—Je sais que c’est idiot, mais je crois que je préférerais faire ça en solo... J’ai l’habitude de me débrouiller toute seule, dit-elle après une pause.
—Le solo, c’est dépassé. Tu devrais peut-être changer de tactique.
Pas faux. Elle lui fit signe de reculer un peu.
—Vas-y, attaque !
Trinity dans Matrix, décida-t-elle. Tout à fait le genre de force quelle cherchait. Elle se balança un instant sur ses hanches pour se mettre en position, puis tenta de soulever la hache. Au lieu de voler dans les airs au ralenti comme dans Matrix, l’outil bougea à peine. Nom d’un chien, que ce truc était lourd !
—Mets-y tout ton poids.
Un peu agacée, elle se tourna vers Jax.
—Tu devrais peut-être me montrer comment on s’y prend.
—Bien sûr.
Il s’approcha, bougeant avec cette grâce innée et décontractée, dont il était coutumier, en dépit de la lourde ceinture qui lui ceignait les reins. Il portait un Levi’s troué à la cuisse et au genou, ainsi qu’une chemise de flanelle ouverte sur un tee-shirt de la même couleur que ses yeux.
Leurs doigts entrèrent en contact quand il lui prit la hache des mains, et il posa sa paume ouverte sur le ventre de Maddie, l’écartant doucement pour qu’elle se mette hors de portée. Comme chaque fois qu’il la touchait, une vague de chaleur la submergea, et, pendant quelques secondes, elle ferma les yeux.
Elle aurait dû opter pour le sexe. Note pour plus tard:toujours préférer le sexe au travail physique.

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