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Citations de John Lewis (II) (41)


Par la non-violence, le courage se substitue à la peur ; l'amour transcende la haine ; l'acceptation dissipe les préjugés ; l'espoir met fin au désespoir.
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La violence appelle la violence. Mais le contraire est tout aussi vrai. La rage s'épuise bien vite lorsqu'elle est unilatérale.
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Et je n’oublierai jamais la bibliothécaire, Coreen Harvey :
- Mes chers enfants, lisez. Lisez tout ce que vous pouvez.
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Je n'arrêterai pas maintenant. Si je fais ça, nous n'obtiendrons que des mots et des promesses.
[...]
S'il vous plaît, allez dire au procureur général que nous avons laissé refroidir pendant 350 ans.
Si nous continuons comme ça, nous serons bientôt gelés. Le voyage de la liberté continue.
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Le message du Dr King m’avait frappé comme la foudre. Il appliquait les principes de l’église à ce qui se passait chaque jour, à l’actualité. C’est ce qu’on appelait le gospel social. Et c’est comme si son sermon m’était personnellement destiné.
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Si la non-violence est la loi de l'humanité, l'avenir appartient aux femmes.
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Dans un mouvement, on ne se préoccupe pas de la presse. On fait comme si elle n'existait pas. Sinon, ça devient de la mise en scène.
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Je connaissais Malcolm [X], et je le respectais.
Je partageais sa croyance selon laquelle notre lutte n'avait pas lieu que dans les tribunaux, mais aussi dans la rue.
Pourtant, je n'ai jamais eu l'impression qu'il était des nôtres.
Notre mouvement visait à créer une société ouverte et intégrée.
La violence, si justifiée qu'elle puisse sembler, n'était pas quelque chose que je pouvais accepter.
Mais je pouvais comprendre la séduction et le sentiment d'urgence qui l'alimentait.
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Je n'arrêterai pas maintenant. Si je fais ça, nous n'obtiendrons que des mots et des promesses.
[...]
S'il vous plaît, allez dire au procureur général que nous avons laissé refroidir pendant 350 ans.
Si nous continuons comme ça, nous serons bientôt gelés. Le voyage de la liberté continue.
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- Je suis le gérant. Ecoutez... Le règlement stipule qu on ne sert pas les gens de couleur ici.
- Et les étudiants blancs? Est-ce que vous pouvez les servir?
- Non, désolé. Ils sont avec vous, donc on ne peut pas les servir non plus.
- Merci.

Pas d insultes.
Pas de violence.
Notre départ n a même pas attiré l attention.
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Notre révolte était autant dirigée contre la ségrégation et la discrimination que contre la hiérarchie traditionnelle de la communauté noire.
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Et je n’oublierai jamais la bibliothécaire, Coreen Harvey :
- Mes chers enfants, lisez. Lisez tout ce que vous pouvez.
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Les voyageurs de la liberté doivent développer le courage tranquille de mourir pour une cause.
Nous aimons tous la vie. Et il n'y a pas de martyrs ici. Mais chacun a conscience du fait qu'il pourrait y avoir des pertes.
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Quatre-vingt-deux d’entre nous ont fini en prison ce jour-là. La police ne demandait pas mieux que de se débarrasser de nous, alors la caution est passée de 100 à 5 dollars. Mais cela ne changea rien. Nous n’allions pas coopérer de quelque façon que ce soit avec le système qui autorisait la discrimination contre laquelle nous luttions. Les autorités de Nashville ne mirent pas longtemps à comprendre qu’il était impossible de nous forcer à payer notre sortir. Vers 23H00, nous avons tous été relâchés.
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Dans un mouvement, on ne se préoccupe pas de la presse. On fait comme si elle n'existait pas. Sinon, ça devient de la mise en scène.
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J’étais là, à lire sur la justice, alors qu’il n’y avait des gens courageux qui se battaient dehors pour l’obtenir dans les faits. Je me reprochais de ne pas en faire plus. Cela me travaillait.
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Je connaissais Malcolm [X], et je le respectais.
Je partageais sa croyance selon laquelle notre lutte n'avait pas lieu que dans les tribunaux, mais aussi dans la rue.
Pourtant, je n'ai jamais eu l'impression qu'il était des nôtres.
Notre mouvement visait à créer une société ouverte et intégrée.
La violence, si justifiée qu'elle puisse sembler, n'était pas quelque chose que je pouvais accepter.
Mais je pouvais comprendre la séduction et le sentiment d'urgence qui l'alimentait.
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L'amour est le mobile central de la non-violence. [...] Il s'adaptate à la faculté qu'a le mal à infliger des souffrances par une capacité sans faille à absorber le mal, tout en persistant dans l'amour.
En en sollicitant la conscience et la hauteur morale de la nature humaine, la non-violence nourrit une atmosphère dans laquelle la réconciliation et la justice deviennent des réalités.
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Qu'est-ce qu'on en a à faire des fringues ? Gandhi n'avait qu'un torchon à se nouer autour des hanches et il a renversé l'Empire britannique.
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Le Dr. King fut le dernier à parler ce jour-là. Il a commencé lentement. Je l’avais souvent entendu parler et sa cadence m’était familière. Mais alors qu’il trouvait sa force, sa puissance, il a transformé les marches du Lincoln Memorial en une chaire des temps modernes. Ses mots fendaient l’air comme des flèches, tendant vers un refrain que le monde n’oubliera jamais. En cet instant-là, le Dr. King exprima pleinement tous nos espoirs, toutes nos aspirations. Tout ce que nous avions recherché en traversant les passages à tabac, dans le sang, dans nos triomphes et nos échecs. Tout ce que nous osions imaginer à propos d’une Amérique nouvelle, d’une Amérique meilleure dans laquelle tous les enfants de Dieu pourraient vivre ensemble au sein d’une société ayant fait de l’amour sa vertu la plus élevée.
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