Meryma Haelströme

Une préquelle de qualité.

Des personnages que l'on a envie de mieux connaître, de l'action, un univers bien développé et des situations qui laissent augurer d'une trilogie bien palpitante.

Avec "Le prix de la liberté" Meryma Haelströme nous ouvre les portes d'un monde où la magie élémentale est punie d'esclavage, seule la magie physique est acceptée, c'est ce que Siobhan va découvrir.

L'autrice a une grande aisance d'écriture, que j'avais déjà appréciée, qui s'associe à une belle imagination

Je ne remercierai jamais assez Meryma de la confiance qu'elle m'a accordée avec ce SP et ai grande hâte de lire la suite

Je viens de finir Enfer et bonnes intentions de Meryma Haelströme et j'en ressors avec un avis mitigé.

C'est bien écrit, les chapitres sont courts et clairs mais il y manque un brin d'humour, de la fantaisie c'est une histoire un peu trop convenue. Même si j'ai bien aimé la chute je ne vous en dirai pas plus au risque de spoiler le récit. Par contre, à mon avis, en tant que simple lectrice, ce récit s'adresse plus aux adolescents qu'aux adultes.

Je remercie Meryma Haelströme pour ce SP.

Deux cœurs en flammes est une nouvelle histoire de Meryma Haelstrom qui n’en finit pas de me surprendre. Si vous aimez les créatures fantastiques, cette aventure est pour vous.



Deux jeunes enfants arrivent à quelques mois d’intervalle dans un petit village. La petite fille est vite adoptée, le petit garçon reste seul. Tous deux partagent un étrange pouvoir qui fait peur : ils contrôlent le feu. Les villageois sont sur leurs gardes.



Le texte est en trois parties et va vous surprendre par sa chute. On y trouve des combats contre des monstres infernaux. Une alliance entre deux êtres qui les rend très puissants et éternels.



C’est une histoire qui tient le lecteur en haleine car on s’attache vite à ses deux enfants dont la vie est bien compliquée car personne ne voit d’un bon œil leur rapprochement qui va grandissant avec l’âge.



Un bon petit roman qui se lit d’une traite. Meryma Haelstrom ne manque ni de talent, ni d’imagination.



Merci pour ce SP via Simplementpro

J'ai lu très vite cette nouvelle bien construite, qui devrait constituer une préquelle à une future histoire plus développée sur le monde imaginaire inventé par Meryma, monde dont j'ai eu un aperçu dans une de ses nouvelles, Lucioles. La fantasy est un genre dans lequel je n'entre pas si souvent, mais qui m'est facile pour avoir fréquenté assidûment Le Seigneur des Anneaux de Tolkien. Une histoire de dragons ne pouvait que me plaire...



Il s'agit toutefois de plus que cela : l'héroïne, Siobhan, perd brutalement toutes les conditions de sa vie familiale, pour avoir démontré son pouvoir élémentaliste, c'est-à-dire, en ce qui la concerne, un pouvoir lié au feu. Siobhan n'en avait pas même parlé à ses parents, et ses nouvelles capacités auraient pu passer inaperçues, dans le cadre de sa vie tranquille avec ses parents et son frère et de son travail à l'auberge de son oncle, s'il ne s'était pas produit un malheureux concours de circonstances. En effet, un Milicien, un des hommes qui imposent la loi de l'Empire et interdisent la manifestation de pouvoirs personnels (si ce n'est qu'eux-mêmes y ont droit, n'ayant que des pouvoirs physiques, tels la force, la vélocité...), a décidé de faire une demande en mariage à Siobhan, ce qui a plongé la jeune fille dans le désarroi et la colère. Cette dernière n'a donc pu retenir ses facultés : des flammes se sont élevées sur son corps, laissant des traces de brûlé sur le sol de leur maison, suite à quoi elle et ses parents ont été arrêtés et séparés.



La punition de Siobhan est immédiate : on lui appose dans la chair un artefact, une pierre qui s'enfonce dans son épaule, lui causant de vives douleurs lorsque ses pouvoirs veulent se manifester, et mettant à mal sa volonté et ses facultés mentales. Puis la jeune fille est vendue comme esclave, car tel est le sort des mages élémentalistes en Erhetylia ; un riche couple l'achète et la voilà qui part pour le Sud en carrosse, en compagnie d'autres esclaves. Ses maîtres sont plutôt respectueux et compréhensifs, du reste, son travail a pour elle un intérêt, et elle s'y adonne volontiers, tout en méditant sur ce qui a pu arriver à ses parents. Jusqu'à ce qu'elle découvre un oeuf de dragon, qui semble répondre à sa propre capacité de produire de la chaleur. Deux êtres se sont trouvés, et l'espoir donnera des ailes à Siobhan, peut-être future dragonnière, pour aller à la rencontre de son destin, et de l'aventure...



Le format de la longue nouvelle est ici utilisé au mieux : Meryma maîtrise une écriture à la fois appuyée comme au fusain, stylisée, et pleine de couleurs comme l'illustre la couverture. Ce monde est vivant, ça fuse, les personnages font des choix à cent à l'heure, nous entraînant dans leur sillage. Un personnage d'esclave, Alfryk, la retient de chuter en sortant du carrosse ? Cela pourrait être un allié, une promesse de romance, sait-on ? Ce sera en tout cas l'occasion bien exploitée de montrer ce qu'il arrive aux esclaves, ce qu'ils deviennent au bout d'un temps, et peut-être un déclic salvateur pour Siobhan. Le récit est tendu et conserve toujours le fil directeur sans se perdre, avec une vision claire des informations à distiller goutte à goutte, pour notre plus grande curiosité.



Un seul regret : c'est trop court, et l'on reste sur la fin - et sur sa faim - en se posant à la fin de cette lecture beaucoup de questions sur cette magie élémentaliste, sur les débuts de l'histoire d'Erhetylia, sur la manière dont Siobhan pourra apprendre à maîtriser son pouvoir, sur ceux qui pourront l'aider, et bien sûr, les dragons, car mince ! Ça commence à peine... Le vocabulaire est parfois un peu trop familier pour moi, mais je ne ferais pas la difficile sur un texte par ailleurs bien mené, bien écrit.

C'est avec un grand plaisir que je me suis plongée dans le conte de Meryma Haelströme "La sorcière au fond des bois" avec cette belle couverture signée pauline gallois.



* La légende raconte qu'une sorcière nommée Baba yaga, enlèverait de jeunes enfants et que toutes personnes pénétrant dans le bois où elle habite n'en reviendraient jamais.

Tous les habitants du village à proximité ont l'interdiction d'y pénétrer.

Mais lorsqu' Alina, la fille du maire disparaît, Grégory, le capitaine de la garde n'aura pas d'autre choix de braver cet interdit afin de la retrouver.

Il ne se doute pas que les blessures du passé laissent toujours des traces.



* Quelle joie de se plonger dans un conte et c'est par le biais de celui de Baba Yaga que Meryma va aborder un sujet à la fois dur et encore trop tabou, celui des violences conjugales et celle faite aux enfants.

De sa plume délicate et immersive, elle sait exactement où appuyer sur les points forts et douloureux.

Un récit court mais intense.



Bravo pour ce message car part le biais de la magie ou de la sorcellerie, l'auteure veut nous faire passer le message de l'écoute et de l'entraide.

Le mal n'est pas toujours celui que l'on croit.



Son autre livre, paru l'année dernière "Le diable de Noël" est bien au chaud dans ma bibliothèque que je prendrai plaisir à lire prochainement.

En tout premier lieu, je souhaite remercier HAELSTROME Meryma de m’avoir proposé ce service presse.



Je ne suis pas une passionnée de fantaisie, mais je souhaitai découvrir l’univers de cette Auteure.

Si nous nous attardons un peu sur ce roman, je dois avouer que je trouve la couverture tout simplement sublime, tant de mystères qui s’en dégagent!!

Notre œil est tout de suite attiré par une telle beauté.



Siobhan est une jeune fille de 16 ans, qui se fait arrêtée car c’est une magicienne. Là, où elle vit cette pratique est interdite.. Elle va être vendue à de riches personnes afin d’être leur esclave. Bienvenue dans son univers…



Cette nouvelle fait une 50 aine de pages et c’est un préquel d’un roman fantasy au nom de « Erhetylia » en cours d’écriture.



J’ai beaucoup apprécié le style d’écriture de cette Auteure que je découvre. Elle va nous emmener dans son histoire et nous faire voyager dans son imagination.

Cette histoire est courte, mais nous en apprenons l’essentiel lors de ses quelques lignes.



Cette ébauche est très alléchante pour le roman à venir. J’ai hâte de le découvrir !



Ma lecture a été très courte mais très instructive pleine de magie, de dragons époustouflants!



Quelques questions restent cependant en suspens, qui j’espère auront des réponses dans la trilogie à venir!



Le seul point négatif je dirai quand même que nous trouvons un peu trop de langage familier et cela m’a quelque peu gênée dans ma lecture…



Vivement que je tienne la trilogie dans mes mains!!!



Xoxo



Mademoiselle B.
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Nouvelle plongée dans les histoires de Meryma Haelstrome avec "Le diable de Noël"

Encore une fois de sa plume délicate et envoûtante, Meryma va nous offrir une histoire en revisitant une légende, celle du Krampus, pour aborder un thème très fort, celui des violences faites aux femmes, en cette période de Noël.



* Malgré l'univers dur, vrai et qui est encore malheureusement d'actualité, j'ai beaucoup aimé cette façon qu'elle a de détourner par ce conte pour offrir une très bonne lecture.

Elle a su travailler ses descriptions et la psychologie de ces personnages pour nous offrir un ambiance sombre et mystérieuse, mais surtout une lecture addictive et plaisante.



* L'histoire d'Astrid, vivant dans ce village où tout le monde se connait. Elle est mariée à Ivar, depuis plusieurs années, et est l'ombre de celui-ci. Quand elle apprend qu'elle est enceinte, sa seule obsession est de le protéger et de tout faire pour.



Entre réalité et fiction, le monstre n'est pas toujours celui que l'on croit.

Un petit conte et une auteure que je vous recommande.

Je suis vraiment fan du style de l’autrice. Aussi, j’étais contente de pouvoir vraiment entrer au cœur de cette série après avoir lu la préquelle qui n’était qu’un tout petit amuse-bouche. Elle nous permettait de faire la connaissance de Siobhan et de déjà un peu effleurer les bases de l’univers que nous découvrons davantage dans ce premier tome, tome qui nous plonge réellement dans ce récit et dans les événements qui touchent de plein fouet ce monde si particulier.



Siobhan a bien grandi et elle a pris un rôle important en étant à la tête de l’Ordre d’Enora, culte qui est banni du continent. Alors que le dernier dragon se meurt, elle décide de se rendre auprès de l’empereur, sur ce fameux continent, pour changer le statut des mages et que l’esclavage cesse. Mais le chemin qu’elle emprunte est semé d’embûches et ce voyage va s’avérer bien plus périlleux que prévu.



Heureusement pour elle, elle va être bien accompagnée durant son périple et elle va rencontrer de vrais amis sur sa route. Avec eux, nous allons en apprendre plus sur cet univers et son fonctionnement. C’est passionnant de le découvrir petit à petit, car il est très original et sait nous surprendre à bien des moments. Il faut dire que l’autrice l’a bien développé et qu’elle a pensé à tout, le rendant très crédible à nos yeux.



Le fil rouge, quant à lui, est passionnant et palpitant. L’action est bien présente et le rythme est soutenu, de quoi emporter le lecteur d’un chapitre à un autre et de lui donner envie d’en apprendre toujours plus. D’autant plus que nous nous attachons vraiment aux personnages au fil des pages et que nous avons envie de les aider et de les soutenir dans ce monde où tout déraille.

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Celui que j’ai particulièrement adoré c’est le dragon, même s’il n’est pas très présent dans ce tome. Il dégage une sagesse et un charisme incroyable à chaque apparition. J’en suis totalement fan ! Après tout ce qu’il se passe dans ce premier tome, je me demande quelles surprises l’autrice nous réserve encore et ce qu’il va se passer par la suite !



En bref, ce premier tome nous emporte dans un univers passionnant aux côtés de personnages touchants et que nous suivons avec grand plaisir. Vivement la suite !

Dans un village reculé, un homme vit tranquillement avec sa famille. Sa famille est composée de sa femme et de ses deux enfants. Il travaille à fabriquer de ses mains des objets en bois, et des jouets pour les enfants. Chaque année, il part en voyage la semaine précédant noël pour les distribuer dans les villages alentour. L’homme rentre pour le soir de noël, afin de le fêter en famille. Une année, il trouve un attroupement devant sa maison, il y découvre beaucoup de sang et le corps de sa femme. Après l’enterrement de sa femme, il attaque tous les habitants, coupables de n’avoir rien effectué pour les sauver. Depuis, chaque année, à noël, une créature parcourt les villages et s’en prend aux hommes malintentionnés...



Meryma Haelströme a remporté plusieurs prix parmi ces publications, principalement sur des nouvelles. Elle s’est lancée dans le streaming, sur sa chaîne Twitch, vous pourrez avoir de nombreuses séances de coworking ou quelques informations croustillantes sur ses écrits. Le diable de Noël est une nouvelle et non un roman. L’histoire est courte volontairement pour pouvoir toucher davantage de personnes. Pour toutes les personnes qui s’attendent à une romance de noël, ce n’est pas du tout le cas. La tradition est cassée. L’ambiance est angoissante. Le récit est basé sur la légende de Krampus, essentiellement en Allemagne de l’Est, en Autriche et en Hongrie, le pendant maléfique de Saint-Nicolas. Il est volontaire que le monstre ne punisse pas les enfants, mais les hommes violents. La couverture de Pauline Gallois est absolument magnifique (c’est la combinaison de deux de ces propositions en maquettes pour ce roman). Absolument envoûtant. J’ai pleuré, j’ai ragé, j’ai lu la nouvelle d’un seul trait...
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L'autrice nous propose de plonger dans les prémices d'un nouvel univers avec cette préquelle passionnante qui nous pose quelques bases pour une future trilogie de fantasy. Cette entrée en matière nous donne déjà bien envie de lire la suite et de plonger plus profondément dans cet univers original et dans le quotidien de notre héroïne.



Siobhan est une jeune fille sans histoire à la base, mais dans la société où elle vit, développer un don peut bouleverser complètement une vie et transformer le quotidien de la personne à jamais vu qu'elle se retrouve réduite en esclavage... Alors quand elle utilise par mégarde la pyromancie, elle sait déjà ce qui l'attend et espère pouvoir passer entre les gouttes. Oui mais voilà, dans ce monde la magie fait vraiment peur et les dénonciations sont souvent très rapides...



C'est pourquoi elle va se retrouver obligée de quitter sa famille. Elle va rapidement être vendue et se retrouver chez une famille surprenante et qui pourrait bien, à sa façon, la conduire sur un chemin inattendu et étonnant. Dès ce moment, l'histoire prend un autre tournant et nous plongeons plus sérieusement dans ce qui va devenir la nouvelle vie de Siobhan.



Je me suis vraiment régalée avec cette préquelle et j'ai hâte de découvrir cette trilogie. Le tournant pris durant ce récit nous donne envie d'en apprendre plus et de voir quels chemins elle va suivre. J'ai adoré la dernière rencontre qu'elle fait et je suis sûre que ce rebondissement promet une suite passionnante! Nous avons à peine effleuré l'univers jusqu'à présent et je me pose encore beaucoup de questions sur son fonctionnement et sur la place que pourrait y trouver Siobhan par la suite. Je sens que nous n'avons pas fini d'être surpris et que le fil rouge s'annonce complexe et particulièrement bien tissé.



En bref, c'est une belle entrée en matière pour la mise en place de cette nouvelle histoire et de cet univers original. Je me réjouis de retrouver notre héroïne dans un parcours qui s'annonce chaotique et plein de rebondissements.

Une préquelle d’une trilogie fantasy à venir !



Dans cette courte histoire, nous suivons Siobhan dans un univers où la magie est formellement interdite. On la découvre alors dans son quotidien et on va rapidement découvrir qu’elle est pyromancienne et toutes les conséquences que ça peut avoir dans son monde…



L’auteure ne ménage pas ici ses lecteurs et encore moins ses personnages principaux… !



La plume est intéressante, elle s’adapte selon le personnage et la situation, mais j’avoue avoir eu un peu de mal avec l’absence de négation dans les propos de Siobhan… C’est une jeune femme vivant dans un milieu assez précaire et ça se sent. J’ai bien aimé l’introduction de créatures fantastiques qui promettent d’être fascinantes…



Cette préquelle nous présente un univers intéressant et j’ai très envie de découvrir le premier tome de cette trilogie à venir !



Le prix de la liberté est une préquelle d’une trilogie fantasy que j’ai très envie de découvrir. L’univers est intéressant car il interdit la magie là où on découvre une jeune fille pyromancienne et des créatures fantastiques… Le personnage principal m’a bien plu et j’ai hâte de la retrouver dans le premier tome à venir !
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C’est bizarre de devoir juger d’une histoire sur sa préquelle mais c’est aussi une bonne opportunité de découvrir l’étendue de l’univers et les personnages principaux dont on suivra les aventures au commencement de la trilogie autoéditée. Le Prix de la liberté est donc une courte histoire dune cinquantaine de pages racontant les origines de l’héroïne d’Erhetylia, Siobhan. Dans un monde où la magie élémentaliste a été proscrite, ceux doués de dons sont dénoncés puis asservis afin que jamais ils ne puissent se servir de leurs pouvoirs et combattre les hommes communs. Siobhan vit une vie tranquille au coté de ses parents et de son frère en travaillant dans la taverne de son oncle. N’ayant pas sa langue dans sa poche, elle est prompte à se créer des ennuis, même avec ceux qui ont les meilleures intentions. Mais voilà, elle ne veut d’une vie paisible comme celle de ses parents dans leur village. Elle veut découvrir le monde, voir de ses yeux ce qu’il recèle, ce qu’il cache. Partir l’aventure, être quelqu’un, plus qu’une femme mariée enchainée à ses obligations.



Malheureusement, la vie semble lui jouer un mauvais tour devant bien plus dramatique suite à un événement crucial dans sa vie. Bientôt, un choix lui sera demandé, elle pourrait prendre finalement en main sa destinée alors qu’elle est témoin d’une vérité assimilée à une légende pour tous. Globalement, cette histoire a de quoi plaire et crée les bases de cette univers fantasy auquel je suis plutôt curieuse de me frotter. Seulement, c’est en espérant que le premier tome soit bien plus développé que cette courte nouvelle. Tout se déroule très vite, trop vite et on n’a pas réellement le temps de s’émouvoir du sort de Siobhan et de comprendre les enjeux auxquels elle doit faire face.



En comprenant bien que cette préquelle sert d’introduction, j’aurais apprécié que celle-ci soit davantage détaillée et immersive afin que les émotions de l’héroïne soient plus mises en valeur et donc plus impactantes à la lecture. On suit un enchaînement d’événements de manière trop précipitée pour qu’on puisse prendre le temps de les apprécier. C’est une histoire qui tient la route mais qui n’offre pas son plein potentiel. C’est pour cela que je suis particulièrement curieuse de voir ce que donnera le premier tome, l’imagination de l’auteure semble débordante et son univers intrigant. Merci à Meryma Haelströme pour m’avoir fait découvrir son livre.
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C’est donc une nouvelle qui reprend la légende de Krampus, cette créature qui punit les méchants à la période de Noël. C’est une de mes légendes préférées et j’ai adoré cette réécriture.

L’autrice y aborde les violences conjugales. Un sujet difficile et important à mettre en avant et dont il faut parler. Et l’autrice l’a très bien fait ici, les deux s’accordent très bien. elle est arrivée à mettre en lumière ce que vivent les victimes et toutes les difficultés qu’elles rencontrent, notamment pour en parler. L’histoire est très bien écrite et passionnante.J’ai beaucoup aimé son ambiance hivernale.

La plume de l’autrice est agréable à lire, fluide et très immersive.



Aimant beaucoup la légende de Krampus, j’ai été très vite embarquée dans l’histoire d’Astrid, je l’ai trouvé touchante et très courageuse. Je me suis énormément attachée à elle. Et je crois qu’on ne peut que détester Ivar et espérer que Krampus vienne pour lui.

Le personnage de Krampus a ici une histoire et un passé qui le rendent attachant. J’ai énormément aimé ce personnage aussi et comprendre comment il était devenu ce monstre.



J’ai vraiment adoré cette petite nouvelle que j’ai lu très rapidement malgré ce sujet pas toujours facile à lire.

J’ai adoré la relire et me replonger dans cette histoire.

⚠ Cette histoire traite des violences conjugales, de la manipulation et du sang ! ⚠



Alors j’ai beaucoup de choses à dire et je ne sais pas par où commencer… Je suis encore sous le choc de tout, le bon et le mauvais. Je ne m’attendais à rien. J’ai craqué sur cette histoire à cause de la couverture, mais j’avais quand même vu les avertissements de l’autrice, ce qui ne pas empêcher de découvrir un récit à couper le souffle.



Astrid, femme au foyer et son mari chasseur, mais surtout pervers narcissique. Heureusement qu’Astrid à de très bonnes amies sur qui elle peut compter parce que c’est impressionnant la capacité du mari à manipuler tout le monde, même Astrid ne sait pas tout. (Les lecteurs je vous vois et vous savez de quoi je parle… Si vous me dites que vous l’aviez deviné depuis longtemps, il va me falloir des explications en commentaires).



L’histoire du Krampus dans l’œuvre pas dans la vraie légende (l’autrice a dit elle-même avoir quelques modifications pour que ça colle avec son œuvre, ce qui ne m’a posé aucun problème). Donc l’histoire de cette créature est si triste, je peux comprendre les villageois, mais quand l’on connait tout je me disais que c’est injuste pour lui, à la fin j’ai failli versé une petite larme.



En parlant de la fin, alors je suis scotché, je ne sais pas quoi dire… Certains pourraient dire que c’est un happy end, d’autres diront que c’est une bad end, personnellement je pense qu’elle est logique. Il n’y avait pas d’autre façon de mettre un point final à cette histoire.



Donc évidemment, je commande à 100 % bien sûr avec quand même un avertissement pour les lecteurs sensibles !

Je me suis décidée pour Le diable de Noël : non seulement il était dans le thème de mes lectures actuelles c’est-à-dire Noël, mais la couverture me plait beaucoup et a contribué à mon choix.



Noël distribue les cadeaux aux enfants des villages voisins, mais le jour où il rentre, sa femme a sauvagement été assassinée et ses deux enfants ont disparu. Cette épreuve le transforme, il devient le terrifiant Krampus et s’en prend les hommes violents. Ça, ce n’est que l’introduction.

Astrid est mariée depuis vingt ans avec Ivar. Ce dernier passe pour un homme bon, mais dans l’intimité, il se comporte de manière ignoble avec sa femme. Elle est terrorisée et finit par souhaiter que Krampus vienne à son secours.



Cette lecture a pour objet les violences conjugales. Le thème est délicat et difficile à traiter, néanmoins l’autrice s’y prend bien : il y a certaines scènes dures, mais elles sont heureusement courtes et ça reste relativement soft dans les descriptions.

Astrid est bien dépeinte ; je me suis attachée à elle et j’ai compris ses sentiments : sa peur des violences, son incapacité à quitter son mari, son espoir que les choses aient changé, son inquiétude face à l’avenir, etc.



Ça s’est lu très vite et j’ai eu du mal à interrompre ma lecture, d’ailleurs, je ne l’ai pas fait malgré ma folle envie de jouer.

J’ai adoré cette lecture, ce fut une agréable surprise.
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Magnifique !



Attention, cette nouvelle traite du thème des violences conjugales, cette chronique y fera donc également référence.



J'ai passé un très bon moment de lecture avec cette nouvelle qui mêle de manière très équilibrée son thème assez dur, un mystère, des éléments de contes de Noël et des éléments plus fantastiques.



Une plume à la fois belle et fluide nous plonge immédiatement dans l'univers : un petit village rustique et médiéval où tout le monde se connait, mais où de lourds secrets sommeillent parfois en attendant d'être réveillés. Un rythme à la fois rapide - format court oblige - mais qui permet également l'immersion et la caractérisation des personnages fait qu'on est tenu par l'histoire et son ambiance du début à la fin.



J'avais quelques appréhensions quant au thème, étant une lectrice parfois assez sensible, mais j'ai trouvé qu'il était très bien traité : la narration ne s'appesantissait pas trop lourdement sur l'horreur de la situation et sur des scènes trop graphiques, en suggérant plutôt juste assez pour que cette horreur imprègne l'ambiance et l'esprit du lecteur.



La psychologie des personnages est aussi bien traitée en général : on s'y attache et on s'identifie à eux, à leurs réactions... et pas seulement aux personnages principaux ! Ce qui, pour un format court, est une très belle réussite, je trouve.



J'en dirai très peu sur la fin pour éviter de gâcher l'expérience des futur.es lecteur.ices, mais le dénouement clôt avec brio cette nouvelle si bien rythmée et construite et ne nous laisse pas sur notre faim !

J'avais eu l'occasion de découvrir la plume de l'auteur lorsqu'elle m'avait proposé de découvrir le préquelle de cette trilogie. Je la remercie pour m'avoir donné l'opportunité de découvrir le premier tome. La couverture est sublime et on sent bien la patte de Nicolas Jamonneau, j'adore ! Le monde a été coupé en plusieurs parts inégales de telles sortes que certains sont devenus des esclaves de part leur particularité : ce sont des mages. Bloqués par des pierres de démons, ils sont devenus des esclaves pour le peuple de l'Empereur grâce à des sorcières qui travaillent avec lui. Un compromis qui ne plaît pas à tout le monde dans le monde des sorcières, mais surtout qui obligent certains et certaines à servir jusqu'à la mort des gens qui se fichent éperdument de leur vie. Ils ont des dons ? Ce sont forcément des monstres, ils sont dangereux. Mais dans ce cas que dire des sorcières qui travaillent avec le continent ? Est-ce qu'un simple bout de papier arrive à tenir tout ce petit monde ? Shiobhan, pyromancienne et Première Magistère de l'ordre d'Enora tente avec Meridan son meilleur ami et enseignant dans leur académie de contrer l'Empereur en sauvant des esclaves et en les aidant dans leur condition : retrouver leurs dons et savoir sans servir sans devenir un danger pour soi et autrui.



C'est bien plus que cela également, Shiobhan veut que tous puissent vivre ensemble, sans crainte. Bien entendu il y a toujours des mauvais dans chaque lieu, mais faire des sacrifices et des concessions de tous pourraient apporter un monde meilleur. Elle décide avec Meridan d'aller voir l'Empereur afin d'exposer ce qu'elle voit. Mais entre son dragon qui va mal et le fait qu'ils sont bannis, le chemin prévu risque d'être périlleux. Comment faire comprendre à un homme, un peuple entier qu'ils ne sont pas dangereux, qu'il faut du temps pour comprendre ce qu'ils sont et surtout que le danger ne vient pas des dons, mais de la façon dont ils sont regardés ? Le récit démarre sur un rêve, celui de Shiobhan lorsqu'elle a perdu sa compagne. Nous ressentons toute la tristesse et l'angoisse de recommencer à voler sur Jakar. Son dragon se laisse dépérir depuis cette catastrophe et le monde va de plus en plus mal. Shiobhan fait le choix d'aller sur le continent afin de défendre les siens et ceux qui sont encore sous le joug des familles. Avec Meridan, c'est une profonde amitié qui ne date pas d'hier. Le fait que la jeune femme l'aie sauvé il y a une dizaine d'années d'un maître a renforcé les liens entre eux. Leur combat, le fait d'être complémentaire et de pouvoir tout se dire les a rapproché tel des frères et sœurs. Tous deux, ainsi qu'une partie des mages de leur île vont effectuer le voyage qui doit rapprocher tout le monde sans asservir quiconque.



Un voyage qui ne sera pas de tout repos. S'il n'y avait que la magie et les méfiances cela serait déjà pas mal, mais s'il faut en plus rajouter des peuples différents qui se méfient les uns des autres, des alliances qui n'en sont pas vraiment, des objectifs divers qui sont prêts à tout pour modifier le monde (et pas forcément en bien, surtout lorsque nous voyons quelles créatures pourraient revenir), des traîtres dont nous ne connaissons pas encore les noms... Oui, Shiobhan et Meridan avec leurs compagnons vont devoir s'infiltrer dans divers lieux et agir comme ceux qui y vivent (les femmes ne sont que des femmes, incapables de faire ce qu'elles veulent, parler quand on leur dis) et surtout ne pas se faire repérer. La magie est présente en chaque personnage, que se soit par le biais d'un don, comme l'un des éléments, ou la sorcellerie, ou même le physique (car nous avons une belle surprise pas loin du cercle des sorcières que nous découvrons en même temps que Shiobhan). Et puis il y a également ceux qui n'ont pas de dons particulier, mais ils sont magiques malgré tout, celui de vouloir aider son prochain, de protéger les plus faibles. Et bien entendu, nous avons ceux qui se servent sans vergogne de leur pouvoir pour jouer avec la vie, le physique de leur esclave même si c'est interdit. Il existe des lois à ne pas enfreindre qui sont aussi vieilles que le changement de vie des mages qui protègent chaque individu. Malgré tout, comme dans toute civilisation, des hommes et des femmes sont capables de les enfreindre pour leur propre plaisir malsain.



L'auteur ne détaille pas ces fameux plaisirs malsains et c'est tant mieux. Nous savons qu'ils existent, que le fouet aussi sert, mais ce n'est pas détaillé de manière à rentrer dans des détails qui nous mettraient mal à l'aise. Nous savons qu'ils existent, que certains personnages l'ont subi et que d'autres les font subir. Par contre l'auteur nous laisse l'imagination afin de stopper comme bon nous semble. Le combat ne se fait pas en un claquement de doigts. Imaginer que nos héros vont réussir à arriver sans encombre jusqu'à l'Empereur est une bonne blague. Les rencontres qu'ils vont faire vont leur apporter de tout : soutien, tendresse voire plus, amitié. Les personnages secondaires comme Alice, Olerian, Ethen, Alya, Kherya, Amalia et Dara ont une grande importance, comme la plupart d'entre eux. Tellement qu'ils en deviennent des personnages principaux. Nous en suivons certains, tel Dara et Amélia, mais aussi Olerian dans leurs fonctions. Les doutes, les espoirs, la tristesse, l'envie de mourir après avoir tout perdu, chacun d'entre eux apportent un petit plus non négligeable à l'histoire. Certains rapprochements se font, tandis que d'autres se défont. Tous vont vivre une aventure hors du commun et tous n'iront pas jusqu'au bout de l'histoire. Il ne faut pas s'attendre à que de la joie. Le monde crée n'est idéal pour personne, et le peuple commence à se poser des questions. C'est là qu'il faut commencer à faire bouger les choses et Shiobhan va trouver en plusieurs protagonistes l'occasion d'entrer dans le "palais", de réussir l'impossible en tentant un reversement de situation. Ce n'est pas une seule femme, ou un seul homme qui le pourra, c'est un ensemble, une cohésion de groupes d'individus tous différents, tous d'horizons divers qui va permettre le début d'un changement.



Ce premier tome n'est pas passé loin du coup de cœur. Deux petits bémols qui sont essentiellement de mes gouts. Le premier est le fait de suivre les personnages et d'avoir une coupure après plusieurs chapitres pour découvrir un autre durant un certains nombres de chapitres et revenir aux autres. J'ai un peu de mal quand c'est aussi long. Je m'explique, lorsque c'est un chapitre chacun, je ne suis pas plongée complétement et donc il est facile pour moi de changer d'interlocuteur. Quand c'est avec autant de chapitres, j'ai du mal à oublier les personnages d'avant et je dois dire que l'histoire de Dara m'est passée complètement à côté, malgré son histoire très intéressante (je n'ai pas ressenti d'émotions vives pour elle dans ce début de récit). Le second point est juste qu'à un moment donné 4 personnages sont enfermés, mais ils travaillent à attraper un personnage important pour un dirigeant, mais ils sont de nouveau enfermés ? (Je pense que j'ai du me perdre juste à cette situation) Comme je l'ai indiqué, il s'agit vraiment de deux détails, dont le 1er est une affaire de gout. Le récit est prenant et l'envie de savoir comment tout cela va se terminer est important. Les peuples décrit donnent envie de les rencontrer, ainsi que les fameuses créatures autres que les dragons. Un soupçon de steampunk avec Alya et ses machines volantes (J'adore !) L'auteur nous régale de plusieurs éléments qui mis bout à bout donne une originalité et une aventure très complète et complexe.



Les personnages sont travaillés, surtout celui d'Olérian. Pour Shiobah, je pense que le prequelle est un gros plus pour mieux la comprendre, même si l'auteur lâche des informations pour mieux la suivre. Enora est une entité particulière qui semble voir tracer un destin pour nos personnages et je ne vois pas comme Ethen ce qu'elle apprend au final. Je vois cela plus comme un cadeau pour des êtres qui ont déjà tant perdu, que ce cadeau est précieux pour eux et leur rendre un avenir plus radieux avec toutes les épreuves qu'ils ont subi. Des thèmes comme la peur de la différence est plus qu'évoqué et mis en avant, tout comme le fait que les hommes gouvernent et qu'il est inadmissible pour une femme de prendre une place importante au sein d'un conseil, sauf dans le cercle des sorcières où tout est inversé. Les créatures évoquées, montrées et mises en avant sont à la fois terrifiantes et fascinantes. Les mages ont réussi l'impossible : concilier la nature profonde de chacun d'entre eux, de donner une chance à tout le monde, de vivre en harmonie, de ne laisser personne sur le carreau. C'est un récit qui est dense avec quelques rares moments pour souffler. Il met en avant des personnages et leur vie de telle manière que nous comprenons facilement ce qui les motivent à faire tel ou tel choix. L'ajout de la nécromancie, le dégout de certains pour leur propre don, l'auteur nous emmène dans les pensées de chaque personnage et nous montre également les forces et les faiblesses. Être un mage ne veut pas dire être tout puissant.



En conclusion, un premier tome qui a énormément de qualités. Le monde crée est magique de part les personnages, les histoires, le passé, les lieux bien décrits et la plume de l'auteur. Le mélange des créatures avec les humains, le fait d'avoir un passé riche en événements et un épilogue qui nous fait passer 3 ans après les péripéties est un sacré plus. Les combats sont nombreux, les cachettes aussi. J'ai adoré suivre l'évolution de Olerian et voir le cœur d'artichaut de Meridan en action. Il faut savoir ruser et rester sur ses gardes pour avoir une chance de se faire entendre. Des thèmes évoqués plus haut dans le malsain, comme les viols ou la pédophilie sont juste évoqués et mis en avant d'une certaine manière que nous n'ayons pas les descriptions glauques et c'est parfait ! Avoir des alliés est crucial et savoir à qui parler également. Oh, j'allais oublier, chaque peuple a son propre "nom", ses caractéristiques, sa magie et bien d'autres choses encore. Je regrette de ne pas avoir vu que l'auteur avait fait un ulule pour lui, car j'aurai été plus que ravie d'y participer, comme je le fais de temps en temps pour des lectures qui sont dans mes thèmes préférés. Franchement, si vous ne connaissez pas et que vous aimez la fantasy, foncez !



http://chroniqueslivresques.eklablog.com/erhetylia-livre-1-l-ordre-d-enora-meryma-haelstrome-a213403923
Lien : http://chroniqueslivresques...

Le destin de leur peuple est entre leurs mains...





Sur l'ile Dramung se sont réfugiés les mages rebelles pour éviter de se faire capturer et devenir des esclaves.

Le culte d'Enora est encore bien présent sur cette petite île malgré le fait qu'il ait été banni sur le continent d'Erhetylia.

Siobhan qui est une mage de feu puissante est la cheffe de cet Ordre et compte bien faire valoir à l'Empereur la légitimité de leur peuple. Son dragon se faisant mourant depuis la mort tragique de sa compagne, elle est plus qu'angoissée à l'idée de partir. Fort heureusement elle pourra compter sur son ami de toujours, Meridan un mage de la Terre.

À travers leur période sur le continent, ils vont pouvoir voir de leur yeux que leur quête est loin d'être gagnée mais leur route croisera celle d'alliés aussi puissant que surprenant. La rébellion s'organise et le Continent n'est pas prêt pour ça...





Ce roman est une magnifique découverte. J'ai adoré l'univers que nous propose l'auteure à savoir des mages élémentaires qui sont traqués et réduits à l'esclavage, des Sorcières qui les aide a créer des pierres de dragon pour éteindre les pouvoirs.

J'ai trouvé que le fait de mettre en combats les pouvoirs les uns contre les autres nous permets de voir les forces et les faiblesses de chaque éléments, et surtout le fait d'y incorporer de la nécromancie apporte un soupçon de regain en terme de magie élémentaires.

Les combats sont bien réels et travaillés à la perfection, j'ai eu l'impression d'y être. L'action est au rendez-vous tout comme les révélations et les rebondissements. L'auteure ne nous laisse pas vraiment de répit, même à ses personnages.

J'ai adoré les personnages masculins à savoir Meridan et Olerian qui apportent de la virilité alors que Siohban, la magistère,

est une femme que je n'ai pas apprécié. Elle a des réactions contradictoires, des pensées déplacées. Je l'ai trouvée maladroite

dans ses faits et gestes et surtout pas réaliste. Je pense que c'est un personnage qu'on peut adorer détester tellement les personnages secondaires sont beaucoup plus attachants et beaucoup mieux travaillés.

La plume est belle, très descriptive mais qui ne gêne pas la lecture bien au contraire. Elle est fluide et sans chichis sauf quand il s'agit de notre mage de feu.

Ce roman parle de viol et de pédophilie mais sans tomber dans la vulgarité, ce qui nous permets d'être touché par ces sujets tabous. À ne pas mettre entre toutes les mains.





En bref, un premier tome qui nous propulse dans un univers qui a l'air vaste et recherché mais avec un personnage principal détestable.

Erhetylia est une grande aventure. Elle l'est par la force de caractère de ses personnages, tous différents, qui nous entraînent avec eux dans leur combat. Mais aussi par cet univers enchanteur, où se mêlent la magie et le pouvoir.

Bien que les mages, les sorcières et les dragons soient au rendez-vous, il existe également des jeux politiques très présents et des thèmes plutôt lourds, abordés comme dans notre actualité, qui bouleversent et révulsent.

Et même si parfois, certaines scènes étaient difficiles à vivre, j'ai adoré tout l'ensemble. La diversité des personnages et les relations entre eux m'ont beaucoup plu.

J'ai vraiment hâte d'en découvrir la suite.

Une fort sympathique introduction à ce nouvel univers fantasy, qui donne envie d'en découvrir plus !



L'histoire est jusqu'ici relativement classique, elle respecte bien les codes du genre avec toutefois quelques pouvoirs intrigants que je me réjouis de pouvoir observer plus en détail dans la future trilogie. La nouvelle est portée par le personnage de Siobhan, un petit bout de femme qui me plaît déjà beaucoup et qui semble bien décidée à ne pas se laisser dicter ses actes !



La plume est fluide et adaptée au ton du récit, on se glisse sans difficulté dans ce nouvel univers et les événements s'enchaînent sans aucun temps mort. C'est peut-être le petit reproche que je ferais à ce texte, un côté un peu précipité pour tout faire rentrer en peu de pages, mais au vu du format ça ne m'a pas dérangée, et je vois ça comme une bande-annonce qui veut nous donner envie en distillant plusieurs ingrédients alléchants. Pour le coup, mission réussie !



Je préfère ne pas en dire plus pour ne pas trop dévoiler de cette nouvelle, je peux par contre dire que cette trilogie m'intrigue déjà, que la plume me plaît et que l'imagination de l'autrice semble tout à fait adéquate pour nous construire un bel univers fantasy dont on se souviendra ! Affaire à suivre, donc !