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Citations de Louisa May Alcott (204)


So she enjoyed herself heartily, and found, what isn't always the case, that her granted wish was all she had hoped.
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Ça sera dur à supporter mais j'essaierai tout de même
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---1---OÙ LE LECTEUR FAIT CONNAISSANCE AVEC LA FAMILLE AMÉRICAINE

"Noël ne sera pas Noël si on ne nous fait pas de cadeaux, grommela miss Jo en se couchant sur le tapis.
_C'est cependant terrible de n'être plus riche, soupira Meg en regardant sa vieille robe.
_Ce n'est peut-être pas non plus que certaines petites filles aient beaucoup de jolies choses et d'autres rien du tout"ajouta la petite Amy en se mouchant d'un air offensé.
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(Beth) Vois-tu, Jo, il est très beau d’écrire des livres splendides, ou de parcourir le monde, mais il est encore plus beau de se dévouer pour les siens, car l’amour est la seule chose qui soit plus vraie que la gloire, plus enrichissante que la fortune, plus durable que la vie … .
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Elle n'avait pas encore compris qu'elle était riche des biens qui seuls rendent la vie heureuse.
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"Un Noël sans cadeaux, ce ne sera pas un Noël, grommela Jo étendue sur le tapis.
- C'est terrible d'être pauvre ! soupira Meg en regardant sa vieille robe.
- Je trouve qu'il n'est pas juste que des filles reçoivent tout plein de jolies choses et d'autres rien du tout, ajouta la petite Amy avec un reniflement offensé.
- Nous avons nos parents et nous sommes toutes les quatre", dit gaiement Beth dans son coin.
À ces paroles, la figure des soeurs s'éclaira mais elle s'assombrit de nouveau quand Jo remarqua tristement :
"Papa est bien loin et il ne sera pas de retour avant longtemps."
Elle n'osa pas dire "peut-être jamais", mais toutes l'avaient pensé. Elles se représentaient leur père au milieu des combats qui mettaient alors aux prises le Nord et le Sud de l'Amérique.
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Je voulais vous faire comprendre que la joie de tous dépend du concours de chacun. Quand Hannah et moi nous avons accompli vos tâches, tout allait bien pour vous mais je ne crois pas que vous étiez ni très heureuses, ni très aimables. Aussi j'ai voulu vous donner une petite leçon et vous montrer ce qui arrive quand chacun ne pense qu'à soi. Exécuter des tâches quotidiennes rend les loisirs plus doux. Et ainsi on peut avoir un foyer agréable.
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Il y a de nombreuses Beth dans le monde, timides, tranquilles, vivant pour les autres si naturellement que personne ne s'aperçoit des sacrifices qu'elles font jusqu'à ce qu'elles disparaissent, laissant le silence et l'ombre derrière elles.
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Ne me donne pas ta réponse maintenant, réfléchis bien, mais sache que ma proposition s'accorde à mon désir, que ton consentement me rendra heureux et que je ne vois pas d'autre voie s'ouvrir à nous à moins que tu ne décides de me quitter. Prends ta décision en toute conscience, mon enfant, et, lorsque nous nous retrouverons demain matin, tu me diras quel tuteur tu as choisi.
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Ce fut Jo qui s'éveilla la première le jour de Noël , elle n'aperçut ni bas ni souliers sur la cheminée, et, pendant un instant, elle se sentit aussi désappointée que lorsque, bien des années auparavant, elle avait cru que son petit bas s'était envolé, parce que, surchargé de bonbons et de jouets, il était tombé à terre.. Mais bientôt elle se rappela la promesse de sa mère, et, glissant sa main sous son oreiller, elle découvrit un petit livre rouge.
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Rebecca smiled brightly, and Bess looked round to nod approvingly, but Polly clapped her hands, and said, “Well done, Fan! I did n’t think you’d get the idea so well, but you have, and I’m proud of your insight. Now I ‘ll tell you, for Becky will let me, since you have paid her the compliment of understanding her work. Some time ago we got into a famous talk about what women should be, and Becky said she’d show us her idea of the coming woman. There she is, as you say, bigger, lovelier, and more imposing than any we see nowadays; and at the same time, she is a true woman. See what a fine forehead, yet the mouth is both firm and tender, as if it could say strong, wise things, as well as teach children and kiss babies. We couldn’t decide what to put in the hands as the most appropriate symbol. What do you say?”
“Give her a sceptre: she would make a fine queen,” answered Fanny.
“No, we have had enough of that; women have been called queens a long time, but the kingdom given them isn’t worth ruling,” answered Rebecca.
“I don’t think it is nowadays,” said Fanny, with a tired sort of sigh.
“Put a man’s hand in hers to help her along, then,” said Polly, whose happy fortune it had been to find friends and helpers in father and brothers.
“No; my woman is to stand alone, and help herself,” said Rebecca, decidedly.
“She’s to be strong-minded, is she?” and Fanny’s lip curled a little as she uttered the misused words.
“Yes, strong-minded, strong-hearted, strong-souled, and strong-bodied; that is why I made her larger than the miserable, pinched-up woman of our day. Strength and beauty must go together. Don’t you think these broad shoulders can bear burdens without breaking down, these hands work well, these eyes see clearly, and these lips do something besides simper and gossip?”
Fanny was silent; but a voice from Bess’s corner said, “Put a child in her arms, Becky.”
“Not that even, for she is to be something more than a nurse.”
“Give her a ballot-box,” cried a new voice, and turning round, they saw an odd-looking woman perched on a sofa behind them.
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« Vraiment, ma tante, lui dit celle-ci, je trouve que je ne devrais pas avoir tant de belles choses pour moi toute seule. Si j’en donnais une partie à Phoebé, pensez-vous que cela fâcherait l’oncle Alec ?
— Je ne crois pas ; mais Phoebé préférerait peut-être des choses plus utiles. Si vous lui donniez une de vos anciennes robes arrangée à sa taille, cela lui ferait sans doute plus de plaisir.
— Elle est trop fière pour accepter des vieilleries, s’écria Rose ; si je lui donne jamais des robes, ce seront des robes neuves !
— Puisqu’elle est si fière elle n’acceptera pas plus les unes que les autres, objecta tante Patience.
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La pauvre petite Rose Campbell s’était réfugiée un jour dans le grand salon de ses tantes, afin de rêver à ses chagrins, sans crainte d’être dérangée par personne. Elle éprouvait une sorte de joie amère à pleurer, et, sachant par expérience que ses larmes n’allaient pas tarder à couler, elle tenait déjà son mou-choir à la main pour les essuyer. Son petit corps frêle et maladif était comme perdu dans les profondeurs d’un vaste fauteuil ; ses grands yeux bleus, légèrement cernés, regardaient sans les voir les objets qui l’entouraient, et sa figure pâle avait une expression douloureuse au-dessus de son âge. Il faut avouer que, si Rose souhaitait la tristesse, elle ne pouvait choisir une retraite plus convenable. Ce grand salon sombre et froid, avec ses rideaux baissés, ses lourdes tentures, son mobilier antique et sa galerie de vieux portraits de famille, était un endroit propice aux tristes rêveries. Son aspect seul engendrait la mélancolie, et la pluie qui fouettait sans relâche les fenêtres semblait dire à la petite affligée : « Pleurez ! pleurez ! Je pleure avec vous ! »

...
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La conduite de Mlle Muir, une fois seule, était pour le moins étrange. Elle serra les poings et marmonna entre ses dents avec une énergie sauvage : « Je n’échouerai pas une fois de plus si l’esprit et la volonté d’une femme possèdent un pouvoir ! » Elle resta un moment sans bouger, avec une expression de dédain presque féroce, puis brandit son poing serré comme si elle menaçait un ennemi invisible. Puis, elle se mit à rire et haussa les épaules comme le font les Français en se disant à voix basse : « Oui, la dernière scène sera meilleure que la première. Mon Dieu, que je suis fatiguée et que j’ai faim ! »
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Mlle Muir était devant eux et écoutait apparemment les remarques de Mme Coventry sur les évanouissements, mais elle entendit et regarda par-dessus son épaule dans une attitude évoquant Rachel. En cet instant, ses yeux gris parurent noirs avec une intense expression de colère, de fierté et de défi. Un étrange sourire passa sur son visage quand elle se pencha et dit de sa voix pénétrante : « Merci. La dernière scène sera encore meilleure. »
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Sans les cadeaux, Noël ne serait pas Noël.
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Réconfortée par ces mots, Jo leva les yeux , et ils s'illuminèrent devant le spectacle qui s'offrait à elle. Son père et sa mère semblaient revivre une histoire d'amour qui, pour eux, avaient commencé vingt ans plus tot. Amy dessinait les deux amoureux. Beth, allongée sur le sofa, bavardait joyeusement avec M. Laurence qui avait pris sa main dans la sienne.
Alors Jo alla s'asseoir sur une chaise basse, le visage enfin serein.
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Laurie, dit Jo en se tenant la tête à deux mains, je me demande ce que je pourrais jamais faire pour te remercier !
- Euh ... fit Laurie, tu pourras toujours m'embrasser de nouveau un jour ou l'autre !
- Jamais de la vie, dit Jo, mais j'embrasserai ton grand-père !
- Comme tu voudras !" dit Laurie avec un soupir.
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Il manque toujours quelque chose aux artistes qui ignorent tout en dehors de leur art.
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Le monde est peuplé de nombreuses Beth, timides et paisibles, assises dans leur coin en attendant qu’on ait besoin d’elles et qui vivent pour les autres avec tant d’enthousiasme que personne ne s’aperçoit de leurs sacrifices avant que le petit grillon du foyer ne cesse de striduler et que la présence douce et lumineuse ne disparaisse, ne laissant que silence et ténèbres derrière lui.
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