Katsuhisa Minami

Un couple hors du commun, mais c'est surtout lui, il est surnommé "The Fable", un tueur à gage de la mafia. Il reste toujours calme car il est très sur de lui, classé parmi les meilleurs il est redouté et s'en est toujours sorti. Mais une activité assez intense conduit son patron à l'envoyer au vert quelques temps avec la promesse de se faire oublier.

Je dois reconnaitre que ce manga se lit facilement et que le suspense me conduit à me procurer immédiatement le tome deux.

The Fable est une série qui ne cesse de me montrer que j'avais tort. En effet, au début de la série, bien qu'ayant accroché rapidement, je me disais que cette série ne pouvait fonctionner que sur une courte durée, et voyant le nombre de tomes déjà sortis au Japon (série terminé en 22 tomes + une deuxième série en cours), je me disait que cela devait tirer sur la longueur.



Eh bien oui, j'avais tort, et cela je l'ai compris il y a quelques tomes déjà. La série ne cesse de nous surprendre avec de nouveaux arcs tout aussi intéressants, si ce n'est plus, que les précédent. Le mangaka n'hésite pas à tuer un antagoniste (même si ce dernier est emblématique) et à passer à un autre.



Pour ce qui est de ce tome 14, après un tome 13 plus calme où les personnages fêtaient noël, ici, calendrier oblige, les personnages "fêtent" le nouvel an. Nous sommes encore sur un tome calme, pourtant, la préparation du prochain arc se fait bien sentir et vu ce qui se prépare, on ne peut qu'avoir hâte.

Ce tome 9 marque le début d'un nouvel arc.

Et qui dit nouvel arc, dit nouveaux personnages.

On nous en présente tout un paquet et si l'on comprend très vite qu'ils seront les nouveaux méchants, leurs intentions sont pour le moment encore un peu floues.

Début d'arc sympathique mais qui nécessite encore d'un peu plus de matière pour voir où l'auteur veut vraiment nous emmener.

Si j'avais apprécié les deux premier tomes, j'avais peur de ce que a série allait devenir sur la longueur, sachant qu'elle comptabilise déjà un nombre élevé de tomes, je craignais une certaine répétitivité.

La lecture des tomes 3 et 4 m'a bien plu et me laisse entrevoir le chemin que va prendre la série, et cela semble être un bon choix.

Hâte de lire la suite.

Alors qu'il a été très actif pendant les six dernières années, et qu'il a un peu trop fait parler de lui, un tueur à gage surnommé "The Fable", va devoir se mettre au vert pendant un an afin de se faire un peu oublier.



Envoyé à Osaka par son patron et accompagné de son "assistante", ce tueur professionnel va devoir vivre comme un pékin lambda, évidemment, de nombreux éléments viendrons lui mettre des bâtons dans les roues et ainsi tester ses limites.



Le personnage principal antipathique arrive tout de même à être intéressant, le caractère de son assistante tranche bien avec le sien et la cohabitation vie banale / monde des yakuzas marche bien.

Un premier tome qui fait bien le job.

On aurait pu appeler ce second tome "une soirée si particulière". Le frère et la soeurs sont séparés et invités chacun de leur coté. Mais bien sur les rendez vus ne vont pas se passer comme prévu. On en apprend plus sur la personnalité des héros ce qui les rend presque attachants.

La mise en place se poursuite et des situations cocasses s'annonce pour The Fable qui essaye de passer pour un citoyen lambda.

Comme pour le premier tome, le dessin de Minami est super. Le character design est chouette, car on distingue bien les personnages sans s’aventurer dans des designs trop clichés, les visages sont expressifs, l’ensemble est globalement réaliste/crédible. Enfin, les illustrations de couverture sont vraiment chouettes et bien trouvées.
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Lecture numérique du matin : le premier tome de "The Fable" de Katsuhisa Minami, 211 pages, aux éditions Pika. C'est l'histoire d'un tueur professionnel particulièrement doué, un génie dans son domaine, mais après un premier chapitre où on le voit en action, son commanditaire lui demande de "disparaître de la circulation" pendant un an en se retirant parce qu'il s'est montré trop actif. Fable part donc avec sa "fidèle assistante GPS" (et pas plus pour l'instant) chez les yakusas qui vont l'héberger à Osaka avec l'interdiction de se battre, de tuer, de se faire remarquer... ce qui va s'avérer très compliqué. En revanche, le scénario parvient malgré tout à nous tenir en haleine malgré la fin des coups de feu et la retraite anticipée de son anti-héros, d'entrée de jeu. Le premier tome découpé en courts chapitres se lit vite, d'autant que le personnage principal est comique, aussi décalé qu'un inspecteur Colombo mais au niveau criminel : il semble gaffeur, à côté de ses pompes, imprévisible, est souvent recentré par son assistante, mais quand il s'agit de se battre ou de se défendre, fini de rire. Pour l'instant, le rythme est bon, avec une vraie intrigue. À suivre.


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Alors que les tomes précédents nous offraient du lourd avec un arc intéressant, j'étais pressé de pouvoir lire la suite de cette série.

Hélas, ce tome marque la fin de l'arc et c'est avec un peu de déception que j'entame ce tome qui se veut beaucoup plus calme.

Pourtant, si ce tome est plus calme et que Sato et son entourage vont fêter Noel, nous assistons tout de même à un tome très sympathique. Pas par l'action cette fois mais par l'humour et la bonne humeur qu'il dégage.

Mon Avis ne cesse d'évoluer au fil des tomes, mais toujours dans le bon sens.

Si dès le début de la série j'appréciais ma lecture, nous étions plutôt sur une série aux allures humoristiques, et je me demandais si sur la durée cela continuerais à être sympa ou si cela allait vite s'essouffler.

Puis vers les tomes 3/4, nous entrons dans un arc vraiment intéressant avec un personnage sortant de prison qui devient l'antagoniste principal. Nous passons un très bon arc, et là, décision surprenante, l'auteur tue cet antagoniste. Fait marquant mais qui nous fait nous reposer la question, la suite sera t'elle à la hauteur ?

Nous voila avec un petit tome de transition, où Sato et son "disciple" vont faire du "camping", un tome simple mais qui fait son boulot de tome de transition.

Enfin, nous voila dans un nouvel arc, on nous présente les nouveaux méchants, et au début on ne sait pas trop à quoi s'attendre.

Mais plus on avance, plus cet arc nous surprend par sa qualité.

Au départ je me demandais si la série ne perdrait pas en niveau au fil des tomes, mais c'est l'inverse qui se produit, plus on avance et plus c'est bon.

Je me demande jusqu'où nous pourrons aller.

Ce septième tome va marquer la fin de l'arc mettant en avant la "rivalité" entre Kojima et Sunagawa, arc qui était très bon.

Surpris par la tournure que les évènements ont pris, j'ai hâte de voir ce que la suite pourra donner.

A partir d'un concept simple, l'auteur arrive pour le moment à se renouveler.

Fable et sa prétendue sœur commencent à prendre leurs marques petit à petit dans ce qui va être leur nouvelle vie.

Et si le mot d'ordre est de ne pas faire de vague, certains éléments vont essayer de venir perturber cette vie de monsieur tout le monde.



Un tome sympathique qui ne réinvente pas les codes mais qui nous fait passer un bon moment de lecture.



Si de par leur pitch de base il est facile de faire un rapprochement entre The Fable et Sakamoto Days, dont l'un nous présente un expert assassin devant se mettre au vert et l'autre un maitre assassin qui s'est rangé pour vivre une paisible vie de famille, la ressemblance entre les deux œuvres est au final assez maigre et il est tout à fait possible de lire les deux séries sans avoir une impression de déjà vu.

Peut-on changer de vie du jour au lendemain ?

Ce titre est l'illustration parfaite de l'expression : "Chassez le naturel, il revient au galop". On dirait que depuis que son chef lui a dit de faire profil bas, notre héros se retrouve encore plus qu'avant dans des embrouilles.



Dans ce tome 03, Fable est installé dans sa nouvelle vie d’homme lambda mais décidément il ne passe pas inaperçu. En même temps, il est inadapté pour tout ce qui est relation sociale. Ça ne va pas être simple pour le nouvel objectif qu'il s'est fixé : trouver un travail légal. Il va y parvenir grâce à la jolie Misaki... Cette rencontre ouvre de nouvelles perspectives à notre héros mais à partir de ce moment là, ça va encore plus partir en live !!!

Dans les tomes suivants, le côté suspense va s’intensifier notamment à cause Kojima qui est vraiment un sale type (du genre qu'on a envie de baffer dès qu'il apparait sur une page). On va assister à une descente aux enfers et voir la réalité horrible qui peut exister dans le milieu des Yakuzas et ça fait pas rire ! À cause de ça, la série change de ton et on rigole beaucoup moins (c'est dommage parce que Fable a un potentiel comique de malade) !!!

Pourtant, malgré ce changement d'ambiance, je continue d’apprécier ce titre qui me permet de découvrir le monde des Yakuzas d’une façon non romantisée. Y’a quelques irréductibles personnages qui veulent résoudre les choses dans le calme, mais on voit que le meurtre, les passages à tabac, les menaces, le proxénétisme et l’abus de faiblesse sont monnaie courante et que ceux qui en font usage n’ont pas d’état d’âme... Ça fait flipper ! C’est dans ces moments là que je suis ravie d’avoir eu la chance de ne pas avoir eu besoin de fréquenter de tels milieux, on va pas se mentir personne ne veut vivre le chantage qui subit Misaki.

Le tome 07 est déjà sorti mais je ne l'ai pas encore lu, ça ne saurait tarder parce qu'on est en plein milieu d'un combat 😱

Dans tous les cas, si vous ne connaissez pas cette histoire, mon conseil : attardez-vous dessus !!!

Kojima, sortie de prison après 15 ans, manœuvre en coulisse pour se refaire un nom, une place et régler ses comptes alors que son frère Ebihara (lieutenant du clan qui héberge Akira et Yōko) est hospitalisé suite à un malaise cardiaque. La trajectoire empruntée par Kojima, qui semble être un sacré taré, le mène droit vers Misaki, collègue d’Akira, au passé compliqué et que Akira (The Fable) semble apprécier. Cela devrait mener à une « collision » frontale en Kojima et The Fable dès les prochains tomes. Cette intrigue pourrait se révéler plus compliquée que prévu, car l’un des collègues de Misaki (vicelard de première) semble lui aussi avoir découvert le poteau rose. Comme toujours l’histoire ne manque pas d’éléments marrants, l’anomalie sociale qu’est Akira est toujours étrange. Yōko, trop penchée sur la picole peut se monter embarrassante. Les quatre premières pages offrant même une scène qui m’a fait pleurer de rire.



Côté dessin c’est toujours aussi bon que sur les trois premiers tomes. Toutefois, je trouve les couvertures un peu piégeuses, car elles mettent en avant the Fable et non son pendant « normal » Akira, laissant croire au lecteur qu’il va y avoir de l’action et du sang. Même si c’est le cas dans ce tome, ce n’est pas l’œuvre de The Fable.



Après trois premiers tomes de mise en place, il y a enfin de l’action. Les trajectoires de certains personnages devraient mener vers une intrigue tendue dès le tome 5 pour une série qui reste toujours agréable à lire et prometteuse. Mention spéciale aux quatre premières pages qui m’ont fait exploser de rire.
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La couverture a de suite attiré mon attention et a piqué ma curiosité. Pour une fois, j’ai lu le résumé, chose que je ne fais pas souvent. Mais là je dois avouer que je n’arrivais pas à me faire une idée juste en regardant la couverture. Le résumé, quant à lui, m’a clairement convaincu. J’avais hâte de me plonger dans ma lecture. Et j’en ressors vraiment ravie. Bien que je ne m’attendais pas à ce que ce soit si drôle. Je m’attendais à quelque chose de sérieux, bon ça l’est mais la grosse dose d’humour apporte vraiment quelque chose en plus et c’est vraiment hyper drôle.



On va suivre le personnage de Fable, un tueur professionnel craint de toute la pègre japonaise. Ce génie de l’assassinant peut envoyer toutes ses cibles en un rien de temps six pieds sous terre. Jusqu’au jour où son patron lui ordonne de tout mettre en pause et de mener la vie normal d’un citoyen japonais. Il doit aller, avec Yôko son assistante, dans la planque d’un clan de yakuzas. Il a interdiction formelle de tuer ou d’attaquer qui que ce soit. Il doit se fondre dans la masse, ne pas faire de vagues et mener la vie la plus normale qui soit. Mais pour Fable ce n’est pas aussi facile qu’il n’y parait. Lui qui a un tempérament imprévisible est entouré de criminels à la gâchette facile..



J’ai vraiment mais vraiment adoré le personnage de Fable. Je le trouve incroyable. Déjà son côté tueur est impressionnant. Il fait mouche en un rien de temps, il a vraiment l’oeil partout et sait parfaitement où tirer même quand ce n’est pas forcément évident pour nous. Mais alors ce que j’ai le plus aimé c’est son côté un peu « bête » façon de parler. Déjà lorsqu’il enlève sa cagoule, je ne m’attendais pas du tout à ce qu’il est une tête pareille. Rien qu’a regarder sa tête on a envie de rire. Mais plus on avance dans l’histoire, plus il me fait rire. J’ai adoré quand il fait comme si il ne savait pas se battre, ses expressions faciales sont vraiment à mourir de rire. J’ai beaucoup aimé le personnage de Yôko également. Et parfois, heureusement qu’elle est là! Elle arrive à canaliser Fable et ce n’est pas chose facile à faire quand on voit le personnage!



L’intrigue est vraiment intéressante à suivre. Je me demande vraiment ce qui va arriver par la suite. Voir Fable évoluer dans un monde qui au final lui est complètement inconnu c’est vraiment drôle. Lui qui doit passer inaperçu ce n’est vraiment pas chose aisée. Mais quand en plus il se retrouve dans un clan de Yakuzas qui ont l’air de préparer quelque chose dans son dos c’est encore plus compliquée.. J’ai vraiment hâte de découvrir le second tome. J’ai beaucoup ris, j’ai énormément apprécié ce premier tome. Je sens que cette série va être palpitante à suivre!
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Je remercie les Éditions Pika pour l’envoi de cette lecture. Une histoire originale et intrigante. Comment devient-on normal quand on ignore ce que c’est ?



Fable est le surnom donné à un meurtrier professionnel craint par toute la mafia japonaise. Il n’a pas pitié de ses victimes, il fait ce pour quoi il a été engagé, et c’est tout. Pourtant, un jour, son commanditaire lui donne un ordre : vivre une vie normale, sans tuer qui que ce soit pendant un an.



En effet, il devra vivre la vie d’un citoyen comme les autres, sinon il le tue ainsi que la fille qui l’accompagnera au cours de cette année. Sauf que pour Fable, tout cela ne va pas être simple. C’est un réflexe pour lui de tuer, alors reste tranquille pendant un an…



L’histoire est intrigante dès le début, surtout autour du personnage de Fable. Autant, sa partenaire nous apprend comment elle s’est retrouvée à travailler comme chauffeuse pour lui, mais Fable ne dit rien sur lui. Comment cela se fait-il qu’il n’ait aucune pitié ? Que vivre normalement est pour lui un effort ? Quels sont son passé et son enfance ?



L’humour présent dans ce manga est vraiment sympa. Malgré un sujet violent et lourd de base qui est abordée, les pointes d’humour qui sont décimées par ci, par-là, viennent rendre l’histoire plus légère et agréable à lire !



En bref, c’est un titre vraiment intéressant. Ce premier tome nous intrigue beaucoup concernant le personnage de Fable et je suis curieuse d’en découvrir un peu plus sur lui dans les prochains tomes !
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Je viens de lire le tome 1 de The Fable, un assassin contraint de se mettre au vert.



La mise en scène est bien fichue, quoique un récit sur un tueur... cela n'a rien d'inédit et peut donner un peu la nausée... L'humour est un peu débile, mais on rigole tout de même. Il n'y a qu'à voir la couverture...



Rien à redire sur les graphismes, assez classiques, qui servent bien le propos de ce seinen humoristique et plein d'énergie.



En tout cas, j'ai lu ce volume 1 d'une traite et l'auteur a su me captiver. Mais, je me suis plus franchement marré avec un Slam Dunk par exemple. La thématique du tueur m'a un peu refroidie également...

C'est simple : j'adore The Fable et je voudrais tout simplement avoir tous les tomes à lire d'un coup.

L'humour, les situations, les personnages,... Il n'y a très peu de fausses notes sur cette série pour le moment.

Envie d'une histoire avec un tueur à gage complètement décalé ?

🔫⛓💣⛓🔫

Je suis méga à la bourre sur cette série et je ne sais pas pourquoi je ne prends pas le temps de la lire parce que je l'adore vraiment beaucoup !



Ce tome 08 est encore une fois fabuleux, je préfère d’ailleurs ce genre de pitch plus tranche de vie que les histoires avec les Yakuza.



On va suivre d’un côté Fable et Kuro qui sont partis se ressourcer en montagne. Et de l’autre côté, Yôko qui se retrouve seule et s’ennuie ferme.



Du côté des mecs, la sortie va être compliquée, déjà parce que Kuro n’a aucune condition physique. Il n’a pas du tout l’habitude de faire des excursions à la montagne, il va donc être un vrai poids pour Fable. Il n’avance pas et en plus il ne veut pas manger ce que lui chasse son "grand frère" (faut dire que le serpent et les insectes bof bof). En plus, ils vont se faire attaquer par un ours qui va revenir plusieurs fois à la charge. Kuro va être totalement au bout de sa vie et ne vas rêver que d’une chose : retrouver la civilisation. Pour Fable c’est une vraie promenade de santé !!!



Du côté de Yoko, comme elle n’a rien à faire, elle va passer son ennui sur le jeune Kawai en lui donnant rendez-vous dans le seul but de se divertir en le faisant boire plus que de raison.



J’ai bien rigolé aussi bien grâce aux mecs (notamment Kuro) qu’à Yokô qui est vraiment une femme à part. Je suis contente de retrouver un peu plus le côté décalé des personnages qui s’étaient un peu perdus dans les tomes précédents. J’espère que ça continuera ainsi !!!


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Il y a une tendance en ce moment de série ou le héros excelle dans son domaine et se retrouve a être sur la touche et devoir vivre une vie normale (Sakamoto Days, The Fable, La voie du tablier,...)

Ayant commencé Sakamoto Days récemment, j'avais peur d'avoir un titre bis la dessus et finalement, The Fable est bien plus surprenant à mes yeux. Il y a une touche comique que j'aime particulièrement, une simplicité qui se dégage qui donne une lecture détente et vraiment plaisante.

Une série vraiment surprenante par ses personnages, par la résolution également et surtout par la manière dont l'auteur arrive à se détacher des codes habituels.