Citations de Kriss F. Gardaz (55)
"L'imagination et le rêve ne se laissent pas dompter."
"On ne reconnaît jamais assez le bonheur."
"Les gens pensent à tord qu'ils choisissent leur maison. C'est la maison qui retient ceux qu'elle a sélectionnés."
"Dans la vie, c'est bien d'entretenir le mystère."
_"Nous vous serons éternellement reconnaissants, ajouta Lorrok.
_C'était le bon moment, c'est tout, répondit la chauve souris. Je crois au destin. Parfois, il faut juste savoir saisir sa chance."
"Parfois, le salut vient de nous-mêmes, d'une force intérieure qui s'impose au-delà des difficultés, parfois il s'agit tout simplement de chance."
"Elle oubliait une chose. Parfois, certaines réponses peuvent vous conduire là où vous ne pensiez jamais aller."
"Si Andy sent que tu n'as plus d'espoir, il se laissera aller. Alors donne-lui cet espoir, c'est le plus beau des médicaments que tu puisses lui offrir."
_"[...] Ce qui m'étonne effectivement, c'est la quiétude ambiante.
_Il faut toujours se méfier du calme de l’œil du cyclone, il annonce les plus grandes tempêtes, dit Nanikama d'un ton sombre."
"L'expérience des années lui avait appris à profiter pleinement de ces moments précieux que la vie nous réserve parfois. Comme le cadeau d'une aventure inattendue."
"La vengeance avait ceci de terrible,, elle n'effaçait pas la douleur. Au contraire, libérée de ce dérivatif, la souffrance s'engouffrait dans la place restée vacante."
"Finalement, vivre en permanence dans le mensonge et les faux-semblants fatigue autant que de se confronter à sa vraie personnalité. Et oui, quand on réalise que la mort frappe à tout moment, souvent sans prévenir, il nous reste deux choix : paniquer ou profiter de chaque petit instant de son existence."
"_[...] Au départ, j'avais songé à choisir un nom comme "Aux lecteurs gourmands" et, je ne sais pas pourquoi, un matin devant mon miroir, j'ai pensé que celui-ci était comme un livre, qu'il reflétait à la fois différentes réalités et la complexité de nos émotions."
"[...] La vie est souvent injuste, ma petite-fille. Ne te lamente pas sur ce que tu ne peux pas changer, à toi de la rendre meilleure et plus belle."
- A mon avis, peu de couples adultes se sont aimés dès l'adolescence.
- Quelle importance ? Nous serons des pionniers ! Dans mon monde, je n'ai que quatorze ans, j'ai grandi solitaire, mûri trop tôt, sans père ni mère, mais j'ai beaucoup appris. En particulier me fier à mon intuition. Tu es celle qui me libère de mes peurs d'enfant, celle qui me donne la force d'espérer, l'envie de me dépasser. J'ai envie de voyager avec toi, envie de te faire rire, envie que tu sois heureuse, avec ou sans moi.
"Pourquoi s'en préoccuper ? Parce qu'être trompée, ça fait un mal de chien, tu le sais ! Raison ou sentiment...un dilemme que Jane Austen avait merveilleusement traduit. Bien que plus romantiques, les préoccupations des héroïnes du XIXe siècle rejoignaient la tentation qui brûlait son corps et son cœur."
"L'attention et la bienveillance sont souvent plus efficaces que les antidépresseurs. Mais moins prescrites par les médecins."
"_C'est la boulangère, je la trouve...euh, elle est...euh, non rien ! Tu ne comprendrais pas...
_Tu as raison, que peut comprendre un vieux chat à moitié obèse à l'amour ? A part que celui-ci embellit la personne qui le ressent et souvent celle qui le reçoit."
Tu sais, il faut toujours vivre pleinement le moment présent, dit Passème, le sage. Quand il est bon, emmagasine l'énérgie positive, quand il ne l'est pas, essaie d'en tirer profit, malgré tout, de le transformer pour être plus fort.
"Il est parfois des silences qu'il faut savoir écouter."