Michael Drosnin

Un code serait inscrit dans la Bible depuis plus de 3000 ans, émanant de qui ? De Dieu lui-même ? d'une intelligence extraterrestre ? L'auteur ne se prononce pas.

Ce qui aurait pu donner matière à un excellent thriller peine toutefois à me convaincre quand il s'agit de prendre ces prophéties à la lettre.

Aux dires de Michael Drosnin, le mathématicien Rips aurait mis au point un programme informatique capable de trouver des mots, voire des phrases dans la longue séquence que forme le texte biblique, une fois mis bout à bout, en enlevant les blancs et les espaces. Ces mots se recoupent et se chevauchent pour donner des mises en garde du type :

immense guerre - à la fin des jours - terrorisme - kamkaze -



Bref, nous nous dirigeons droit vers la troisième guerre mondiale, orchestrée par des terroristes, issus d'Al-Quaïda, et que, seul, le président Obama (qui sera réélu en 2012) sera peut-être en mesure d'éviter. Fort heureusement, la Bible nous donne une clé à découvrir gravée sur des obélisques ...



L'auteur à l'air convaincu. Personnellement, je pense qu'on fait dire au code de la Bible ce qu'on veut bien y voir ! Mais bon... attendons la suite des événements. Après tout, c'est peut-être moi qui manque singulièrement de foi !

J'ai lu ce livre il y a plusieurs années, je me rappelle avoir été très sceptique envers ce fameux code decouvert dans la bible. Pourtant à 18 ans j'étais beaucoup plus impressionnable qu'aujourd'hui....



J'ai de nouveau feuilleté ce livre, soit plus de 10 ans plus tard , et j'ai toujours le même ressenti et le même scepticisme : on peut dechiffrer et interpreter ce code comme on l'entends et selon ce qu'on souhaite y trouver....



Je suis du même avis que Bleuettediot (voir sa critique, plus aboutie plus haut), je manque surêment de foi... du moins en ce code...

Enquête du journaliste américain Michael Drosnin sur une découverte faite par le mathématicien israélien, Eliyahu Rips.

Comme tout le monde le sait, le langage en hébreux qui est l'écriture de l'Ancien Testament de la Bible a une valeur numérique.

Le mathématicien Rips a soumis les textes en hébreux de l'Ancien Testament à de super-ordinateurs. Il a découvert un code permettant d'avoir des réponses à des questions posées. Quand on interroge des textes bibliques sur des évènements passés, peu importe l'époque, on trouve la réponse de ce qui est arrivé.

A signaler : comme si un libre arbitre était laissé à l'humanité, il y a toujours au moins deux destins possibles, ce qui laisse comprendre que l'on peut changer le futur "même probable", on peut le détourner dans la mesure du possible. Je cite :

< < le code de la Bible est un ensemble de probabilités. Dans le livre scellé se trouvent tous nos futurs possibles. Chaque évènement prédit semble être codé avec au moins deux issues possibles. > >

Ce code se trouvait dans les tables de la Loi données par l'Encodeur à Moïse sur le Mont Sinaï.

A travers cet "Encodeur", les croyants, peuvent voir (le Créateur, c'est à dire Dieu) et les agnostiques ou athées, peuvent imaginer une simple et quelconque intelligence extraterrestre ayant une très grande avance technologique sur nous et des connaissances que l'on ne peut même pas imaginer.

Un livre troublant de premier abord mais à la réflexion, la méthodologie n'est pas neutre et les resultats douteux. Les révélations de la Bible ne se situent pas dans un code (voir section Midrahs et Aggadah)

Tome 2 de l'enquête journaliste concernant la découverte du mathématicien israélien Eliyahu Rips, qui, à l'aide d'ordinateurs, a mis à jour un code dans des textes bibliques de l'Ancien Testament.

Ce second volume, ne fait que développer avec plus de détails, ce que l'on a déjà appris dans le premier tome.

Entre les deux parutions de livres, le seul nouveau décodage marquant a été : - qu'il semblerait qu'à l'époque biblique, le ou les "encodeurs" auraient caché des (colonnes ou obélisques) dans de (l'acier ou vaisseau...) selon traductions.

Des inscriptions concernant structure ADN, création de la vie ou le mode de codage de la Bible y figureraient.

"Dieu", le "Créateur" ou "Encodeur" aurait laissé cet 'héritage' aux générations futures dans un endroit où il savait qu'il serait bien conservé.

Le code de la Bible indique péninsule de "Lisan", "mer Morte". Effectivement, dans cet endroit le plus bas de la planète avec une concentration de sel telle, que l'oxygène en est absent, il était impossible de trouver meilleure cachette préservant de la rouille et dégradation.

Cet ancien lieu biblique où se trouvait les villes de Sodome et Gomorrhe fait aujourd'hui partie du territoire de la Jordanie qui n'a pas donné le droit d'y faire des fouilles...

BS"D



Michael était athée, mais il a apprécié les échanges profonds et intelligents à propos de son travail avec les personnes croyantes, même s'il n'était pas d'accord avec leur position.



Merci pour m'avoir donné l'opportunité de travailler sur le scénario adapté pour The Bible Code, Michael.



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Yehi Zikhro Baroukh.
Lien : https://www.imdb.com/title/t..

Encore un code secret... encore dans la Bible... encore et toujours l'apocalypse! A se demander, avec l'auteur : "Pourquoi dans les visions du futur l'homme cherche-t-il toujours la fin du monde?". Ici, il s'agit de millénarisme informatique, car ce n'est qu'à l'aide de l'ordinateur (appliqué au texte juif en hébreux, bien sûr), que l'on peut retrouver "Le passé, le présent, l'avenir : tout est écrit depuis l'origine des temps"... Et le futur, conformément à la pensée mathématique contemporaine mais aussi à une longue tradition talmudique, est "programmé" comme un ensemble de probabilités, donc comme une somme de futurs possibles. Quelle chance pour nous que, contrairement à un pronostique de cet ouvrage de 1997, prévoyant "pour cette fin de millénaire, trois dates [qui] rev[enaient] sans cesse, associées à l'apocalypse nucléaire", l'une des possibilités non-apocalyptiques se soit produite...! Dommage par contre que tant d'exemples de "révélations" tirées de ce code secret soient centrées sur l'Etat d'Israël et son histoire...

A vous tres chers de capter lattention quil merite...

Se livre instruit l eternelle etudiante que je suis.