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Critiques de Laurence Devillairs (43)
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Petite philosophie de la Mer

Mon côté loup de mer n'a pu résister à la Petite philosophie de la mer.

Considérer l'homme à travers le prisme de la mer, lui apprendre la sérénité qu'elle nous apporte. Quoi de plus normal, c'est le berceau de la vie.

Sommes-nous cette mer imprévisible ou cet océan qui annonce la couleur?

« Les tempêtes en mer, surtout en Méditerranée, sont les plus affolantes : on se croyait à l'abri contemplant des eaux enjôleuses, on se retrouve face à une furie, comme assoiffée de vengeance. »

On y traite de nombreux thèmes :

Les pirates : ce n'est plus Barbe-Rousse mais attention ils sont toujours là.

« Qui n'a pas été un jour l'otage de pirates en civil, petits chefs certains de leurs prétendus droits ou collègues gentiments malveillants, consciencieusement dénigrants ? »

Le changement car elle n'est jamais la même :

«Elle encourage à apprivoiser nos peurs pour prendre le large et savourer le sel d'une vie. »

Mer ou océan donnent des leçons pour nous ancrer au lieu d'être ballottés par la vie et ses turpides.

Laurence Devillairs nous offre un texte clair et abordable, un tour d'horizon assez complet à l'aide de chapitres cours. Un parfum d'aventure s'en dégage, une envie de grand large et d'embruns. Et m'a décidée à lire Moby Dick par son approche du roman.

Que demander de plus à une lecture qu'apprendre, apprécier et découvrir, c'est ce que contient cet essai.

Merci aux éditions De La Martinière pour leur confiance.

#Petitephilosophiedelamer NetGalleyFrance

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Petite philosophie de la Mer

Quel est le point commun entre Moby-dick, Robinson Crusoé, le Titanic ou encore les Sargasses? Vous l'aurez rapidement deviné, c'est celui de la mer!



Dans cet essai, Laurence Devillairs nous offre sous forme de plusieurs chapitres assez courts des reflexions et des leçons de vie en lien avec la mer. En lisant ces textes, j'ai eu une sensation de lâcher-prise et je me suis totalement immergée dans cette lecture. Il ne manquait que les embruns pour vraiment se retrouver face à la mer.



Je tiens à remercier les Éditions de la Martinière, Laurence Devillairs et Netgalley pour la lecture de cet ouvrage. Étant sensible aux problématiques de l'eau et de la biodiversité j'ai trouvé cet ouvrage très intéressant. N'ayant pas lu "Petite philosophie des oiseaux", je ne tarderai pas à me le procurer pour continuer cette expérience...
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Petite philosophie de la Mer

Le titre a le mérite de la franchise : il s’agit bien d’une «  petite » philosophie

Le livre n’est pas long et facile à lire

J’aurai forcément un avis très subjectif. J’ai toujours vécu au bord de la mer ( ou plutôt de l’océan ) dont la moitié sur une île

La tempête , la marée , le monde sur l’eau et sous l’eau , je connais

La diversité des sentiments et sensations qu’on peut ressentir aussi

Apaisante ou tourmentée, idyllique ou hostile, la mer est tout cela à la fois

Renaud l’avait résumé en une phrase: «  c’est pas l ‘homme qui prend la mer , c’est la mer qui prend l’homme »

Tout est dit. Quand on a intégré cette notion au plus profond de soi , la mer ou l’océan, réputé plus rude , devient source de sagesse et de réconfort

C’est un moyen , pour certains de connaître leurs limites, sans filtre , sans tricherie. .Le marin pêcheur, le navigateur au long cours , le plongeur , l’apnéiste, le chasseur sous marin , le sous marinier , tous connaissent les risques mais aussi la vertu apaisante du milieu aquatique

Ce livre ne m’aura pas apporté grand chose car c’est mon univers quotidien même au niveau des références littéraires ou mythologiques , par ailleurs fort intéressantes

Je sais, par contre , qu’il a bien plu à des gens qui n’avaient qu’une vision extérieure et classique du milieu marin

Par expérience, je sais que c’est un univers qui peut aussi bien générer des phobies que du bien-être

Je suis très curieux de voir les réactions à la lecture de ce livre sympathique

A conseiller donc aux «  profanes » mais inutile si vous baignez dans l’univers maritime depuis votre prime enfance

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Petite philosophie de la Mer

"Face à la mer, j'aurais dû grandir..."

La mer, moi, elle m'impressionne. Elle me parait infinie. Devant elle, face à son étendue, je me sens toute petite. La mer, elle me donne comme leçon première de rester humble.



Dans ce livre que je qualifierais d'essai, Laurence Devillairs écrit ce que la mer et les éléments qui s'y rattachent peuvent apporter en conseils, en leçons de vie à tout un chacun. Il y a une vingtaine de textes de quelques pages chacun, qui peuvent être lus indépendamment les uns des autres.



Le titre m'a d'abord mise face à un dilemme : autant le mot "mer" m'a attirée vers ce livre, autant le mot "philosophie" m'en a éloignée. J'ai un penchant certain pour tout ce qui touche à la nature. Mais n'habitant pas à proximité de la mer, mon intérêt se porte surtout sur les forêts et les plantes. Alors quand j'ai reçu un mail de Babelio proposant une rencontre autour de ce livre, je me suis dit que ce serait l'occasion pour moi de découvrir davantage l'univers de la mer. Et je n'en sors pas déçue, bien au contraire. Il y a donc ce mot, "philosophie", qui au départ m'a rebutée. Peut-être parce que...ou alors c'est que... Bon, en tout cas, les 8h de philo que j'ai eues par semaine en Terminale ne m'ont pas laissé un souvenir heureux. Mais heureusement, je n'ai pas du tout retrouvé dans les pages de ce livre l'aversion éprouvée jadis. Ici, l'auteure mêle pensées philosophiques et expériences vécues, et c'est un plaisir pour l'esprit.

J'ai d'ailleurs eu le privilège de rencontrer l'auteure le 30 mai dans les locaux de Babelio. Son approche de la philosophie, qu'elle explique à juste titre comme l'art de chercher à comprendre les choses, m'a réconciliée avec cette discipline. Au passage, sa verve et son engouement ont rendu la rencontre vraiment enrichissante et passionnante. Merci à Babelio et aux Editions de La Martinière pour ce moment.



Un exemple de leçon ? J'aime bien celui de la baleine blanche. Dans ce texte, l'auteure fait référence à Moby Dick et au capitaine Achab qui poursuit la baleine avec désir de vengeance. Une réflexion bienvenue sur la colère et ce qu'on doit en faire nous est proposée ensuite.

La philosophie du requin est aussi intéressante. On y découvre les caractéristiques du requin, ses déplacements, son mode de fonctionnement. Et alors, vivre en requin, cette expression qui dans nos esprits a une connotation négative, prend un tout autre sens... Je vous laisse découvrir lequel :-)



Bref, j'encourage tout le monde à découvrir ce livre, et la nouvelle collection de la maison d'édition dont le but est de tirer des leçons d'un aspect de la nature.





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Petite philosophie de la Mer

Ce livre, que j’ai eu la chance de lire en avant-première grâce à Babelio, est sorti le 20 mai aux éditions de la martiniere..



Devenir le capitaine de son âme… comme on serait capitaine d’un bateau.

Ce roman, sous forme d’essai philosophique, nous questionne sur notre existence. Comment avancer malgré les tempêtes ? Comment naviguer au mieux, maintenir le cap en restant ouvert aux rencontres et opportunités, mais surtout vivre avec serenite et authenticité avec notre singularité ?

Le parallèle entre la mer, avec ses aléas et son infinitude - et la vie, pleine de contraintes mais aussi de riches perspectives, est passionnant et très bien traité. Très bien documenté et écrit avec beaucoup de finesse et de poésie, cet ouvrage accessible à tous et très agréable à lire est un traité de sagesse et une ode à la vie !

Merci Babelio et pour cette très jolie découverte !

Hâte de faire la connaissance de son autrice lors de la soirée organisée chez Babelio !

Merci Babelio pour cette rencontre passionnante avec Laurence Devillairs pour son livre « Petite philosophie de la mer » aux Éditions de La Martinière !



Laurence Devillairs, philosophe née à Besançon, nous parle avec émotion de son premier souvenir marin, quand elle avait 5 ans, « la mer n’est pas un paysage, c’est un miracle ».



« Petite philosophie de la mer » nous invite à nous inspirer de la mer pour vivre au mieux. Elle nous invite à « réactiver notre capacité à voir le beau òu il est «.

Pascal et Spinoza déjà s’inspiraient de la mer, révélatrice de la condition humaine.



J’ai beaucoup aimé cette rencontre avec Laurence Devillairs, sa philosophie qui est « d’accepter qu’il y a quelquechose à comprendre », avec beaucoup d’humilité, de sens pratique et d’humour.



J’ai hâte de lire un autre livre de cette philosophe, que je viens juste de connaître mais qui m’inspire déjà tellement !



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Méditations sur le risque

Comme dit le proverbe : "Qui ne risque rien n'a rien (*)".

Alors soit, oublions pour un temps la fiction, mettons le roman de côté et risquons-nous à la lecture d'un (petit) essai, ou plutôt d'un recueil de pensées et de réflexions joliment échafaudées par sept intervenants d'horizons divers.

L'objet de cette méditation collective ? La notion de "risque", évidemment.



Le risque au sens large, ou plutôt LES risques multiples et variés, qui couvrent l'ensemble du spectre depuis les menaces vitales pesant sur tout un chacun (accident grave, maladie foudroyante, attentat meurtrier, chute de météorite) jusqu'aux aléas plus "bénins", les risques de tous les jours inhérents à la moindre de nos décisions (entamer une relation amoureuse, investir en bourse, choisir un métier, une formation, une université, une entreprise, opter pour la "pilule rouge" plutôt que pour la "pilule bleue", etc...)

Le risque comme épouvantail, comme motif d'angoisse que l'on redoute et que l'on s'efforce de fuir, ou tout du moins de limiter, mais également le risque comme sel de l'existence, comme source d'excitation après laquelle on court (ne dit-on par "courir le risque" ?), que l'on se plaît parfois à rechercher, à poursuivre, à défier. Deux faces d'une même pièce, que souvent le Hasard se charge de manipuler pour nous...



C'est d'ailleurs bien lui, le hasard, qui m'a poussé vers ce livre, puisque je l'ai choisi à l'occasion d'une "masse critique Babelio" (merci à eux ainsi qu'aux éditions "Philosophie Mag" !) sans trop savoir à quoi m'attendre. Sans doute mon choix fut-il motivé simplement par la jolie couverture très sobre, associée au nom d'Etienne Klein, physicien et philosophe dont on m'a plusieurs fois vanté les mérites. Sa préface est d'ailleurs excellente et très instructive !

Au terme de ma lecture, je dois cependant reconnaître que je reste un peu sur ma faim. En dehors du célèbre écuyer / metteur en scène Bartabas (qui signe peut-être pour moi le plus beau chapitre du livre en abordant - hélas trop brièvement et de manière assez vague - la question de la "prise de risque artistique") je ne connaissais aucune des personnalités réunies autour d'Etienne Klein, et il m'a manqué un "fil conducteur", une cohérence, une unité entre chacune de leurs interventions.

Bien que chaque chapitre soit introduit par un bref message de présentation, je n'ai pas compris pourquoi un psychologue, un journaliste scientifique, un résistant de la seconde guerre mondiale, une docteure en philosophie, ou encore un anthropologue-sociologue avaient été conviés à compiler des textes si différents dans un même recueil sans soucis d'homogénéité, sans véritable idée directrice ni logique apparente (à moins qu'elles ne m'aient échappé, ce qui est tout à fait possible !)

Pour un lecteur comme moi peu habitué à ce type d'ouvrage, les questions soulevées, bien que très intéressantes (Peut-on vivre sans risque ? Qu'est-ce qu'un risque acceptable ? La fréquentation du risque serait-elle la condition pour éprouver la pleine valeur de l'existence ?) ne sont finalement qu'effleurées, ou abordées de manière un peu décousue, et les redites m'ont semblé trop nombreuses.



Entre réflexions philosophiques parfois confuses et brefs récits d'expériences vécues en guise d'illustrations, le lecteur ne sait plus trop où donner de la tête, ni ce qu'il faut retenir de ces différents textes pas toujours très accessibles au profane.

Peut-être quelques idées telles que celle-ci, que j'ai trouvée très juste :

"Notre rapport au risque s'est complètement inversé : il n'est plus perçu comme le prix à payer pour faire advenir le mieux, mais plutôt comme le symptôme d'un dérèglement général à corriger, voire comme l'annonce tangible des apocalypses futures."



Ou encore :

"Nos sociétés contemporaines transforment le risque en une sorte de repoussoir, elles le voient sous l'angle d'un péril dont il importe de se protéger dans d'innombrables domaines où la confiance n'est plus une donnée acquise : technologies, alimentation, transports, santé, loisirs, sexualité. Rien n'échappe à cette traque qui multiplie par ailleurs les contrôles, les réglementations, les procédures, les interdits, la judiciarisation. le risque est aujourd'hui une sorte de mot-valise pour dire l'incertitude avec une connotation néfaste. Son évocation est en dernière instance celle de la mort possible. Pourtant il est inhérent à la condition humaine".



Voilà déjà qui prête à réflexion, non ?

Ainsi, en dépit des quelques réserves énoncées plus haut et d'un léger regret, devant un sujet si intéressant, de n'être trop souvent resté qu'en surface, je suis content d'avoir "pris le risque" de cette lecture et m'en retourne à mes chers romans (peut-être) un peu moins bête !

C'est toujours ça de pris...



- - - - - -

(*) parait que ça marche aussi dans l'autre sens (dixit Guy Bedos) : "qui n'a rien ne risque rien". ☺
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Petite philosophie de la Mer

Je ressors assez mitigée de la lecture de ce livre. D'un côté, il est agréable à lire de part des chapitres thématiques très courts, le contenu intéressant qui nous fait réfléchir sur notre vie et qui nous permet d'en apprendre aussi beaucoup sur l'histoire de la mer. D'un autre côté, une métaphore filée sur 135 pages, c'est un peu lourd, et j'y ai vu un exercice de dissertation sur tous les thèmes possibles en rapport avec la mer (les flots, l'eau, les marins, la houle, le vent, les bateaux, les sirènes et j'en passe). C'est donc plutôt bien traité mais assez conventionnel. J'ai aussi trouvé que l'auteur était par moment trop affirmative et généraliste (plus personne ne sait être oisif pendant ses vacances...) ce qui est gênant pour une philosophe qui parle de prudence et d'équilibre à trouver.

En bref, un livre agréable à lire, surtout en cette période où nous sommes plus amenés à aller en bord de mer et profiter l'air marin si vivifiant, mais quelques réserves tout de même pour y adhérer complètement.
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Petite philosophie de la Mer

Une philosophe qui aime la mer! Elle s'en inspire pour nous offrir des textes courts ! C'est délicieux, intelligent, positif, bien écrit. On se laisse embarquer par les vagues, attiré par l'horizon, on nage en rêvant, en philosophant, loin des odeurs de crèmes solaires et de fritures. Même les requins nous prêtent des leçons de vie !
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Être quelqu'un de bien

Un livre dont le sujet peut sembler austère et rebutant. Mais la réflexion est finement et progressivement menée par l'auteur. Petit livre, mais grand sujet et brillante analyse.

Quelques citations notées :

"Le bien n'est pas une contrainte, c'est une décision."

"Toute éthique commence par la capacité à faire coïncider ses actes et ses principes."

"La vie n'est pas belle, elle est ce qu'elle est".

"Le mal est le plus souvent le bien que je ne fais pas".

"Être un peu plus que le spectateur de sa vie et des affaires du monde."
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Méditations sur le risque

Ouvrage très intéressant sur la prise de risque, peut-être plus précisément en Occident où le risque est plus évité que dans les autres civilisations.

Je ressors de cette lecture avec beaucoup d'images dans la tête, de questions sur ma propre appréhension du risque, mes craintes surtout.

La préface d'Etienne Klein est à elle seule déjà très riche en enseignements.

J'ai particulièrement apprécié les apports de David Le Breton et Tobie Nathan que j'ai trouvé être les plus denses.

Je ne pense pas que tous les textes soient facilement compréhensibles par tous. Cela reste des sciences humaines avec ses langages et, parfois, ses tournures de phrases. Mais tout lecteur y trouvera matière à réflexion. Ca me semble prétentieux d'y rester insensible.

Je relirai cet ouvrage à chaque fois que je me vautrerai dans mon quotidien ronflant et sans challenge.



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Mai 68 raconté à ceux qui ne l'ont pas vécu

Jeune, j'ai « vécu » Mai 68. J'en ai alors saisi l'importance, même si je n'en ai pas vu tous les aspects. Par la suite, j'ai beaucoup lu à ce sujet. L'opuscule de Patrick Rotman ne m'a rien appris de nouveau. Pour moi ceci est juste une "révision" de ces événements, avec ses trois phases: crise étudiante, crise sociale, crise politique: ça a commencé d'une manière foudroyante, mais c'était quasiment fini au bout d'un mois ! L'opinion publique, d'abord favorable aux jeunes manifestants, s'est vite retournée. Tout s'est passé comme si la majorité des adultes n'avait finalement pas pris au sérieux cette agitation juvénile. Bien sûr, les retombées de cette surprenante "révolution" ont été plus durables.

A mon avis le plus intéressant dans ce livre - qui a le mérite de la concision - est la mise en perspective de cette page d'histoire. En particulier, Patrick Rotman rappelle le contexte de 1968: le mouvement contre l'autoritarisme; la furieuse envie des jeunes gens de rompre avec la rigidité générale des moeurs; l'influence des mouvements contestataires à l'étranger; enfin la politisation d'une (faible) minorité en raison de la guerre du Vietnam.

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Être quelqu'un de bien

Un ouvrage de philosophie particulièrement intéressant par le sujet qu'il aborde.



Au-delà des notions de bien et de mal, l'autrice nous invite à agir en conscience au quotidien, chacune de nos décisions revêtant une responsabilité morale qui nous engage et nous place dans une dimension éthique.



Comme tout sujet philosophique, le propos est dense mais l'écriture intelligible rend la réflexion accessible. Une lecture que j'ai particulièrement appréciée.
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Petite philosophie de la Mer

Très joli livre qui met très concrètement en lien les sensations, les évocations de la mer, avec des "enseignements" philosophiques. Et cela sans jamais être ennuyeux ni professoral, dans une écriture poétique et très accessible : un délice.

Et merci beaucoup Babelio pour la rencontre avec Laurence Devillairs !

Il s'agit du deuxième livre "Petite philosophie de..." : le début d'une belle collection :-)
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Mai 68 raconté à ceux qui ne l'ont pas vécu

Petit livre extrêmement clair sur Mai 68, la genèse, le déroulement, le contexte et l'héritage. Très explicite et abordable. J'ai appris beaucoupde choses alors que je croyais déjà tout savoir! Belle surprise. J'ai lu ensuite "Le général a disparu" de Georges-Marc Benamou, ce qui a complété cette lecture très agréablement.
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Guérir la vie par la philosophie

Petit livre sans prétention qui se lit allègrement (vite et dans la joie) Chaque chapitre traite d'un mal de vivre différent, qu'il soit du corps ou de l'âme et propose un traitement philosophique soutenu par des citations variées plus ou moins connues. De belles leçons de sagesse mises au goût du jour, ironisant sur les modes, qui permettront d'affronter le quotidien et de réfléchir à la singularité de son existence.
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Petite philosophie de la Mer

En tant qu'amoureuse de la mer, je ne pouvais qu'être charmée par ces réflexions philosophiques.



La mer (ou l'océan... ne soyons pas trop pointilleux sur le terme) peut nous enseigner beaucoup de choses. C'est ce que Laurence Devillairs nous prouve avec 22 leçons de sérénité.



La mer, comme la vie, peut être surprenante, déstabilisante, nous balloter, nous faire chavirer... on ne peut la contrôler réellement. Mais il ne tient qu'à nous de prendre la vague comme elle vient, d'apprivoiser nos propres marées, de choisir de donner une teinte bleutée à notre vie plutôt que grise, savoir prendre le large à certains moments, nous amarrer aux bons endroits et aux bonnes personnes, naviguer avec prudence si l'on ne veut pas s'échouer...



Alors, prenez la vague et voguez au fil de de ces pensées philosophiques.

"Et, toujours, être le maître de son destin, le capitaine de son âme."
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Petite philosophie de la Mer

C'est en apnée que j'ai été embarquée dans cet océan de sagesse. Dans ce magnifique univers maritime, j'ai été percutée par les flots de ces leçons de vie qui, telles des balises ou un phare dans la nuit, nous guident pour dévoiler un horizon azur dénué de catégorisations, de regrets, de résistances, de fadeur, de conformisme, d'évidences, d'habitudes, de vengeance, de peurs, de méfiance, d'ego,...

Ainsi parés à braver les tempêtes tout en gardant le cap, nous sommes encouragés à quitter le quai, dans un doux ressac, pour sortir du rôle de moussaillon et devenir le capitaine de notre âme. Quand on est balloté par la vie voire dévasté par un tsunami, ancrons-nous puis fions-nous à notre rose des vents intérieure pour oser explorer de nouvelles voies navigables.



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Petite philosophie de la Mer

A partir de courts chapitres, l'autrice nous offre des pistes de réflexion et des points de philosophie axés sur la mer. Il sera question de sensations comme celle que nous procure le son des vagues ou le sifflement du vent.

L'idée principale sera d'arriver à analyser son environnement et d'en chasser les perturbateurs, ce qui pollue et parasite notre bien-être. Je trouve cette idée incroyable car tout le monde (ou presque) s'est retrouvé à un moment de vie devant la mer ou l'océan et à pu en ressentir les bienfaits comme une paix intérieure, un lâcher prise.

Il faut lire ce petit livre sans préjugés et se laisser aller, écouter les mots pour s'abandonner et s’épanouir.
Lien : https://leslecturesdestemilo..
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Partage : 70 recettes simples et conviviales

Je remercie la masse critique de Babelio pour l'envoi de ce livre de recettes.

Ce livre a le label Yliga qui certifie une traçabilité d'ouvrages édités de façon la plus respectueuse possible de l'environnement.

Le papier est très agréable et doux!



Ce livre rassemble 70 recettes originales, simples, succulentes et hyper conviviales .

Les explications sont très claires, les produits sont faciles à trouver.

Les auteurs proposent ainsi 10 occasions de partager des repas et pour chaque occasion, ils vous proposent entre 7 et 9 recettes allant du salé au sucré..

Beaucoup d'entre elles me tentent énormément mais j'attends juste d'être un peu plus en forme pour les s
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Petite philosophie de la Mer

Une ode à la mer et à l'océan qu'ils soient faits d'eau ou de sentiments.

Un recueil de pensées simples mais justes pour nous rappeler l’essentiel.

Parce qu'elle soit calme ou qu'il soit tumultueux

"Mer ou océan, où est la différence ?"

C'est en les abordant avec simplicité et courage que nous pourrons les apprivoiser sans jamais pourtant les dompter.

Une lecture simple, profonde et agréable tout simplement .
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