On peut donc dire que je suis orphelin de père depuis à peu près toujours (...) Orphelin, dans mon cas, c'est comme un manteau auquel il manque une manche.
Si on me voyait à la télé comme ça (…) je suis sûr que les gens auraient le cœur serré, pauvre enfant, mais quel bel enfant, regardez dans quel état il est, rien qu’à le voir ça me fend le cœur, mais s’ils me voyaient en vrai, bien vivant, et même pas tellement affaibli, je suis sûr qu’ils m’enverraient tout droit dans une institution.
Le contraire de l'amour, ce n'est pas la haine, c'est l'adieu.
On te répète toujours qu’il ne faut pas dire des mensonges, mais sans mensonges, je serais déjà à l’orphelinat.