Citations de Larissa Ione (226)
Laisse approcher une femme, et pendant qu'elle te sucera, elle aspirera ton cerveau et ta virilité.
-Les gentlemen ne reluquent pas les dames, déclara-t-elle non sans agacement, parce qu'il aurait tout de même pu se retenir de baver.
-Détromper-vous, répliqua-t-il d'une voix traînante. Ils font preuve de subtilité, voilà tout.
- Désolé, répondit-il, penaud, avant de l'embrasser à pleine bouche, et elle lui pardonna aussitôt. Je promets de me rattraper.
- Mec. (Luc recula, les mains en l'air.) Inutile de faire amende honorable avec moi !
Dans le sous-sol exigu, il avait été assailli par les phéromones d'une femelle en rut. Et en gentleman qui se respecte, il n'avait pas hésité à lui proposer ses services.
- Oh, pour l'amour du ciel! Mets-toi un vibro dans le cul et arrête de jouer les machos! Je sais ce que je fais. Je suis douée pour tuer et baiser, et j'userai de l'une ou l'autre de ces armes...
- Si, si. J'ai un exorcisme prévu à Melbourne dans la journée. Mais j'ai encore une heure à tuer, et tout ça est vachement plus excitant que de jouer aux jeux vidéo.
- Nom de Dieu. Je n'arrive pas à croire que tu élèves un enfant. Il n'y a pas d'équivalent aux services sociaux, chez les démons ?
- Hé! (Wraith croisa les bras.) J'ai autant le droit que les autres de rater l'éducation de mon gosse!
- Je ne suis pas sûre de te faire confiance.
- C'est réciproque, riposta Gem. Où est-ce que ça nous mène ?
- Au sein d'une famille, les filles, dit Wraith. il faudra vous y faire.
— Eh ouais ! Sans sexe, je dépéris. Alors, cessez de jouer les chaperons, car ça m’horripile. Je n’ai vraiment aucune envie que vous soyez dans le coin quand il faudra que j’assouvisse mes besoins, et vous non plus, d’ailleurs. (Elle leur décocha son plus beau sourire.) Et dès que vous serez partis, je chevaucherai Conall jusqu’à ce qu’il implore ma pitié, sachez-le.
Eidolon soupira. Shade jura. Et Conall marmonna quelque chose qui sonnait bizarrement comme « pitié ».
— C’est un coagulant développé par Eidolon à partir de salive de vampire. C’est plus efficace sur les blessures d’origine surnaturelle que n’importe quel désinfectant inventé par les humains.
— Beurk.
— Tu préférerais que je te lèche ?
Sa voix, sensuelle et pénétrante, l’enveloppa comme un voile de soie. Que rétorquer à ça ? Qu’elle réponde par l’affirmative ou la négative, ce serait à la fois vérité et mensonge. En fin de compte, elle parvint à balbutier un « non » en espérant qu’il sonne plus convaincant aux oreilles de Conall qu’aux siennes.
— Sois prudente.
— Bah non, ce ne serait pas marrant.
— Je veux juste te poser encore une ou deux questions. Et je pourrais peut-être t’aider à retrouver Lore.
Elle parut y réfléchir. Elle l’observa en plissant les yeux, puis hocha la tête.
— Comment t’es-tu blessée ?
— Ça ne te regarde pas. (Il jura. Elle soupira.) Quoi ? C’est une réponse.
Dieu, même Wraith commençait à lui paraître agréable, comparé à elle !
— Vous êtes très sûr de vous, hein ?
— Comme on ne peut être sûr de rien dans ce monde de merde, mieux vaut être sûr de soi.
- Reste tranquille tueuse, ou la lame pourrait pénétrer dans ton poumon
Il pourrait répare cela, bien sûr, mais cela ruinerait l'ambiance
- Va te faire foutre !
- J'y compte bien.
"Tu te moques de moi une fois, tant pis pour toi.
Deux fois, tant pis pour moi.
Trois fois... Je suis morte."
-Je te donne vingt-quatre heures. Après ça, plus de marché. Talya sera à moi. Et ce que je lui ferai ne sera pas aussi plaisant que tes trucs à toi.
— Parle encore une fois de Regan comme ça, et je t’enfoncerai mon pied si profond dans le cul que mes lacets te serviront de fil dentaire.
— Parce que nous avons envoyé Regan le séduire.
Arik faillit s’étouffer avec sa bière.
— Regan ? siffla-t-il. Elle a le charme féminin d’un cactus enragé.
Decker fronça les sourcils.
— Je ne crois pas que les cactus peuvent contracter la rage.
- Ton signe. C'est un oeil ouvert à présent. Il n'est plus fermé.
Les yeux de Shade se mirent à piquer.
- La balance d'Eidolon était déséquilibrée avant qu'il s'unisse à Tayla. (Il déglutit pour éviter de pleurer comme une femmelette). Il lui a fallu du temps pour s'apercevoir du changement.
- Donc il a trouvé son équilibre... et toi, tu n'es plus aveugle.
- Plus jamais.
On ne peut pas vraiment haïr quelqu'un qu'on a aimé. On ne peut que lui faire du mal.