Citations de Lorea Springs (68)
Je ne suis pas jaloux mais un plan cul c’est comme une brosse à dents ça ce prête pas
Pages 294
Lignes 28 à 32
"Ma couleur préférée, c’est tes yeux. L’odeur que je préfère ? Ta peau. Mon parfum de glace préféré ? Ta bouche. Ma chanson favorite ? Ta voix. Je veux tout de toi parce que j’aime tout. De ton sourire en coin à ton sourcil arqué, ton corps musclé à ton cœur blessé. Tout de toi."
Je les entends ses larmes. Elles ne se voient pas, mais elles sont dans chaque intonation de sa voix, dans chaque froncement de sourcils, chaque tressaillement de ses mâchoires carrées. Alors, puisque les larmes sont faites pour être versées, ce soir, c'est sur mes joues qu'elles roulent. Silencieuses et cruelles.
La chance, on se la crée. Il n'y a pas de destin, pas de fatalité, juste des occasions.
Mais les règles sont faites pour être brisées, Maddie. Des règles qui ne sont que des entraves ne servent à rien.
On croit toujours que la fin du monde aura lieu dans un gigantesque cataclysme, un vacarme terrifiant, des explosions et des tombereaux de poussière. C'est faux. La fin du monde est silencieuse.
L'humour comme dernier rempart face à l'inéluctable, bouclier dérisoire contre le temps qui passe.
Je veux vibrer, aimer à en crever, avoir le cul par terre tellement je suis soufflée
Je l'ai senti tout de suite, et je ne m'étais pas trompé.C'est ce qui m'a attiré et qui continue à embraser chaque jour que nous passons ensemble. Le feu sous la glace.
On a tous le cœur brisé un jour ou l'autre. Et tu sais quoi ? On n'est pas obligé de se mettre à détester le monde entier pour autant. Spoiler alert: ça n'a jamais aidé personne à cicatriser.
Il lui aura fallu moins d’une heure pour fendiller l’armure.
L'amour, ça ne se contrôle pas. Ça ne se décide pas. Ce n est pas une réponse à un QCM. C'est un hasard, une évidence, parfois cela prend des années, parfois une seconde.
À l’avenir,
À nos petites victoires et nos immenses défaites
À nos grandes joies et nos minuscules cicatrices
À la vie.
Choisissez de ne pas vous trahir.
Acceptez les défaites. Acceptez les échecs. Acceptez vos souffrances. Acceptez de ne pas être infaillible. Acceptez d’être humain.
Vous êtes étonnants, émouvants, captivants, intrigants, éblouissants.
Vous êtes beaux dans vos imperfections.
Vous êtes forts dans vos fragilités.
Vous êtes vivants.
La vérité, c’est que j’avais peur qu’elle détraque mon cerveau avec ses méthodes et ses exercices à la con et c’est toute autre chose qu’elle a déréglée. Avec ses airs d’institutrice et ses sourires à faire fondre les glaciers, ses carnets de notes et ses jupes portefeuille, ses foulards de soie et son caractère en acier trempé, son cul de compétition et ses complexes, c’est mon cœur qu’elle a foutu en l’air. Je croyais que j’étais vivant, mais c’est elle qui a remis de la vie dans chacun de mes gestes. La vie avec son lot d’emmerdes. Les interrogations futiles, les disputes dérisoires, les joies stupides. Sans que je ne voie rien venir, Quinn a changé le cours des choses. Le monde a une autre couleur, la vie un peu plus de saveurs et ça ne tourne plus très rond dans ma tête.
Certains sont faits pour sourire et faire de l’ombre au soleil, tandis que d’autres, au contraire, semblent avoir été conçus pour rivaliser avec le feu du ciel. Johnson ne concurrence pas l’orage. Il est l’orage. Il est le tonnerre qui roule, l’éclair qui éblouit, et la foudre qui s’abat sans prévenir. Implacable. Fascinant. Aussi superbe qu’effrayant.
Choisissez de ne pas vous trahir. Acceptez les défaites. Acceptez les échecs. Acceptez vos souffrances. Acceptez de ne pas être infaillible. Acceptez d'être humain.
Le jour où je t'embrasserais, Quinn King, je t'assure que tu n'auras pas le temps de te demander si c'est le bon moment ou pas.
Que rien ne me rend plus heureux que de la voir s'agacer contre moi. Parce que j'existe. C'est simple, je ne me suis jamais senti aussi vivant que depuis que Quinn est à mes côtés.
On peut vivre mille vies, qui dépendent toutes des choix que l'on fait. Et moi, je te choisis toi.