Citations de Linwood Barclay (793)
Tous les parents se font du souci pour leurs gosses, mais il faut les laisser vivre à leur guise.
Mieux vaut résoudre tes problèmes sans recourir à des médicaments.
Elle prétend qu’un type la harcèle, mais tu connais le sens de la mesure des jeunes filles. Si un type s’intéresse à elles et que sa tête ne leur revient pas, elles crient au loup !
Si tu sauves la vie de quelqu’un, tu dois le protéger tel un chien de garde jusqu’à sa mort.
Il faut avouer que c’est une merveille de voiture pour passer de la came. Une petite hybride, gentiment écolo. À la frontière, on vous prend pour Ralph Nader, le héros du parti vert. On l’a utilisée une demi-douzaine de fois.
On ne devrait jamais vendre les jouets de son enfance. Plus tard, quand on devient adulte, on le regrette toujours.
— Monsieur Garber, votre épouse se prénomme bien Sheila ?
— Oui.
— Vous avez une petite idée de son emploi du temps de ce soir ? Où allait-elle ?
— Elle avait un cours du soir. À l’école de commerce de Bridgeport. Une formation en comptabilité, pour m’aider… J’ai une entreprise de bâtiment. Que s’est-il passé ? Que s’est-il passé sur cette fichue bretelle ? Vous le savez ? Quel est le… l’abruti qui conduisait l’autre voiture ? Qu’est-ce qu’il a foutu ?
Le flic a baissé les yeux.
— Monsieur Garber, l’alcool est vraisemblablement à l’origine de l’accident.
Quand j'eus arraché quelques lames au premier étage, je descendis au rez-de-chaussée. Je tirai les tapis, continuai à tapoter le parquet et à soulever les lames suspectes. Ensuite, j'arrachai les plinthes du placard de l'entrée. Dans la cuisine, je retournai un tiroir après l'autre. Je tirai le réfrigérateur pour regarder derrière, je vidai les boîtes de sucre et de farine, inspectai tous les sacs en plastique rangés dans le cellier. Je soulevai les couvercles de toutes les casseroles, tous les plats et toutes les cocottes. Je montai même sur une chaise pour inspecter le dessus des placards muraux.
Rien.
En ce qui concerne Sarah et son sac, je sais que je suis en train de virer obsessionnel. Mais la télé n’arrête pas de parler d’histoires de sacs volés. Celle de la femme qui y avait rangé son billet de loterie. Cette autre qui a perdu ainsi les photos du mariage de sa sœur. Il y a des choses qui ne se font pas. Laisser son sac sans surveillance dans un supermarché plein de monde en fait partie.De là où je me trouve, j’ai l’impression que son sac n’est même pas fermé. Quelle délicate attention ! Le voleur n’aura pas à s’enquiquiner à le prendre, il lui suffira de jeter un coup d’œil à l’intérieur et de se servir.
J’avance lentement, songeant aux différentes manières de prendre les choses en main. À dire vrai, je n’en ai aucune idée. Je pense seulement avoir commis une terrible erreur en ne téléphonant pas à la police en chemin, en ne passant pas prendre Earl ou en ne sonnant pas chez Trixie pour récupérer le registre, mais je ne songeais qu’à une chose : Sarah était en danger, je devais venir à son secours le plus vite possible.
le résumé m'a beaucoup plu et comme j'aime beaucoup cet auteur, je viens de terminer "Ne la quittes pas des yeux". A lire absolument.
j'ai lu tous les romans de Lindwood Barclay. J'ai acheté le dernier que je n'ai pas encore commencé mais il fait partie de ma liste.
-Alors scie la chaîne. On emporte la mallette et on s'arrangera pour l'ouvrir plus tard. -Elle m'a l'air plus solide que ce que je pensais. Il va falloir au moins une heure pour la scier. -Tu ne peux pas faire glisser sa main? -Combien de fois je dois te le répéter? Je vais être obligé de scier! -Mais tu viens de dire que ça allait te prendre un temps fou. -Je ne te parle pas des menottes.