Kathryn Hughes

Elle s'émerveilla de la quantité de choses que pouvaient vous apprendre les enfants, de cette sagesse qui était la leur et que si souvent on sous-estimait, ou même ignorait.

Ses cheveux autrefois très bruns étaient parsemés de gris, et quelques rides s'étaient dessinés sur son visage, mais les années l'avaient plutôt épargné, et elle se félicitait chaque jour de l'avoir rencontré. Par un hasard extraordinaire, leur chemin s'étaient croisés, et désormais ils étaient la l'un pour l'autre.

J'avais abandonné sa lecture, l'histoire s'approchait trop de ma vie.
Mais je suis repartie avec Sarah, dans la vie d’Amy, internée
Je ressors de cette lecture un peu vidée, l'inhumanité de cet hôpital est effrayante (sans exagération), on enrage, on pleure.
Sarah déterre un passé endormie qui se révèle difficile mais guérisseur
A lire absolument

cette révélation va rassembler des personnes qui n'ont jamais rien su du lien qui les unissait

Cette révélation va rassembler des personnes qui n'ont jamais rien su du lien qui les unissait.

En 1975? Mary est mariée à Thomas, mineur.
Après 3 ans d'essai, elle apprends qu'elle est enceinte mais un drame va venir frapper ce merveilleux bonheur.
En 2016, Beth est mariée à Mickaël. Ensemble, ils ont un petit garçon Jack, qui est malade. Il est en attente d'une greffe de rein. Malheureusement, il est placé sur liste d'attente car les médecins ne trouvent pas de donneur compatible.
Beth perd sa maman, Mary. En vidant la maison familiale, elle découvre un article de journal...

C'est mon premier livre de cette auteure et c'est une belle découverte !

Mieux vaut avoir connu et perdu ce qu'on aime que de ne jamais avoir connu l'amour.

Alors que les années s’éloignent, j’ai soudain envie de pleurer, même si cela ne suffirait pas. En réalité, j’ai envie de sangloter jusqu’à ce que je n’aie plus de larmes et que je ne sois plus qu’une coquille vide tremblotante. Comme ce n’est évidemment pas une solution, je me ressaisis. J’y suis habituée.

Il lui fallut encore deux verres de vin avant de retrouver son calme. Assez pour se détendre un peu, mais pas trop pour se remémorer chaque détail de cet instant par la suite. « C’est si tranquille, ici… On pourrait croire qu’on est tous les deux seuls au monde. »

Les
filles portaient des jupes, ce qui permettait à l’air de circuler, tandis que
les garçons étaient en pantalon, de sorte que leurs régions inférieures étaient
privées des bienfaits de l’air frais et transpiraient.

Lisa était jolie, certes, mais quand on dépensait tout son argent de
poche en cosmétiques, c’était facile de sortir en ayant l’air de tout sauf
d’une… d’une Tara !

La conversation risque de déraper – comme dérapent toutes nos conversations, du reste –, et je n’ai pas l’énergie de supporter les accusations, les récriminations, les reproches, ni de rivaliser pour savoir qui a la vie la plus merdique. « Tu ne pourrais pas arrêter de t’apitoyer sur toi-même ? Tu as deux filles adorables, une petite amie canon qui pour une raison incompréhensible t’admire, et un fils qui continue à t’aimer et à te respecter bien que tu aies bousillé notre famille ! »

La vérité, c’est que je n’en ai plus du tout envie. Cette his-toire ne le concerne pas – il ne faisait pas partie de ma vie à l’époque –, et je sais qu’il ne pourra pas s’empêcher de m’expliquer ce qu’il faut que je fasse. Je regrette de l’avoir appelé, mais les vieilles habitudes ont la peau dure.

On a grandi ensemble, on a partagé des souvenirs, des secrets de gamins… Tu me portais mes livres quand on rentrait de l’école, tu te rappelles ? Je t’ai vu devenir un homme… un très bel homme, bienveillant et passionné, un homme qui a tant
d’amour à donner… J’ai vu comment tu te comportes avec Mateo, et avec les
chevaux. Cet endroit est merveilleux ! dit-elle en montrant la grange. Le moment
est venu de t’installer, Leo. Le temps des conquêtes frivoles est terminé. Tu
pourrais chercher une autre fille de vingt-cinq ans, mais tu n’en trouveras
jamais aucune qui t’aime autant que celle qui est assise là, sur ton lit !

Tu mérites quelqu’un qui sera en mesure de t’offrir une
meilleure vie. Une vie où tu ne serais pas obligée de te lever au milieu de la
nuit pour faire le pain, qui t’emmènerait loin d’ici, te donnerait une chance de
t’épanouir à la ville ou de découvrir le monde, d’expérimenter des choses dont
on peut seulement rêver en vivant ici.

"  Mieux vaut avoir connu et perdu ce qu’on aime que de ne jamais avoir connu l’amour. "

Ces derniers temps, dormir est la seule façon pour elle
d’échapper à la douleur. Tout a débuté par une toux, à laquelle Nan n’a pas
prêté attention. Et même quand elle s’est mise à cracher du sang, elle n’a
toujours rien dit. C’est seulement lorsqu’elle m’a avoué qu’elle avait des
douleurs à la poitrine depuis un an que je l’ai emmenée en urgence chez le
médecin, seulement, il était déjà trop tard. La maladie est tellement avancée
que les soins palliatifs sont la seule option. À quatre-vingt-onze ans, ma
grand-mère a bien profité de l’existence, mais elle est au seuil de la mort, a
déjà un pied de l’autre côté.

Nul ne se soucierait qu’il mange cinq fruits et légumes par jour, ni ne veillerait à ce qu’il boive de l’eau en quantité suffisante ou rationne sa consommation de bonbons. Et j’avais vu juste puisqu’il ne se nourrit que de pizzas, de biscuits apéritifs au fromage et de bière bon marché. Il m’assure que, pendant le premier trimestre, « personne » ne travaille. Pas étonnant que le Service de santé publique parte à vau-l’eau !

Il était une lettre ... Un roman entre passé et présent. Une lettre retrouvée dans une friperie. L’histoire de deux femmes à deux époques différentes que le destin va réunir.

Une lecture légère sans grand intérêt.

« Si les toilettes n’ont pas de porte, c’est pour une bonne raison ! Il ne faut pas quitter des yeux ces cinglées une seule seconde ! »