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Critiques de Nicola Doherty (37)
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In love et autres désastres

Juno est une jeune fille intelligente qui est prévoyante, très prévoyante même. En fait, elle a une peur panique d'à peu près tout. D'ailleurs, elle a même fait une liste concernant les choses qui la font flipper plus que tout au monde. C'est simple, elle doit éviter de se mettre en danger et de rester éloigner des endroits, des objets qui lui font peur, qui peuvent la mettre en danger. Sauf que voilà, elle vit dans une angoisse permanente mais elle n'est pas au bout de ses peines car elle va partir faire du ski avec sa mère, son beau-père et ses deux enfants. Autant vous dire que le baromètre de l'angoisse va très vite augmenter !







C'est complètement paniquée qu'elle va se rendre à son premier cours de ski. Elle sera tellement stressée que ce cours sera une véritable catastrophe mais sa mère ne se démontera pas pour autant et va inscrire sa fille à d'autres cours mais en particuliers cette fois-ci... C'est ainsi qu'elle fera la connaissance de Boy, son coach qui est légèrement plus âgé qu'elle. Mais il ne faut pas se fier à son jeune âge car c'est un excellent prof. Elle qui trouvait refuge et bonheur que dans les livres qu'elle lisait, elle va trouver un certain intérêt à ce sport qu'elle s'était jurée de détester. Au fil du temps, elle s'apercevra que tous les deux se ressemblent bien plus qu'on pourrait le croire de prime abord.







Elle tombera littéralement sous le charme de ce jeune homme et passera la plus grande partie de son temps avec lui. Boy saura redonner confiance à Juno qui en manque cruellement. Il sera l'écouter, l'aider, l'épauler. Grâce à lui, une autre Juno fera son apparition, une jeune fille moins soucieuse, plus courageuse, plus épanouie. Elle va profiter pleinement des moments qu'elle passera avec lui, elle se fera même de nouveaux amis ! Des moments de pur bonheur dans son existence si triste et stressant.







Juno est un personnage fort attachant. Ses peurs, sa timidité font qu'on a envie de l'aider, la protéger. Quand Boy arrive dans sa vie, il y a un poids qui s'envole de nos épaules, on se sent plus léger parce qu'on sent que ça va aller mieux pour elle. On la voit évoluer au fil des pages, on la voit vivre, grandir, s'épanouir ; ce n'est que du bonheur pour nous, lectrices.







Ce Young Adult est un roman qui nous fait vivre bons nombres d'émotions, de sensations, d'angoisses. La plume de l'auteur est belle, sensible, addictive. On a envie de poursuivre sa lecture jusqu'à la fin.







Le message que nous délivre l'auteur dans ce livre est beau et je ne peux que vous inviter à le lire pour en faire de même...




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In love et autres désastres

Un livre au résumé intriguant qui donner envie d’en savoir plus sur cette adolescente qui a peur de tout.



Juno, est une jeune fille intelligente qui a toujours fait en sorte d’éviter le pire, sa peur permanente de tout, elle a d’ailleurs établie une liste des choses qui la terrifie le plus, de tout ce qu’elle doit éviter afin de ne pas se mettre en danger. Mais la vie étant ce qu’elle est, elle va devoir faire face à une de ses angoisses, en partant avec sa mère, son beau-père et les deux enfants de celui-ci au ski, ce sport extrême où tout peut arriver.



C’est complètement terrorisée qu’elle se rendra à son premier cours de ski, perturbée et angoissée à l’idée de se faire mal. Ce premier cours s’avéra laborieux, mais sa mère ne baissant pas les bras de voir un jour sa fille sortir de sa zone de confort, décidera pour elle de lui prendre d’autres cours mais en privé afin qu’elle s’améliore et qu’elle prenne confiance en elle.



C’est ainsi qu’elle va faire la connaissance de Boy, un jeune homme un peu plus âgé qu’elle qui bien que de premier abord froid, s’avéra un très bon professeur. Elle qui ne prenait jusqu’alors plaisir que dans les livres et l’école se découvrira un attrait pour ce sport qu’elle avait pourtant juré de ne pas aimer, elle se rendra aussi compte que Boy et elle ont beaucoup de points communs bien qu’il voit la vie de manière différente.



Elle tombera sous son charme sans l’avoir vu venir et passera une grande partie de son temps libre en sa compagnie, bien que distant au début, ces deux-là se côtoieront de plus en plus. Boy sera lui redonner confiance et réconfort, la soulageant du poids qu’elle porte en permanence avec ses peurs et ses appréhensions face au danger. Face à des paysages idylliques et la présence du jeune homme, Juno deviendra une autre personne, se révélant bien plus courageuse et plus apte à faire face aux imprévus. Elle sera enfin une adolescente, certes plus mature et réfléchie que les autres de son âge, mais se retrouvant dans l’insouciance qui les caractérise, se lâchant sur certains points et profitant pleinement de ses vacances, de ses nouveaux amis et de ces moments de bonheur.



J’ai beaucoup aimé ma lecture, Juno est une jeune fille attachante, je me suis beaucoup reconnue en elle. Sa timidité, ses peurs mais aussi son franc parler et son courage ne me l’ont rendu que plus appréciable. On la voit évoluer au fil des pages, vivre et s’épanouir, ce lâcher prise permet de mieux la percevoir et de comprendre qui elle est vraiment. Le divorce de ses parent l’a beaucoup perturbé, et c’est avec ravissement qu’on la voit reprendre confiance et redonner une chance à la vie de famille qu’elle soit recomposée ou non. Comprenant qu’on ne choisit pas ce qui peut nous arriver que cela soit bon ou non, il faut continuer d’avancer et espérer que tout se passera bien, que l’on doit faire avec, au risque de passer à côté du bonheur.



Son rapprochement avec Boy, un personnage énigmatique et posé, un peu baba cool et très plaisant à découvrir sera bénéfique pour elle, ils vont vivre de grands bouleversements. Certaines situations difficiles autant pour l’un que pour l’autre vont les pousser (surtout Juno) à se démener et faire abstraction des angoisses et des craintes qui se mettront en travers de leur route.



In love et autres désastres est un roman Young Adult qui vous donne envie de revivre votre adolescence, ses premiers émois et la découverte des sentiments. Mais qui vous fait aussi prendre conscience que la vie n’est pas aussi lisse et facile que l’on le voudrait, peu importe l’âge que l’on a. C’est un roman qui vous met un coup de pied aux fesses et qui vous pousse à dépasser les préjugés et les peurs que l’on se crée. J’aime ce type de roman car il vous fait passer un message sans vous donner l’impression de le faire. On a qu’une vie alors advienne que pourra et profitons-en !
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In love et autres désastres

Ça vous est-il déjà arrivé, d’être confronté à un livre qui semble avoir été écrit spécialement pour vous ? Un livre dans lequel chaque mot semble avoir été spécifiquement choisi pour faire écho à votre propre existence ? Un livre qui correspond parfaitement à ce dont vous avez besoin à l’instant précis où il entre dans votre vie ? C’est une expérience rare, mais incroyablement troublante. Et cela d’autant plus quand vous vous attendiez à une lecture toute légère, toute sympathique, toute innocente, sans prise de tête. Je n’étais pas préparée à ce qui allait me tomber dessus. Rien, pas le moindre petit indice, ne m’avait mis la puce à l’oreille. J’ai commencé ma lecture en toute insouciance, sans me méfier. Et puis, l’électrochoc …



Juno, 16, a peur. De tout, tout le temps. Elle n’est pas froussarde, ni même parano, non. C’est juste qu’elle ne peut pas s’empêcher aux dangers qui planent au-dessus de sa tête. Le dérèglement climatique, la perte de sa carte de cantine, les accidents de voiture, les prises d’otage, les crashs d’avion … Tout l’angoisse. Alors, quand sa mère fraichement remariée et son tout nouveau beau-père décident de les emmener au ski, elle et ses tout nouveaux demi-frères jumeaux de huit ans, durant les vacances, son « trouillo-mètre » explose tous les plafonds. Non seulement l’interdiction formelle de réviser pendant toute une semaine risque de lui couter son bac, ou encore son admission à l’université, mais en plus elle a toutes les chances de tomber. La question est de savoir si elle a peur de tomber du téléski, ou de tomber amoureuse …



Il ne m’a fallu que quelques pages pour me rendre compte que Juno et moi avions énormément de points communs. Je ne parle pas uniquement de son amour inconditionnel pour la lecture et de son désintérêt profond pour les activités sociales « normales » comme les sorties shopping ou les soirées entre amis, ni même de sa tendance perfectionniste et de sa maladresse digne d’un film comique … Je parle aussi et surtout de son anxiété chronique : si au premier abord, Juno semble avoir peur de tout et de rien, on comprend progressivement que Juno a surtout peur de l’inconnu, du changement, de l’imprévu. Peur de ce qu’elle ne sait pas anticiper, gérer. Alors, pour se rassurer, Juno ne fait rien qui sorte de l’ordinaire, rien de dangereux. Juno n’est pas une froussarde au sens où on l’entend généralement (elle n’a pas spécialement peur des maisons hantées dans les parcs d’attraction, par exemple, par contre, elle aura peur de prendre l’ascenseur car celui-ci peut rester bloquer, ou bien le câble peut potentiellement lâcher et la nacelle tomber en chute libre …), elle est juste très nerveuse, très angoissée. Perpétuellement. Et ce livre montre bien à quel point c’est difficile, de vivre dans l’inquiétude permanente.



Mais ce livre, c’est bien plus que l’histoire d’une grande anxieuse. C’est bien plus que l’histoire d’une grande anxieuse qui tombe amoureuse d’un amoureux des sensations fortes. Si ce n’était que cela, ce serait une romance tout ce qu’il y a de plus ordinaire, finalement : une adolescente studieuse et introvertie qui a le coup de foudre pour un bad boy. Non, ce livre est loin de se résumer à cela. Ce roman, c’est une véritable leçon de vie. En l’espace de deux semaines, Juno va non seulement affronter, apprivoiser et surmonter ses peurs les plus « terres à terres » - comme sa hantise du ski -, mais également ses angoisses plus profondes, plus complexes. Ces vacances vont réussir là où des années de « Vole de tes propres ailes » de sa mère l’incitant à aller passer la commande au restaurant ou retourner seule un article dans un magasin ont échoué : Juno va enfin oser faire volontairement un pas en direction de l’angoissant. Et c’est franchement impressionnant, quand on partage les mêmes peurs que Juno, quand on imagine l’énergie et la volonté que ça a dû lui coûter. Je l’admire, car je suis très loin d’être capable d’en faire autant. Et ce n’est pas l’objectif de ce livre : il ne transformera pas tous les grands anxieux chroniques en courageux de l’extrême en l’espace de quelques pages. Non, il nous offre juste un message d’espoir : c’est possible. Difficile et long, mais possible. Il faut juste attendre le bon moment, ne pas brusquer les choses. Qui va lentement va sûrement.



Mais n’allez surtout pas croire que ce livre s’adresse exclusivement aux anxieux maladifs ! In love et autres désastres, c’est aussi et surtout un livre qui fait du bien, une véritable bouffée d’air frais. C’est un livre qu’on dévore, du début à la fin, le sourire aux lèvres. Juno a un humour débordant, un peu sarcastique, un peu ironique, mais toujours bienveillant. Elle s’adresse au lecteur comme à une bonne copine ou à un grand-frère confident … On a vraiment l’impression de la connaitre depuis toujours, on a envie, à notre tour, de lui raconter nos joies et nos peines. Rien que cette proximité entre Juno et le lecteur fait du bien au moral. Et comme, en plus, l’histoire est à la fois drôle, légère et lumineuse, on ne peut qu’être de bonne humeur en tournant la dernière page. C’est typiquement le livre à lire en plein hiver, quand la déprime saisonnière fait son apparition et qu’on a qu’une seule envie : hiberner jusqu’au retour du printemps parce que tout nous semble fade et moche. Un rayon de soleil enfermé dans un livre, voilà ce que nous offre Nicola Doherty, admettez que ça donne envie, non ?



En bref, vous l’aurez bien compris, ce livre a été un véritable coup de cœur, et rejoint le club très fermé des livres-doudous ! Mais bien plus qu’une lecture sympathique, bien plus qu’une lecture détente, ce livre m’a donné matière à réflexion, il m’a donné un grand coup de pied au derrière. Il m’a poussé à m’interroger sur moi-même, à réfléchir à mon avenir … On ne dirait pas, mais derrière ses airs de « roman feel-good pour adolescents » se cache en fait un véritable livre de développement personnel ! Pas pour tout le monde, peut-être même que je serai à jamais la seule à le considérer comme tel, mais vu l’impact qu’il a eu sur moi, je ne peux tout simplement pas faire l’impasse sur ce ressenti. Les mots de l’auteur ont tellement fait écho à mes préoccupations actuelles, à mes difficultés de toujours, que je me dis qu’il fallait que ce roman atterrisse entre mes mains, ce n’était pas possible autrement !
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Métro, boulot, paréo

Une romance sous le soleil qui vous réserve une bonne surprise. Je me suis régalée en le lisant et je pense que vous ferez de même !



En tout cas, je l’ai lu d’une seule traite et je l’ai beaucoup aimé surtout qu’il est consistant et qu’on a pas l’impression que l’auteure a bâclé son travail pour vite le finir. Et puis, je lui dis merci et bravo pour nous avoir mené en bateau tout le début du roman pour nous faire croire à l’histoire potentielle entre Luther et Alice et d’avoir fait très fort de pas nous ressortir le cliché star/inconnue(qui marche quand même à tous les coups)(et même si Sam est une sorte de star de l’ombre :D). Si j’ai dit presque parfait en introduction et qu’il n’a pas la note maximum, c’est que j’ai trouvé que l’histoire entre Alice et Sam n’était pas assez développée. Il manque un zeste de paillettes roses à mon goût. J’aurais aimé les voir un tout petit peu plus ensemble pendant le bouquin, mais ce n’est pas bien grave, l’auteure se rattrape sur la fin ;).



Voilà c’est fini pour aujourd’hui mais je vais vous laisser sur une dernière réflexion : non mais quel dommage que la vie ne soit pas comme dans les livres pour romantiques et que les hommes réels ne fassent pas des choses comme ça ! :D
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Métro, boulot, paréo

Le titre m’a interpellé et la couverture m’a sauté aux yeux. Je savais que j’allais passer un bon moment avec cette romance. Je n’ai pas été déçu et cette romance change des histoires habituelles.



Alice travaille dans une maison d’édition en tant qu’assistante d’autobiographie. Elle réalise les autobiographies des célébrités. Elle a réussi à ce que son acteur préféré Luther Carson fasse son autobiographie. Mais tout ne se déroule pas comme prévu… Alice va être envoyée en Sicile pour travailler avec Luther sur son livre. Elle va devoir lui soutirer des informations sur son divorce, son année où personne ne sait ce qu’il a fait… Bref, ce n’est pas de tout repos pour Alice, surtout quand elle regarde par la fenêtre et qu’elle voit la plage…



Alice est une jeune femme belle mais qui n’a pas confiance en elle. Elle se remet toujours en question, quand elle se fait larguer, elle se pose pleins de questions de ce qu’elle a fait ou dit à son ex pour qu’il la largue… Sa rencontre avec Luther va lui faire ouvrir les yeux et elle va commencer à prendre confiance en elle sur certains points – surtout niveau travail.

Luther est acteur depuis de nombreuses années, il a réalisé des films qui ont eu un grand succès et essaye d’être toujours dans le coup. Ce n’est pas facile surtout va à Brad Pitt, Tom Cruise… Comme Luther est une star, je savais que je n’allais pas spécialement aimer ce personnage mais au fil de la lecture, je l’ai apprécié car malgré tout, il n’a pas la grosse tête.

Sam est l’agent de Luther, celui-ci ne veut pas que le livre soit publié car il veut protéger la vie privée de Luther. Je l’ai de suite apprécié, j’ai trouvé ce personnage franc, il dit ce qu’il pense mais aussi il a un grand cœur. Il est submergé par le travail mais consacre du temps à ses amis…



J’ai apprécié ce livre car l’histoire d’amour est différente, tout au long du livre, on rencontre les personnages, on apprend à les connaître, on se demande avec qui Alice va finir… C’est que vers la fin que la romance prend le dessus. J’ai apprécié, car ce n’est pas le coup de foudre mais les sentiments arrivent petit à petit. Dès le départ, j’ai su de qui Alice allait tomber amoureuse, mais l’auteure insère des indices et on se met à douter au fil de la lecture. J’ai trouvé cette fin très réaliste.



Le style de l’auteure est simple et fluide, une fois lancé on ne peut plus s’arrêter. Mais, j’ai quand même trouvé que l’auteure passe certaines scènes trop rapidement à mon goût, par exemple, Alice apprend qu’elle doit aller en Sicile, son patron lui laisse deux jours pour tout préparer. L’auteure nous fait un résumé de deux lignes de ces deux jours, j’aurai aimé un résumé un peu plus long.

Le livre commence par des références de films, choses que je n’apprécie pas trop selon les livres, car je ne connais pas les films. Mais ça va, les références filmographiques ne sont pas tout au long du livre.



En conclusion, Nicola Doherty nous amène avec Alice en Sicile, les descriptions sont très bien ficelées, on imagine très bien les décors, les plats italiens, le paysage paradisiaque… Elle fait rêver dans ce livre et on part en vacance pendant quelques heures. Une histoire d’amour prenante et une fin géniale. J’ai passé un bon moment avec les personnages… A découvrir pendant un temps pluvieux pour bien rêver d’être en Sicile.
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Métro, boulot, paréo

Alice travaille dans une maison d'édition en tant qu'assistante. Son éditrice est en charge d'un roman autobiographique sur Luther Carson, un acteur montant du cinéma. Qui de mieux qu'Alice, grande fan de cet acteur, pour parler de lui et mettre en avant le projet ? Alors, lorsque sa chef se retrouve hospitalisée, on lui propose de prendre sa place et de se rendre en Sicile auprès de l'acteur pour achever l'écriture du roman. Ça ne va pas être simple pour la jeune femme qui devra faire face à plusieurs imprévus et pas des moindres : l'agent de la star qui s'oppose à la publication du roman et à cette médiatisation autour de la vie privée de Luther. Alice, comme de nombreuses filles, rêve de l'amour, et est pleine de doutes. C'est une femme plutôt simple, ce qui permet de s'identifier à elle. Le récit est bien écrit. Toutefois, je regrette quelques longueurs dans la première moitié de l'ouvrage. J'aurais souhaité moins d'interviews de Luther et plus de scènes romantiques. Quant à savoir si Alice finira bien avec Luther, je vous laisse le loisir de le découvrir. Amour, plage et vie de star....
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Métro, boulot, paréo

Alice, une jeune éditrice, rêve d’obtenir une promotion lorsqu’un défi de taille lui est proposé : elle doit rencontrer Luther Carson pour qu’il rendre son autobiographie à temps. Mais nombre d’obstacles sont mis sur son chemin, en particulier l’agent de la star qui se montre antipathique à souhait. Et en tant que lectrice sadique, j’ai aimé suivre ses mésaventures !



Ce qui rend l’aventure agréable, c’est la personnalité de l’héroïne qui a toujours le mot pour rire. Je trouve intéressant d’avoir une héroïne dans l’édition, ça change un peu. Par contre, Alice manque de confiance en elle et vit dans un stress permanent ! Certes, cela ajoute du rythme au récit. En effet, entre les virées entre amis et amants, et les soucis professionnels, ça ne s’arrête pas !



J’ai apprécié que les pensées de l’héroïne soient retranscrites à la première personne, de sorte que l’on rentre rapidement dans l’histoire et que l’on s’identifie très facilement à Alice. En plus, l’écriture est agréable, c’est une histoire qui peut se lire rapidement.



Enfin, Alice va évoluer tout au long du roman, elle va devenir plus sûre d’elle. Quelques rebondissements sont prévisibles, mais la fin n’est pas forcément celle que l’on attendait ! Le côté ‘romance’ évite le cliché et la facilité. Il n’est pas omniprésent et arrive plutôt vers la fin de l’histoire. Et c’est tant mieux, car je n’aime pas spécialement quand toute l’histoire est basée sur une histoire d’amour.



En bref, c’est une escapade en Italie pimentée d’une bonne dose d’humour et d’amour. A lire !!!
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Métro, boulot, paréo

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Métro, boulot, paréo

Alors que nous sommes en Janvier, il n'empêche que dans le Sud le soleil pointe régulièrement le bout de son nez, ainsi mon choix de ce livre plein de chaleur a été aussi évident pour moi que si je me trouvais au bord de l'eau. Que dis-je? Mais, je me trouve au bord de l'eau!



Métro, boulot, paréo, est sans conteste une très bonne romance contemporaine qui mélange tout ce que j'aime, à savoir des personnages loin des stéréotypes habituels, une histoire intéressante avec de bonnes péripéties et une écriture fluide et agréable.



Alice, l'héroïne principale ne représente pas le grand cliché commun à cette littérature. En effet, elle ne se définit pas comme un top-modèle, mais comme une jeune femme lambda qui pourrait être n'importe qui. D'ailleurs, si Luther est mis en avant par son physique et son charisme ravageur, on apprend que cela n'est pas suffisant pour rendre une personne intéressante.
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Alice jeune femme de moins de 30 ans qui espère être éditrice se retrouve à travailler avec une star américaine pour faire une biographie en Sicile, elle se fait même larguer par texto avant de partir (important de le noter) car cette fille a aucune confiance en elle. Sur place rien ne va se passer comme prévu! Bon les personnages qui gravitent autour d'elle pendant ses vacances travaillés : Luther la star megalo, annabelle la chieuse de base, Sam l'agent super desagreablé, Federico le mec qui sert à rien et Marisa enfin la gentille. Donc un boulot loin de chez elle qui s'annonce très mal. De plus Alice va devoir vivre avec ce beaux mondes en entraînant ses complexes de nana.

Ce que je pense c'est que ce roman est très mou mais la fin rattrape un peu le liv car on comprend l'héroïne et on partage ses doutes au final car on est toutes passées par là : manque de communication, les mauvais choix, les préjugés, l'idéalisation, se poser trop de question et manque de confiance. Je trouvais très long pour arriver au moment qu'on se doute qu'il va arriver (passage de la piscine), manque de moment à deux au final. Ça enchaîne vite sur le coup dur d'Alice et sur l'épilogue aussi. Donc roman très lent au début voir trois quart du livre et ensuite un peu d'actions. Donc dommage.
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Sous le soleil de la Sicile. Le genre de lecture parfait à lire sur la plage lorsqu'on ne veut pas se prendre la tête. Le style d'écriture est simple sans fioritures. Les dialogues sont très présents, ce qui facilitent la lecture et nous plonge directement dans l'action. On se sent en vacances, les pieds dans l'eau comme Alice, notre héroine.
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J'ai apprécié ce livre plaisant et divertissant. L'histoire n'est certes pas passionnante mais on se laisse facilement emmener par les personnages dans cette belle île qu'est la Sicile. Bonne lecture d'été.
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Il y a beaucoup de choses qui m’ont beaucoup plu dans ce roman. La partie sur la Sicile nous invite à voyager, on découvre des paysages enchanteurs à travers les yeux d’Alice. C’est comme si on était, nous aussi, sous le soleil de la Sicile. Sinon j’ai beaucoup aimé le fait qu’il ne soit pas totalement superficiel mais qu’il y ait une véritable intrigue avec des rebondissements. De plus cela parle de sujets assez profonds comme le revers de la vie d’une célébrité, du monde du travail etc. La troisième chose que j’ai apprécié, c’est bien sûr la romance qui n’est pas banale et qui réserve pas mal de surprises. Les personnages sont vraiment bien développés surtout Luther qui a une personnalité et une histoire complexe ce qui lui confère de l’intérêt. Les personnages secondaires sont aussi très attachants ! Il n’y a qu’Alice qui parfois m’a énervé dans ses réactions mais je me demande si je n’aurai pas eu les mêmes à sa place ! Le style est agréable et fluide, j’ai regretté quelques maladresses au niveau de la traduction ce qui m’a parfois gêné. Si comme moi, vous n’êtes pas au courant, lorsque l’un des personnage est surnommé à de nombreuses reprises : « le nègre » cela fait référence à ce que l’on appelle les "nègres littéraires". Je vous le dis car cela m’a choqué au début mais lorsque je l’ai compris, j’étais rassurée ! Bref malgré quelques longueurs parfois, ce roman fut vraiment une lecture très plaisante et je ne suis pas du tout déçue voir même plutôt agréablement surprise ! Je le recommande donc à tout ceux qui rêvent dès qu’ils entendent : « Sicile » ou « Soleil » :D
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Métro, boulot, paréo

Alice, éditrice à Londres, est envoyée en Sicile pour travailler sur l’autobiographie de Luther Carson, son acteur préféré. Un voyage de rêve ? Oui, mais Luther ne lui raconte que des mensonges et son (troublant) agent, Sam, ne cesse de tenter de contrecarrer le projet.



La couverture de Métro, boulot, paréo est un peu mensongère : l’héroïne ne va jamais à la plage et ne porte pas de paréo ! Par ailleurs, si ce livre est publié dans la collection Milady romance, l’histoire d’amour n’est pas vraiment au centre de l’intrigue.



Mais ce qui fait le charme du roman de Nicola Doherty, c’est son humour corrosif. Le livre n’a rien de révolutionnaire et les personnages ne sont pas particulièrement originaux mais ils sont très efficaces : portraits d’acteurs à l’énorme ego, de gens riches qui s’ennuient, d’une jeune femme un peu loser, un peu à la Bridget Jones…Le style de l’écrivaine anglaise est très fluide et souvent drôle, même si l’histoire met un peu trop de temps à démarrer.



Une comédie romantique sympathique mais un peu longuette.

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Métro, boulot, paréo

Un grand merci à Aurélia des éditions Milady pour la confiance qu’elle me porte en m’ayant permis de découvrir en avant-première ce titre.

Cette fois, c’est en compagnie d’une jeune apprentie éditrice, d’une star de cinéma, de son agent et de leurs amis italiens que j’ai passé un bon moment livresque, dans un paradis terrestre, en Sicile.

En effet, Alice doit aller à la rencontre de Luther Carson afin qu’il rende le manuscrit de son autobiographie à temps pour la publication. Ca ne va pas être semble pour notre jeune femme notamment parce que l’agent de la star, n’est vraiment pas pour la publication de la vie du jeune homme. De plus, Alice, a très peu confiance en elle. Ca en a parfois été agaçant, elle se posait bien trop de questions, souvent de façon inutile et en plus pour faire les mauvais choix. Pour autant, j’ai appris à la connaitre et je l’ai de plus en plus apprécié. On peut voir son évolution tout au long du roman, elle apprend de ses erreurs.

Luther Carson, est une star montante du cinéma. Malgré son comportement souvent agaçant, je n’ai pas réussi à le détester. Son histoire, que l’on découvre peu à peu grâce à l’écriture du livre, m’a touché et m’a permis de comprendre certaines choses bien que ça n’excuse en rien son comportement.

Sam m’a plu dès le début, on sentait bien que la distante qu’il mettait entre lui et Alice n’était pas personnelle mais professionnelle. Il a su être à l’écoute des deux autres personnages et faire au mieux pour protéger la carrière de chacun. On le découvre peu à peu mais pas assez à mon goût.

A la fin de cette lecture, j’ai l’impression que celle-ci était divisée en deux parties. Une première entièrement concerné par les déboires professionnels d’Alice et une seconde qui laisse plus de la place à la romance tout en ne délaissant pas pour autant la vie professionnel de notre apprentie éditrice. J’ai apprécié le fait que cette romance ne soit pas entièrement basée sur une histoire d’amour mais qu’elle soit bien plus. De plus, pendant un bon moment, je me suis demandée avec qui Alice allait finir par avoir une belle histoire. Rien n’est laissé au hasard, même si on se pose la question sur l’identité de son futur amoureux, l’auteure nous donne suffisamment d’indice pour qu’on ne soit pas surprise… Le style de l’auteure est agréable et simple ce qui m’a permis de me laisser emporter dans les mésaventures d’Alice.

Pour conclure, une romance différente de celles que je lis habituellement.
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Alice, assistante dans une maison d'édition n'y crois pas : sa boss Olivia lui propose de travailler sur la biographie de la star du moment : Luther Carson. Pour Alice qui est une grande fan de cet acteur ce boulot sera un véritable jeu d'enfant. Quand Olivia se retrouve à l’hôpital Alice doitprendre la place de celle-ci direction la Sicile pour terminer au côté de Luther sa biographie. Alice est heureuse mais ne se doute pas un seul instant que cette mission ne sera pas de tout repos!



Alice est une jeune fille peu sûre d'elle qui tente tant bien que mal d'oublier sa rupture avec Simon. Ce voyage en Sicile est pour elle l'opportunité de faire table rase du passé et tenter de tout donner pour que sa patronne soit fière d'elle ! Mais voilà Luther est loin de l'image qu'elle se faisait de lui et elle aura bien du mal à le convaincre de se confier à elle. De plus, Alice fait face à un autre obstacle : Sam l'agent de Luther qui s'oppose fermement à la parution de cette biographie qui pour lui ne ferait qu’entacher la réputation de Luther. Si cette lecture fut agréable je regrette juste quelques longueurs qui ont ,selon moi, desservi la romance. Je trouve que l'histoire entre Sam et Alice arrive trop tard dans l'histoire même si on se doute très vite que quelque chose va se passer entre ces deux là. Cependant, j'ai beaucoup aimé la façon dont Alice évolue tout au long du roman, nous la découvrons timide, peu sûre d'elle au début du roman pour la retrouver fière et sûre d'elle - notamment au moment où elle remonte un peu les bretelles à Luther.



Mais pour un premier roman je trouve que l'auteur s'est très bien débrouillé et a su nous offrir un bon roman et surtout un superbe cadre : celui de la Sicile! J'avoue m'être, à de nombreuses reprises, imaginer au bord de la piscine dans la grande maison de Luther en train de siroter un bon coktail ! J'aurai juste aimer un peu plus de romance !
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Alice est assistante dans une maison d'édition, elle vient de se faire quitter, et elle n'évolue pas dans son travail. En somme, une vie bien morose jusqu'au jour où son supérieur la convoque, il lui annonce qu'elle remplace sa chef, et doit s'en aller dans une villa en Sicile pour aider Luther, un acteur célèbre à écrire sa biographie. Tout ne se passe pas à merveille, car Sam, le manager de cet acteur, ne voit pas d'un bon œil ce projet.



Je ne parlerais pas beaucoup des personnages dans cet avis, car j'ai apprécié la plus part d'entre eux, Alice notre assistante peu sûre d'elle, Luther notre célébrité, Sam le manager accro au boulot, mais aussi Marisa, la Sicilienne au grand cœur.



Ce que j'ai aimé dans ce livre, c'est que l'on ne parle pas que d'une histoire d'amour entre deux personnages, il y a la raison pour laquelle Alice quitte Londres, cette biographie prend une place assez importante. On découvre également la Sicile au fil des pages, j'ai eu très envie de me rendre sur cette île afin de découvrir les plats cités, profiter du soleil, et de la piscine. J'avais envie de sauter dans un avion pour quitter la pluie et le froid.



C'est donc une lecture légère, qui permet de s'évader et s'imaginer être toujours en vacances, au soleil. La fin s'achève comme je le souhaitais donc je referme ce livre satisfaite.
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Métro, boulot, paréo

Alice est une jeune femme qui travaille pour une maison d'édition. Sa vie amoureuse n'est pas réjouissante puisqu'elle vient de se faire larguer. Sa chef tombant malade, elle doit la remplacer pour la publication d'une autobiographie d'un acteur dont elle a le béguin. Pour cela, elle va devoir partir s'isoler dans une maison en Sicile avec ledit acteur. C'est sans compter sur la présence de l'agent de la star, Sam, qui refuse que ce projet voit le jour. Tout va aller de travers dès le départ et Alice va se retrouver à faire des choses « hors » boulot, pas forcément la meilleure chose pour son boulot, mais pour le reste ?



Une romance tout ce qu'il y a de plus classique. Dès le début, on peut déjà commencer à savoir ce qu'il va se passer par la suite...

J'ai tout de même passé un bon moment. Même si je savais à l'avance le déroulement de l'histoire...



Les personnages restent attachants surtout Sam, qui bien que mystérieux et autoritaire, reste l'homme de la situation.



En bref, une romance comme tant d'autre mais qui arrive à tirer son épingle du jeu grâce à la plume de l'auteur.
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Métro, boulot, paréo

Tout va mal dans la vie d’Alice : sa carrière d’éditrice est dans une impasse, elle vient de se faire larguer comme une vieille chaussette (et par texto) par son mec et elle se morfond à Londres en regardant des comédies musicales ringardes à la télé. Coup de bol, quand sa terrifiante manager, Olivia, a la bonne idée de se faire expédier à l’hôpital, Alice est envoyée à sa place en Sicile pour assister Luther Carson, un acteur beau gosse qu’elle idolâtre depuis toujours, dans la rédaction de son autobiographie. Vacances de rêve ou cauchemar ? Ça reste à voir…



Nicola Doherty signe ici son premier roman avec une petite intrigue assez classique mais qui marche plutôt bien. Alice, 26 ans, est parfaite dans le rôle de l’héroïne bonne poire et pataude, mais très attachante. Pas de grosse surprise dans le scénario, mais beaucoup de sourires et quelques francs éclats de rire. Les personnages sont attachants et pas trop clichés. L’ambiance de la Sicile est très bien rendue (je dis ça, je n’y suis jamais allée, mais j’avais l’impression d’être au bord d’une piscine et d’entendre les cigales. Quand il fait moins 8000 dehors, ça fait plutôt plaisir.)



Bref, un roman qui se lit vite et bien, seul reproche : ce n’est pas très bien traduit, donc à lire plutôt en anglais pour celles qui peuvent.



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Métro, boulot, paréo

Ce roman, c’est d’abord le résumé qui m’a plu, et m’a donné envie de le lire. Et j’ai bien rapidement accroché je dois l’avouer.



Alice, assistante éditrice dont la carrière n’avance pas des masses, vient de se faire larguer. Elle déprime et reste cloitrée chez elle à regarder des films. Son futur semble bien gris et morose, jusqu’à ce qu’on lui demande de remplacer sa patronne et donc de partir en Italie, en Sicile précisément, afin d’aider un acteur sexy qu’elle idolâtre, Luther Carson, à écrire son autobiographie. Bien évidemment, tout ne se passe pas comme prévu, sinon ce ne serait pas drôle. Voilà donc la trame de base de l’histoire.



L’histoire est par moment assez prévisible, et le début est quelque peu cliché (la valise qui se perd par exemple), mais cette impression se dissipe assez vite, l’auteur nous amène de surprises en surprises, ponctuant le récit de rebondissements divers. Le mystère concernant la fin s’installe doucement, d’autant que la romance, bien que présente, n’est pas, contrairement à ce que j’aurais cru, véritablement au centre de l’histoire. En fait, la romance s’installe véritablement dans le dernier tiers du roman. De plus, ce n’est pas avec l’homme que l’on aurait pensé, même si au fond on peut s’en douter bien plus tôt. Alice est mal à l’aise face à cette relation naissante, elle ne trouve pas ça professionnel. Et des erreurs de jugements font que l’histoire d’amour chavire assez vite.



Il y a quelques longueurs, c’est un peu dommage même si ce n’est pas trop préjudiciable en soit, et ça manque un peu de scènes de romance. Mais dans l’ensemble, ça ne m’a pas vraiment gêné. Le texte est léger, mais également empreint de profondeur très bien dosée par l’auteure.

L’héroïne doit faire face à pas mal d’obstacles, comme Luther qui ne veut pas coopérer, l’agent de Luther, Sam, qui ne veut pas entendre parler de ce livre, Annabelle, une actrice qui la trouve médiocre et ne l’apprécie pas du tout, le fait qu’elle craque pour Luther, etc. Bref, ce beau voyage ne s’avère pas être aussi simple qu’elle l’avait prévu. Petit à petit, elle surmonte chaque obstacle, se fait des amis, et progresse vers la réussite de cette mission plus périlleuse qu’il n’y parait.



Alice est une jeune femme simple, sans chichi, que l’on prend vraiment plaisir à suivre. De plus, il est assez aisé de s’identifier à elle, ce qui facilite l’immersion dans le texte. Comme beaucoup de demoiselles, elle rêve d’amour, et ses rêves sont très habités par Luther Carson, l’acteur dont elle est fan. On s’attache à elle, même si elle énerve un peu par moment, et on suit son évolution page après page. De plus, contrairement à sa patronne, elle ne tient pas à découvrir coute que coute un scoop, elle veut juste faire son travail du mieux possible. Elle est peu sûre d’elle, manque de confiance, mais s’accroche tout de même à la tâche qu’on lui a confiée, elle veut la mener à bout.

Luther est bien évidemment le prototype de l’acteur superbe, charismatique et charmeur. Toutefois, il est aussi complexe, avec une part d’ombre non négligeable. Il est gentil, bien qu’un peu étrange par moment, et cache pas mal de secrets. Il s’inquiète beaucoup pour sa carrière, il pense qu’il n’est pas si bon acteur que ça et que bientôt plus personne ne voudra de lui dans un film. Il a peu confiance en son talent, voire pas du tout.

Sam, au premier abord, donne une impression de froideur et on ne le porte pas dans notre cœur. Toutefois, au fil des chapitres, on comprend qu’il a surtout à cœur l’intérêt de Luther, et qu’il veut le protéger à fond. Il se dévoile doucement, révélant un personnage sincère et attachant. Au final, il m’a bien plu, plus que Luther en y repensant.



Les derniers chapitres sont tendus, dès qu’Alice rentre en Angleterre après avoir terminé le livre. Cela concerne surtout son travail, et le fait qu’elle ait quitté en mauvais termes l’homme qu’elle aime.

La fin est quant à elle belle, romantique, et colle bien à l’histoire je trouve.



Métro, boulot, paréo est un récit léger, frais, et très agréable à lire. Une lecture détente qu’on dévore avec grand plaisir. En bref, une excellente découverte.
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