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3.35/5 (sur 69 notes)

Nationalité : États-Unis
Biographie :

Enseignante en droit à la Loyola University de Chicago et auteur de nombreux articles de presse, Laura Caldwell publie des romans policiers depuis 2005.

Salué par la critique comme un page-turner tranchant, émouvant et sexy, L'ombre du soupçon est le deuxième volume publié en France de sa célèbre série consacrée à Izzy McNeil.

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Interview de Laura Caldwell (en anglais)


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- Qu'est-ce que tu veux que je te dise, John ? Si tu ne peux pas, tu ne peux pas, voilà tout.
- Je peux, a-t-il dit simplement.
Et il m'a semblé que cette réponse était la vraie définition de l'amour.
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Mettre fin à la vie d'un être humain était devenu si facile avec le temps, si propre et sans bavures, que c'en était devenu perturbant.
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Mais, une fois assouvis, les désirs ont tendance à renaître sous une forme amplifiée. Roger en était arrivé à croire qu’il n’était pas destiné à être un simple rouage du Trust, mais une de ses forces motrices. Il avait commencé à ressentir un besoin maladif de richesse et de grandeur. De gloire personnelle.
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Trotsky était un des membres les plus éminents de la Mafiya, la mafia russe, et l’un des plus dangereux. Depuis l’effondrement de l’Union soviétique, l’attention du Trust s’était reportée sur le crime organisé, une évolution qui ne plaisait guère à Michael. Autrefois, il avait l’impression d’être un guerrier engagé dans un combat loyal. Aujourd’hui, il était un flic pourchassant des truands. Et ces truands se révélaient encore plus brutaux que leurs homologues du KGB. C’était en partie pour cette raison qu’il voulait prendre sa retraite. Or, le Trust ne permettait jamais à ses membres de raccrocher complètement; il lui faisait donc une faveur particulière en l’autorisant à réduire ses activités.
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Que faire quand la personne qu'on aime mène une vie que l'on hait ? L'obliger à quitter cette vie pourvois rendre heureuse ? Non, je ne pourrais pas, ça ne me rendrait même pas heureuse — s'il est malheureux, je le suis aussi. C'est un casse-tête infernal, une énigme sentimentale insoluble.
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On me disait que le temps guérirait mes blessures, qu'au fil des jours et des mois, j'irais mieux. Mais aller mieux signifiait que j'aurais toujours conscience — même dans mon sommeil — de l'absence de Declan, et ça me semblait pire.
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Nos sentiments avaient été exacerbés par la distance qui nous séparait : nos conversations téléphoniques, les longs week-ends que nous passions ensemble, les adieux déchirants qui me laissaient souvent en larmes — tout cela n’avait fait qu’enflammer notre amour naissant. Bientôt je n’avais plus supporté d’être loin de Michael. C’était trop douloureux de ne pas le voir, de me contenter de sa voix au bout de la ligne. J’avais le choix : accepter que notre relation se développe à une vitesse fulgurante, ou feindre l’indifférence pour laisser du temps au temps.
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En gros, nous faisions l’amour au téléphone. Cette pratique, qui m’avait déroutée jusqu’à présent, m’ouvrait des horizons insoupçonnés. A quoi ça sert ? m’étais-je toujours demandé. Pourquoi ne pas attendre de le faire pour de vrai ? J’ignorais alors à quel point l’amour par téléphone peut éveiller l’imagination. Je ne savais pas que je serais amenée à décrire avec précision la façon dont j’aimais qu’on me touche, qu’on me caresse les cuisses, qu’on me parle à l’oreille. Je n’avais pas compris que j’apprendrais ainsi ce que mon partenaire aimait, lui.
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La sensation d'être traquée débute par un frisson dans la nuque, derrière les oreilles en particulier. Vous ne les avez pas encore vus, n'avez même pas encore entendu de bruits incongrus, mais votre corps sait qu'ils sont là. Tous vos sens sont en alerte. Votre peau brûle, s'électrifie. Votre tête pivote le plus légèrement possible, mais vous ne voyez rien. Vous vous exhortez au calme, mais votre corps ignore vos injonctions et votre pouls commence à s'accélérer, vous le sentez dans votre cou.
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Une minicélébrité n'est qu'occasionnellement reconnue dans la rue, mais quand on la présente dans une soirée, les « Oh, je vous connais, je vous ai vue dans People Magazine » fusent. Tous ceux qui entendent l'exclamation se retournent soudain pour la dévisager et la nouvelle se répand parmi les invités comme une traînée de poudre. En un rien de temps, les gens se mettent à guetter la quantité de mousse de saumon qu'elle tartine sur son toast et guette l'effet de l'alcool sur son comportement.
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