AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
Critiques de Michael Johnston (86)
Classer par:   Titre   Date   Les plus appréciées


Soleri, tome 1 : L'Empire des Soleri

Tout d'abord merci à Babelio et aux éditions Bragelonne pour m'avoir permise de découvrir ce premier tome d'une saga qui se révèle très prometteuse !

On est dans un univers médiéval mais avec une mythologie plutôt proche de celle des égyptiens : sacré mélange mais réussi ! Quatre empires "inférieurs" subissent le joug de l'Empire Soleri , à la tête duquel se trouve l'empereur Tolemy, que l'on considère comme un Dieu et que personne ne peux voir sans subir le châtiment du soleil,son emblème. La famille qui dirige l'empire Harkana veut voir cette domination cesser pour être enfin libre.

J'ai beaucoup aimé la forme du roman : chaque chapitre est consacré à un des personnages principaux , ce qui permet d'avoir un point de vue très large et de mieux comprendre les enjeux. Les chapitres sont courts et il se passe toujours quelque chose ! Impossible de s'ennuyer !

Ce qui est aussi très plaisant, ce sont les personnages, qui ne sont pas du tout manichéens et se révèle plus profond que ce que l'on imaginait.

L'univers est assez fascinant, avec ce désert qui devient fertile grâce à une plante donné par l'Empereur, avec ce soleil qui puni ,avec ses secrets sur la famille impériale ....C'est très riche !

Enfin le récit est plein de rebondissements et de retournements de situation, un peu comme le trône de fer, il ne faut pas s'attacher trop vite aux personnages ^^

Je n'ai qu'une hâte , c'est de lire la suite !!



Challenge Mauvais genre

Challenge Multi-défis 2018

Challenge 50 objets
Commenter  J’apprécie          283
Frozen, tome 1 : Fuir ou mourir !

Nat est marquée. Son seul espoir d'échapper à l'enfermement ou l'embrigadement est de s'enfuir et de trouver le bleu, un paradis qui existerait quelque part sur cette terre dévastée et à l'agonie.



Une voix l'aide et la pousse à ce départ. Il se fera par l'entreprise d'une équipe de mercenaire qui s'engage à lui faire traverser les zones dangereuses.



Mais la traversée est périlleuse, voire impossible et les intentions des membres du groupe ne sont pas toutes honnêtes... Seulement voilà, Nat n'a aucune autre alternative !



Un périple qui décrit une terre et des hommes ravagés par la pollution, la famine, la peur et par l'exploitation de l'homme par ses pairs.



Le récit est parfois un peu long et gris mais les personnages s'étoffent progressivement et la fin est plutôt bien menée. Un avis assez mitigé mais un roman d'aventure post apocalyptique qui peut plaire par son côté assez sombre avec ses militaires corrompus et ses esclavagistes.



Il semble toutefois manquer un travail de finition tant au niveau de l'écriture que de l'histoire qui survole certains faits et accélère dans les derniers chapitres qui ouvrent une suite possible.
Lien : http://www.nouveautes-jeunes..
Commenter  J’apprécie          200
Frozen, tome 1 : Fuir ou mourir !

Fugitive, Nat est devenue croupière dans un casino de New Vegas. Mais c'est une "marquée" : elle a des dons et est pourchassée par les militaires pour cela. Elle parvient cependant à voler de l'argent pour partir vers le Bleu et quitter ainsi la ville plongée dans l'ère glaciaire. Le seul qui peut la guider est le beau Wes et son équipe de mercenaires. Le voyage sera plein de dangers mais aussi de rencontres avec d'autres marqués...

Premier tome d'une nouvelle dystopie de Melissa de la Cruz, Fuir ou Mourir plonge le lecteur dans un univers sombre et glacial où le fantastique et la romance ont la part belle.

Nat et Wes sont des personnages qui cachent de lourds passés, se forgeant ainsi des caractères forts et indépendants. Leur quête d'un avenir meilleur les réunit alors que tout devrait les opposer.

Le second tome devrait apporter les réponses aux questions qui restent en suspend : d'où vient cette période glaciaire ? pourquoi chasse-ton les marqués ? qu'est devenue Eliza, la sœur de Wes ?
Commenter  J’apprécie          170
Soleri, tome 1 : L'Empire des Soleri

Lu en VO.



Dans un univers inspiré autant par l’Égypte antique que par Le roi Lear de Shakespeare, un monde en désintégration où famille et ennemi ne font qu’un, des intrigues politiques et de cour à multiples niveaux (des plans à l’intérieur des plans, comme dirait Mr Herbert) impliquant les Hark-Wadi et les Soleri feraient passer les Borgia et les Lannister pour une bande de petits bricoleurs du dimanche en matière de manigances et de vilenies. Ce cycle, caractérisé par ses révélations et ses retournements de situation chocs, sera peut-être une nouvelle référence de la Fantasy politique, à la condition impérative que les tomes suivants gomment les maladresses présentes dans ce premier roman : densité et nombre de points de vue trop élevés, personnages parfois un peu bancals, lourdeurs dans l’écriture contrastant avec des passages éblouissants, dans une balade en montagnes russes sur le plan de l’intérêt (et des ambiances très différentes, du désert à la forêt et des égyptiens aux celtes) qui ennuie parfois, fascine à d’autres moments. Mais clairement, le potentiel est là, et il est énorme, et c’est avec beaucoup d’intérêt que je lirai la suite.



Ce qui précède n'est qu'un résumé : retrouvez la critique complète sur mon blog.
Lien : https://lecultedapophis.com/..
Commenter  J’apprécie          150
Soleri, tome 1 : L'Empire des Soleri

Premier tome d'une nouvelle série de fantasy américaine éditée par Bragelonne. « L'empire des Soleri » se sera révélé une très grosse déception, et ce malgré un cadre prometteur. le roman met en scène une Égypte antique fantasmée dont l'empire se serait étendu à la quasi totalité des territoires alentours. Même si l'empereur brille depuis des années par son absence (les simples mortels ne supporteraient pas d'être en sa solaire présence), son gouvernement garde néanmoins une main de fer sur les provinces asservies, notamment au moyen d'otages : chaque roi doit envoyer son fils et successeur à la capitale où il restera prisonnier jusqu'à la mort de son père. Cela fait maintenant des siècles que le système a fait ses preuves, mais il semblerait que les règles du jeu soient en train de changer. Car contre toute attente, Ren, un otage de treize ans, est libéré alors que son père est encore en vie. Ce n'est d'ailleurs pas le seul bouleversement que connaît l'empire. Il y a d'abord le problème du Premier Rayon du Soleil (une sorte de Premier Ministre) qui commence à se faire vieux et qui ne manque pas de candidats à sa succession, tous plus impitoyables les uns que les autres. Il y a aussi la fameuse éclipse, qui occulte le soleil chaque année et annonce la faveur des dieux, qui ne se manifeste pas pour la première fois, causant la frayeur et la fureur du peuple. Sans compter le problème posé par l'approvisionnement de l'empire, et de certains vassaux qui s'agitent. C'est dans ce contexte qu'on fait la connaissance des cinq membres d'une même famille : le père est le souverain d'un royaume voisin asservi ; le fils, le fameux otage libéré plus tôt que prévu ; la mère a quitté sa famille il y a des années pour devenir Grande Prêtresse et vise le poste de Premier Rayon du Soleil ; quant aux deux filles, elles ne pourraient être plus différentes : l'aînée aspire à devenir reine et se montre retorse et manipulatrice tandis que la cadette est une jeune fille farouche et indépendante, lasse de servir comme monnaie d'échange.



On a donc à priori une histoire familiale compliquée, entrecroisée d'intrigues politiques à plus grande échelle, un peu à la manière de G. R. R. Martin ou encore Maurice Druon. Sauf qu'il manque à l'auteur la subtilité et le sens du coup de théâtre de ses prédécesseurs. le récit est certes mené tambour battant, mais l'avalanche de scènes d'action et de rebondissements ne permet pas de compenser le manque de profondeur non seulement de l'intrigue, mais aussi des personnages. L'auteur y met pourtant du sien et utilise toute la panoplie habituelle en matière de complots politiques : envoie d'assassins, coups bas, trahisons, cadavres déposés sur le pas de la porte de ses ennemis... le problème, c'est que tout cela est présenté de manière tellement expéditive qu'on a rarement le temps de prendre conscience des implications de telle ou telle action que l'auteur est déjà passé à autre chose. Impossible dans ces circonstances de s'immerger dans le récit, ni surtout de s'attacher aux personnages qui sont franchement limités. La plupart sont certes réactifs (puisqu'ils semblent ne jamais prendre le temps de réfléchir et réagissent à tout à chaud), mais pour la logique on repassera ! Ce que la plupart d'entre eux présentent comme des coups de génie tient ainsi bien plus souvent de la chance que d'une véritable stratégie (mais comme ils ne se remettent jamais en question, tout va bien). Et quand certains finissent par réaliser que ce qu'ils ont fait n'était peut-être pas une si bonne idée, cela arrive bien trop tard, le lecteur l'ayant, lui, saisi bien plus tôt (l'exemple le plus flagrant est sans doute la décision de Mérit de marier sa soeur). Les personnages féminins me posent d'ailleurs question. Outre le fait qu'elles correspondent toutes à un stéréotype bien précis (on a la femme politique ambitieuse et impitoyable, la princesse rebelle et bas-ass...), c'est surtout la manière qu'a l'auteur de systématiquement mentionner leur physique avantageux dès qu'il parle d'une femme qui m'a agacé. Faut-il donc forcément qu'une femme soit belle pour remporter l'adhésion du lecteur ? Et pourquoi les hommes n'ont-ils pas le droit au même traitement ? C'est d'autant plus gênant que l'auteur manque à nouveau de subtilité au point de distinguer les femmes belles qui s'assument (en gros les ambitieuses et les ordures), et celles qui tentent de cacher leur beauté (les « gentilles »).



Autre élément qui ne joue absolument pas en faveur du roman : la plume de l'auteur (je sais bien qu'on a affaire à une traduction mais franchement je ne pense pas qu'il s'agisse ici d'un problème de traducteur). Les dialogues, notamment sont assez pauvres et comportent de nombreuses répétitions (il arrive par exemple qu'un personnage répète la même question trois fois dans la même page...). Certains s'avèrent même assez inutiles tandis que d'autres sonnent tout simplement faux (les personnages se retrouvent à dire à voix haute des choses qui auraient du être placées dans la narration). Autant dire qu'on est loin des joutes verbales à la « Game of thrones » ! le reste du texte n'est pas franchement d'un meilleur acabit : la description des personnages est très lourde, et certains événements sont racontés de manière tellement concise qu'on a parfois l'impression d'avoir loupé un épisode (exemple : au détour d'un couloir, un personnage tombe sur le corps d'un homme. Et bien le fait est mentionné sur à peine une ligne, sans aucun autre détail, et ne provoque aucune réaction particulière, si ce n'est un changement de destination...). J'ai bien conscience que rien dans ma chronique jusqu'à présent ne donne envie de découvrir le roman, et j'en suis d'autant plus désolée que le décor était pourtant fort intéressant. Il est en effet assez rare de voir de la fantasy se déroulant dans le cadre de l'Égypte antique dont on retrouve ici les noms, les sonorités, les paysages, ainsi que certaines traditions. C'est le cas par exemple du culte du soleil, qui occupe un rôle essentiel dans le panthéon de cette civilisation, mais aussi de la manière dont on considère l'empereur (qu'on peut aussi bien associer ici à un pharaon qu'aux représentants de la dynastie lagide, bien plus tardifs mais peut-être plus habiles encore en matière de communication). L'Égypte n'est d'ailleurs pas la seule civilisation à avoir influencé l'auteur, puisqu'on retrouve aussi dans les provinces de l'empire des cultures plus proches du monde celte.



En dépit d'un cadre prometteur, ce premier tome de « L'empire des Soleri » n'aura a aucun moment réussi à me passionner. Outre une intrigue un peu bancale et des rebondissements souvent tirés par les cheveux, on peut regretter que les personnages et le style n'aient pas été davantage travaillés afin de donner davantage de profondeur et de complexité au roman. Dommage.
Lien : https://lebibliocosme.fr/201..
Commenter  J’apprécie          130
Soleri, tome 1 : L'Empire des Soleri

Cette fantasy commence dans un univers singulier avec une pratique originale et cruelle. Les dirigeant de l'empire central emprisonne jusqu'à leur règne les héritiers des royaumes soummis. Nous suivons la préparation d'une révolte dans 2 de ces royaumes.

Un roman passionnant malgré quelques longueur qui m'a tenue en haleine.

Malheureusement la suite n'existe qu'en anglais apparemment. Peut-être qu'un jour j'aurai le courage de la lire !

Commenter  J’apprécie          100
Soleri, tome 1 : L'Empire des Soleri

Malgré un début un peu difficile j'ai fini par bien rentrer dans le livre et j'ai dévoré la seconde moitié.



L'Empire des Soleri existe depuis plus de 2500 ans dans ce monde aride ou le soleil peut tuer. Les Soleri eux même se sont retirés du monde derrière des murs et laissent leur favori, le Premier Rayon, faire le lien avec les humains.



Cet empire a conquit le monde et les différents peuples, qui ont gardés leur gouvernement, tremblent sous son joug. Ses méthodes de gouvernement incluent tout un panel de décisions qui ne sont la que pour déstabiliser les différents royaumes et les empêcher de devenir plus fort ou de se rassembler. Les principales mesures sont des mariages forcés entre peuples rivaux et antagonistes ou le confinement des héritiers dés leur plus jeune age dans un monastère où on leur lave le cerveau et leur mène la vie très dure, ...



Mais les choses sont toujours en mouvement, et l'empire n'est finalement pas aussi solide qu'il semble l'être. Chaque année a lieu une cérémonie marquant la fin d'une année et le début d'une nouvelle, marquée par une éclipse de soleil. Mais il arrive une année où l'éclipse n'a pas lieu, et tout commence à aller de travers. Nous suivons ici cinq personnes d'une même famille dysfonctionnelle qui va se déliter alors que le chaos menace de tout emporter sur son passage ...



****



La première chose que je tiens à dire c'est que ce tome ci est vraiment un tome d'introduction et de mise en place des événements. Nous avons une énorme révélation au milieu du livre qui donne vraiment le ton et qui va conditionner toute la suite.

En fait une fois terminé il m'a fait penser au premier tome du Trône de fer, quand on ne savait encore pas grand chose du monde finalement mais ou on suivait déjà plein de personnages pris dans des intrigues autour du pouvoir.



Dans ce monde tout tourne autour des Soleri mais en fait on ne sait pas du tout ce qu'ils sont. Des dieux? des aliens? Un peu des deux? Ça reste un grand mystère pour l'instant. De leur fonctionnement on n'a aussi que des miettes au compte goute tout au long du récit, au travers des légendes, des écrits ...

J'ai bien aimé cette façon d'éparpiller l'information qui nous pousse à toujours vouloir en savoir plus. On retrouve un peu l'ambiance qu'on avait dans le second tome de la première trilogie Fils-des-brumes (bien sur en plus simple pour l'instant vu que ce n'est qu'une petite composante de ce livre et pas le sujet d'un tome entier, mais dans le même esprit).



On est dans un monde qui s’apparente visuellement à l’Égypte antique. Entre les zones d'oasis, le désert, le langage imagé peint ou gravé sur les pierres ou la chaleur omniprésente, tout est bien présent et fait que je n'ai pas pu m’empêcher de me représenter l'action en plein dans l'imaginaire lié à cette période.



****



Dans ce monde décidément très mystérieux nous suivons donc une famille dont les membres dans l'ensemble sont plus intéressée par leurs problèmes terre à terre que ce mystère la.



Le père, Arko, est porté par sa culpabilité, en effet son propre père a résisté à l'empire et a mené une guerre pour qu'on l'autorise à garder Arko avec lui. Du coup il sent encore le sang de ses compatriotes morts pour lui sur ses mains même si il n'est pas directement coupable.

De plus il a été obligé d'épouser une femme qu'il n'a jamais aimé et qui a toujours joué les choses plus politique que lui, homme simple. Il a lui même du confier son fils au monastère et il se sent aussi lâche d'avoir laisser faire ça alors qu'il aime tant ses enfants.



Sa femme, Sarra, a abandonné sa famille après qu'on lui ai prit son fils, et comme le divorce n'existe pas elle est rentrée dans le clergé. Même sans avoir la foi sa facilité en politique lui a permis de rapidement monté les échelons et elle est devenu la mère supérieur. Et évidemment quand sa position lui permet d'en faire baver à son mari qui a osé ne pas l'aimer comme elle le méritait, elle ne se gêne pas. C'est une femme amère, qui aime le pouvoir et n'hésite pas à mettre la vie d’innocents ou d'inconnu en péril pour se venger ou arriver à ses fins.



La fille ainée, Merit, a beaucoup de traits de sa mère. Elle aime le pouvoir et elle fera tout pour avoir le pouvoir ET l'amour. Même si elle est loin d'être aussi retorse que sa mère elle a une capacité de nuisible aussi élevé à certains moments. Le mariage forcé lui a donné un mari homosexuel qui ne l'a jamais touché et même si ils sont devenu amis et alliés elle ne se souci pas vraiment de lui. Secrètement elle le déteste car certaines personnes la prennent en pitié de ne pas avoir réussi à attirer son mari. Elle est très auto centrée et ne prend jamais en compte les avis et les sentiments des autres personnes. Elle est aussi persuadé qu'elle est la seule à avoir la légitimité pour être à la tête de son peuple.



Sa cadette, Kepi, est sans doute le personnage le plus sympathique du lot. Elle a été marié mais son mari était tellement bourré qu'il c'est fracturé le crane pendant leur nuit de noce. Le peu de temps qu'a duré ce mariage a quand même réussi à la traumatiser et à la rendre méfiance envers tout les hommes. Trois ans se sont écoulés depuis et elle a prit ce temps pour devenir une guerrière. Du coup quand les manigances de sa sœur ainée l'obligent à retrouver le chemin de l'union, elle pense devenir folle et ferra tout pour être libéré, même de force.



Il nous reste donc le tout dernier, Ren. Celui ci a vécu toute sa vie au monastère. Comme tout les autres héritiers on lui a venté les mérites des Soleri. Maintenus dans la faim en permanence, les punitions s’apparentant facilement à de la torture, le tout sans jamais voir le soleil, leur vie n'a jamais été facile. Mais Ren a su se faire des amis, et quoi qu'on leur fasse subir, leur petit groupe n'a pas pu être séparé. Du coup quand on lui annonce qu'il doit partir pour prendre la place de son père à la tête de son peuple, il se retrouve seul, en devant compter en plus sur les manigances de Merit qui n'a pas l'intention de lui céder la place aussi facilement ...



Quand je parlais de ressemblance avec le premier tome du Trône de fer c'est vrai que c'est marqué sur les personnages. Il facile de trouver un lien entre Arko et Ned Stark, entre Sarra et Merit et Cersei ou entre Kepi et Arya. Pour autant ce n'est qu'une ressemblance de façade, un type de personnage. Chacun arrive à se démarquer, chaque situation et contexte sont vraiment très différent et finalement pour chacun je pourrais citer autant de dissemblance que de points communs.



****



J'ai eu un peu de mal avec le début. Il faut dire on nous propulse directement dans un des passages les plus noirs de tout le livre, nous faisant redouter que la suite soit du même genre (voir pire). Mais en fait non, une fois ce passage la passé, le reste semblait moins sombre en comparaison.

Finalement il me fallait juste un moment d'adaptation et la suite est passé vraiment sans aucun souci.



J'ai aussi bien aimé le rythme avec des chapitres courts et qui s'enchaînent rapidement ce qui donne à l'ensemble une bonne fluidité. Je peux même dire que j'ai dévoré la seconde moitié, j'aurais bien voulu en lire plus.

Je me suis attaché à ce monde et aux personnes, même ceux qui me faisaient grincer des dents.



C'est sur que je voulais en savoir plus sur les Soleri et que le peu d'indices qu'on grappille dans ce tome peut être un peu frustrant car finalement on ne sait pas encore grand chose. Mais en partant du principe que ce n'est que un premier tome ce n'est pas pour moi un défaut, c'est normal. A condition que la suite soit à la hauteur, bien sur.

Et au contraire ça a très bien marché parce que je pense que je ne traînerai pas après la sortie du suivant pour satisfaire pour envie d'en savoir plus !


Lien : https://delivreenlivres.blog..
Commenter  J’apprécie          90
Frozen, tome 2 : La cité rouge

Nat est désormais la drakonnière du Bleu, luttant avec acharnement pour sauver ce paradis des attaques des VSA. Wes, quant à lui, est à New Vegas, survivant tant bien que mal en faisant des courses automobiles. Mais même séparés, ils gardent un lien télépathique et une même envie, retrouver leurs proches, Liannan et Eliza. Leur quête sera semée d'embûches, ponctuée de belles rencontres mais aussi de révélations terrifiantes...

Ce second volet de la trilogie pour ados Frozen est plutôt réussi.

J'ai apprécié le rythme soutenu du récit, les rebondissements et l'univers post-apocalyptique rempli de créatures magiques créé par Mélissa De La Cruz. Le froid est toujours là mais un esprit de révolte commence à apparaitre dans la population opprimée. Nos deux héros gagnent en maturité et doivent faire des choix parfois difficiles.

Quelques questions que l'on se posait dans Frozen trouvent des réponses ici mais j'espère que le dernier tome lèvera totalement le voile. Je lirai d'ailleurs volontiers la suite...
Commenter  J’apprécie          80
Frozen, tome 1 : Fuir ou mourir !

Dans une société apocalyptique et glacée , Nat officie comme croupière dans un casino . C'est une "marquée", elle doit fuir , retrouver les gens qui lui ressemblent. Pour cela , elle fait appel à Wes, (charmant jeune homme) qui va, à l'aide de son bateau , la conduire dans le "Bleu";



Mon avis est très partagé pour ce roman ...

1°: je ne suis pas une grande fan des dystopies , (je suis trop vieille pour que ça marche sur moi, à part pour le 1° tome d' Hunger Games qui est un chef-d'oeuvre...et évidemment les classiques comme 1984 et Le meilleur des mondes )

2° :Je pense que ce roman s'adresse à de très jeunes adolescents ((tranche d'age :11 /14 ans et non pour des jeunes adultes .

Les plus grands trouveront peut-être (comme moi) , les personnages un peu aseptisés et les situations un peu trop traitées de façon "gentille".

3° C'est comme si les auteurs avaient fait un mélange de pleins de genres différents et tout "touillé " dans une grande marmite!!!

On prend un peu de "Pirates des CaraÏbes " (le bateau / les pirates / les créatures des mers ) puis un peu de sorcellerie (l'héroine est marquée ),puis Eragon ,avec une créature chevauchée par une "élue" ,, puis ambiance fin du monde avec le froid et la glace qui recouvrent tout , etc...

Un gros "gloubi-boulga"...



L'avantage , c'est que ça donne une ambiance originale qui évolue constamment au fil de l'histoire et des rencontres.



Le gros point positif du livre , c'est son engagement écologique . C'est une dystopie écologique!

L'héroine dans son périple, va croiser dans les océans, des montagnes de déchets. Des animaux et des cultures sont préservées dans des endroits chauffés au seul bénéfices des riches.

Tout ceci contribue à faire réfléchir le lecteur sur ce qu'on lui a laissé comme monde et ce qu'il doit faire pour l'améliorer et ainsi sauvegarder ce qui peut l'être ..

En ceci, c'est un roman hyper interressant .

Une autre particularité , c'est la façon d'écrire trés cinématographique . (ou peut-être que c'est moi qui ait beaucoup d'imagination..., mais ce livre , je l'ai VU plutôt que je ne l'ai LU....)

En bref, un roman interressant pour éveiller les consciences écologiques des jeunes lecteurs...

Commenter  J’apprécie          80
Soleri, tome 1 : L'Empire des Soleri

Alors que cette lecture me semblait être sous de bons auspices (notamment un cadre dépaysant, inspiré de l’Egypte, peu usité dans le genre), j’ai été vite refroidi (ce qui, vu le contexte du récit, est assez paradoxal !) tant le démarrage a été laborieux. Nous commençons par suivre Ren, un jeune garçon otage du peuple dominant, les Soleri, comme les autres héritiers des royaumes vassaux. Histoire de limiter leurs velléités de rébellion ! Condamné à un châtiment cruel, Ren arrivera à s’échapper. Et les ennuis commencent… pour le lecteur.



Le style est en effet au mieux médiocre, mais le plus souvent mauvais, avec des énormités qui rendent la lecture pénible. Exemple : Ren s’enfuit dans des catacombes très sombres, voit au loin des poursuivants vêtus de capes grises et arrive quand même à discerner (de loin, dans le noir, sous des capes) leurs armes et armures… Mouais… Et ça continue comme ça. Plus loin, monté à cheval, il tire à l’arc sur un animal, puis bondit et l’achève d’un coup d’épée. Donc en jetant son arc, comblant la distance, dégainant son épée et visant le point névralgique. Même Conan ne saurait faire aussi bien ! Globalement, les scènes d’action sont d’ailleurs assez brouillonnes et mal écrites. Ajoutons à cela des soucis de traduction, avec des tournures de phrase parfois bien ternes, et on aura pas mal d’éléments pour inciter le lecteur à fermer sans regrets le livre. Une relecture plus attentive, en V.O. comme en V.F. a été largement oubliée. Certes, c’est le premier livre de l’auteur, mais j’ai eu l’impression que le travail d’édition a été bâclé.



Dommage, le background est plutôt intéressant, avec un empire inspiré de l’Egypte antique, une dualité armée/religion sous l’oeil d’Apophis d’un empereur invisible mais craint de tous (ah oui, c’est bien Apophis !), et une famille dysfonctionnelle, celle de Ren : père peu intéressé par sa charge de roi, fille aînée ambitieuse et prête à tout, fille cadette aimant les armes et promise à une destinée intéressante (le personnage qui m’a le plus intéressé, en fait) et enfin mère ayant quitté tout ce beau monde (ça se comprend !) pour diriger un culte prêt à tout pour s’accaparer le pouvoir (ça se comprend moins !). La magie est quasi absente du livre, ce qui n’est pas forcément un manque dans le contexte et fait un changement bienvenu dans cette Egypte de fantasy, où les noms sont souvent des clins d’oeil (Tolemy = Ptolémée par exemple).



Un potentiel intéressant, au final, massacré par un style alternant entre le plat et l’épouvantable. Dommage que ces défauts viennent handicaper l’histoire et n’aient pas été gommés par des relectures plus attentives. Du coup, la suite de l’aventure se fera sans moi.
Lien : https://bibliosff.wordpress...
Commenter  J’apprécie          60
Soleri, tome 1 : L'Empire des Soleri

J'aime entrer dans un nouvel univers, découvrir un nouvelle plume, avec Soleri j'attendais une lecture flamboyante et passionnante. Quel est mon avis au final ?



Tout d'abord j'ai aimé ce lien opéré avec l'Égypte, j'ai trouvé qu'un roman de Fantasy lié à cet univers était une très bonne idée, un mélange intéressant qui mêle l'imaginaire à l'histoire.



Autre point positif, c'est une lecture qui se lit de façon très fluide via des chapitres courts, via des rebondissements très variés, une intrigue avec un rythme soutenu et addictif.



Après ma lecture de Soleri contient quelques bémols qui ont fait que je n'étais pas été totalement emballée par ma lecture.



Ainsi j'ai trouvé que si Michael Johnston mettait en avant l'action et les révélations cela était parfois au détriment du développement de son univers, de son histoire et de ses personnages. Le lecteur n'a pas le temps d'appréhender tous les tenants et aboutissants de cet univers que les actions s'enchaînent sans temps mort.



Ensuite j'ai eu du mal à m'attacher aux protagonistes. Je trouvais que les personnages manquaient de profondeur et ce notamment pour les personnages féminins qui sont un peu trop stéréotypées.



En définitive, un premier tome prometteur mais qui présente quelques bémols.
Lien : https://leatouchbook.blogspo..
Commenter  J’apprécie          50
Frozen, tome 1 : Fuir ou mourir !

Je ne sais pas vraiment quoi penser de cette lecture. J’ai passé un agréable moment dans ce monde post-apocalyptique avec des personnages singuliers et attachants. Ce sont de jeunes adolescents mais dans ce monde rude et froid ils font déjà office d’adultes expérimentés.



Le monde créé par Melissa De la Cruz et son mari Johnston fourmille d’idées. On y retrouve des personnages de fantasy, sorte d’elfes ou de nains, un scénario dans la pure branche dystopique et des rebondissements dignes d’un bon roman de course poursuite à la James Bond. En soit il y en a pour tous les goûts. Peut-être un peu trop de mélange pour moi pour que j’arrive vraiment à adhérer à ce nouvel univers. En tout cas, je ne me suis pas ennuyée et les pages ont vite défilé.



Le contrat est rempli sans que ce soit un coup de cœur. (Vu la fin de l’histoire je dirais qu’il s’agit d’un tome 1 mais rien ne l’indique sur la couverture).
Lien : http://boumabib.fr/2015/02/1..
Commenter  J’apprécie          50
Frozen, tome 1 : Fuir ou mourir !

Frozen est un roman d’anticipation qui postule que la Terre est entrée dans une sorte de nouvelle ère glaciaire après avoir été dévastée par l’Homme.

L’auteur nous dépeint un monde dévasté, couvert de neige et de glace, des villes entières ont disparues sous la montée des eaux provoquées par la fonte des glaces.

Les océans sont si pollués que rien n’y vit, on croise d’immense trashberg (iceberg composés d’ordures) et les libertés individuelles sont réduites à zéro (il faut un permis pour avoir des relations sexuelle et une licence pour avoir un enfant).

Le début du roman est assez abrupt : Nat s’échappe d’une sorte de prison où on la détient parce qu’elle est « marquée ». Ce que sont les marqués, d’où ils viennent, qu’elles sont leurs capacités, on ne l’apprend qu’au compte-goutte car on découvre les choses au même rythme que la jeune fille. Tout au plus sait-on que ces personnes sont traquées, accusées d’être maléfique, voire de transmettre une affreuse maladie.

Nat rêve de s’échapper de New Vegas, où elle réside, pour rejoindre « le bleu » : un endroit qui serait épargné par le froid et la pollution. Une simple légende selon certains, un nouveau territoire à soumettre (et probablement à détruire) selon l’armée.

Trouver le bleu n’a rien d’une promenade de santé : Il faut d’abord réussir à fuir la ville, puis, une fois sur l’océan, échapper à des dangers aussi divers que la faim, les trashbergs, les milices, les trafiquants d’esclaves ou encore les choses sinistres qui rôdent sous la surface.

C’est un monde où la compassion peut-être fatale.

Nat cherche ce qu’elle est, à qui appartient la voix qu’elle entend parfois au fond d’elle.

Plus pragmatique, Wes, le jeune passeur que Nat a engagé, cherche avant tout de quoi payer le prochain repas.

Pourtant, chacun des deux jeunes gens, aussi différents qu’ils puissent apparaître au premier abord, cache un secret qui lui pèse. Si pour Nat, on sait d’emblée que c’est la marque, pour Wes, il faut bien plus de temps pour qu’il nous livre sa face cachée. Et encore le fait-il au compte-goutte.

Les deux personnages principaux sont attachants et on oublie facilement qu’ils n’ont que 16 ans. Mais l’espérance de vie est si réduite dans ce monde, que tout arrive plus tôt et notamment l’âge adulte. Ainsi, à 16 ans, Wes a déjà été militaire, mercenaire et passeur.

Plus on avance dans l’histoire et plus la fantasy s’ajoute à la dystopie. Les deux se complètent parfaitement, sans doute parce que la fantasy est intégrée petit à petit.

J’ai aussi apprécié que la romance n’arrive pas trop vite et qu’elle ne facilite pas les choses.

Le chemin est très dangereux et ce n’est pas parce que nos personnages tombent amoureux qu’il en devient plus facile.

Il y a beaucoup d’action, entrecoupé de pages plus calmes, comme pour nous laisser souffler.

La fin est un vrai ascenseur émotionnel. On apprend enfin quelles sont les capacités de Nat (ainsi que pleins d’autres choses sur elle), ce qu’on a attendu pendant tout le livre. Et juste après, on a cette fin qui nous arrache un « non ! ».

Mais bon, étant donné qu’il s’agit d’une trilogie, un happy end dès le 1er tome aurait été plus que bizarre.

Vu la fin du 1er tome, les tomes 2 et 3 promettent d’être explosifs !

Et je suis impatiente de les découvrir.
Commenter  J’apprécie          40
Frozen, tome 1 : Fuir ou mourir !

Frozen navigue habilement entre dystopie et fantasie .

Si la première partie du livre est particulièrement marqué par le coté dystopique , le récit évolue habilement vers la fantasie,

La planète a l'environnement hostile (le raison ne sont pas reelement développe, peut être dans les prochains tomes) la population vivant avec tres peu de ressource, une armée surpuissante (en tout cas au usa, on parle un peu de l’Asie, quant a l'Europe et a l’Amérique du sud il semble que nous soyons revenu a l'age de pierre sans parlé de l'Afrique dont nous n'entendrons jms parlé .) suite au grand avènement qui transforma écosystème planétaire, un nouveau type d'humain les 'evo' on vu le jour . Ils sont bien entendu pourchassé par l'armée qui les utilise comme bouc et misère de la situation chaotique ainsi que sujet de laboratoire .



Nat l'héroïne, est bien naturellement une evo, sont pouvoir n'est pas particulièrement défini au debut du roman, elle apprend a le contrôler peu a peu, ne sachant pas a quel catégorie appartiennent ses pouvoirs , ceci se révéleront reelement a la fin du roman, le cas classique de l'héroïne de fantasy dans une série a plusieurs volets .



Le second personnage principal, Wes, est un ancien militaire devenu mercenaire . C'est a bien des égards le héros typique de dystopie/roman pour jeune fille .. Un peu comme Nat d'ailleurs , cependant son passé plus que trouble (on a pas tous eut le droit de participé comme membre actif a un génocide) permette en partie a le rendre plus intéressant .



L'un des premiers bon point, les personnages secondaires sont plutôt bien développé, même si on retrouve certains personnage typiques, malgré tout leur évolution permet de les rendre attachant . de plus introduction d'autre personnage pilier sont intelligemment intégré en cour de roman .



Enfin, le développement du recit m'a captivé a partir de la traversé, l'évolution de la terre y est particulièrement bien retransmise .

De plus l'histoire m'a de nombreuse fois surprise, le récit est très bien mené .





L'un des points qui m'a cependant dérangé, c'est que certain fait vers la fin du roman sont survolé voir expédié ce qui jette une ombre sur certaine situation censé etre déterminant et qui part la brièveté de certain passage manque d'impact reel.

Conséquence direct de la breveté du roman, une cinquantaine de page supplémentairement n'aurait définitivement pas fait de mal.
Commenter  J’apprécie          40
Frozen, tome 1 : Fuir ou mourir !

Un peu convenu. Pas sur de vouloir lire la suite
Commenter  J’apprécie          40
Frozen, tome 2 : La cité rouge

Tout d'abord, parlons quelques secondes de la couverture. Très ressemblante de la couverture VO, je la trouve personnellement même plus jolie. La maison d'édition française a fait un bon boulot en restant fidèle à l'originale tout en osant une petite différenciation, avec le titre écrit en gros. Donc, que de bonnes choses à dire de cette couverture :)



Passons maintenant à l'histoire. Le livre est divisé en deux grandes parties : Le Palimpseste d'Archimède et La Drakonnière et le Sylphe. Chaque chapitre est soit narré par Nat (Anastasia), soit par Wes (Ryan Wesson), ce qui permet de comprendre l'histoire sous différents points de vue et de la dynamiser.



Nous retrouvons donc Nat et Wes, elle au grand Bleu, lui à New Vegas. On découvre leur nouvelle vie respective depuis qu'ils ont été séparés. Nat est devenue la Drakonnière qui règne sur le Grand Bleu, et elle s'efforce de protéger ses terres contre les attaques de l'armée. Wes, lui, survit comme il le peut en participant à des courses automobiles truquées.



Le destin de Nat a changé mais il est toujours régit pas la haine, le feu, la guerre, la traque (ce qui est le propre des Drakonniers) " Je suis constituée d'ombre et de ténèbres "

Quant à Wes, il est toujours à la recherche de sa sœur disparue neuf ans plus tôt. Malgré leur séparation, Nat et Wes ont des flashs de l'autre, sans savoir pourquoi. Je ne vous en dirais pas plus, cette petite mise en contexte suffit largement, le but restant de ne pas trop vous en dire.



L'écriture de ce livre est vraiment agréable, on a l'impression que tout se passe devant nos yeux. Les chapitres se lisent avec aisance et la qualité d'écriture est vraiment bonne. L'action est vraiment au rendez-vous, mêlées de temps en temps avec de l'humour, notamment en ce qui concerne les discussions entre Wes et ses amis Farouk et Shakes (ils utilisent un langage très...familier).



L'histoire est vraiment intéressante, parce que l'on en apprend plus sur les origines de Vallonis, ainsi que sur ce que l'on fait subir aux marqués dans la cité rouge. J'aime aussi le contraste entre le Bleu et le Grand Gris : dans le premier, la terre est fertile, les arbres sont partout, les oiseaux volent en paix, la nourriture pousse ; dans l'autre, tout est mort et "brûlé" par la glace. . J'ai cherché quelques défauts à relever, mais il y a finalement dans ce livre tous les ingrédients pour qu'une lecture soit agréable et haletante :)



En conclusion: Un livre vraiment sympa, avec beaucoup de rythme, d'action et de l'humour. L'auteur a une plume très agréable à lire, qui nous permet d'imaginer aisément et avec précision chacune des situations. Un vrai plaisir ! J'ai hâte de lire le dernier opus de cette saga (oui, oui, un tome 3 est bien prévu héhéhé).
Lien : http://leslecturesdophechups..
Commenter  J’apprécie          30
Frozen, tome 1 : Fuir ou mourir !

Vous voulez une dystopie ? Et bien lisez ce livre ! Le côté dystopie est absolument génial ! Et en même temps on se dit que dans un sens, à force de faire des conneries, nous, on pourrait arriver au monde de Nat ...

Sinon pour le côté histoire .. J'ai eu du mal à accrocher .. J'ai plus accroché à Wes qu'à Nat, l'héroïne .. On ne connaissait pas ses sentiments ... Je sais pas j'arrivais pas ! Et puis ce côté "êtres magiques" ne m'a pas vraiment plu ! J'aurais préféré le monde pourri et un endroit nommé bleu ou la terre n'est pas pourrie mais sans ce côté surnaturel avec des pouvoirs etc .. Ça faisait trop de mélanges ... Bref bonne lecture mais sans plus .. Pas du tout un coup de cœur :(
Commenter  J’apprécie          30
Frozen, tome 1 : Fuir ou mourir !

Le monde dévastée qui sert de trame à cette histoire est vraiment très intéressant (très bonne idée que cet eldorado à retrouver dans ces immensités glaciales); l'action est omniprésente (quoique c'est limite très confu à certains moments) mais les persos se révèlent plutôt creux. Mais ce qui me choque le plus c'est la relation vraiment bizarre entre tous: par exemple, un personnage meurt et quelques minutes plus tard, tout le monde repart de l'avant comme si il ne s'etait rien passé... Bref, ça manque de liant.
Commenter  J’apprécie          30
Frozen, tome 1 : Fuir ou mourir !

Mon avis : Il y'a un petit moment que j'ai refermé ce livre, une bonne semaine et je reste toujours sur mon impression mitigée. Il y a vraiment une bonne idée de départ avec des êtres surnaturels intéressants mais il y'a tellement d'absences dans ce roman. Il y'a une réelle trame mais le contexte n'est que brièvement expliqué, les personnage sont mono expressifs et on se prend à penser à une forme de gâchis. Si le fantastique n'avait pas une grande part, on pourrait presque parler d'une forme de dystopie et c'est toujours quelque chose qui m'attire. C'est ce qui a sauvé ce roman du naufrage.



Nat est marquée et comme bien souvent, c'est signe d'une différence, d'une malédiction ou d'épreuves cruelles. Elle s'échappe d'une prison dont on ne sait rien si ce n'est qu'elle est l'objet d'expériences. Une voix inconnue lui parle, la guide ou la piège, elle ne sait pas réellement mais parfois, elle ne peut faire autrement que la suivre. Nat s'enfuit donc grâce à ses pouvoirs qu'elle ne comprend pas et commence une nouvelle vie à New Vegas, en tant que croupière. Le monde est recouvert de glaces depuis un temps visiblement long mais Nat sait qu'elle peut rejoindre un autre lieu, “le Bleu” dont lui parle la voix. Pour cela, il faudra voyager à bord d'un bateau sur des eaux dangereuses, craintes par tout un chacun.

Le capitaine, Wes, ce garçon qu'elle a doublé lors d'une partie lui propose son équipage âgé de 13 à 16 ans pour la conduire dans les mers tant redoutées. Nat est à la fois attirée par le jeune homme et peu sûre que son âge les conduira à bon port mais elle n'a aucune autre solution.



J'aime bien l'idée de voyage, de fuite avec un équipage bancal pour partir à la recherche d'une sorte de Paradis. J'ai vraiment adoré imaginer le monde recouvert par les eaux gelées et ce que les humains ont fait pour y survivre. J'ai encore plus été attirée par les sylphes, les petitshommes. J'y ai vu des clins d'oeil à Tolkien et Pirate des Caraïbes. En revanche, Nat et ses compagnons du début de l'aventure, les jeunes que Wes a recueillis sont manichéens et sans profondeur. A part la colère et la tristesse, on n'a aucunement l'impression qu'ils éprouvent d'autres sentiments. J'ai repris espoir quand les auteurs développent les autres “races” qui sont finalement les personnages les plus attachants et les plus intrigants.



Ce qui est très étrange dans ce livre c'est qu'il y'a tout le temps de l'action, qu'on commence à s'inquiéter, à rentrer dans le jeu...mais l'inertie des personnages principaux finit par énerver et faire oublier les rebondissements de l'histoire qui est en elle-même vraiment une promesse.Il paraît qu'un second tome doit être édité, je le lirai car la fin du premier nous donne encore des promesses mais j'espère que ce second opus sera plus dense, surtout concernant les personnages.
Lien : http://www.lecturesenb.fr/20..
Commenter  J’apprécie          30
Frozen, tome 1 : Fuir ou mourir !

L’histoire avait de quoi me plaire, malheureusement j’ai un avis mitigé.

J’ai adoré le côté dystopie où le monde a été dévasté par la montée des eaux qui est désormais recouvert de neige et de glace et où les océans sont pollués par d'immenses icebergs de déchets.

Mais concernant la fantasy je n’ai pas vraiment apprécié. J’ai eu du mal avec le mélange car je trouve qu’on s’y perd.

Je n’ai pas trop accroché avec l’héroïne qui n’utilise que vaguement son pouvoir car elle ne le contrôle pas, ce qui est vraiment dommage car elle avait de nombreuses occasions de le faire, cela aurait pu la rendre dix fois plus intéressante et peut-être même badass.

Même si durant la traversée périlleuse nous n’avons pas le temps de nous ennuyer car l’action ne manque pas, il y a justement trop d’informations ce qui fait qu’encore une fois on s’y perd, surtout quand de nouveaux personnages font surface et de même lors de la rencontre avec les pirates, et c'est là que j'ai décroché mais que je n’ai rien lâché car je voulais découvrir le bleu.

Malheureusement concernant le bleu il faut lire la suite pour découvrir cet endroit mystérieux car il est uniquement vaguement décrit à la fin du livre et comme je n’ai pas envie de lire la suite j’étais assez déçu qu’on ne le découvre pas au moins un peu.

Je crois que s’il y avait eu uniquement de la dystopie cela aurait pu être un coup de cœur.

Après je ne regrette pas de l’avoir lu et j’ai aimé découvrir l’univers dystopique.
Commenter  J’apprécie          20




Acheter les livres de cet auteur sur
Fnac
Amazon
Decitre
Cultura
Rakuten

Lecteurs de Michael Johnston (385)Voir plus

Quiz Voir plus

Où sont-ils nés ?

Albert Camus est né .....

en Tunisie
en Algérie
au Maroc

12 questions
37 lecteurs ont répondu
Créer un quiz sur cet auteur

{* *}