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3.43/5 (sur 66 notes)

Nationalité : États-Unis
Né(e) à : Cleveland, Ohio , 1973
Biographie :

Michael Johnston est titulaire d'un doctorat en architecture de l'Université Columbia.

Après de brillantes études d’architecture et d’histoire, il a collaboré avec différents cabinets de New York et Los Angeles.

C’est durant une conférence sur l’ancienne Égypte que lui est venue l’idée d’un roman s’inspirant de cet univers et de l’histoire tragique du Roi Lear. "Soleri" est paru en 2017.

Michael Johnston est le mari de l'écrivaine Melissa de la Cruz (1971). S'il a collaboré à l'écriture de la série "Blue Bloods", "Frozen" (2013) est le premier opus sur lequel son nom est cité comme co-auteur.

Il vit à Los Angeles avec sa femme et sa fille.

son site : http://michaeljohnstonauthor.com/index.html
Twitter : https://twitter.com/mjohnstonauthor
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Découvrez trois sorties littéraires immanquables d'octobre dans notre nouvelle vidéo ! ---------------------- Les livres dont on vous parle dans cette vidéo : - le signal de Maxime Chattam : http://bit.ly/2yj9bnb - L'empire des Soleri de Michaël Johnston : http://bit.ly/2PAkkH2 - le Meurtre du Commandeur d'Haruki Murakami : http://bit.ly/2CENfXj Rejoignez notre Bookclub Bookeen : http://bit.ly/2ASauI7 et ne manquez pas notre article sur les 10 immanquables d'octobre : http://bit.ly/2Ehlnu0 ---------------------- Vous pouvez également venir parler littérature et lecture numérique avec nous sur : - Twitter : https://twitter.com/Bookeen - Facebook : https://www.facebook.com/Bookeen - Instagram : https://www.instagram.com/bookeen_cafe/ ---------------------- Musique de fond : I Will Not Let You Let Me Down (Instrumental Version) by Josh Woodward (licence CC) http://bit.ly/2qSEksB

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Citations et extraits (16) Voir plus Ajouter une citation
- Si les Soleri voulaient qu'on ne voie pas cette carte, pourquoi l'ont-ils gravée dans la roche ? Noll, il est beaucoup plus simple de dissimuler des tablettes ou des rouleaux.
- L'arrogance des dieux, avança l'érudit, fataliste. Parfois, ils aiment cacher leurs secrets en pleine vue.
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Ils se regardèrent intensément. C'était peut-être simplement trop écrasant de revoir la personne que l'on aimait après des mois de manque, de désir, d'espoir et de rêve. Ils étaient trop intimidés, chacun ignorant si l'autre avait encore les mêmes sentiments qu'avant. Si bien qu'ils se rabattaient sur leurs réparties cinglantes, sur leur façade de froideur. Alors qu'en dessous, elle avait le cœur en feu. et à voir comme il la regardait en ce moment... comme s'il n'en revenait pas qu'elle soit bien là, comme s'il avait voulu la dévorer toute crue, s'agenouiller à ses pieds et l'enlever, tout cela à la fois...si seulement...
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Tendant une main, il voulut attraper des flocons, mais ils fondirent dès qu’ils touchèrent sa peau. C’était un peu comme la liberté… Un bien précieux et rare qui disparaissait quand on essayait de le retenir à pleines mains.
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Venant à la rescousse, Adin referma lui aussi ses doigts sur le manche du couteau.
Comme c’était prévisible, la lame échappa aux trois belligérants et s’écrasa sur le sol. D’un coup de pied, Oren l’envoya dans les flammes.
Et maintenant ? pensa Ren.
Soudain, il se rappela qu’il possédait une autre arme qu’il n’avait jamais utilisée. Pas une lame, mais ça ne serait pas gênant pour ce qu’il entendait faire. Passant une main derrière son épaule, il en décrocha le bois du Vénérable et visa avec le ventre d’Oren.
Acharné à ne pas crever, le Maître du Prieuré para le coup, ses mains refermées sur l’andouiller, qui resta bloqué à quelques pouces de sa cible.
Adin vint aider son ami. Poussant ensemble, ils gagnèrent lentement du terrain. Oren se débattit, mais il ne put pas leur arracher l’arme improvisée.
Désespéré, le bourreau lança des coups de pied et de tête, mais les deux jeunes gens ne bronchèrent pas jusqu’à ce que la pointe de bois ait traversé sa tunique puis sa chair.
Les yeux écarquillés, Oren parut d'abord ne pas y croire. Puis il gémit, lâcha l'andouiller et tomba à genoux.
La future épée de Ren venait de boire le sang pour la première fois.
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Les tueurs ne répondirent pas. Au contraire, à l’exception d’un seul, tous rengainèrent leur arme et s’éloignèrent.
Le dernier tira une épée courte de sous son manteau. Puis il chargea, les traits tordus par la haine.
Enfin, un combat digne de ce nom !
Ren avança, décidé, mais frappa dans le vide. Une flèche dans l’épaule, le tueur en gris venait de tomber à genoux. Avec sa lance, un soldat lui donna le coup de grâce.
Lâchant son « arme », Ren regarda autour de lui.
Des soldats harkaniens accouraient de toutes parts.
Tous le regardèrent, émerveillés et pleins de respect. Baissant les yeux, l’homme le plus proche les écarquilla en découvrant la chevalière que portait le jeune garçon.
Ren avait oublié l’existence du bijou, qui brillait intensément sous la lumière des lampes. La chevalière d’Arko et de son père avant lui. Le symbole des héritiers du trône.
En cuirasse noire, celui qui devait être le capitaine de ces hommes avança pour inspecter Ren.
Alors que le jeune garçon se tendait, son sauveur lança :
— Nous vous attendions, seigneur
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Arko ricana. Pour les murs et le chant, ça passait encore, mais la tirade sur Raden… Face aux barbares, le père de Saad avait surtout brassé du vent…
Le Rayon cessa d’écouter. Quand il trouva que la coupe était pleine, il leva les mains pour interrompre la présentation.
— Merci de m’informer de la munificence du Protecteur, mais s’il n’entre pas bientôt, je vais avoir besoin d’une pause-pipi !
Wat plissa le front d’inquiétude.
Dehors, les hommes de Saad firent silence et le Protecteur daigna enfin entrer… sans se presser.
Le voyant lever encore plus le menton, Arko reconnut un comportement commun à tous les types courts sur pattes qui compensent en se forgeant une musculature à grand renfort d’exercice et de régime à base de testicules de taureau. Des gnomes convaincus d’avoir quelque chose à prouver au monde…
Arko détesta d’emblée ce paltoquet.
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La devise des Soleri. « C’est la souffrance qui fait l’homme. »
Leur ultime vérité philosophique - pas sont pertinente que ça, selon Ren. Si la douleur avait suffi, il aurait été « fait » depuis très longtemps, et ce dix fois plutôt qu’une.

Pour moi, la souffrance ne fait pas l’homme. Au contraire, on devient adulte malgré elle.

Il avait vu des garçons rendus fous par la douleur. D’autres, à cause d’elle, s’étaient transformés en monstres de cruauté. Mais aucun, jamais, n’avait ressemblé, même de très loin, à ce qu’il tenait pour un homme. Cela dit, qu’en savait-il ? Au fond, il ne connaissait que des gamins - et tous étaient des otages, comme lui. Les fils de toutes les familles royales et lignées nobles des royaumes inférieurs...
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-Ça ira. Imagine l’instrument. Les cordes, le manche, la volute à un bout, la mentonnière à l’autre.
-D’accord.
-Maintenant, prend une de ces pièces, la volute au bout du manche. Imagine le dessin de la spirale, le grain du bois, les fibres à l’intérieur de ce bois.
Elle s’efforça d’y parvenir, mais ne voyait pas à quoi rimait l’exercice.
-Va plus loin, à présent. A l’intérieur de ces fibres de bois, essaie de voir les cellules, et les molécules qui les composent. Travaille degré par degré, de plus en plus petit, jusqu’à ce qu’il n’y ait plus rein, rien que le vise, l’éther. A ce moment-là seulement, tu peux le façonner pour en faire ce que tu veux – tu peux faire d’un violon un violoncelle, ou un pont.
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Entrant sans frapper, elle découvrit son époux, assis sur un tabouret bas, en train de confier sa virilité aux bons soins des lèvres charnues d’un de ses mignons.
— Désolée de te déranger en plein travail, dit Merit tandis que la porte se refermait derrière elle.
Le jeune damoiseau se releva d’un bond. Nu comme un ver, son membre mollasson oscillant de droite à gauche comme un poisson au bout d’une ligne, il se mit en quête de sa tunique.
— Dans le coin, là, fit Merit en désignant le vêtement gris clair posé négligemment sur un plateau de jeu de pièces.
Le jeune homme remercia Merit d’un signe de tête, saisit la tunique et l’enfila pendant que Shenn se débattait avec les boutons de son pantalon.
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Kepina recula et réfléchit. Tout compte fait, le coche renforcé et les fenêtres étroites étaient justifiés, mais là encore, ça ne changeait rien. Même s’il se souciait de la protéger, Dagrun se fichait de son bonheur et de sa liberté. La femme qu’il désirait, c’était Merit, pas elle.
— Pourquoi ne m’as-tu rien dit ? N’as-tu pas compris comment j’interprétais les choses et ce que je pensais de toi ? Ce que tu voulais défendre, c’était une propriété, pas une personne. En plus, je sais que tu en pinces pour ma sœur.
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