Marlène Eloradana

Même si Connor m’attire, sa nièce s’impose dans mon cœur et dans mon âme.

nous sommes deux parfaits inconnus qui se sont retrouvés en vacances au même endroit

Sa bouche agit comme un baume qui apaise mon cœur et mon âme

Le bonheur de Leia est ma priorité,

Savoir que la puce demande après moi me remplit de joie.

Des fois, les grandes personnes ont besoin d’aide pour comprendre certaines choses

garde espoir et n’oublie jamais que parfois, il suffit d’y croire pour que nos vœux se réalisent.

je me rends réellement compte du rôle que je joue dans la vie de Leia et de celui qu’elle tient dans la mienne.
Aux yeux du monde, nous sommes un père et sa fille, et non, un oncle et sa nièce.

Ce n’est pas une coïncidence si Connor et moi sommes les seuls célibataires. Le destin tend à nous réunir

Depuis que je m’occupe de Leia, je doute, je ne suis pas sûr de moi et je sais à
quel point cela peut être un frein à l’épanouissement.

La romance est un genre à part entière,comme les thrillers,les histoire contemporaine ou la littérature jeunesse.Ce genre est celui qui se vend la mieux dans le monde entier.

Leia est tout pour moi,je ferais n'importe quoi pour elle,peu importe le nombre de sacrifices qu'il faudra faire dans les années à venir.J'ai toujours eu une relation très forte avec cette petite,mais ce que nous sommes devenus l'un pour l'autre au cours des derniers mois est indescriptible.

Le chemin est interminable, mes membres en coton ne sont plus à même de me soutenir. Quelques mètres plus loin, je m’effondre, tête la première dans la neige. Je tente de me mettre sur le dos, avec difficulté. Tout tourne au ralenti.

Mon voisin de chalet se penche au-dessus de moi. Au moment où il se met à râler, les traits de son visage se floutent, et je me retrouve avec le Grinch en face de moi.

Je me mets à rire, je délire en remuant dans la neige.

- Vilain Grinch, pas content, me marré-je.

Connor peste avant de disparaître de ma vue.

C’est étrange, j’ai presque cru entendre : cette blonde aura ma peau !

Je jette un œil sur mes abdos puis sur les siens. Lui, c’est la tablette de chocolat parfaite, entière avec huit carrés bien visibles… Moi ? On dirait que j’ai mangé la moitié et que le reste est en train de fondre. J’ai quatre malheureux carrés à peine visibles. Les autres sont là quelque part, en train de se frayer un chemin jusqu’à la surface de mon abdomen.

- Oublions ça tu veux. Donc, on commence par quoi ?

- Du sport, dit-il avec un regard de serial killer.

Bordel, il va essayer de m'achever pour que j'abandonne avant même d'avoir envisager la suite.

- Quel genre de sport ? Parce que bon, on peut aller faire du ping-pong ou du badminton à la rigueur. Je peux pousser jusqu'au golf, c'est bien le golf, non ?