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Critiques de Karine Giebel (7188)
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13 à table ! 2016

Pour la seconde année consécutive, Pocket l’éditeur de livres au format de poche s’associe à plusieurs auteurs mais également à toute la chaîne de production du livre pour éditer un recueil de nouvelles dont les recettes sont intégralement reversées aux Restos du cœur, l’association créée en 1985 par Coluche pour fournir une aide alimentaire aux personnes démunies. L’édition précédente avait permis d’offrir près d’un million quatre cent mille repas à l’association, et cette année l’éditeur annonce même « 1 livre acheté = 4 repas distribués« . Aux dernières nouvelles en date du 15 janvier, nous approchions les sept cent mille repas, avec l’objectif de dépasser le million !



La thématique retenue pour les douze auteurs participants à ce recueil de nouvelles exclusives est cette année "frères et sœurs", et tous se sont livrés avec brio à ce généreux exercice, ravissant au passage mon plaisir de lecteur de quelques nouvelles inédites.



Si j’ai été moins emballé par Stéphane de Groodt que j’adore avec très peu de réserve, j’ai cependant dévoré la nouvelle de Maxime Chattam « Ceci est mon corps, ceci est mon pêché » qui me fera regarder les food trucks d’un autre oeil désormais. J’aimerai souligner la qualité particulière des nouvelles de Karine Giebel, « Aleyna » qui m’a laissé un sentiment confus de révolte après lecture, et « Karen et moi » d’Agnès Ledig qui, tout à l’inverse, s’est achevée avec un immense sourire aux lèvres.



Vous pouvez également profiter de ce recueil altruiste qui ne vous coûtera que cinq euros, vous offrira un instant de plaisir littéraire en compagnie d’auteurs de qualité, et permettra de venir en aide à ceux qui en ont besoin. Bonne lecture, et bon appétit.
Lien : https://www.hql.fr/13-a-tabl..
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13 à table ! 2016

Comme toujours avec les recueils 13 à table! il y a des nouvelles que j'ai adoré et d'autres beaucoup moins, en 2016 ces nouvelles ont été écrites sur le thème des frères et sœurs. Ce thème permet encore une fois aux auteurs de laisser libre cours à leur imagination.



Cependant pour moi ce recueil a une différence par rapport aux autres, il contient une nouvelle marquante, indescriptible tellement elle est puissante. Cette nouvelle est ''Aleyna'' écrite par Karine Giebel, elle décrit un terrible fait de société. Elle m'a clairement remué, je n'imaginais pas qu'une nouvelle puisse être aussi forte. Il est impossible de rester indifférente face à une telle histoire si réaliste. Les derniers mots m'ont fait froid dans le dos...
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13 à table ! 2016

Première fois que je lis un livre de la série 13 à table !

12 nouvelles de 12 auteurs et styles différents mais aussi de découvrir des auteurs.

Ce qui permet de plaire à tout style de lecteurs, évidemment j'ai eu mes préférences.

- Michel Bussi, La seconde morte : étant une "afficionado" de cet auteur, j'ai bien aimé cette nouvelle, l'intrigue et le dénouement.

- Maxime Chattan, Ceci est mon corps, ceci est mon péché : toujours une histoire qui fait froid dans le dos !

Karine Giebel, Aleyna : difficile de ne pas retenir ses larmes en lisant cette histoire si proche de la réalité de certaines jeunes filles

Agnés Ledig, Karen et moi : nouvelle plus légère que celles citées supra.



tout le monde peut y trouver son compte dans ces livres.



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13 à table ! 2016

Mes nouvelles préférées de cet ouvrage sont les suivantes :

- "La seconde morte" de Michel Bussi : l'auteur a vraiment l'art de la nouvelle avec la chute surprenante à la toute fin. C'est pour ça que j'aime les nouvelles !!!

- "Aleyna" de Karine Giebel : je ne connaissais pas cette autrice et j'ai découvert une plume qui me plaît vraiment sur un sujet d'actualité qu'est le mépris des droits de la femme, tout particulièrement ici, dans certaines cultures.

- "Karen et moi" d'Agnès Ledig : ravie de retrouver une de mes autrices favorites dans cette nouvelle à l'image d'un mini-roman pour une rencontre originale

- Nadine Monfils : "La robe bleue" : une vraie nouvelle avec une chute inattendue à souhait, inspirée de l'émission Strip-tease.



C'était la première fois que je lisais un "13 à table". J'ai aussitôt acheté celui de cette année...
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13 à table ! 2016

Ayant découvert ces recueils avec l'édition 2024, j'ai bien l'intention de me procurer et de lire les éditions précédentes.

Toutefois, si l'ouvrage de 2024 m'avait plutôt enchanté, je suis plus mitigé par cette édition.



Mes trois nouvelles préférées sont celles de Maxime Chattam, et de Bernard Werber (bah oui, évidemment, ils font partie de mes auteurs préférés), ainsi que celle de Romain Puertolas dont j'avais déjà beaucoup aimé la nouvelle dans l'édition 2024.



"Ceci est mon corps, ceci est mon péché" de Maxime Chattam sombre dans l'angoisse d'un tueur en série s'en prenant aux enfants illégitimes. Une histoire de cannibalisme bien glauque.



"Le premier Rom sur la lune" de Romain Puertolas aborde l'histoire d'un Rom, perdu dans l'espace, ne sachant pas rejoindre sa sœur. Il y fait une rencontre saugrenue.



Et enfin "Jumeaux, trop jumeaux" de Bernard Werber explore le lien cosmique entre deux jumeaux séparés a la naissance.



En ce qui concerne les 9 autres nouvelles, je suis plutôt déçu. Aucune d'elles ne restera dans ma mémoire.
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13 à table ! 2019

Le rendez-vous incontournable du mois de Novembre.

C'est toujours un plaisir de découvrir ces nouvelles chaque année et par la même occasion de faire une bonne action. Mais pour être honnête, j'ai été moins emballée que les années précédentes. Cependant, les nouvelles sont très bien écrites et on retrouve le style de chaque auteur.

Mon top 3: Maxime Chattam , Leila Slimani et Véronique Ovaldé.
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13 à table ! 2019

En effet grâce à l’achat de ce livre, quatre repas pourront être distribués, ce qui ne revient pas chère la gamelle mais contera bien des estomacs.



Pour la cinquième année consécutive les éditions Pocket en partenariat avec les Restaurants du Cœur éditent un recueil de nouvelles et les lecteurs fidèles ne seront pas étonnés de retrouver au sommaire des auteurs comme Françoise Bourdin, Maxime Chattam, François d’Epenoux, et quelques autres qui offrent chaque année une nouvelle afin d’aider les laissés-pour-compte.



Sur le thème de la Fête, tous se sont laissé aller en empruntant souvent à leurs leitmotivs littéraires mais en raccourci.



Mais le mieux est peut-être de vous présenter le menu, très copieux, roboratif, et de vous souhaiter bon appétit littéraire pour que les oubliés de l’Etat puisse subsister. Vous pouvez le déguster en plusieurs fois selon votre envie, votre plaisir, et cet ouvrage vous permettra peut-être de découvrir des auteurs dont vous avez entendu parler mais dont vous ne connaissez pas le style.







Avec L’Apparition, Philippe Besson a choisi de placer son intrigue à La Nouvelle Orléans, lors du fameux Mardi-gras, un moment au cours duquel chacun se déguise dans les couleurs traditionnelles, vert, violet et or, symbolisant la foi, la justice et le pouvoir. Louise Cooper a quitté New-York et son travail à la suite d’un surmenage et elle s’est installée en Louisiane, retrouvant son amie Claire et une certaine sérénité en devenant boutiquière. Du balcon d’où elle regarde le défilé, elle croit reconnaître un ami qui a disparu trois ans auparavant. Mais est-ce vraiment lui, ou un sosie, un fantôme peut-être.







Dans Laissée-pour-compte, Françoise Bourdin met en scène Lilybeth, diminutif d’Elisabeth et non de Lily bête, qui à trente-quatre ans n’a pas encore trouvé l’âme frère. Sa sœur Marianne est mariée, quatre enfants et enceinte pour la cinquième fois. Alors pour trouver un galant susceptible de lui réchauffer les pieds dans le lit, ou ailleurs, elle décide d’organiser une petite fête et d’inviter beaucoup de monde. Et ses connaissances peuvent même amener des inconnus, pour elle. Elle repère un beau quadragénaire qu’une de ses collègues lui présente, mais il ne faut pas se fier aux apparences, ni aux déductions hâtives.







Maxime Chattam nous invite, avec Le point d’émergence à nous propulser dans quelques décennies et à investir un cerveau. Point d’optimisme, contrairement aux deux textes précédents, dans cette nouvelle qui prend sa force et sa raison d’être dans l’épilogue.



De même, avec Big Real Park, que la fête commence, François d’Epenoux nous propose une vision peu engageante d’un avenir dédié à la fête, avec des parcs d’attraction hors normes, tout autant dans leurs surfaces que dans leurs conceptions.



Eric Giacometti et Jacques Ravenne nous offrent une Nuit d’ivresse. Alex a bu, un peu trop, un mélange qui lui tourneboule la tête, au cours d’une fête nocturne organisée par son patron. Celui-ci, bon prince, propose alors à Alex de se coucher loin des cris et des rires, d’ailleurs toutes les chambres sont occupées par des bambocheurs désirant effectuer le simulacre de la reproduction, dans une dépendance de son domaine, un ancien couvent. Il a tout transformé sauf un pavillon où, selon les archives locales, étaient enfermés les moines qui tournaient mal. Etait-ce une bonne idée que de coucher dans cette maisonnette, apparemment pas, car au cours de la nuit, Alex entend des bruits, perçoit des voix, aperçoit des moines, et une fosse.



Moins angoissant et plus proche de nous, ce SDF accompagné d’un chien nommé Sam. L’homme ayant récolté quelques piécettes achète des tranches de jambon, un paquet de gâteaux et deux bières. Il partage son maigre repas avec son chien, mais en cette nuit de fête, il se souvient de ce qu’il a été, comment il a recueilli Sam et nous le suivons sous les ponts parisiens jusqu’à son lieu de couchage. Il ne veut pas aller dans un centre, d’autant que les chiens n’y sont pas admis. Pourtant un chien, c’est fidèle, ça ne se plaint jamais, ne fait jamais de reproches. Un texte tout en finesse et en émotion de Karine Giebel titré Dans les bras des étoiles, un texte qui me réconcilie avec un auteur que j’avais dédaigné n’y trouvant pas mon compte dans ses romans. Comme quoi !



Philippe Jaenada avec Une vie, des fêtes, qui aurait tout aussi bien s’écrire Une vie défaite, s’intéresse avec ironie et humour à une femme qui fit les gorges chaudes à la fin du XIXe siècle, Marguerite, dite Meg, Steinhel née Japy, de la famille des radios-réveils et des machines à écrire. Meg s’est mariée avec un peintre plus vieux qu’elle, au talent contesté, mais il possède une grande maison sise dans un passage donnant sur la rue Vaugirard. Et c’est là qu’elle reçoit du beau monde, des personnalités littéraires et politiques auxquelles elle prodigue ses gâteries. Elle ne se fait pas payer mais ses amants de fortune achète les toiles de l’époux, alors on peut dire qu’elle œuvre pour assurer financièrement l’avenir du foyer. Jusqu’au jour le président de la république en titre meurt lors d’un débordement de tendresse. Cette histoire n’est pas terminée pour Meg mais ce qui est resté dans l’esprit des chroniqueurs c’est surtout la manière dont elle a su faire avaler des couleuvres.



Quand dans une maison d’éditions américaine, deux auteurs sont pressenties pour obtenir le Prix Nobel de Littérature, les attachées de presse de chacune des deux prétendantes sont sous pression. Sophie Le Caillou est stagiaire non rémunérée, heureusement des cousins lui ont offert gratuitement une chambre. Sophie est sous la coupe de Rita et est préposée aux petits boulots d’intendance mais elle se sent totalement impliquée dans le succès de la romancière dont s’occupe Rita. L’autre romancière en lice est chapeautée par une collègue de Rita, et leur chef, un tyran au féminin, sait les mettre en concurrence. Et le grand soir arrive avec un résultat pour le moins inattendu et pour autant prévisible. Un voyage dans les coulisses d’une maison d’édition et son service de presse écrite par Alexandra Lapierre et titré Bulles amères.



Ils se connaissaient, se sont perdus de vue et se sont retrouvés, avec chacun de leur côté un enfant. Une famille recomposée, avec d’un côté Eric et sa fille Louise, et de l’autre, Sophia, la narratrice, et son fils Dimitri. Sophia a décidé de s’occuper de tout pour fêter leur aménagement, mais seulement elle rate tout ce qu’elle entreprend. Pourtant elle ne manque pas d’envie et d’obstination. Une drôle de Crémaillère en perspective décrite par Agnès Martin-Lugand.



Difficile de porter un prénom, je ne dirai pas ridicule, mais encombrant. Perpetua. Le porter perpétuellement de plus. Perpetua Le Flaher. Ses copains, enfin les autres élèves l’ont rapidement surnommée A perpète-le-phallus-à-l’air… ça vous fait rire ? Pas Perpetua qui vit en compagnie, dans une sorte de maison au milieu d’une décharge à proximité de la route. Faut faire avec et comment ? C’est ce que nous raconte Véronique Ovaldé dans Je suis longtemps restée une clématite.



Romain Puertolas avec Les cochons de Karl Lagerfeld joue sur la dérision mais pourtant cela semble si vrai, si réel, dans cette société moderne où pour réussir il faut entreprendre et de préférence de façon baroque. Savoir se vendre auprès d’un gros financier et proposer quelque chose d’inédit, une initiative que personne d’autre n’a jamais eue et qui devrait faire fureur. Il faut savoir convaincre et ce n’est pas gagné.



Tatiana de Rosnay joue les Trouble-fête avec une nouvelle éponyme mettant en scène une quadragénaire bien sous tous rapports. Elle est mariée avec un sexagénaire, bien conservé, mais surtout elle est en quête de la perfection, quelque soit le domaine dans lequel elle navigue. Elle fignole aussi bien sa silhouette que les photos qu’elle poste sur un réseau dit social, mais elle ne se rend pas compte qu’elle tyrannise aussi bien son mari que son fis ou ses amies.



Ah, La fête des voisins, en général c’est un moment convivial mais pour la narratrice, ce n’est qu’un rêve, qui pourrait se concrétiser si elle n’avait pas un mari qui la séquestre. Et oui, cela arrive, si ce n’est près de chez vous, pas loin ou un peu ailleurs. Mais ça arrive, et ce n’est pas drôle tous les jours même s’il y a une forme de consentement, obligé. Une nouvelle de Leïla Slimani déprimante et optimiste à la fois. Incompatible, non, pas forcément !



Enfin, le dessert nous est proposé par Alice Zeniter avec Le goût des fraises sauvages. Et une odeur persistante de barbecue, de grillades, car le père, quelle que soit l’occasion, sait arrondir les angles en proposant de la viande grillée. Et lorsque la Fille 1 rencontre un grand garçon, grand physiquement, et qu’elle le présente à son père, à sa sœur la Fille 2, au cours d’un repas, avec quelques invités, pas beaucoup mais un peu quand même, et surtout des grillades, il y a comme de l’eau dans le gaz, ou sur le feu. Car ce que déclare le grand garçon, 2cm de moins que 2 mètres, est peut-être difficile à avaler même si la viande est grillée à point.







Alors, le lecteur passe par toutes les émotions, le rire, les larmes, l’inquiétude, la révolte, et bien d’autres sentiments, car tous les cuistots de service ont réussi l’amalgame d’un repas équilibré, sans lourdeur, sans fausse note, sans trop de sel, c’est mauvais pour la santé, ni d’épices, c’est mauvais pour l’estomac, un peu arrosé mais sans verser dans l’ivresse trop euphorique ou geignarde. Cela dépend du tempérament, celui des lecteurs, car nos cuisiniers en possède à revendre.
Lien : http://leslecturesdelonclepa..
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13 à table ! 2019



Recueil de nouvelles au profit des Restos du cœur.

Cette nouvelle édition est un bon cru, 80 % des nouvelles m’ont vraiment plu, 10 % moyennement et le reste pas vraiment (mais je n’aime pas l’auteur, le contraire eut été surprenant).

Je ne peux que vous encourager à ACHETER ce Pocket à 5 € qui permet de financer 4 repas.

Une belle initiative qui allie culture et solidarité. On ne saurait s’en priver

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13 à table ! 2019

comme tous les ans un moment agréable de lecture et surtout de partage !
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13 à table ! 2019

Depuis que je suit ce recueil de nouvelles, j'ai toujours pris plaisir à ces lectures. Pour ce qui est de l'édition de cette année, je n'ai pas accroché du tout, aucune n'a attirée mon attention, donc plutôt déçu pour la lecture. Mais contente de l'avoir lu et acheter pour les restos du cœur, je trouve que cela est une belle entreprise.

Je vous laisse donc à votre curiosité et à votre propre ressentie.
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13 à table ! 2019

Livre que j'achète chaque année car les auteurs font une bonne action en donnant une nouvelle pour les restos du coeur !

Cette année le thème est fête, certaines m'ont plus, d'autres moins, mes deux préférés, celles de Agnès Martin-Lugand et Leila Slimani.



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13 à table ! 2019

Comme chaque année, des nouvelles de plusieurs écrivains autour d'un thème donné - ici, la fête - pour soutenir une bonne action.

Comme chaque année, à partir d'un même thème, des variations complètement différentes.

Comme chaque année, des histoires plus intéressantes que d'autres.

Je retiendrai celle de Karine Giebel pour l'émotion et celle de Philippe Jaenada, fidèle à son style, pour les éclats de rire.
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13 à table ! 2019

Le recueil de nouvelle de « 13 à table » est un événement attendu avec impatience chaque année, tant par son action qui est d’aider les Restos du Cœur en offrant des repas grâce au reversement intégral des bénéfices, mais aussi par sa forme, puisque ce livre nous permet de lire en un seul ouvrage plus d’une dizaine d’auteurs regroupés autour d’un unique thème, un bon moyen pour retrouver ses auteurs favoris et pour en découvrir d’autres !


Lien : https://blogleslecturesducha..
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13 à table ! 2019

Un bon recueil où 15 auteurs se sont prêtés au jeu pour nous offrir ces nouvelles sur le thème de la fête.

Ne boudez pas votre plaisir quand en plus cela sert les plus démunis.
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13 à table ! 2019

Très déçue par cette édition 2019. On le sait, il est rare d'être ébloui par chaque texte dans un recueil, mais ici, les nouvelles se succèdent sans éveiller la moindre émotion en moi! Jusqu'à l'avant-dernière, celle de Leila Slimani m'en a donné pour mes sous!!!! Au moins, j'aurai fait une bonne action et je ne me laisse pas démonter car je compte bien y trouver du plaisir dans la prochaine édition!
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13 à table ! 2019

Une belle action d'acheter et de lire ce livre qui regroupe des nouvelles de différents auteurs sur le thème de la fête. Elles abordent les fêtes de tous les genres et à travers différents genres littéraires. Romantiques, fantastiques, etc... Grosse claque avec la nouvelle Big Real Park
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13 à table ! 2019

Recueil de nouvelles pour la bonne cause...

La seule que j' ai aimé La fête des voisins de Leïla Slimani. Avec une femme qui vie prisonnière de son mari dans son appartement jusqu' au soir de la fête donnée par des voisins où tout bascule.

Les autres je les ai trouvées bien fade avec pourtant d' excellents auteurs ...
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13 à table ! 2019

Je suis toujours épatée par la créativité des auteurs, par la richesse et la diversité des récits qui émergent du même thème !

Ça foisonne, ça rebondir, ça explose, c’est plein de surprises -bonnes ou moins bonnes, peu importe- moi j’applaudis à pleines mains cette générosité !

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13 à table ! 2019

Premiere nouvelle de Philippe Besson : Séparation puis retrouvaille les choses de la vie.

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13 à table ! 2019

Avant tout acheter ce livre c’est faire un petit geste pour les restos du coeur. Cette année encore 15 auteurs ont écris des nouvelles pour cette grande cause.

Le sujet centrale est la fête que chaque auteur s’est approprié à sa façon.

Le cru de cette année n’est pas mon préféré mais je dirai mention spéciale pour :

- l originalité : Maxime Chattam

- ma préférée : Karine GIebel, celle qui m’a plut le plus

- la plus sombre : Leïla Slimani.

Merci à tous ces auteurs.
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