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3.86/5 (sur 69 notes)

Nationalité : États-Unis
Biographie :

Jocelynn Drake est une romancière américaine de
science-fiction & fantasy, romance et romance gay & lesbian. Elle a écrit les livres d'urban fantasy The Dark Days series et the Asylum Tales.
Jocelynn Drake a aussi écrit plusieurs séries de livres en collaboration avec Rinda Elliot.

Source : Goodreads
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Bibliographie de Jocelynn Drake   (20)Voir plus

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Citations et extraits (13) Voir plus Ajouter une citation
“Sven rit et ce son était le plus léger et le plus fort qu’il avait entendu de sa part.
— On verra.
— Hé, Sven ! appela l’une des filles depuis la table de pique-nique.
Sven les salua de la main en passant devant elles, l’attention sur le contenu de son sac, à la recherche de son driver. Pendant le trajet qui les avait menés jusque-là, il lui avait fait une description détaillée du driver, des disques d’approche et des putters. Les matériaux utilisés, le poids, leur forme, et quand choisir l’un plutôt que l’autre, de sorte qu’avant qu’ils arrivent au parc, Geoffrey en savait déjà plus sur le disc golf qu’il ne comptait en apprendre. Mais il ne pouvait s’empêcher d’être attiré par la passion de Sven pour ce sport.
— On peut se joindre à toi, aujourd’hui ? demanda la même fille.
Ses cheveux brun sombre étaient attachés en queue de cheval haute et elle portait un débardeur rose vif.
— Pas aujourd’hui, répondit Sven. Je suis avec un ami.
Geoffrey ne put réprimer l’immense sourire qui se dessina sur son visage. Sven aurait facilement pu inviter les filles à se joindre à eux, mais il ne désirait que sa compagnie et c’était très agréable.”
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-Tu penses à la nuit dernière ? Demanda Hollis, sa voix basse et rauque.
-Comment sais-tu que je pense au sexe ?
-Parce que quand c'est le cas, tes yeux s'assombrissent, tes paupières papillonnent de manière sexy et ta bouche s'entrouvre. C'est carrément torride. Tu as l'air affamé, comme si j'étais fait de chocolat. Et tout le monde sait que le chocolat est la meilleure chose qui soit.
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C'est là que la tempête Snow débarqua, tel le Courroux de Dieu en personne. Il ne portait pas sa blouse blanche, il devait donc avoir tout juste fini son service. Sa chemise bleue donnait à ses yeux l'air de deux lacs gelés. Il portait un jean délavé trop lâche qui lui descendait bas sur les hanches. C'étaient ses vêtements de repos. Magnifique
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« – Monsieur Vallois ?
C’était la première fois qu’il entendait la voix d’Andrei. Bordel, quelle voix. Basse et grave – purement masculine d’une façon qui réchauffa immédiatement le corps de Lucas. Andrei avait un accent, faible comme s’il essayait de le cacher, mais Lucas ne parvenait pas à le situer. Il n’avait rien de local, sûr et certain. Les premières volutes d’un incendie au creux de son bas-ventre se répandirent en lui et Lucas aurait voulu gronder. La faim qui avait commencé à se faire sentir dans l’ascenseur revenait le hanter.
– Y a-t-il quelque chose que je puisse faire pour vous aider ?
Les yeux de Lucas s’ouvrirent d’un coup, impossible de masquer sa surprise. Andrei se tenait debout juste en face de lui, la vieille malle en bois usé qui lui servait de petite table la seule chose qui les séparait. Le garde n’avait pas fait le moindre bruit en approchant.
– Je suis certain que vous n’êtes pas payé pour jouer les infirmières, déclara Lucas en écrasant l’étincelle vacillante du désir.
Il ne touchait pas au hétéros. Il ne couchait pas non plus plusieurs fois avec la même personne et il lui était impossible de mettre Andrei à la porte une fois qu’il aurait eu ce qu’il voulait. Ils étaient coincés ensemble aussi longtemps que Lucas serait en danger. Agir pour satisfaire son attirance ? Ce serait trop compliqué. Ça foutrait le bordel. »
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“Mais le mot que Todd ne mentionnait pas pour décrire Sven, c’était « stupide ». Et après avoir passé plusieurs heures avec lui, Geoffrey savait qu’il ne l’était pas du tout. Il était silencieux et réservé, mais aussi très intelligent.
De plus, Todd ne faisait que réduire Sven à un sex-toy écervelé et dénué d’émotions. Le garde du corps était prêt à mettre sa vie en jeu pour le protéger, pour protéger n’importe lequel de ses clients. Il ne méritait pas d’être humilié ainsi. Il valait plus que sa taille impressionnante. Bien plus, et Geoffrey ne voulait que jeter un coup d’œil dans son monde. Néanmoins, si ses amis représentaient qui il était, peut-être qu’il ne méritait pas sa chance avec lui. Et ça faisait très mal.
— Va te faire foutre ! cria-t-il en pointant Todd du doigt. Tu ne le connais pas. Tu ne sais rien de lui. Tu ne sais rien de sa gentillesse, de sa douceur ou de ce qu’il fait pour aider les gens. Tu te contentes d’un coup d’œil à sa taille pour en déduire que je couche avec lui.
Geoffrey était un brin conscient que tous les clients du restaurant les regardaient, mais il s’en moquait. Son cœur souffrait pour Sven. Ces gens le jugeaient et ils ne savaient rien sur lui.”
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Snow était allongé, son souffle court pour unique bruit autre que celui de la nature à l’extérieur. Brusquement, il se redressa, attrapa les bras de Jude et le retourna sur le dos. Une bouche chaude et humide enveloppa sa queue et Jude serra les dents pour ne pas crier. La langue talentueuse de Snow sortit pour jouer et Jude ne put s’empêcher de gémir. Il tendit le bras et renversa quelque chose près de lui qui provoqua un grand fracas.
— Oh mon Dieu, c’est un ours ?
Snow se figea face au cri de Ian, à l’autre bout du camp. Puis il s’étouffa lorsqu’un rire s’échappa de sa gorge.
— Ce n’est pas un ours, Ian, cria Rowe. C’est juste Snow. En train de s’amuser.
Snow s’étouffa à nouveau, puis se laissa tomber sur Jude, riant contre son ventre. Jude ne put s’empêcher de l’imiter et avant qu’il ne s’en rende compte, d’autres rires éclatèrent autour du campement.
— Arrêtez de vous marrer ! cria Lucas, bien que son injonction soit dominée par l’hilarité générale.
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« Un homme froid et brusque, il pourrait le gérer. Ca lui permettrait de tuer le désir ardent qu’il avait dû combattre la majeure partie de la nuit. Il espérait que Lucas se montre pompeux et dictatorial, le traitant comme un moins-que-rien. Il valait mieux le détester que de continuer à le désirer. »
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“Il ouvrit un œil, qu’il tourna vers Sven, et sourit comme s’il savait que ce dernier réprimait un rictus.
— Alors… Des serrures, des caméras, des lumières, des chiens, des requins ?
— J’ai apporté quelques nouvelles serrures, je pourrai les poser ce soir. Je vais appeler le bureau et commander un système de sécurité. Ils devraient pouvoir installer la majorité demain, répondit-il avant de s’interrompre et de se permettre un léger sourire. Je crois qu’on peut se passer des chiens et des requins, pour l’instant. Si ça s’avère nécessaire, tu pourras te contenter des chiens. Ça coûte moins cher de les nourrir.
Geoffrey leva la tête et resta bouche bée.”
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Il ne savait même pas comment il s'était retrouvé dans cette situation. Il quittait son fiancé juste avant son mariage pour retourner dans un endroit qui abritait tous ses pires cauchemars
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Son cœur accéléra sa course et il eut l'impression que des milliers d'oiseaux prenaient leur envol dans le creux de son ventre. S'ils s'embrassaient maintenant....
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