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Citations de Lily Hana (62)


Chapitre 4 : can I be Him (James Arthur)
Lexie
«…
— Quand je l’ai vue pour la première fois… Elle était magnifique, mon frère. Une vraie lumière, elle m’éblouissait. J’avais peur de la toucher, de m’approcher trop près et de devoir abandonner cette lumière un jour, mais elle m’a montré que jamais elle ne m’abandonnerait. Lexie est difficile à approcher, elle a tellement de barrières entre elle et le monde que ça paraît impossible de toutes les franchir. Mais je te promet que quand tu y arrives, quand elle t’accepte dans sa vie, alors elle te donne tout ce qu’elle a.
Moi qui m’attendais ai discours «tu ne la touches pas», je fus surpris qu’il me dise presque de me lancer. Mais plus il parlait, et plus j’avais envie de la connaître, et de devenir l’une de ces personnes si importantes dans sa vie.
—Pourquoi tu me dis tout ça ?
Nix se mit à rire en secouant la tête.
— Je ne suis pas assez stupide pour croire que tu arriveras à ne pas la toucher. On ressent l’attraction entre vous dès qu’on entre dans une pièce. Tu n’arrives même pas à regarder ailleurs si elle est près de toi. Si je pensais que ce n’était que pour un coup d’un soir, je te dirais d’aller te faire voir. Mais c’est clairement plus que ça.
Mon corps se raidit.
— Tu te trompes. Si tu crois que je vais me poser avec elle, tu rêves. Crois-moi, Nix, ce que j’envisage avec elle te donnerait des envies de meurtre.
Tout bon sentiment quitta son visage et il me fusilla du regard.
— Alors, peut-être que je suis stupide. Que ce soit clair, Shasow, si tu lui fais du mal, je n’hésiterai pas à te tuer, frère ou non. Je sors juste de prison, mais pour elle, je signerais à nouveau sans aucun remords. Ne t’approche pas d’elle si ce n’est pas pour en faire ta régulière.
Je secouai la tête, incapable de ne serait-ce que penser à laisser une telle chose arriver... »
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— Merde, merde, merde ! Le premier est censé mettre des heures à arriver !
Les mains sur mon ventre, essayant de reprendre mon souffle, je le fusillai du regard.
— Ta fille ne semble pas au courant ! Pourtant, son père est plutôt lent à la détente !
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On dit qu’une fille cherche toujours à retrouver une part de son père quand elle cherche un homme. Si c’est le cas, mes recherches devraient porter sur tous les connards du monde.
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— Zaïa, tu sais que je t’adore, mais si tu me parles encore une fois d’une connerie que tu veux faire, je te jure que je t’épile tous les poils de ton vagin ! Et avec les dents !
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Ses yeux s’écarquillèrent, comme s’il entendait quelque chose dans ma voix qui lui faisait peur. Tendrement, je posai ma main sur sa joue, mon pouce passant lentement sur sa lèvre inférieure, me rappelant combien j’aimais bien la mordre jusqu’à voir sa couleur foncer.
— Je ne veux plus jamais que tu t’approches de moi. Jamais, Shadow.
Mes paroles m’arrachèrent le cœur alors même qu’elles quittaient mes lèvres en un murmure douloureux. Je laissai lentement ma main glisser de son visage, et le contournant, je laissai derrière moi l’amour de ma vie, le père de ma fille, et celui que j’aurais rêvé qu’il soit.
J’enfilai ma veste en jean quand j’entendis les paroles de Cash.
— Tu vas tellement le regretter, mon frère.
Il insista sur les derniers mots, mais sa moue dégoûtée disait clairement ce qu’il en pensait. Zaïa vint à côté de moi et glissa sa main dans la mienne, avant d’ouvrir la porte. Nous sortîmes dans le froid, Nix et Cash derrière nous, et nous retournâmes dans ma chambre, faire notre Noël en famille.
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Décidément, la fièvre avait un drôle d'effet sur moi ; elle me transformait en cochonne.
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J’adore lire, je lis énormément de romans, mais pas de ceux qu’on étudie en cours. Où est le plaisir quand on doit décortiquer chaque phrase pour en comprendre le sens ? La lecture, c’est l’évasion, non ? Je ne prends aucun plaisir à lire un livre si je dois sortir un dictionnaire ou une étude du livre toutes les deux pages. Mais bon, ça, c’est moi. J’aime quand les choses viennent naturellement, qu’elles coulent de source.
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Si elle croyait que j’allais laisser tomber mon avenir avec elle aussi facilement, c’est elle qui ne me connaissait pas. La guerre commençait, et il n’y avait aucune chance que je la perde.
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- Mais qu’est-ce que tu fais là, putain !
Au lieu de me répondre, il pencha la tête sur le côté, son regard parcourant lentement mon corps.
- J’ai rêvé ou je t’ai entendu gémir sous la douche ?
Je déglutis en reconnaissant l’étincelle qui brillait dans son regard.
- Sage…
Il se leva, s’approchant de moi d’un pas lent de prédateur.
- Est-ce que tu pensais à moi, Keira ? À la façon dont ton corps s’électrise quand je suis près de toi ? Et ton souffle, qui se raccourcit, comme si ma seule présence t’intoxiquait ?
Il leva une main, frôlant la serviette qui recouvrait mes seins du bout des doigts.
- Ou la manière dont tes seins pointent en avant, comme pour me supplier de les toucher, de les mordre, de les lécher ?
J’ouvrai la bouche, pour l’insulter ou le supplier je n’en savais rien, quand la porte de ma chambre claqua contre le mur. Maria, les bras croisés, fusilla Sage du regard.
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Qui sont les cons qui trouvent l’Italie géniale ? Personnellement, il m’avait fallu seulement trois mois pour en avoir ras-le-bol de leurs nanas folles dingues, de leur bouffe naturelle qui a un goût de foin, et je ne parle même pas de leur langue qui doit automatiquement finir par un « o » ou un « a ». Sérieusement, il y a d’autres syllabes dans l’alphabet. Et c’est quoi ces prénoms ? Je jure avoir rencontré au moins vingt « Paolo » et quarante « Marco ».
Je regrettais mon Amérique et sa malbouffe trafiquée. J’avais grandi avec des produits non naturels, ici même le beurre avait un goût étrange. De… beurre sain. Dégueulasse.
Assis à la terrasse d’un café, j’attendais que Nix me rejoigne en buvant un concentré de café dans une mini tasse, parce qu’ici, bien sûr, même le café est différent. Aucun gâteau pour aller avec, les muffins et autres, inconnus au bataillon. Il y avait des gressins, et des gâteaux aussi secs que de la paille pour les courageux. Une boulangerie était une boulangerie : du pain, des gressins, et rien d’autre.
J’étais perdu dans le trou du cul du monde, et je n’avais pas ma dose journalière de sucre dans le sang. Si on ne se bougeait pas à régler cette affaire, j’étais prêt à faire sauter la moitié de cette foutue ville pour rentrer chez moi.
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« La mort n’est pas la plus grande perte dans la vie. La plus grande perte est ce qui meurt en nous pendant que nous vivons. » Norman Cousins
Alors que les coups pleuvaient sur moi, je ne pouvais m’empêcher de me dire que celui qui avait écrit cette phrase ne pouvait avoir plus raison.
Les gens qui ne nous connaissent pas se demandent comment on en arrive à ce point-là. Pourquoi nous n’avons pas fait bouger les choses avant. Sur le papier, ça a l’air tellement simple. Mais la réalité est bien plus compliquée.
A une époque, Craig était un homme doux, gentil, qui aurait tout fait pour moi. L’homme que j’ai aimé me prenait dans ses bras quand je pleurais, il me disait chaque jour à quel point j’étais belle, à quel point il m’aimait.
Chaque jour, je voulais partir, je voulais trouver la force de lui dire que c’était terminé, mais à chaque fois cette pointe de culpabilité en moi se réveillait, me disant que c’était ma faute si l’homme doux que j’avais connu était devenu le monstre qui partageait ma vie aujourd’hui.
Parce que chaque jour où Craig m’avait aimé, j’en avais aimé un autre plus que lui, et il le savait.
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J’ouvrais la bouche pour lui répondre quand Lexie entra dans la chambre comme une folle. À la main, elle avait un paquet argenté que je connaissais bien et… Un gode rose ? Elle fonça sur Cash et le repoussa jusqu’à ce qu’il soit assis et qu’elle puisse prendre place à côté de moi pour lui faire face.
- Très bien ! Vu qu’apparemment personne ne t’a appris à t’en servir, je me lance !
Face à moi, Cash l’observait, complètement perdu. Elle leva la main droite, lui montrant le paquet doré du préservatif.
- Ça, c’est une capote.
Quand elle leva le gode d’une taille surprenante devant lui, j’éclatais de rire devant le regard horrifié qui se peignit sur son visage.
- Ça, c’est une queue, même si je comprends que tu ne saches pas ce que c’est. Elle ouvrit la capote et la déroula lentement sur son énorme gode.
- Voilà comment ça marche ! Tu déroules, et ça roule ! Pas de capote, pas de sexe ! Point barre !
Elle retira la capote du gode, et la jeta dans une poubelle que je gardais à côté de mon lit avant de le tendre à Cash avec une nouvelle capote dans son sachet brillant.
- Tu veux essayer ou ça ira ?
Cash l’observa, la bouche grande ouverte, apparemment à court de mots. Il ferma la bouche, la rouvrit. La ferma à nouveau, avant de prendre une grande inspiration et de crier.
- SHADOOOOOOOW !!
Quelques secondes plus tard, Shadow arriva en courant dans la chambre. Quand il vit sa femme, un gode à la main et une capote dans l’autre, il soupira en secouant la tête avant de la soulever du lit et de la jeter sur son épaule en lui mettant une claque sur les fesses, ce qui la fit couiner.
- Ne t’inquiète pas, j’ai eu le droit au même cours après la naissance de Zee.
Il frappa doucement sur l’épaule de Cash avant de sortir de la chambre, sa femme toujours perchée sur son épaule nous fit coucou en souriant.
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Je m’installais dans le siège passager en la regardant partir vers les Prospect pour leur parler, promenant un doigt menaçant juste sous leurs nez. Je ne pus m’empêcher de la questionner quand elle revint s’installer du côté conducteur.
- Qu’est-ce que c’était tout ça ?
Elle se tourna vers moi en mettant ses lunettes de soleil et me sourit.
- Je leur ai promis de laisser leurs parties génitales intactes si eux gardaient leurs bouches fermées.
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Il y avait deux choses dans la vie d’un biker qu’il ne fallait jamais toucher : sa moto, et sa femme. L’ordre changeait selon le biker, mais les deux sujets restaient toujours les mêmes.
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Certaines personnes parlent de destin, d'autres, de fatalité. Moi, je pense que nos vies dépendent des choix que l'on fait. Quelquefois, ce ne sont que de petites décisions, des décisions qui au premier abord paraissent sans importance, mais qui pourtant, au final, changent tout.
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Chapitre 1 : Unsteady (X Ambassadors)
Lexie
«…
Shadow : C’est ça, bébé. Écarte un peu plus ces jolies jambes pour moi. Je rêve de les voir enroulées autour de ma taille toutes les nuits.
Le souffle coupé par la pointe de désir qui me traversa, pour la première fois depuis longtemps je laissai mon regard remonter jusqu’à la webcam posée au-dessus de l’écran de l’ordinateur, fixant le petit objectif si intensément que l’on aurait pu croire qu’il pouvait me transporter ailleurs, auprès de Lui. Pendant une seconde, je laissai mon regard transparaître tout ce qui me traversait, mon désir comme ma peur, mon besoin comme ma peine. Pendant une seconde, je me laissai aller à être moi, et non Lexie Ann, une bimbo rousse faite de pixels et de rêves brisés.
Les trois petits points qui clignotaient à côté de son pseudo, indiquant qu’il était en train d’écrire, disparurent.
... »
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Oh. My. God ! Cette voix ! Chaude, douce, sucrée. Oui, oui ! Sucrée ! Je vous assure qu’on peut dire qu’une voix est sucrée du moment qu’elle ne vous donne qu’une envie : sauter sur le mec et le faire parler, sa bouche collée à votre clitoris, jusqu’à l’orgasme ! Et c’est la seule chose à laquelle je pouvais penser en le regardant : sa bouche sur moi. Je vous l’ai dit : je suis une ado avec un trop-plein d’hormones moi aussi !
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Aimer quelqu’un à distance était quelque chose de pur, de beau. Tout ce que l’on souhaitait, c’était le bonheur de cette personne, et rien d’autre. Stephen avait en plus été mon premier amour.
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Quand l’adrénaline quitte ton corps, il y a plusieurs effets, mais comme tu étais dans les vapes, ton corps ne réagit que maintenant. La première fois que ça m’est arrivé, j’ai plongé au sol la tête la première.
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On a tous des périodes où on est au fond du trou, et tu es mieux placé que personne pour savoir à quel point la mienne était profonde. Quand j’ai eu besoin d’aide, tu étais là, et Sina aussi. À notre tour d’être là pour toi. Mais n’oublie pas…
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