Citations de Lorea Springs (73)
Certains se contentent d'amourettes, moi pas. Je veux l'amour qui vous transporte et vous trans-forme, pour vous laisser comblée ou dévas-tée, c'est selon, mais vivante. Inexorablement vivante par chaque cellule de mon corps. Je ne veux rien de moins.
Rien ne pourra m'empêcher de penser que personne ne résiste à l'amour quand il vous tombe dessus. Certains peuvent bien imaginer qu'un petit angelot lance des flèches. Moi, je préfère me dire que c'est un ouragan qui ravage tout sur son passage et contre lequel rien ne sert de lutter. Pour le pire, parfois, mais surtout pour le meilleur.
« Provoquer un loup n’est jamais une bonne idée. Et la légende Wolf est en marche. »
Rien ne sert de compter les points. C'est la vie qui gagne toujours, à la fin.
Je murmure des phrases muettes contre sa peau où je lui avoue ce que je n'arrive pas encore à dire. Qu'il a tout effacé. Qu'il a fait voler en éclats mes repères pour en reconstruire d'autres qui ne portent que son nom. Qu'il est le seul à pouvoir provoquer mes colères les plus tempétueuses, le seul aussi à pouvoir m'apaiser. Qu'il est le seul baiser qui compte et le meilleur sexe de ma vie. Que je voudrais lire des nuits entières à ses côtés. Qu'il est mon joueur de hockey préféré. Qu'il est le plus bel homme que je connaisse. Le plus drôle, aussi. Et que je l'aime.
C'est juste la vie. On ne prévoit pas tout, parfois ça nous tombe dessus, ça ne sert à rien de lutter.
Rien n'est plus doux que l'amour, mon fils, et aucune douleur ne vaut qu'on s'en tienne éloigné.
- Parfois, il faut payer cher ses erreurs pour bien retenir la leçon.
Je vais te dire quelque chose, June : le danger, ça fait se sentir vivant. Et réussir à le dépasser, c’est ce qui rend libre.
C’est indéfinissable, pourtant, je sens que derrière son masque de glace, il y a un volcan en elle qui ne demande qu’à se réveiller.
Provoquer un loup n’est jamais une bonne idée. Et la légende Wolf est en marche.
Parce que c’est ça l’histoire que tu mérites, Sunshine, rien de moins.
Je vais te dire quelque chose, June : le danger, ça fait se sentir vivant. Et réussir à le dépasser, c'est ce qui rend libre.
Je ne me suis jamais sentie aussi vivante qu'avec toi, concède June. Chaque fois, c'est toi. C'est toujours toi.
Maintenant, moi aussi, j’ai la drôle impression que je finirai par embrasser Quinn. Un jour. Peut-être.
Il y a des batailles qu’il ne sert à rien de mener, simplement car on sait qu’elles sont perdues d’avance.
Je veux tout de toi parce que j'aime tout.
Mais je ne peux pas t’aimer ailleurs que dans ma tête.
Granny dit que c’est ça, la beauté de la littérature. Qu’elle permet de s’évader dans d’autres contrées, d’autres possibles, quand la réalité vous déçoit un peu.
Je veux être vivante avec toi, Charlie. Libre avec toi. Parce que je t’aime. Je t’aime probablement depuis toujours…