Kazuki Takahashi

Je lis rarement des mangas mais j'ai fait un tour dans la bibliothèque de mon fils où figurent quelques "Yu-Gi-Oh!".



Je suis assez surpris de la différence entre le dessin animé (qu'il m'arrivait de suivre avec mon fils et que je ne trouvais pas si mal) et cette série bd qui fait pâle figure à côté.



C'est une mauvaise exploitation de l'image même de ce phénomène. Trop commercial, trop convenu. On peut regretter surtout l'absence de fluidité entre les scènes qui fait cruellement défaut. Je n'arrive pas à suivre le cheminement de l'histoire. Une vraie déception !



Dans le genre "cartes au pouvoir magique", la lecture des Arcanes et Arcane Majeur suivi de L'Histoire Secrète m'a beaucoup plus passionné.

Je connais très bien Yu-Gi-Oh ! puisque je me suis tapé tous les épisodes avec mes deux garçons qui étaient hypnotisés. Je dois même avouer qu'en qualité d'adulte, j'ai plutôt aimé ces duels de monstres.



Après les cartes, il a fallu acheter les mangas car c'est une véritable industrie. J'avais déjà été déçu par le manga de la série-mère. Malheureusement, ce dérivé ne fait pas mieux. C'est principalement le découpage des cases qui me pose un sérieux problème dans la lecture et donc dans la compréhension. Les décors sont toujours aussi absents.



Cette série manque cruellement d'originalité par rapport au scénario. Il s'agit d'une nouvelle génération de duellistes qui combattent dans le futur. A réserver uniquement aux enfants qui aiment cet univers.

Ça fait bizarre de replonger dans ce tome 1 plus de 20 ans plus tard.

On se rappelle de Yu-Gi-Oh pour ses parties de cartes endiablées mais qui se rappelait de ce début maladroit où le héros avait libéré un esprit millénaire en complétant un puzzle et punissait les autres à travers différents jeux ? Pas moi en tout cas.

Le dessin est un peu maladroit avec une forte inspiration de Jojo, la narration lourde et chaotique. Je ne suis pas emballée par ce premier tome à cause de cela mais aussi parce que les personnages, hormis le "double" de Yugi, sont fades. Je me demande ce qui m'a plu à l'époque... Peut-être le mystère autour de cet esprit égyptien. A notre époque, c'est un début plus compliqué qui ne me donne pas envie de me relancer dans la série.

Il y a dans ce premier tome des aventures de Yûgi tout ce que je déteste dans les mangas. Dessins bâclés, textes illisibles, bouches rectangulaires, éclats inutiles, bulles hurlées en forme d'étoiles, psychologie des personnages insuffisamment travaillée, étranges valeurs véhiculées comme la vengeance, la cruauté, etc.



On sent quand même une progression. Mais seule la dernière histoire est mieux construite, plus dense et intéressante. Le reste est prévisible, simpliste et sans trop d'intérêt.



La bibliothèque où mon aîné a emprunté le tome indique 10 ans dans leur signalétique. Je ne suis pas sûr qu'un enfant de 10 ans y trouve son compte.

Très moyen, trop dans la surenchère, sans réelle logique narrative.

Rien à voir donc avec les Yu-Gi-Oh originels.

Au début je n'étais pas fan de Yu-Gi-Oh et puis mon frère s'est mis à en lire

et cela m'a donné envie de m'y mettre et bizzarement j'ai bien aimer !!!

La bataille est rude ! En acceptant une simple partie de jeu de role, les amis de Yugi ont étés transformés en pions, mettant leurs vie en jeu. Pour se libérer de ce sortilège, ils devront vaincre le maitre du jeu et remporter la partie. Yugi saurra-t-il sauver ses amis ?

Tome 32 à 38 :



Dernier arc ! Et cette fois direction l'Egypte !



Dans cet arc final, Yu-Gi et ses amis vont découvrir les mystères des objets du millénium, ainsi que les liens avec l'Egypte antique, les pharaons etc.



Ainsi, nous découvrirons l'origine des cartes et d'où viennent certaines d'entre elles comme les emblématiques dragon blanc aux yeux bleu ou encore le magicien et la magicienne des ténèbres.



Un arc que je ne connaissais pas, soit parce qu'il n'existe pas en anime (il me semble que c'est ça), soit parce que je ne l'avait jamais vu.

Avec ceci la boucle est bouclé !



Si le manga n'est pas un chef d'œuvre, il n'en reste pas moins sympathique à découvrir, notamment pour quelqu'un comme moi qui a grandi avec la licence que ce soit avec la série animée ou encore le jeu de carte à collectionner.

Tomes 6 et 7 :



Après les tomes 1 à 5 où je parlais de la différence entre les manga et l'adaptation en série animée, où je disais que le manga était bien plus sombre et que les cartes n'étaient pas le seul jeu présent, les tomes 6 et 7 confirment.



En effet, après les frères Kaiba qui voulaient tuer Yu-Gi et ses amis, c'est au tour du nouvellement arrivé Bakura.

Et pour se faire, il va les faire participer à un jeu de rôle ou si leur personnage meurt, ils meurent aussi.

Tomes 6 et 7 :



Après les tomes 1 à 5 où je parlais de la différence entre les manga et l'adaptation en série animée, où je disais que le manga était bien plus sombre et que les cartes n'étaient pas le seul jeu présent, les tomes 6 et 7 confirment.



En effet, après les frères Kaiba qui voulaient tuer Yu-Gi et ses amis, c'est au tour du nouvellement arrivé Bakura.

Et pour se faire, il va les faire participer à un jeu de rôle ou si leur personnage meurt, ils meurent aussi.

Tomes 1 à 5 :



Yu-Gi-Oh est une licence qui a bercée mon enfance, que ce soit par la série animée, par le jeu de carte, ou encore un jeu sur Game Boy Advance.



Si j'avais déjà prévu de me lancer un jour dans la lecture du manga qu'on dit "plus sombre", c'est avec la récente mort de l'auteur que je me suis décidé à me lancer.



Et donc, qu'est ce que ça donne ?

Si l'on retrouve les personnages que l'on connait dans la série animée, les noms eux ne sont pas les mêmes, en effet pour la série animée, les noms avaient étés francisés, ou plutôt américanisés, mais sinon on peut facilement les reconnaitre.



Par contre, si les personnages sont les mêmes, il y a quelques différences entre l'œuvre de base et l'adaptation.



Premièrement, le jeu de carte qui fait l'essence de Yu-Gi-Oh n'est pas présent dès le début, en effet, au départ, le manga ne tourne pas autour du jeu de carte mais de plusieurs jeux différents, puzzle, labyrinthe, genre de jeu d'échec avec des petits monstres... le jeu de carte apparait pour la première fois au chapitre 9 mais ne s'installe pas encore de manière stable, puisque nous ne le revoyons qu'au chapitre 27 et cette fois encore pour un chapitre seulement.



Deuxièmement, l'ambiance, en effet, on entend souvent que le manga est plus sombre que son adaptation animée, et c'est vrai !

Le "grand" Yu-Gi est beaucoup plus froid et n'hésite pas à être sans pitié avec les gens qui font du tort à lui même ou à ses amis.



Une licence que j'ai plaisir à retrouver, et si aujourd'hui je ne suis plus le public visé comme j'ai pu l'être plus jeune, je passe un bon moment de lecture et je continuerais la série avec plaisir.

Comme c'est le tout premier manga que lu, je risque de ne pas être objective. Néanmoins, ce manga est génial ! J'adore le fait que Yugi se retrouve possédé par une entité méga intelligente qui dès que le souhait de son hôte se trouve menacé agit sans avoir recours à la violence ! Les personnages sont tous attachants, et l'histoire est prenante ! Seul petit détail qui me perturbe par moment, c'est que de face, parfois, on dirait que Yugi n'a pas de nez...! Mais sinon, les dessins sont oufs.

Jusque là, le tournoi se déroulait bien. Même si le manga est toujours réservé pour les fans de l'époque ; les amateurs du jeu de cartes vont sortir avec une crise d'urticaire (encore plus que les tomes précédents !).

Le plaisir de voir les personnages principaux livrer leur combat de demi-finale en est ainsi entaché.

Le combat entre Maï et Yûgi est beaucoup plus intéressant (diversité des cartes/combos) que celui entre Jôno-Uchi et Kierce (attaques/pièges). De ce fait, je trouve le rythme mal géré.

Tome 32 à 38 :



Dernier arc ! Et cette fois direction l'Egypte !



Dans cet arc final, Yu-Gi et ses amis vont découvrir les mystères des objets du millénium, ainsi que les liens avec l'Egypte antique, les pharaons etc.



Ainsi, nous découvrirons l'origine des cartes et d'où viennent certaines d'entre elles comme les emblématiques dragon blanc aux yeux bleu ou encore le magicien et la magicienne des ténèbres.



Un arc que je ne connaissais pas, soit parce qu'il n'existe pas en anime (il me semble que c'est ça), soit parce que je ne l'avait jamais vu.

Avec ceci la boucle est bouclé !



Si le manga n'est pas un chef d'œuvre, il n'en reste pas moins sympathique à découvrir, notamment pour quelqu'un comme moi qui a grandi avec la licence que ce soit avec la série animée ou encore le jeu de carte à collectionner.

Tomes 24 à 31 :



Deuxième partie de l'arc Battle City, huit duellistes se sont qualifiés pour les quarts de finales qui auront lieu à bord d'un zeppelin.

Cartes divines, objets millénaires, jeux des ténèbres... on continue sur la lancé de la première partie de l'arc mais on accélère le rythme des révélations sur la famille Ishtar ou sur le pharaon.



Une deuxième partie d'arc sympathique mais un peu long parfois et des duels (notamment le dernier qui sont un peu too much).

Tomes 16 et 17 :



Après un gros arc sur l'ile des duellistes où après divers jeux se succédant les cartes ont pris la place dans le manga, on va retourner sur un nouveau jeu, un jeu de dés, pendant environ 1 tome et demi.



Si les cartes vont vite revenir, ce petit changement de jeu était sympathique.

Tomes 16 et 17 :



Après un gros arc sur l'ile des duellistes où après divers jeux se succédant les cartes ont pris la place dans le manga, on va retourner sur un nouveau jeu, un jeu de dés, pendant environ 1 tome et demi.



Si les cartes vont vite revenir, ce petit changement de jeu était sympathique.

Tome 8 à 15 :



C'est avec le tome 8 que le jeu de carte devient central dans le manga Yu-Gi-Oh, ou dans les sept premiers tomes il n'était qu'un jeu parmi tant d'autres.



C'est dans ces tomes 8 à 15 que va se dérouler un arc important du manga, et bien connu de ceux qui ont vu la série animée, à savoir, le tournoi organisé sur une ile par Pegasus.

Les différents concurrents démarrent avec un en leur possession 2 étoiles et doivent combattre d'autres joueurs pour en accumuler 10 et ainsi se qualifier pour le tournoi final au château de Pegasus.



Cela fait plaisir de lire ce que j'ai connu enfant en série animée.

Tome 8 à 15 :



C'est avec le tome 8 que le jeu de carte devient central dans le manga Yu-Gi-Oh, ou dans les sept premiers tomes il n'était qu'un jeu parmi tant d'autres.



C'est dans ces tomes 8 à 15 que va se dérouler un arc important du manga, et bien connu de ceux qui ont vu la série animée, à savoir, le tournoi organisé sur une ile par Pegasus.

Les différents concurrents démarrent avec un en leur possession 2 étoiles et doivent combattre d'autres joueurs pour en accumuler 10 et ainsi se qualifier pour le tournoi final au château de Pegasus.



Cela fait plaisir de lire ce que j'ai connu enfant en série animée.

Tomes 1 à 5 :



Yu-Gi-Oh est une licence qui a bercée mon enfance, que ce soit par la série animée, par le jeu de carte, ou encore un jeu sur Game Boy Advance.



Si j'avais déjà prévu de me lancer un jour dans la lecture du manga qu'on dit "plus sombre", c'est avec la récente mort de l'auteur que je me suis décidé à me lancer.



Et donc, qu'est ce que ça donne ?

Si l'on retrouve les personnages que l'on connait dans la série animée, les noms eux ne sont pas les mêmes, en effet pour la série animée, les noms avaient étés francisés, ou plutôt américanisés, mais sinon on peut facilement les reconnaitre.



Par contre, si les personnages sont les mêmes, il y a quelques différences entre l'œuvre de base et l'adaptation.



Premièrement, le jeu de carte qui fait l'essence de Yu-Gi-Oh n'est pas présent dès le début, en effet, au départ, le manga ne tourne pas autour du jeu de carte mais de plusieurs jeux différents, puzzle, labyrinthe, genre de jeu d'échec avec des petits monstres... le jeu de carte apparait pour la première fois au chapitre 9 mais ne s'installe pas encore de manière stable, puisque nous ne le revoyons qu'au chapitre 27 et cette fois encore pour un chapitre seulement.



Deuxièmement, l'ambiance, en effet, on entend souvent que le manga est plus sombre que son adaptation animée, et c'est vrai !

Le "grand" Yu-Gi est beaucoup plus froid et n'hésite pas à être sans pitié avec les gens qui font du tort à lui même ou à ses amis.



Une licence que j'ai plaisir à retrouver, et si aujourd'hui je ne suis plus le public visé comme j'ai pu l'être plus jeune, je passe un bon moment de lecture et je continuerais la série avec plaisir.