Parfois, il ressentait encore ces saloperies d'émotions qui lui calcinaient les tripes. L'amour. La passion. Comme autant de microbes qui colonisaient son corps et résistaient dans un coin de son cœur. Ces bactéries nocivent qui ne disparaissent jamais complètement.
Le numérique avait ses limites. Rien selon lui ne remplaçait un bon vieux bouquin, sa présence physique, l’odeur qui s’échappait du papier imprimé, la sensation du doigt qui effleure les pages les unes après les autres.
Je n'ai pas réussi à me pardonner mon attitude. Oui, clairement, je me suis servie de lui, alors que j'étais parfaitement au courant de ses sentiments à mon égard. Je l'ai manipulé des mois durant.
« Lui, toujours si serein, sombra dans un océan de tristesse, à la limite de la noyade, comme s’il perdait une partie de lui, une partie de son cœur, une partie de son âme. »
La simple idée de vivre m’avait toujours paru difficile. Vivre. Un concept subjectif de nos jours. Je dirais survivre plutôt.
My good, sorry ! Je suis désoulay, je vous ai brûlay ! brailla l’Anglaise blanche à rendre jaloux un cachet d’aspirine.
L'amour. Ce sentiment destructeur. Typiquement humain. Cette saleté qui vous rend fou et vous arrache le cœur.
La confiance, la clé de tout.
Ce n'est pas la branche qu'il faut couper, c'est la racine.