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Critiques de Marie Dô (17)
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Fais danser la poussière

''Si nous avons le courage de les poursuivre, tous les rêves deviennent réalité.'' Voilà une leçon de vie que j'ai retiré de ce livre, en le refermant après l'avoir lu toute une nuit... L'écriture simple et fluide, le récit captivant y ont contribué aussi... Je le recommande vivement et BRAVO à Marie Dô pour sa volonté et le courage de réussir malgré des embûches!!!!
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Dancing Rose

"Notre inconscient ne recèle pas seulement notre propre camelote mais aussi celle de nos descendants" confie Maya, personnage principal de Dancing Rose, directrice métisse d'une troupe de danseurs, femme passionnée aux amours tumultueux, alors que suite au décès de sa mère Rose très ambivalente, toujours sans nouvelles de sa soeur blanche Benny marginale très névrosée, engluée dans une difficile relation avec sa propre fille, elle s'interroge sur les relations entre les souvenirs de famille pesants et le sens de sa vie.

Dancing Rose, roman psychologique,avec la danse en toile de fond, endiablée mais "ingrate et tyrannique", alterne passé et présent.Un passé dont les racines plongent dans la généalogie et dont le présent ne peut renier les rythmes de l'Afrique qui coulent dans ses veines.

L'écriture de Marie Dô, qui oppose le parler populaire des dialogues à un récit plus léché, est agréable à lire. Les thèmes abordés: le statut d'artiste dans un milieu bourgeois,les difficiles relations dans une fratrie ou entre mères et filles, la danse moyen d'expression pour surmonter les traumatismes...sont intéressants.

Bref, un bon roman:A lire et à retenir dans le cadre du comité de lecture de la médiathèque de Bandol!
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Fais danser la poussière

Une fois ouvert, impossible de refermer ce livre! L'histoire de cette jolie petite fille, à la peau un peu blanche (par sa mère) et un peu noire ( par son père) est captivante. Très tôt, Maya est consciente de sa différence et elle en souffre, malgré le titre de "princesse" que lui donne sa maman. Au fur et à mesure du récit, le lecteur va découvrir de lourds secrets, des non dits, des révélations qui font mal. Mais Maya a du talent: elle danse , et elle a beaucoup d'ambition. Petit à petit le fil se déroule, et Maya entre dans l'adolescence, puis dans l'âge adulte, avec une maturité étonnante, et une vitalité exubérante. Une belle histoire!
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Fais danser la poussière

Je l'ai commencé, je ne l'ai pas lâché ! Malgré les petits autours, malgré la télé, malgré la fatigue.

J'ai adoré l'histoire de cette petite métisse à qui l'on cache tout, que l'on ne voulait pas, dont on a honte et qui à force de volonté s'en sort de façon admirable.

Des gens qu'on déteste, d'autres qu'on adore.

Ceux qu'on adore, c'est Camille et Alice ! Surtout Camille ! Qui vit pour sa petite reine de Saba !

Et d'autres enfin, pour qui l'on éprouve les deux, dans une même page. Qu'on arrive pas à détester malgré ce qu'ils peuvent dire ou faire ! Qu'on finit par aimer, malgré nous, grâce à Maya.

Comme dans la vraie vie quoi !

Et j'ai aimé aussi la vision de la mort, tout le monde nous attend, c'est beau et lumineux, les vivants, ne soyons pas trop triste, ça attache ceux qui partent et ils ne peuvent pas aller vers la lumière !
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Les dunes sauvages



Il y a des séries dans la vie qui sont souvent le fruit du hasard. Ainsi, des appareils ménagers tombent en panne quasi au même moment ou un lecteur lit le même mois, trois romans avec pour toile de fond le naturisme.

Après, "Le côté gauche de la plage" de Catherine Cusset et "Je suis capable de tout" de Frédéric Ciriez, voici donc "Les dunes sauvages" de Marie Dô présenté sous une très jolie couverture "pelliculée soft touch" ( précision de l'éditeur, qui ne ment pas, le livre a un toucher très agréable).

Contrairement aux deux précédents où le naturisme servait surtout de décor, "Les dunes sauvages" adopte un côté plus militant. Le personnage principal, pourtant réfractaire à ce mode de vie, verra son existence prendre un autre départ une fois qu'il aura accepté de se débarrasser de ses vêtements. Mais là où les deux autres adoptaient un ton vraiment littéraire, celui-ci choisit l'option roman facile à lire, fait pour la détente, les vacances.

Je le dis très franchement, j'ai eu beaucoup de mal à entrer dans cette histoire. Tout d'abord, le héros est fort antipathique et le restera, pour moi, jusqu'au bout. Cela aurait pu être un parti-pris intéressant et inconfortable, mais ici, vu la trame très romanesque, cela m'est apparu comme une maladresse. Fraîchement divorcé d'une certaine Tess qui en avait marre de ne pas exister à ses côtés, lui préférant de multiples tournages de pubs à l'autre bout du monde, Sébastien sombre dans la déprime et, sur les conseil d'un ami médecin, arrête tout et part en vacances dans un bungalow qu'il avait offert à son ex-femme lors d'une Saint Valentin... Je n'épiloguerai pas sur le prétexte pour envoyer Sébastien dans un centre naturiste sans qu'il le sache, mais il est sérieusement tiré par les cheveux et sert aussi à lui brosser un portrait où les clichés s'enfilent comme des perles. Au final, on se demande comment un réalisateur de pub peut être aussi coincé et aussi obtus. Une fois au "camp Robinson", nom du lieu de villégiature, le collier de clichés s'enrichit avec l'ajout de voisins naturistes tous épris de yoga, de méditation, de spiritualité (Je note toutefois que Marie Dô nous a finement évité le plus gros, les naturistes partouzards !) mais aussi d'une intrigue amoureuse genre Harlequin. Sébastien croise la ravissante Mona mais leur première rencontre n'augure en principe pas une scène érotique de sitôt, laissant donc penser que le fraîchement divorcé mettra sans doute tout en oeuvre pour conquérir cette belle créature.

Devant autant d'écueils, j'aurai pu quitter ces dunes sauvages sans regret, mais je suis tenace et comme sa lecture restait somme toute facile, j'ai continué. Et j'avoue que dans sa deuxième partie, dès que Sébastien accepte enfin d'enlever son slip, j'ai trouvé le roman plus séduisant.

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Les dunes sauvages

D’emblée, je suis séduit et capturé par un style vif, maîtrisé. L’auteur creuse au cœur de son protagoniste, sans ambages, et le dessine en une série de séquences bien senties. Ce portrait au vitriol du quadra au bord du burn out est une réussite. Pourtant Marie Dô flirte avec les clichés mais son écriture nerveuse les déjoue et nous rend concevable que le héros n’ait jamais mis les pieds ni se soit même intéressé depuis 15 ans à ce bungalow qu’il a acheté à sa femme esseulée, davantage par culpabilité et égoïsme que par amour.

Puis le récit prend un tour gentiment burlesque lorsque le personnage se retrouve en décalage dans un camp de vacances naturistes dont les figures marquantes prônent la suprématie de l’être sur l’avoir. Des valeurs à l’opposé de celles du héros qui travaille dans la publicité et a une confortable maison dans la banlieue chic de Paris… Là encore, on frôle la caricature, mais c’est joyeusement enlevé et au service du propos. Et puis, c’est à travers les yeux de son protagoniste que l’auteur nous décrit ce petit peuple d’illuminés, selon la subjectivité du héros. Son cynisme et sa stupéfaction donnent lieu à des réflexions hilarantes... Sébastien, le narrateur, est assez antipathique mais l’auteur parvient à nous le rendre progressivement pathétique, voire sympathique. Car Marie Dô en profite pour mieux épingler les méfaits des préjugés et de la bêtise… Au fur et à mesure, les blessures du protagoniste se dévoilent, la façade s’effrite. L’auteur n’est pas manichéenne et elle opère de même avec les personnages secondaires. Les valeurs, telles des couleurs, se mélangent. Et nous, lecteurs, nous sommes amenés à réfléchir à nos propres valeurs, à nos propres à priori, à notre rapport au corps, à l’autre, aux tabous et à la liberté.

Le récit est donc intelligemment mené et, je le répète, merveilleusement écrit, ciselé. Si la fin est un peu attendue, cela est inévitable avec un livre initiatique censé nous apporter une énergie positive !
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Dancing Rose

En découvrant ce livre, j’ai compris que c’était la suite d’un téléfilm que j’avais vu, téléfilm lui-même adapté d’un précédent livre de cette auteure : « Fais danser la poussière ».

On suit la vie de Maya, femme métisse, prof de danse, ancienne grande danseuse, divorcée, mère d’une jeune fille talentueuse qui se destine à la chanson.

Maya est la fille que Rose a eue très jeune, son père noir ne l’ayant jamais reconnue, elle a grandi avec un beau-père traditionaliste qui avait du mal à l’accepter dans son schéma de famille parfaite.

Elle s’est construite seule, s’épanouissant dans la danse. Dans son histoire, on aborde des thèmes universels : la famille et ses secrets, l’hérédité, la répétition des histoires familiales…

Roman agréable à lire mais assez superficiel : distrayant, mais l’histoire manque de profondeur : l’auteur ne fait qu’effleurer des thèmes qui auraient mérité d’âtre approfondis.

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Les dunes sauvages

Sébastien Vinerbest, 45 ans, réalisateur de films publicitaires, se trouve à bout de souffle. Sa femme et son fils de 16 ans l'ont quitté. Il faut dire qu'il les a pas mal négligés pendant ses 18 années de mariage. Sa carrière n'est pas bien gratifiante. Sa santé vacille. Il boit un peu trop. Il décide de prendre le large, cap sur le camp Robinson, sur la côte aquitaine. Il y a acheté, sous la pression de sa femme, un bungalow, la Saudade, où il n'a jamais mis les pieds. Surprise à l'arrivée : il s'agit d'un camping naturiste.



Le scénario du béotien qui débarque dans un camp de nudistes n'a rien d'inédit. L'humour est assez facile, les situations cocasses attendues. Marie Dô ne s'en sort pas trop mal. L'ensemble est sympathique, même si l'écriture, fluide, n'a rien d'extraordinaire. Ses personnages sont des archétypes : Seb, celui du looser, Jean-Jacques, son voisin au camping, celui du baba cool sage, Esther et Gilou, celui du couple fatigué, Esther en quête d'aventure et Gilou, un peu lourd qui s'accroche.



Il règne au camp Robinson une atmosphère bon enfant, et les habitués partagent un esprit amical, convivial, avec une attention à l'autre et à ses failles assez touchante. Leur philosophie de la vie s'articule autour du naturisme. Cela signifie un détachement des valeurs sociales habituelles. Ici, pas de distinction de classes, pas de jugement moral, pas d'hypocrisie. L'authenticité prime lorsque l'individu se présente dans sa nudité, et ne peut se dissimuler sous des apparences trompeuses.



Le roman de Marie Dô se lit agréablement, même si Seb, le looser, est plutôt lassant à la longue. Elle y glisse un suspense modéré, mais soutenu jusqu'à la dernière page, autour d'un pullover turquoise. Le roman se lit sans difficulté.



Traitant du même sujet, j'ai toutefois à l'esprit un polar beaucoup plus captivant, et drôle, celui de Jean-Bernard Pouy, Nus. Ses dunes sont peuplées de personnages un peu plus hauts en couleur et en consistance. Son intrigue est nettement plus solide. La littérature de Marie Dô paraît en comparaison assez fade. L'ennui n'est pas loin. La fin, douce-amère, est sans grande surprise. Les dunes sauvages constitue, malgré tout, une bonne lecture de vacances, à la plage, au camping, ou chez soi.
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Volcaniques : Une anthologie du plaisir

« Volcaniques — une anthologie du plaisir » ; sous la direction de Léonora Miano (Editions Mémoires d’encrier 210p)

Douze femmes, auteures des mondes noirs, évoquent le plaisir féminin, dans autant de nouvelles. Quelle lectrice ou quel lecteur rechignera à plonger dans ce projet au titre si justement évocateur ?

J’ai lu du très agréable, du moins bon, et même du vraiment moins bon (avec parfois des clichés très convenus), bref sans surprise la diversité des écritures produit de l’inégal. Je regretterai quand même que les hommes soient presque toujours magnifiquement beaux et surpuissants, les femmes tout autant dotées d’une gourmandise insatiable et de corps de rêves propres à allumer tous les désirs (sauf si elles sont beaucoup trop jeunes, mais elles auront, l’espace d’une brève nouvelle, le temps de murir et de s’épanouir), et enfin que presque toutes et tous naviguent dans un monde social aisé, voire très aisé. Les plus intéressantes à mes yeux sont sans doute celles de Hemley Boum (pour sa chute), de Marie Dô (pour sa poésie luxuriante), de Léonora Miano (pour son originalité), et de Axelle Jah Njiké (pour sa belle crudité sans vulgarité). L'une ou l'autre belle sentence m'a séduit : "Car l'amour (...) on, le fait d'abord avec ce qu'on est avant de le faire avec ce qu'on sait."

Merci quand même à toutes de nous avoir conviés ainsi dans leur gynécée.

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Fais danser la poussière

Dans ce livre on suit Maya une enfant métisse qui grandit dans les années 70. La discrimination fait partie de son quotidien. Que ce soit l'école ou dans sa famille elle ne sens pas jamais sa place jusqu'à ce qu'elle commence la danse. À ce moment là ce sport devient toute sa vie.



Je trouve cette histoire très forte et très touchante. Nous suivons Maya durant une grande partie de sa vie. Au début du livre elle à 6 ans, à la fin elle a entre 30 et 40 ans. Nous suivons ses joies et ses peines. Elle vit des choses extrêmement difficiles mais malgré tout elle se bat pour suivre ses rêves.



Vous avez comprit que Maya est une battante mais elle a aussi un sacré caractère qui peut parfois la rendre insupportable. Mais quand on voit tout ce qu'elle a subi on ne peut que lui pardonner.



Ce livre est en partie inspiré par la vie de l'auteure car comme Maya elle est métisse et elle a choisi la voie de la danse. J'espère qu'elle n'a vécu tout ce que Maya a dû endurer mais j'imagine qu'elle a connu cette discrimination. De plus Maya a un peu le même parcours professionnel qu'elle.



Le seul point qui peux peut-être être négatif c'est la façon dont Maya grandit. Il n'y a pas de transitions et ça va très vite. Je n'ai pas eut de mal à suivre et je n'ai pas été surprise parce que j'avais vu le film alors je savais à quoi m'attendre. En revanche pour quelqu'un qui ne connais pas l'histoire ça peut être déroutant.
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Volcaniques : Une anthologie du plaisir

Avant de me plonger dans la bibliographie de Léonora Miano, je voulais comprendre un peu sa vision du monde et ses inspirations, ce qui m'a amenée à découvrir cette anthologie. Autant vous dire que j'ai été conquise, un collectif d'autrices qui vont déployer tout leur talent pour parler de l'intime et de leur propre rapport au corps, je m'y suis plongée immédiatement et je peux vous dire que cette anthologie vaut le détour.



Avant tout ne vous attendez peut-être pas à lire des nouvelles érotiques à la manière de Harlequin par exemple, il n'est pas du tout question dans cette anthologie de sublimer ou de rester dans le fantasme de la sexualité mais bien de parler de chacune de ses facettes et parfois de celle qui peuvent être décevantes. J'ai énormément aimé la diversité des chutes de chaque nouvelle (l'une d'elle étant un peu trop déprimante à mon goût) car cela nous amène à revoir notre propre vision de l'intime et notre propre vision des hommes de manière générale.



Certaines nouvelles très douces nous enveloppent dans un cocon, d'autre plus drôle abordent le sujet du célibat (souhaité ou non) avec un humour sans pareil mais on traite aussi de sujets plus sensibles et délicats comme la virginité, la dépression, le fantasme et son rapport avec la réalité, la masturbation féminine... Cette anthologie garde toujours une très belle prose mais pour parler de façon concrète, c'est vraiment la manière dont je l'ai perçu. La poésie vient de la plume et la dureté du réel.



Enfin bref... Une superbe découverte de la plume de plusieurs écrivaines et surtout un très bel éventail de nuances narratives par rapport au regard des femmes sur l'amour, sur la sexualité et sur leur rapport au corps. Une très belle initiative de Léonora Miano qui offre une ouverture littéraire d'exception.
Lien : https://bookymary.blogspot.c..
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Volcaniques : Une anthologie du plaisir

Un an après avoir dirigé une anthologie de nouvelles écrites par des hommes de sa génération sur le thème de la première nuit, Leonora Miano récidive en demandant à des femmes écrivains de l'espace francophone d'Afrique ou des Caraïbes, une nouvelle avec pour seule indication "Volcaniques, une anthologie du plaisir". Si dans le recueil des nouvelles "masculines" le désir est souvent associé à une expérience douloureuse, les femmes explorent sans pudeur dans ces écrits leur corps, la richesse et force des sensations, vibrations, pulsations érotiques et sensuelles qui naissent du plaisir.
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Fais danser la poussière

"fais danser la poussiere, le film:maya est métisse, sa maman,fille mère, se remarie avec un homme aisé, dont la famille n'accepte pas maya, celle ci s'épanouit dans la danse classique, elle veut en faire son metier, mais elle est mineure, et sa mère declare la sclérose en plaque ....un récit autobiographique, la montée aux étoiles d'une jeune fille, partie faire sa vie et realiser son reve aux USA.plongée dans la communauté noire, dont elle adopte vite les codes, elle est loin de sa famille , et devient une "negresse blanche"...

le racisme ordinaire,la différence de classe sociale sont prépondérants dans ce recit , ce film, dont marie do , incarné par l'heroine, maya,a signé les chorégraphie
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Qu'importe la lune quand on a les étoiles

Salma la tunisienne et Marie la Française se retrouvent vingt plus tard. Elles tentent de renouer les liens du passé. Mais c'est très dur.

Leurs vies, leurs amours, leur religion, leur caractère , tout est différent. Mais au nom de leur très vieille amitié, elles vont petit à petit réapprendre à se connaître, oser affronter les problèmes et surtout réunir l'Orient et l'Occident.

C'est un livre très bien écrit au rythme à la fois rapide et lent comme les deux civilisations évoquées. On ne s'ennuie pas: la lecture nous permet de vivre les situations comme si on était présent. On vit avec Salma et Marie, on les comprend!
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Fais danser la poussière

Marron, c'est pas la couleur des vraies princesses ! Dans mes livres, les princesses sont blanches avec de longs cheveux blonds. Camille, mon grand-oncle, lève les yeux au ciel : - Boudiou, et la reine de Saba, alors ? Elle était marron comme toi ! Reine, c'est autre chose que princesse, non ?' Maya est une petite fille différente. Sa mère est blanche et son père est noir. Un père qu'elle n'a jamais connu et qu'elle cherchera toute sa vie. Plus tard, sa mère se marie et Maya doit vivre son métissage dans une famille où tout le monde est blanc. Fais danser la poussière est une histoire poignante sur les secrets de famille et la difficulté d'être 'à part'.


Lien : http://www.evene.fr/livres/l..
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Qu'importe la lune quand on a les étoiles

Ce livre est plutôt agréable a lire. L'histoire part d'une assez bonne idée. Que devient une amitié après 20 ans de silence ?

L'auteur arrive assez bien a nous entraîner au coeur de cette amitié. Qui ne rêve pas de retrouver la complicité, l'amitié perdue de son adolescence ?

L'auteur nous livre un message d'espoir, peut-être assez utopique, mais on peut y croire ; on peut tous refaire sa vie malgré l'âge, les traditions, ...

En revanche j'ai beaucoup moins aime le style de narration de l'auteur, mais ce n'est pas non plus trop genant.



Note : 14 /20
Lien : http://lecturesdeliyah.over-..
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Qu'importe la lune quand on a les étoiles

Excellent livre qui raconte l'histoire de deux petites filles, l'une française l'autre tunisienne. Elles se perdent de vue et se retrouvent des années plus tard. Les choses ont changé. Décalage au niveau religion, idées, rêves qu'elles ont réalisé ou pas.. magnifique.. drôle, touchant émouvant..

http://www.evene.fr/livres/livre/marie-do-qu-importe-la-lune-quand-on-a-les-etoiles-26415.php
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