Katarina Widholm

Un premier tome un peu lent mais prometteur pour la suite de la saga.



Il s’agit d’une saga historique se déroulant en Suède, ce roman avait tout pour me plaire. J’ai aimé découvrir la situation de la Suède à l’aube de la seconde guerre mondiale. On découvre que le nazisme était très présent dans ce pays, notamment à Stockholm.



J’ai aussi aimé découvrir à la fois Stockholm et la campagne suédoise à travers les descriptions. On constate la différence entre la vie en ville et celle à la campagne.



Je vous avoue que la première moitié a été un peu laborieuse pour moi. Est-ce parce que je n’avais pas de temps à consacrer à ma lecture ? Peut-être. Mais lire à tout bout de champ les taches ménagères de Betty et les repas qu’elle prépare m’a un peu lassé.



Il m’a fallu attendre la moitié du roman pour enfin avoir plus d’actions et que d’autres choses que sa vie de domestique se passent. Les choses bougent dans la vie de Betty, et à ce moment-là il y a vraiment une intrigue intéressante.



Betty est un personnage attachant. On la voit évoluer au fil des pages, et cela m’a bien plu. Si on la rencontre un peu naïve, la vie citadine et différentes épreuves la rendent beaucoup plus mûre pour devenir une adulte responsable.



C’est un premier tome qui n’a rien d’extraordinaire, mais qui pose bien les bases pour la suite. J’ai lu le résumé du second tome et je peux vous dire qu’il semble beaucoup plus passionnant ! Je le lirais donc pour découvrir la suite de la vie de Betty.

Avis aux amateurs de saga dans les années d’avant guerre, celle ci est faite pour vous !

J’ai passé un très bon moment de lecture, plongé dans le quotidien d’une bonne en Suède pendant les années 30.

Quand je dis « plonger », c’est vraiment ça: le récit est si détaillé au début, si intime dans sa vie qu’on a l’impression de vivre avec elle.

Cela peux être un peu lent si vous êtes amateurs de récits ou l’on retient sa respiration à chaque chapitre. Ici c’est plutôt un début de récit en douceur, on plante le décor, les personnages.

La seconde moitié du livre va très très vite par contre. Les événements s’enchaînent, on est au cœur de l’action. La tension monte aussi vis à vis de la guerre qui se rapproche.



J’ai beaucoup aimé ce côté avant guerre du récit, on ressent bien le climat qui devait régner à cette époque: d’abord dubitatifs, les personnages commencent tout doucement à prendre conscience que l’horreur se rapproche et que leurs vies vont être bouleversés.

J’ai apprécié également de découvrir la vie de tous les jours à la capitale Suédoise.



C’est un roman que j’ai trouvé léger, facile à lire mal gré certaines longueurs au début et qui fait partie de ces romans « doudou » qu’on a plaisir à lire sous un plaid.

Bonsoir tout le monde. J’espère que vous allez bien. Je suis ravie de vous retrouver pour vous parler du premier tome de cette saga historique que j’ai énormément aimé. Pour ce nouvel opus de la collection Au gré du monde, parue chez Harper Collins, je vous emmène en Suède.



Fin des années 1930. On fait la connaissance de Betty, jeune fille âgée de dix-sept ans, qui quitte sa famille et son Halsingland natal pour rejoindre la capitale où l’attend une position de femme de chambre chez un riche médecin. Dans le train qui la conduit à Stockholm, elle fait la connaissance d’un homme passionnant et raffiné, professeur de littérature. Mais sa nouvelle vie va lui réserver bien des surprises.



Dès les premières pages, je me suis littéralement attachée à Betty. Courageuse, elle affronte la fureur de sa patronne qui n’a de cesse de lui attribuer de lourdes tâches à effectuer. Une adaptation à ce milieu totalement inconnu et différent de ce qu’elle a connu, où elle travaille sans compter ses heures.



Loin de son univers rassurant, elle va cependant pouvoir compter sur le soutien et les conseils de Viola, la bonne de la maison voisine. Une précieuse amitié qui va lui offrir des échappées belles dans les quartiers animés de Stockholm, ainsi que les ficelles et ruses du métier. Grâce à sa correspondance avec Martin, l’homme du train, cette grande amoureuse des livres, échappe à un quotidien laborieux.



Femme de caractère, Betty va se révéler déterminée à suivre son destin. Malgré l’innocence liée à son jeune âge, elle va devoir faire face à ses propres décisions qui vont avoir toute leur importance. Une histoire qui évoque la Suède d’avant-guerre, le nazisme, les différences entre les classes sociales, les droits souvent bafoués des femmes de chambre et leur maigre pouvoir pour se défendre face au mépris de leurs employeurs, l’homosexualité entre autres.



Une héroïne que j’ai hâte de retrouver pour suivre son évolution. Un bijou qui m’a totalement conquise, que je vous recommande chaleureusement.



L’avez-vous lu ? Qu’en avez-vous pensé ? Tenté)es ?

Ce roman suédois, digne des plus grandes fresques familiales, nous embarque pour un dépaysement garanti.

On se retrouve dans le quotidien de Betty, jeune fille de 17 ans, en 1937, envoyée à Stockholm chez un docteur afin de tenir la maison en réalisant les tâches ménagères de la famille.



J'ai adoré la manière dont c'est raconté, avec un élan romanesque certain et une sensibilité juste. On s'attache irrémédiablement à cette jeune héroïne et on se régale autant du contexte historique bien amené que de ses états d'âme ou autres sentiments autour de son travail comme de ses rares moments personnels.



C'est incontestablement entraînant, bien écrit et très addictif. Les pages se tournent toutes seules et malgré l'épaisseur du livre, on arrive vite à la fin, presque à regret. J'ai déjà bien hâte de pouvoir lire la suite et je me procurerai le second tome sitôt sorti, c'est certain.



Betty m'a beaucoup émue, j'ai apprécié son amour des livres, ses côtés enjoués et sa répartie aussi. Elle incarne le courage de sa génération et de son milieu social. La Suède des années de l'avant-guerre nous est dépeinte avec réalisme et on voyage autant dans le temps que dans l'espace. J'ai beaucoup aimé cette balade à Stockholm auprès de Betty, déjà une bonne amie de papier.



L'immersion quasi immédiate se révèle être déconcertante tant on s'y croit.

C'est un roman qui se lit tout seul, qui ne met pas l'histoire au premier plan mais qui a le mérite de savoir l'utiliser à bon escient pour nous livrer une fiction touchante autour de personnages soigneusement croqués.

C'est une fabuleuse découverte que je vous recommande chaudement, impossible de ne pas tomber sous le charme de Betty et de ses aventures.

1937. Betty vit avec sa mère et ses frères dans son Hälsingland natal, au nord de la Suède. Mais une autre vie l’attend...



A 17 ans elle prend la direction de Stockholm pour occuper un poste de femme de chambre chez un médecin et sa femme.



Cette nouvelle vie à la ville est loin d’être une vie de rêve. Betty enchaine les heures de travail, les jours de repos sont peu nombreux et la femme du médecin est antipathique.



Heureusement que Betty peut compter sur Viola, une autre femme de chambre, et sur Martin, un homme rencontré dans le train avec qui elle partage une passion pour la lecture.



Mais Martin disparait du jour au lendemain... Betty réussira-t-elle à faire face et à découvrir où est parti Martin ?



Encore un coup de cœur pour ce livre de la collection “Au gré du monde” !



C’est avec beaucoup de plaisir que j’ai suivi l’arrivée de Betty à Stockholm et son adaptation à sa nouvelle vie. La jeune femme fait preuve de beaucoup de détermination et de courage pour accomplir toutes les tâches qui lui sont confiées.



Avec son petit côté “naïf”, Betty est attachante. Elle a du mal à voir les faces sombres de ceux qui l’entourent et à saisir ce qui est en train de se passer à l’aube de la Seconde Guerre Mondiale.



J’ai dévoré ce livre qui très bien écrit et j’attends avec impatience la suite !
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1937, alors qu’elle n’a que 17 ans, Betty quitte sa famille et son Hälsingland natal pour rejoindre la capitale suédoise. Là-bas, on l’attend comme femme de ménage chez un riche médecin de la ville. Tout excitée par cette folle aventure, elle va faire la rencontre dans le train d’un jeune juif passionnant qui partage son amour de la littérature. Mais en arrivant à Stockholm, elle se rend compte que tout n’est pas aussi rose qu’elle l’avait imaginé…



Dès les premières pages, je me suis prise d’affection pour Betty. Cette jeune femme à peine sortie de l’enfance qui se retrouve seule dans le grand monde qu’elle ne connaît qu’à travers les livres qu’elle dévore. Elle est jeune, parfois un peu naïve, mais j’ai aimé la voir évoluer au fil des mois. On la voit  s’acclimater à sa nouvelle vie. Elle prend ses marques avec courage et détermination, malgré les embuches qu’elle trouve sur son chemin. Les gens, et particulièrement ses employeurs, n’ont pas toujours été tendres avec elle, mais elle s’affirmait de plus en plus chapitres après chapitres et ça m’a plu.



A travers les différents personnages et leurs statuts, on aborde plusieurs sujets importants tels que la condition de la femme et des employés de maison, la montée du fascisme ou encore l’homosexualité, entre autres. L’histoire se déroule en 1938, aux portes de la seconde guerre monde avec la montée grandissante du nazisme. Même si nous sommes en Suède, pays qui n’a pas pris directement part au conflit, on sent que la vie des personnages va être impactée au cours des prochains tomes.



Avec ce premier opus, on prend le temps d’apprendre à connaître Betty et on pose les bases de cette nouvelle saga. Je ne me suis pas ennuyée une seule seconde en compagnie de notre héroïne et j’ai déjà hâte de la retrouver, pour suivre sa nouvelle vie.
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1e tome lu d’une nouvelle saga suédoise prometteuse !



À l’aube de la seconde guerre mondiale, on suit Betty dans ses aventures d’employée de maison à Stockholm dans une famille aisée dont le mari est médecin. Betty, issue d’une famille très modeste, va tant bien que mal s’adapter à sa nouvelle vie loin de sa campagne pour s’émanciper et construire sa nouvelle vie. Elle fera la rencontre de plusieurs personnes, amis, amant, sur qui elle pourra compter pour surmonter toutes ses épreuves. Mais toutes ne seront pas de son côté.



Comment Betty va-t-elle s’adapter ? Que lui réserve son avenir ?



J’ai aimé cette lecture bien que je l’ai trouvée longue et où les pages avaient du mal à défiler, sans trop savoir pourquoi.

Ce livre est vraiment incroyable, j'y suis tellement accroché que je veux la suite immédiatement ! Les personnages, l'univers, tout me semble si réaliste même si je suis persuadé que ce n'est pas le cas, que ce n'est pas une histoire vraie. J'apprécie particulièrement le point de vue de l'autrice.

Dès les premières pages, je me suis attachée à Betty. J'ai aimé cette jeune fille un peu naïve qui arrive en tant que femme de chambre dans une riche famille.

C'est un bouleversement pour elle à seulement 17 ans et je trouve qu'elle s'est rapidement acclimatée à ses tâches.



Il est beaucoup question de l'éventualité d'une guerre en approche dans ce tome et je pense que la vie de tous les personnages va s'en trouver bouleversée dans le prochain tome.



L'histoire m'a un peu fait penser à la saga de La villa aux étoffes avec quand même moins de personnages et de longueurs.



J'ai adoré ce roman et j'ai déjà hâte de retrouver tous les personnages dans le deuxième tome.

Voici une nouvelle saga dans la collection au gré du monde des éditions Harper Collins et c’est une saga à découvrir, assurément. J’ai passé un très agréable moment et il me tarde de découvrir la suite des aventures de cette héroïne du quotidien.



Parce que cette histoire c’est celle de Betty, une jeune suédoise de basse extraction qui devient employée de maison à la capitale. Passionnée de littérature, elle sait néanmoins qu’elle doit travailler dur pour s’élever socialement. C’est son quotidien que nous allons suivre, un quotidien fait de dur labeur, d’humiliation et de fatigue mais aussi de joie. Le rythme est lent puisqu’il se calque sur les tâches journalières de Betty, mais n’est absolument pas un frein à la lecture, très plaisante et immersive. On se prend immédiatement d’amitié pour la jeune Betty, courageuse et volontaire. Sans que l’on sache réellement où l’autrice veut nous amener, on se laisse porter par la découverte d’une ville, d’une époque et d’une société. Alors oui, il n’y a pas énormément d’action ou de rebondissement, mais le récit bien que linéaire n’en est pour autant pas insipide ou trainant puisque l’autrice réussi à éveiller notre curiosité et notre intérêt avec des petits détails qui interpellent. Betty est elle trop naïve, ou seulement la victime d’une période à l’aube d’un changement majeur ?



C’est finalement une lecture assez atmosphérique puisque le contexte historique troublé commence à laisser planer dans son sillage l’ombre d’une guerre sans être central à l’intrigue. Pour le moment. Parce qu’on se doute que la montée du nazisme et l’entrée en guerre rabattra toutes les cartes prochainement. Mais ici il est pour l’instant question de condition des femmes, de lutte féministe et sociale, des sujets forts comme je les aime mais qui ne prennent pas le pas sur l’intrigue principale qui reste bien : Betty. J’ai aimé la voir évoluer, s’affirmer, s’élever, se battre pour ses idées et pour son indépendance. C’est une femme passionnée et passionnante aux ressources insoupçonnées. Sa destinée ne manquera pas d’être grandiose j’en suis persuadée. En tout cas, elle m’a déjà touchée. Vivement le tome 2!



Un premier tome très prometteur !
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La fille du Hälsingland est une fille douce, passionnée par les livres et qui cuisine divinement bien. Elle est forte malgré son jeune âge pour travailler comme employée de maison.



Me voici en 1937, en Suède, aux prémices de la Seconde Guerre mondiale, aux côtés de Betty. Je me suis attachée à elle. Je l’ai soutenue et j’ai séché ses larmes. J’ai échangé avec elle sur ses lectures et je l’ai aidé en cuisine pour la soulager.



Ce roman est délicat. Il se savoure. Il se contemple. J’ai aimé suivre Betty dans son quotidien éprouvant. Il met en avant le métier difficile et les conditions des employés de maison. Betty est remplie de courage.



Ce roman est fort. Il traite de sujets importants comme l’homosexualité, la condition humaine, le respect, le partage entre autres. Chaque mot est à sa place. Chaque plat cuisiné est une ode à la vie qui rassemble malgré les valeurs de chacun.



Ce roman renferme une histoire d’amour. Une histoire d’amitié. Une rencontre. Des rencontres. Ce roman est pluriel. En d’autres termes : j’ai adoré ! Vivement la suite !

Betty, une jeune fille de dix-sept ans, quitte sa famille et sa maison de campagne dans le Hälsingland pour occuper un poste de femme de chambre chez un médecin habitant une riche demeure de la capitale. Elle quitte tout ce qu’elle a toujours connu, sa mère, ses frères, pour rejoindre la ville où l’attend une position de femme de chambre chez un riche médecin.



Elle qui ne sait du monde que ce qu’elle en a lu dans les livres, elle est pleine d’excitation. Dans le train, elle rencontre un homme passionnant, un professeur d’origine juive, qui partage son goût pour la littérature. Mais une fois arrivée à Stockholm, sa vie prend un tournant inattendu.



Elle va devoir faire face à la tyrannie de la femme du docteur, mais grâce à Viola, la cuisinière d’à côté, elle tient le coup et évolue dans ce monde. Betty est également un cœur d’artichaut qui va s’embraser avec toutes les conséquences qu’on peut imaginer. Le docteur et sa femme ont par ailleurs un fils, Carl Alexander, qui va trouver son salut, croit-il, dans la fréquentation de Betty.



Quant au docteur, ce bon docteur si généreux, si humain, il fait partie d’un groupe nazi. La Suède, pourtant, restera neutre tout au long de la guerre. La découverte de la société suédoise, de ses rites, est extrêmement intéressante et bien exprimée, car l’auteure est native du pays.



Le thème de l’homosexualité masculine y est présent, et on voit combien il est important de pouvoir l’assumer au grand jour à notre époque. Les impressions et les descriptions sont différentes des nôtres, mais pas les sentiments. Eux, ils sont universels. J’ai dévoré le roman sans lâcher une page et j’attends la suite avec impatience. Betty est décidément une héroïne bien sympathique.



Ce roman nous transporte dans une époque fascinante, où les personnages se débattent entre amour, courage et secrets.

L’atmosphère suédoise est richement décrite, et l’auteure nous offre une plongée captivante dans la vie de Betty.



Si vous aimez les récits historiques avec des héroïnes fortes et des intrigues bien tissées, “La Fille du Hälsingland” est un livre à ne pas manquer !
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Nous sommes sur un premier tome, le décor est planté petit à petit, on découvre les personnages, leurs traits de caractère, leur implication dans l'histoire. Ce qui vaut quelques longueurs par moment mais qui ne seront vraiment pas dérangeantes pour les adeptes de saga historique.



J'ai trouvé le personnage de Betty très attachant, une jeune fille bien élevée, qui connaît l'importance de l'éducation, qui sait qu'elle est sa place dans la société mais qui en même temps a son caractère qui pourrait faire des étincelles !



Elle a la passion des livres et rencontre Martin avec qui elle va partager ça. J'ai aimé suivre son évolution, entre sa vie dans un petit village et son arrivée dans la capitale suédoise. Le principe de "Destinée" est bien ressenti par le lecteur car il n'y a nul doute que ce personnage va être acteur de grandes choses !



Ce livre traite de plusieurs sujets sensibles comme la différence des classes sociales, la place de la Suède lors de la seconde guerre mondiale, l'antisémitisme, etc ...



A peine refermé le livre que javais déjà envie de lire le deuxième tome ! Sortie littéraire du second tome prévu pour juin 2024 ... 🤫

Amateurs de fresques familiales, je vous recommande ce livre !

Ce roman phénomène en Suède est un premier tome et raconte le parcours de Betty, une jeune fille de 17 ans qui doit quitter son foyer de Hudiksvall, sa mère et ses frères, pour devenir bonne chez un riche médecin de Stockholm. En effet, sa mère désormais seule n’arrive pas à faire face à toutes les dépenses de la famille.



Durant le trajet vers Stockholm avec sa tante, Betty sympathise avec un homme, professeur d’origine juive, qui partage son goût pour la littérature. A l’arrivée, il lui offre un livre en lui glissant espérer la revoir.



Les premiers jours sont durs pour Betty, car elle doit faire les courses pour préparer le dîner, faire le ménage, les lessives, elle se sent accablée par toutes les tâches qu’elle doit effectuer.



Et puis elle fait la connaissance de Viola, qui est au service d’un couple tout près du domicile du Docteur et leur rendez-vous hebdomadaire devient le petit soleil qui illumine chaque semaine qui passe.



Betty est une héroïne très attachante et courageuse. D’autres personnages occupent également une grande place dans l’histoire.



J’ai aimé que la lecture soit un point phare dans cette histoire. J’ai aimé aussi la période durant laquelle elle se déroule, aux prémices de la seconde guerre mondiale et découvrir ainsi les premiers signes avant-coureurs de cette guerre vus du côté de la Suède. Et bien sûr j’ai aussi trouvé très intéressant que l’intrigue se situe en Suède et découvrir ainsi un pays que je ne connais pas.



De nombreux sujets sont abordés dans ce roman tels que la condition féminine, l’homosexualité, la montée du nazisme bien entendu avec le peuple juif pointé du doigt, l’amour et le respect pour sa famille, la lecture aussi avec tout ce qu’elle apporte.



Vous l’avez compris, j’ai adoré cette histoire et il me tarde de découvrir le tome 2 « La nouvelle vie de Betty » qui sortira le 5 juin prochain.

Ce roman se passe en Suède peu de temps avant la guerre en 1937. Il relate l'histoire d'une jeune fille qui quitte la campagne et sa famille pour rejoindre Stockholm où elle travaillera au service d'une famille dont le père est médecin.

On y retrouve la mise en place progressive du nazisme.

Un livre facile à lire, je dirais même trop facile, voire gentillet. Toutefois il reste captivant, on a envie de connaître la suite tout au long de cette lecture.

Attachement immédiat pour Betty l’héroïne de ce roman qui porte à elle seule la réussite de ce début de saga dont il me tarde déjà de découvrir la suite. Arrivée de sa province suédoise pour la capitale, elle est employée par le docteur Molander et sa femme (Madame le Docteur donc, une formule à laquelle il faudra se faire !). Des journées de folie au service de ce couple, toutes les tâches de la maison lui incombent et 24 heures sont bien souvent trop courtes pour la quantité de corvées. Mais Betty s’adaptera vite : faisant ce qu’elle peut et laissant de côté les corvées sans queue ni tête exigées par sa patronne.



Betty c’est la petite héroïne qu’on apprécie forcément parce qu’elle a sa personnalité, sa propre idée de la vie qu’elle souhaite vivre et une détermination suffisante pour réussir à atteindre ses objectifs. Elle va se faire une amie employée de maison comme elle, sortir vivre sa vie de jeune femme, se mettre à lire autant qu’elle le peut… On pourrait dire que le fil du roman est monotone et pourtant j’ai adoré cette lecture.



La plume de Katarina Widholm est joliment descriptive, tous les passages dans la cuisine de Betty m’ont mis l’eau à la bouche surtout quand on sait le temps qu’elle passait dans sa cuisine pour réaliser seule de tels menus ! C’est pour ça que j’ai illustré ma photo avec de délicieuses brioches à la cannelle, comme un clin d’œil à ce roman dans lequel la cuisine occupe une grande place.



Bien évidemment, comme dans toute saga historique, nos héros sont malmenés et Betty n’échappera pas à cela et devra faire face à plusieurs événements qui la forceront à réécrire le fil de sa vie. Mais même à travers ces imprévus, je l’ai trouvée follement courageuse cette jeune femme, un vrai chat qui retombe toujours sur ses pattes ! Les thèmes traités dans le roman sont tous intéressants, on est, en prime, en Suède, pays où l’avancée des droits (et celle des femmes en particulier) a été bien en avance et il est très intéressant de revivre ces événements à travers le roman.



Je sais que l’arrivée de la 2nde guerre mondiale va forcément réserver de nouveaux durs moments à nos héros mais quoi qu’il arrive, il me tarde déjà de les retrouver !
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J’ai été happée par l’histoire dès le début. J’ai aimé accompagner la jeune Betty dans la capitale suédoise et dans sa place au service des Mollander, qui va se révéler très difficile mais elle est courageuse et travailleuse. Nous sommes un peu avant la seconde Guerre Mondiale et le contexte historique est intéressant.



Cependant, à partir du milieu du roman, j’ai trouvé beaucoup trop de longueurs. Betty, malgré son amour pour la lecture, ne s’intéresse pas à l’actualité et a un côté très crédule.



C’est donc une lecture mitigée pour ma part car j’ai eu un peu de mal à m’accrocher. C’est dommage.

Suède 1937. Betty a 17ans lorsqu'elle quitte sa famille à la campagne pour devenir domestique à Stockholm. Elle entre au service d'un médecin qui semble gentil mais souvent absent et de sa femme, revêche qui l'étouffe sous les tâches. Betty déchante très rapidement sur la magie de la ville dans la capitale ! Heureusement elle se lit rapidement d'amitié avec Viola et son amour pour la lecture l'aide à s'évader. Alors que le national-socialisme monte dans toute l'Europe et qu'Hitler se fait de plus en plus menaçant le temps de l'innocence arrive à son terme pour notre héroïne !



Quel excellent premier tome !! J'adore ces sagas historiques qui nous font découvrir des pays, des époques et des modes de vies différents. Ici nous sommes en Suède à la fin des années 30, époque troublée en Europe mais dans un pays relativement épargné. Nous suivons la vie de l'innocente Betty que l'on peut qualifiée d'esclave moderne qui travaille 17h par jour, vit dans une chambre minuscule pour un salaire médiocre. Mais Betty s'y plaît. Le peu de temps libre qu'elle a est consacré à des sorties avec ses amis et surtout aux livres, elle rêve un jour de travailler dans ce domaine. Betty est très attachante, déconnectée de tout ce qui se passe en dehors de sa bulle et particulièrement naïve mais la réalité de la vie va la forcer à faire face à la vraie vie.

Si je ne l'avais pas lu en LC avec mes copines     je pense que je l'aurais dévoré en 2j tant il est addictif et on a juste envie de connaitre la suite ! D'ailleurs vivement le tome 2 !!!

(Livre lu en dévorant des Kanelbullar, brioches suédoises à la cannelle... un régal 🤩)



Il vous tente ??? Foncez !!!

Stockholm, 1937. Betty, une jeune fille de dix-sept ans, quitte sa famille et sa maison de campagne dans le Hälsingland pour pour occuper un poste de femme de chambre chez un médecin habitant une riche demeure de la capitale. Betty est bien installée. Le médecin semble l'apprécier et le personnel de maison est accueillant. Mais, l'épouse du maître de maison est plus difficile. Les tâches qui lui sont attribuées sont lourdes. Elle travaille du matin au soir. Son seul moment de répit est le soir lorsqu'elle peut se relaxer et s'évader un livre à la main.



Sa vie à Stockholm est tout de même riche et stimulante. Les rues sont animées, les commerces sont variés. Il y a beaucoup de promenades agréables à faire et surtout, il y a Martin, un professeur d'origine juive qu'elle a rencontré et qui partage avec elle le goût de la littérature.





Je remercie les éditions Harper Collins pour cette lecture.





“La fille du Hälsingland” est le premier tome d'une saga suédoise mettant en scène une héroïne forte et courageuse dans les années qui précèdent la Seconde Guerre mondiale.





J'ai beaucoup aimé cette lecture mêlant la vie et le quotidien d'une jeune femme singulière dans une maison suédoise animée. Je me suis laissée transporter dans son nouvel univers, entre les repas grandioses organisés par ses employeurs, puis les liens que tissent l'ensemble du personnel et les moments de liberté octroyés à la jeune femme qu'elle met à profit pour découvrir la capitale.





Ce livre traite également tout un pan historique de la Suède des années 1930 dans une Europe qui entre en guerre, avec la montée du nazisme et la question du peuple juif.





J'ai aussi beaucoup aimé les références au monde des livres et de la littérature qui apportent une touche de plus à ce roman passionnant.





L'amour n'est pas en reste, car Betty va faire des rencontres inoubliables qui changeront son destin.





Une excellente lecture. Je n'ai qu'une seule hâte : tenir le deuxième tome entre mes mains et suivre les prochaines aventures de cette héroïne.


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La fille du Hälsingland est le premier roman d'une série de quatre et je suis déjà impatiente de connaître la suite car je n'avais pas du tout envie de quitter Betty. Ce roman m'a permis de découvrir Stockolm , de m'attacher à cette jeune fille et de compatir à tous les ennuis qu'elle rencontre. On la sent à la fois perdue et désœuvrée mais cela ne l'empêche pas de faire impeccablement son travail. Cette lecture a été parsemée du parfum des brioches à la cannelle (kanelbullar), des biscuits et des scones confectionnés par Betty , je laisserai juste de côté les plats réalisés à base de Hareng, beaucoup moins attirants. La lecture et les livres y ont une grande place et j'ai ressenti toute l'émotion de cette jeune fille à l'ouverture d'un nouveau livre et à ses visites à la bibliothèque jusqu'à en ressentir les odeurs. Nous sommes en 1937, la seconde guerre mondiale n'est pas loin et le nom de Hitler commence à être sur certaines lèvres.



Je vous conseille vivement cette lecture, la traduction du suédois est bien adaptée et à part le nom de certaines villes la lecture est tout a fait fluide. Les quatre tomes permettront de suivre en détail la vie de Betty. Cette saga familiale a déjà convaincu près de 200 000 lecteurs en Suède. Le second tome paraitra en juin où nous retrouverons Betty en 1942 où la guerre fait rage en Europe.
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