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Citations de Linda Saint Jalmes (36)


L’erreur est effectivement humaine, cependant moi, il me semble ne pas m’être trompée en vous assurant que vous n’étiez pas mon promis. Celui qui m’est destiné m’aimera d’un amour inconditionnel, sans intervention des Dieux. Celui qui m’aimera n’aura pas besoin d’ouvrir les yeux pour comprendre que je suis sienne..., il le saura dès le début. Et celui-là... sera l’homme de ma vie !
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Ce n'était pas de l'amour, loin de là, et de plus, il ne croyait en rien à ces histoires de coup de foudre. Non, son corps s'enflammait au contact de la douceur de sa peau, du lys de ses joues, et de son odeur fruitée, unique.
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Gaussez-vous tant que vous le pourrez, car dès que les hommes seront libérés de leur serment, ils succomberont tous à mes envoûtants baisers.
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Diane se tenait devant un Highlander, un vrai, puissant, indomptable..., un être de légende.
Un être qui ne ressemblait en rien à son prince charmant, un chevalier blond en armure, que Diane s’était imaginé dans ses rêves de fillette énamourée.
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— Tu oublies que c’est une union celtique ? susurra-t-il moqueur.
— Oh… oui, j’avais oublié… donc… pour nous, c’est pareil !
— Naye ! grogna Darren en plissant les yeux. Nous, c’est pour la vie !
— Mais tu viens de dire…
— Je sais ce que j’ai dit… mais cela ne change pas le fait que pour nous c’est pour la vie ! ! !
À cet instant précis, Darren était l’image même d’un ange ténébreux, immensément beau dans sa sombre colère. Il revendiquait, il prenait…
Il était son guerrier Highlander, son amour et oui, pour la vie… mais, n’avait-elle pas le droit de le faire marcher un peu ?
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Nous luttons tous les jours contre des hordes de prêtres fanatiques. C’est comme une gangrène qu’aucun remède ne pourrait guérir
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Diane...
Elle était la pureté, la délicatesse, une beauté parfaite avec cette chevelure qui rayonnait dans la nuit comme les éclats dorés d’un soleil d’été. Cependant, bien trop fragile pour être sa moitié.
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Mais… il est presque trop tard, gémit-elle en posant sa main fine sur le front de Sophie-Élisa.
— Naye ! s’exclama Logan au désespoir. Renvoyez-nous dans une autre époque, loin de Cameron, n’importe où, même si c’est la préhistoire ! Je la suivrai partout pour qu’elle ne meure pas !
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Cependant, entre la vraie histoire et la légende contée aux enfants et... aux adultes, il y a une énorme différence.
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Quelle ironie, quand Diane songeait à son ignorance sur un tel sujet, alors que les langues étrangères – le parler et l’écrit – comme le latin, le français, le germanique et l’espagnol n’avaient plus aucun secret pour elle.
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Il s'était écarté d'elle pour mieux la devisager, cherchant à savoir si elle plaisantait, se moquait de lui. Il ne semblait pas que ce soit le cas et d'imaginer un oiseau de fer volant dans le ciel, avec à son bord un quart des membres de son clan habillés en tartan et hurlant de terreur lui donna le tournis.
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Ce sont des contes que les ignorants racontent à leur entourage pour nous faire passer pour des monstres.
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C’est ainsi que débuta le drame. Awena fit basculer la chaise
percée, battit des pieds et des mains pour éviter de s’effondrer
par terre – le tout sans cesser de glousser – et, une fois au sol,
vit passer devant ses yeux larmoyants, le pot de chambre qui
avançait en roulant et tanguant sur lui-même pour finir sa
course dans les pieds du seigneur Darren. Il avait accouru en
sauveur, magnifique guerrier Highlander et… se retrouvait
maintenant, lui aussi, étalé sur le sol. Avec une option en plus et
pas des moindres : Il avait le pied droit dans le pot de chambre,
qui semblait s’être entiché de lui !
« Non, ce n’est pas rigolo », fit une petite voix dans la tête
d’Awena. Mais celle-ci n’en tint pas compte et se mit à hurler de
rire en se trémoussant par terre.
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Darren rit doucement en s’allongeant à ses côtés tout en la serrant tout contre lui.
Ils restèrent silencieux pendant un long moment, heureux d’être dans les bras l’un de l’autre, encore un cadeau que la vie et les Dieux leur offraient.
— Plus de magie pour toi beag blàth… gronda Darren.
— Promis…
— Plus de chevaux non plus, ce n’est pas bon pour le bébé !
— Promis…
— Tu feras ce que je te dirai !
— Promis…
— Pourquoi croises-tu les doigts derrière ton dos ? s’enquit Darren en fronçant les sourcils devant le sourire mutin d’Awena.
— Parce que… pouffa-t-elle.
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En levant les yeux, elle se dit aussitôt qu’elle aurait dû
garder la couche de glu d’œufs qui la protégeait de la scène,
plutôt très réelle, qui s’offrait à elle.
Éclairés par des torches, devant elle, se tenaient deux
gugusses en Jupes… des jupes !
Et torses nus !
Un rouquin aux cheveux longs tressés et une grande
baraque brune avec des nattes « lui » aussi !
Une idée surgit dans l’esprit de la jeune femme. Peut-être
étaient-ils des surfeurs ? Oui, mais… ici sur les collines
d’Écosse ? Il était vrai que la Mer du Nord ne se trouvait qu’à
quatre ou cinq kilomètres à l’Est du loch of Yarrows, mais
quand même !
Puis une autre image incongrue se calqua à celle des
surfeurs.
— Ohhhhhhhhhh merde ! Après les Dalton, je rencontre
Laurel et Hardy marmonna-t-elle à voix haute.
C’était une sorte de tic, elle comparait très souvent des
personnes réelles avec des personnages de fiction. Une
déformation professionnelle, car en tant que dessinatrice
illustratrice de BD, l’esprit de la jeune femme naviguait
beaucoup sur l’océan de l’imaginaire.
— Qu’est-ce qu’elle a dit ? questionna le rouquin, le plus
petit des deux, d’un bon mètre quatre-vingt néanmoins et grâce
au son de sa voix, elle l’identifia comme étant Ned-Laurel.
— Je crois qu’elle a parlé de merde et de radis ! répondit la
baraque à tresses « plus grande de quelques centimètres »,
Clyde-Hardy logiquement.
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Dernier petit bijou de Linda Saint Jalmes. Je me suis amusée, j'ai ri aux larmes, et j'ai ressenti une immense tendresse pour Lili qui accumule les bourdes et les gaffes. Un petit concentré d'humour qui fait un bien fou, surtout quand le moral n'y est pas.
Un gros coup de coeur pour moi.
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Awena sut que le clan se référait tout simplement à ce que l'on appellerait dans le futur : le calendrier de Coligny (nom donné grâce à la découverte d'une grande tablette d'un lointain passé, sur la commune de Coligny dans l'Ain en France) ou tout simplement calendrier celtique.
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Iain venait de s'attabler près de Diane,sa femme,qui le contemplait de la tête aux pieds en gloussant derrière ses doigts.
-Ne te serais-tu pas trompé d'époque,mon cher et tendre mari? se moqua-t'elle...
De plus,porter une toge romaine!
- Il se trouve,ma mie, qu'une sorte de cù gigantesque,monstrueux,égal à un cerbère, m'a arraché mon Kilt à la suite d'une sanglante bataille, badina Iain...
- Ne serait-ce pas de ce terrifiant cù,dont tu parles?
Tikitt, le petit cairn terrier de Cameron,était allongé de tout son long devant l'âtre et releva sa truffe de nounours du tas de tissus aux couleurs du clan,qu'il s'acharnait savamment à mettre en pièces.
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Aaron avança les doigts vers le ciel bleu azuré et rencontra la paroi lisse de la chambre des vœux. Ce retour à la réalité l'attrista profondément. Il aurait tant voulu que tout cela soit tangible. Être chez lui, et ne jamais s'être réveillé dans cette foutue caverne de Wemyss. Cette ordure de Galdorka's lui avait volé sa vie, et il avait hâte d'en découdre avec lui.
— Que sont devenus les cromlechs sacrés, les cairns, ainsi que les menhirs de Stenness, Brodgar, Bamhouse et d'Isbister ?
— Détruits, lui répondit Brivaëlle d'un ton neutre. Je les ai tous inspectés, aucun n'est intact, il n'y a plus que des sols stériles ou toxiques. C'est d'ailleurs dans ce qui fut le majestueux cercle des Dieux de Brodgar que j'ai été grièvement blessée par un Truvion... Pas un seul lien avec les Sidhes n'est resté debout. Les portes célestes des Orcades étaient trop difficiles à contrôler par les Imposteurs, ils ont employés la tactique de la terre brûlée. S'il vous plaît, ne pleurez pas !
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Il rêvait d'une sylphide à la chevelure brune interminable et aux reflets cuivrés, d'une bouche aux lèvres pulpeuses, d'un petit nez retroussé, et d'immenses yeux noisette qui le hanteraient certainement toute sa vie.
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