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Citations de Nana Malone (28)


Ce fut une des rares fois où je vis son masque froid tomber. Derrière se trouvait le garçon vulnérable que j’avais connu, celui qui m’avait parfois laissé lui courir après et jouer avec moi, le garçon sensible qui me faisait parfois la lecture, celui qui venait dans ma chambre pour me serrer dans ses bras parce que j’avais peur après avoir regardé des films d’horreur avec lui. Pendant un très court laps de temps, je vis ce garçon.
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Tout un pays dépendait de moi pour savoir les choses, pour les guider à travers ces temps horribles. Mon père avait été aimé par tous, et je devais le remplacer, mais j’étais mal équipé. De toute évidence, coucher à tout va ne prête pas vraiment à diriger. J’avais toujours aimé l’instruction civique, j’étais excellent. En revanche, le nombre de réunions journalières était exténuant. Pourtant, elles étaient une distraction suffisante pour m’empêcher de trop penser et de recommencer ce que j’avais fait à l’église.
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Il flirta sans honte avec ma mère et lui lança un sourire destiné à faire fondre sa petite culotte avant de revenir à sa forme de Viking stoïque.
C’était étrange comme il était attirant sans le sourire. Avec, il avait même réussi à rendre ma mère momentanément stupide. C’était étonnant qu’il ne le fasse pas plus souvent. Ensuite, il fut concentré uniquement sur les affaires. Une fois tous les papiers appropriés signés, ma mère lui remis la lettre et on reprit la route.
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À l’instant où le bout de mes doigts entra en contact avec son corps, je ressentis le bourdonnement familier et l’excitation, ce ronronnement d’ivresse et de contentement. Oui, comme si elle était une drogue.
Le pire, c’est qu’elle ne me repoussa pas, ne me demanda pas d’arrêter. Mes doigts s’enfonçaient dans sa chair tout en la transportant contre moi, elle s’enroula sur mon corps comme un bébé paresseux à la vie.
Elle avait un goût à la fois divin et diabolique. J’en voulais plus.
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Son expression était dure et stoïque, sa bouche plissée, ses yeux noisette, sérieux. En m’installant près de ma mère, je me résolus à regarder droit devant moi. Pas facile à faire. De temps en temps, je pouvais sentir la chaleur de son regard. Je pouvais sentir mon attirance vers elle, le besoin de la regarder.
Quand je pensais ne plus pouvoir tenir, je me rappelais que mon père était parti à jamais. C’était un homme que j’avais aimé qui avait essayé de m’influencer et me contrôler avec cette femme. Et ça avait fonctionné.
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J’avais su. J’avais commencé quelque chose que je savais ne jamais pouvoir obtenir. Maintenant que ça faisait mal, je ne pouvais m’en prendre qu’à moi-même.
Contrairement à Sebastian, j’étais rentrée tout de suite. Depuis que mon père avait envoyé quelqu’un pour me récupérer, j’avais passé les derniers jours dans le brouillard. Il y avait tellement de choses à préparer pour les funérailles pour la sécurité de la reine et de Sebastian. On m’avait jetée au milieu de tout ça. Je n’avais même pas encore fait mon rapport de mission, s’il y avait même quelqu’un à qui le donner, puisque c’était le roi Cassius qui m’avait embauchée.
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Tout ce dont j’avais envie c'était de crier pour que tout le monde sorte de la pièce pour me laisser réfléchir, respirer. J’avais envie de la secouer, lui demander ce qu’il se passait. Puis elle avait été emmenée, et je ne l’avais plus revue. Je secouai la tête, redressai les épaules quand le chauffeur passa les grilles du palais et entra dans les garages. Rien de tout cela n’avait d’importance. Len et moi, ce n’était pas réel. Nous ne l’avions jamais été. Mon père, dans son infinie sagesse, m’avait retrouvé avant que je sois prêt et il m’avait envoyé la personne parfaite pour me pousser à rentrer. Mes sentiments envers cette... interférence… étaient ambigus.
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Il n’était jamais impoli avec ceux qui s’occupaient de protéger sa famille, mais les rumeurs disaient qu’il couchait à droite et à gauche. J’en avais même été témoin. Il était le chef et il le savait. Personne n’osait lui dire non. Et hum... Aussi... pour le fait qu’il trempait son pinceau à droite à gauche. Chacun des membres de sa garde personnelle l’avait vu à différents stages entre l’habillement et la nudité avec ses fameuses femmes.
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Quand nous étions enfants, nous jouions parfois ensemble. Il avait toujours paru être un enfant solitaire. Lui et ses cousins avaient reçu leur éducation sur place. Avec seulement ses cousins comme compagnons de jeu, il avait l’habitude d’écumer le palais pour trouver d’autres personnes avec qui jouer. Il me trouvait souvent, essayant désespérément de suivre mon frère. Nous étions assez près en âge pour qu’il me laisse jouer avec lui à l’occasion.
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Lyra, ma chérie, tu es sur le point de découvrir, dans les quelques minutes qu’il te reste à vivre, que je suis très, très difficile à tuer.
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Tu peux penser que ce n’est pas réel tant que tu veux, mais je te suggère de commencer à y croire ou de te trouver quelqu’un d’autre. Parce que je suis ton meilleur ami, bien sûr que je peux le voir. Si tu continues à le nier, ça ne sera pas long avant que tout le monde le remarque.
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C’est pour ça qu’on dirait que tu te languis d’amour, le cœur brisé et qu’on dirait que tu es prêt à te battre tous les jours ? Comme si tu étais accro à quelque chose et que tu n’avais pas eu ta dose parce qu’elle est hors de portée ?
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Peu importe les décisions que j’ai prises, je les ai faites parce que je le voulais. Je me suis enfuie de la maison une fois et c’était une aventure épique, mais j’aime prendre mes décisions après y avoir réfléchi, pas de manière spontanée. Si je le fais, quelqu’un d’autre contrôlera toujours ma vie et ce n’est pas ce que je veux.
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Parfois, je suis tellement fatigué, et j’ai seulement envie d’aller boire, me saouler et de me réveiller dans un endroit étrange où je n’aurais plus de responsabilités.
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Malgré moi, mon cœur se serra en sachant qu’elle avait trouvé un moyen d’être douée pour une chose dont elle ne voulait pas. Un de nous devrait être libre, même si l’autre ne le serait pas.
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En un claquement de doigts, j’avais perdu mon père, mon amour et mon rêve. Tout ce que je ne voulais pas était devenu réalité. J’étais le roi. Je suppose que papa avait raison après tout. Il était temps d’arrêter ces enfantillages.
Le coup sec à ma porte me sortit de ma rêverie. Entrez.
La porte s’ouvrit. Et mon cœur se serra à nouveau. Ethan. Le père de Penny. Mon père l’avait nommé au Conseil des Régents pendant le temps où j’avais été absent. Il avait été le responsable de la sécurité de mon père et continuait dans ce rôle pour moi jusqu’à ce que j’en décide autrement. Je sais que mon père le considérait comme un conseiller de confiance. Le voir me blessait maintenant.
Je
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Elle avait menti. Pendant que j’étais occupé à tomber amoureux d’elle, elle s’occupait d’infiltrer ma vie pour le compte de mon père. J’étais furieux que mon père ait envoyé quelqu’un pour ma surveillance. J’étais furieux d’être tombé sous son charme. Surtout, j’étais furieux d’avoir été si crédule, si facilement contrôlable.
C’était une menteuse. Tout comme toi.
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L’odeur de ses baisers, de sa langue sur mon cou, la manière dont il avait agrippé mes hanches. Sentir la manière dont son pouce avait caressé mon clitoris.
Je frissonnai de désir.
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Sa langue se battit avec la mienne. Ses dents mordillaient, tout comme les miennes l’avaient fait, les petites blessures goûtant le sang et le désespoir.
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Comment on appelle le second fils ? La roue de rechange ? Je veux être là pour toi, mais je pense que je créerais plus de problèmes qu’autre chose. En plus, ça ne va pas tout gâcher si je viens avant le vote ? Tu l’as dit toi-même, je lui ressemble.
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