Nicolas Nutten

Devenue addict à la plume de Nicolas Nutten en seulement deux thrillers, j'ai eu la chance de recevoir ce 3eme thriller quelques jours avant la sortie.



Terra Mater. La Terre Mère... Rien que le titre fait turbiner mon cerveau à fond. Quant à la couverture, on est d'accord qu'elle en jette !!



Je n'ai pas su résister bien longtemps et j'ai vite attaqué la lecture. Je l'ai finie hier soir et tout ce que je peux vous dire, c'est de vous jeter dessus !



Nicolas est un pro des histoires alambiquées mais formidablement bien construites. Et c'est ça qui me plait. Et pour ne pas me gâcher le plaisir, ses personnages sont vraiment forts. L'autre point fort de ce roman, c'est le paysage et la météo survoltée dans la dernière partie. J'ai presque envie de dire qu'ils représentent un personnage à part entière. C'est puissant, ça s'infiltre dans les chairs. Et ça rend le tout addictif. La petite surprise agréable que j'ai eue, c'est de retrouver dans le roman un lieu visité avec mes parents lorsque j'étais ado (Les grottes de Trabuc), ça a rajouté un supplément d'âme au roman pour moi.



Nicolas a également su donner une dynamique au roman, insuffler un sentiment d'urgence. La détresse des personnages, les méandres de l'enquête, les secrets jalousement gardés des personnages... Tout a été excellemment articulé. L'urgence que j'ai eu, c'était de tourner les pages pour enfin savoir le fin mot de l'histoire ! Evidemment, quand y'en a plus, y'en a encore... Et c'en est que meilleur ! Je vous le dis, lisez-le.



L'intrigue est palpitante, du début à la fin. Promis, vous ne serez pas déçu !



Je remercie Jacqueline G et @editionsprisma pour l'envoi. C'est un gros coup de cœur !

Le prix du suspens 2020 en jaquette forcément ça attire !

Un incident dans le métro les rames à l'arrêt et un couple est séparée la jeune femme disparait. Maxime son copain part à sa recherche.

ça démarre fort puis ça part dans tous les sens descente dans le ventre de Paris presque en chaussures de ville rencontre de gens qui tuent pour un rien

mais Maxime est fort et s'en sort ensuite ça tombe autour de lui

les morts tombes . il y a les méchants qu'on reconnait avec le tatouage de serpent dans le cou et qui roule en grosse voiture noire avec vitres teintées évidement .

Le suspens n'est pas à son comble comme d'hab les riches veulent être plus riches donc deviennent copains avec les maffieux.

je vous raconte pas la fin mais ça fera surement un bon film série D et encore il faudra couper quelques scènes pour éviter les longueur qui ne manque pas notamment la visite de la maison du très méchant.

Je pense arrêter les polar un moment j'ai eu madose

✔️Mon ressenti : Ce thriller est le premier roman de l'auteur. Comme vous le savez, j'aime cet éditeur puisque le comité de lecture est composé de lecteurs passionnés comme vous et moi et que leurs choix correspondent en général à mes goûts. Maxime et Célia se rendent à une sortie en métro quand celui ci tombe en panne. La canicule et le temps que mettent les secours, les poussent à prendre les devants et à fuir de ce tombeau métallique. Durant la fuite, Célia disparaît. Maxime va alors tout faire pour la retrouver.

Wahou, quel rythme! C'est impressionnant, impossible de s'ennuyer en ouvrant ce roman, ni même de le reposer accessoirement ;)

L'auteur sait ajouter une bonne dose de suspense et d'angoisse à l'action pour emporter son lectorat.

Gros bonus avec la visite du Paris sous terrain. Dans ce monde très différent du notre, avec ses propres lois. On s'y croirait!

Je ressors de cette lecture sous tension, avec une fin que j'ai appréciée. Ce roman a gagné le grand prix suspense présidé par Bernard Minier et c’est amplement mérité. Retenez ce nom, je suis sur que c’est un auteur à suivre !

🎯Mots Clefs : Souterrains / Paris / Disparition / Secret / Recherche

🏆Ma note : 19/20

Je remercie les Editions Les nouveaux Auteurs pour leur confiance et je suis chanceuse d'avoir pu découvrir le nouveau thriller de Nicolas Nutten "Terra Mater".



Ayant lu tous les thrillers de l'auteur, je peux vous confirmer que celui-ci est très captivant.



Cette histoire d'assassinat est suffocante et je suis tombée dans le jeu Terra Mater dans lequel Tony et Erwan Deuvelde ont été pris au piège.

Une mise en scène machiavélique où les participants ne peuvent hélas pas échapper aux règles.





Romane Delmiez va mener l'enquête en compagnie de son équipier de Karim Mansouri qui est un peu claustrophobe, j'ai vécu des moments d'émotions intenses.



Le lieutenant Jean-Baptiste Magne va générer un stress aigu chez Romane, mais j'ai pensé que cela pourrait être bénéfique.



Une investigation complexe, remplie de rebondissements, mais surtout extrêmement captivante qui nous conduit dans un lieu sombre.



Une grotte où il est primordial de ne pas interrompre sa respiration pour s'en sortir indemne.

En compagnie de Romane et Erwan, je me suis retrouvée dans un état de stress psychologique intense, une expérience surréaliste.



Une nouvelle fois, l'auteur a réussi à me transporter dans son roman et j'ai vraiment apprécié cette expérience de lecture où j'ai vécu un moment sensationnel. J'ai pris beaucoup de plaisir et je ne peux que vous le recommander.


Lien : https://sabineremy.blogspot...

C'est tout de même un comble ! Nicolas Nutten vit, comme moi, dans l'Hérault et je crois bien à proximité de Montpellier et je ne le connaissais pas. Je l'ai rencontré à la Fnac lors d'une séance de signature. Ce fut un moment agréable au cours duquel il m'a dédicacé son dernier roman "Terra Mater". AD-DIC-TIF en diable !



De l'histoire je ne dirai que quelques mots : Erwan et Tony, deux amis d'enfance se retrouvent au bord d'une grotte inconnue au Causse de l'Hortus pour y tester une application de "géocaching", un loisir qui consiste à utiliser la technique du GPS pour rechercher ou dissimuler des "caches". La découverte est pour le moins terrifiante. La lieutenante Romane Delmiez est, elle, en charge d'une nouvelle enquête pour homicide. Elle a accepté avec empressement cette nouvelle mission, histoire de s'échapper de sa routine quotidienne. Elle ne s'imaginait pas à quel point…



Une fois que je me suis plongée dans ce roman, je n'ai eu de cesse d'avancer jusqu'à l'avoir terminé. Et je peux d'ores et déjà dire qu'il m'a totalement passionnée. Si l'écriture ne représente pas – pour ce qui me concerne – l'essentiel dans un thriller, il n'en est pas moins agréable de lire un texte bien écrit, limpide, riche en descriptions de paysages et de personnages et c'est le cas. J'aime beaucoup aussi me retrouver dans un environnement connu et j'ai été gâtée, ce roman se déroulant dans une région que je connais bien.



Mais l'essentiel est ailleurs, dans l'intrigue – on peut même dire, les intrigues – d'une grande richesse, fort bien menée. Les personnages relativement nombreux n'empêchent pas d'en suivre aisément le cheminement. le tout est superbement construit, régulièrement parsemé de cliffangers toujours placés au bon endroit pour relancer l'envie de continuer. Au fur et à mesure je tourne les pages de plus en plus rapidement, la vitesse de mon pouls augmente, le désir de savoir aussi et quand la fin arrive je me dis que je n'avais rien vu. C'est formidablement fait, tout est dit, tout est bouclé.



Et, même si les scènes liées à la spéléologie, racontées avec un soin extrême et un suspens difficilement supportable, m'ont définitivement fait comprendre que ce sport ne serait jamais pour moi, j'ai adoré ce roman captivant, addictif et vraiment "bien foutu".

Mais qui donc attribue ce genre de prix ?

Ce roman est une bluette, qui n'offre aucun intérêt: pas de suspens haletant, pas de psychologie des personnages, écriture banale...

De plus, le passage dans les bas-fond de Paris a été en partie "pompé" dans un autre polar, dont le titre m'échappe.

Le pauvre Minier n'a pas lu ce livre, ce n'est pas possible !

Ne laissera pas de trace dans ma mémoire ! C'est bon pour se divertir un moment, durant les vacances...

C’est un premier roman très réussi et captivant.



J’avais du mal à le lâcher, cette histoire commence déjà très fort avec une scène de meurtre très traumatisante pour le lecteur et très expéditive, le tueur sans pitié ne prend pas de gants en exécutant un pauvre jeune hacker.



Son regard froid est resté dans mon esprit tout le long de ma lecture.



Suite à la disparition de sa copine Célia dans une rame de métro, Maxime va partir à sa recherche avec son ami Loïc, ils vont devoir se sortir de leur pétrin et réussir à rester en vie.



Très sombre et angoissant, ce thriller m'a emporté dans des lieux glauques, les catacombes de Paris et les égouts bien répugnants avec cette chaleur étouffante.



Ces endroits lugubres, ajoutent un atmosphère angoissant et suffocant, c'est ça que j'adore dans ce genre de lecture.



Le pire c’est qu’il va mettre les pieds dans un territoire inconnu où des trafics de drogue, des enlèvements, des meurtres font parti du quotidien.



Que de surprises et de désillusions pour lui, il va se prendre quelques murs avant de se rapprocher de son but.



Quelques indices le conduisent vers un criminel très dangereux, Hadès, un pion parmi tant d'autres dans le milieu pourri de la pègre.



Maxime va rencontrer une personne qui connaissait bien sa copine, Chloé.



Elle va l’aider et lui apprendre des choses surprenantes sur Célia, souvent mystérieuse avec Maxime quelques lumières vont éclairer son chemin trop ténébreux.



Tous les deux sont bien déterminés à affronter tous les dangers et ils ne lâcheront rien pour arriver à leur but, retrouver Célia.



Une belle pochette surprise ce thriller psychologique, en le découvrant, je ne m'attendais pas du tout à être autant captivée par cette histoire de disparitions, tous ses mystères et ses retournements de situations.



Grosse surprise au final, c’est ce qui fait de ce thriller un très bon roman, addictif à souhait.

Parfois on ne connaît pas vraiment les gens qui nous sont proches, ni leurs secrets.



Encore un très bon thriller aux éditions Les nouveaux auteurs que je remercie, un très passionnant moment de lecture pour moi.




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Bonjour,

Mon retour sur Disparition de Nicolas Nutten.

Ligne 1 du métro à Paris, beaucoup de voyageurs, un incident. La vie rêvée des Parisiens ! C’est ce qui arrive à Maxime et Célia un jour comme un autre dans une rame comme une autre. À part que ce jour n’est pas comme les autres.

Les secours tardent à évacuer les deux rames qui sont coincées par temps de canicule. Au bout d’un moment, les voyageurs se débrouillent comme ils peuvent et forcent les portes pour pouvoir sortir des rames. On n’est jamais mieux servi que par soi-même !

Maxime et Célia vont être séparés lors de cette évacuation. Le temps passe et la jeune femme ne réapparaît pas. À partir de là commence pour Maxime une véritable enquête pour retrouver sa compagne et il va aller de surprise en surprise.

Claustrophobes attention, la première partie qui se passe dans les sous-sols du métro parisien est vraiment anxiogène. Moi qui aime l’air, et n’aime pas me sentir coincée de quelque manière que ce soit, je vous avoue avoir été assez mal à l’aise à imaginer Maxime dans la pénombre, dans des dédales de couloirs.

Si l’objectif était de faire monter en crescendo l’angoisse et l’envie de retrouver l’air frais chez ses lecteurs, c’est amplement réussi. La » vie » souterraine et tout ce qui peut s’y passer sont vraiment très bien décrits. On s’y croirait vraiment.

On va de surprise en surprise avec ce roman. Maxime va tout faire pour retrouver Célia, mais va découvrir aussi des choses surprenantes sur celle qui partage sa vie. Il a un lourd passé, elle a des secrets.

J’ai beaucoup aimé cette idée abordant le fait que même si on partage la vie d’une personne que l’on chérit on ne peut jamais véritablement connaître l’autre. On ne connaît de l’autre que ce qu’il veut bien nous dire. C’est une idée à laquelle j’adhère totalement depuis des années.

L’écriture est très fluide, les chapitres assez courts et si bien construits que je me suis fais violence pour lâcher le bouquin . C’est une vraie lecture sous tension.

Tous les personnages sont très bien travaillés, les scènes bien détaillées sans trop en faire. Tout est réuni pour accompagner Maxime dans son enquête.

Petite déception pour la fin que j’ai trouvée en dessous du reste du bouquin, un peu trop convenue pour moi.

L’auteur signe un premier thriller très réussi, qui me fait attendre le second avec impatience.

Une lecture que je conseille vivement.

Le contexte : Paris fin juillet 2018. Maxime et sa compagne Célia sont dans le métro lorsque survient un incident qui force la rame à stopper. Au bout d'un long moment qui leur a semblé être une éternité, les voyageurs sont évacués. Mais Célia a disparu. Bien que ne disposant que de peu d'indices, Maxime va tout faire pour retrouver sa trace. C'est cette course contre la montre que le lecteur va suivre en ouvrant ce livre.

Les personnages : Maxime est le personnage central. Très inquiet pour Célia, il n'hésite pas à sortir des sentiers battus. Tenace, il n'a aucune intention d'abandonner les recherches avant de l'avoir retrouvée, vivante ou morte. Il vit toujours en coloc avec son ami d'enfance Yann.

Célia faisait des études d'art, qui pourrait lui en vouloir ? Maxime a bien remarqué un changement depuis quelques semaines, elle semblait très fatiguée, mais le rassurait en lui disant que sa thèse lui prenait beaucoup de temps. Une personne sans histoire, apparemment, mais qu'en est-il vraiment ?

Mon avis : Il s'agit là du premier roman de l'auteur et c'est une grande réussite. Ce livre a d'ailleurs remporté le prix du suspense 2020, présidé par Bernard Minier. Et c'est tout à fait mérité !

Les chapitres sont courts et se terminent souvent par une phrase qui vous donne l'envie d'aller plus loin... Irrésistible, et démoniaque !

Tout est réuni pour que le lecteur passe un bon moment : une intrigue qui tient en haleine, un style agréable, une atmosphère très bien rendue. Chaque « décor » présenté est tout de suite visualisé, de même que l'état d'esprit des différents personnages.

Un roman que l'on commence sans se douter qu'on va se laisser prendre au piège de l'écriture de Nicolas. Prévoyez du temps devant vous quand vous l'ouvrirez, parce que vous ne savez pas quand vous le refermerez…

C’est le deuxième roman que je lis de cet auteur, je l’ai découvert l’année dernière grâce à « Comme deux gouttes de sang » que j’avais beaucoup aimé.



Si je vous dis que j’ai dévoré les 473 pages de ce thriller en deux jours, ça vous donne déjà une petite idée de mon ressenti non ? Une enquête trépidante, des personnages ultra-attachants, des chapitres courts et très rythmés, des rebondissements à foison et un final grandiose. Ca ne vous suffit pas ? Bon je développe un peu mais pas trop quand même 😊



Pour la claustrophobe que je suis, j’en ai eu pour mon « argent » comme on dit, rien que la vue d’un ascenseur me fait frémir alors je vous avoue que j’ai parfois un peu suffoqué à la lecture de ce roman. L’auteur nous emmène sous terre, dans l’obscurité et la noirceur des profondeurs. L’isolement est total et même pas j’y mettrai un orteil.



J’ai été happée par ce roman du début à la fin, pas moyen de le lâcher une fois entamé. L’auteur a habilement semé le doute dans mon esprit tout du long, je me suis fait berner comme un bleu (enfin ceci dit chapeau bas à celui qui devine qui manipule tout ce beau monde avant la fin). Parlons-en justement de la fin, quand vous pensez que c’est fini, que l’auteur a jeté toutes ses cartouches et que vous êtes déjà au bord de l’évanouissement, il en rajoute encore une petite couche, ben oui quand on aime, on ne compte pas.



Bref, une belle réussite pour moi et je suis ravie qu’il me reste un roman de l’auteur dans ma PAL que je pourrai découvrir quand j’aurai recouvré tout mon souffle et toute ma lucidité 😊

Comme deux gouttes de sang est le deuxième roman publié de Nicolas Nutten, après Disparition (2020) qui était prometteur .

Il monte en puissance avec ce roman , tant au niveau du niveau que de la forme.

Une scène d'entrée glaçante en Norvège ; une famille - le père , la mère, le fils- se fait massacrer par un tueur en série , seule la fille en réchappe , ce qui lui permettra de témoigner contre le tueur .

En France , 15 ans plus tard , dans un manoir abandonné , lors d'une séance d'urbex, un squelette est découvert . C'est le commandant Sarda et son équipe qui sont en charge de l'enquête.

Parallèlement, Johanna est heureuse et très amoureuse . Mais , suite à une bourde de la maison d’édition pour qui elle a traduit un livre , elle disparaît du jour au lendemain. Est elle en danger ? quel danger fuit -elle ? Son futur mari va appel à la Romane Delmiez pour éclaircir le mystère de cette disparition . Comment va t il réagir quand le passé mystérieux de celle qu’il pensait bien connaître va se dévoiler petit à petit ?

Les 2 enquêtes finiront par se rejoindre, au fil de pistes , fausses pistes et de révélations assez nombreuses

Les péripéties sont nombreuses , et l’intrigue parfois complexe . En effet cette intrigue est riche en personnages et en rebondissements . On croit deviner la vérité et puis non , les apparences sont parfois trompeuses . l’auteur réussit parfaitement à manipuler son lecteur , jusqu’à un dénouement surprenant , diabolique . Et des dernières lignes qui pourraient laisser place à une suite

Les personnages sont vraiment étoffés. Notamment des jeunes filles malmenées, éprouvées par la vie… Les enquêteurs ont chacun une personnalité attachante, même si leur vie personnelle n’est pas des plus simples ( comme dans beaucoup d’autres romans.. )

Les chapitres sont courts , le style est fluide et agréable.

Une lecture addictive, bien écrite , surprenante

A noter que le nouveau roman de Nicolas Nutten , Terra Mater , est sorti très récemment , et que j’ai très envie de le lire , d’ailleurs il a rejoint ma PAL .Et on y retrouvera le personnage de Romane , ce qui est déjà un bon point .

Très belle découverte.

Dernier roman de Nicolas mais premier que je lis et c'est une vraie bonne surprise.



Une enquête complexe, dans un décor hors norme et des éléments déchaînés, mais où tout s'enchaîne parfaitement.



La lieutenante Romane Delmiez se voit affectée une enquête sur un homicide. Celle-ci la conduira dans les entrailles de la terre et l'obligera à regrouper des investigations restées sans réponse.

Une équipe efficace, des tensions avec le groupe de son confrère, tous les ingrédients sont réunis pour rendre l'intrigue efficace et palpitante.



Pas de temps mort, un rythme soutenu sans tomber dans l'excès, des rebondissements surprenants mais cohérents, des personnages forts : tout ce que j'aime dans un polar.



J'ai dévoré ce roman et j'ai maintenant très envie de lire les précédents de Nicolas.



À découvrir !

Je n'avais jamais lu Nicolas Nutten. Après l'avoir rencontré à Iris Noir Bruxelles, j'ai décidé de combler cette lacune.

Disparition est son premier roman, et vraiment, me voici encore avec un auteur à mettre sur la liste des personnes à suivre. Sa plume alerte m'a entraînée, en compagnie de Maxime, à la recherche de Célia, dans une aventure haletante et très "cinématographique" (j'imagine bien une adaptation en film). Une ambiance très sombre, énormément d'action, je ne me suis pas ennuyée un instant. Un très bon moment de lecture, ébouriffant et palpitant, j'ai beaucoup aimé ce roman, si vous aimez le thriller qui déménage, c'est un roman pour vous.

Un jour , bien plus que particulier, va être l'element déclencheur de toute cette histoire.

Mais qu'à t il de si particulier?

En attendant votre lecture, je ne vais rien dévoiler si ce n'est vous dire que jamais vous n'imaginerier ça!

au programme beaucoup de suspense, d'aventure, le tout avec une belle fin.

seul bémol, l'histoire est longue a démarrer, beaucoup de personnages différents

Bonjour les babeliophiles retour cette fois ci sur ma dernière lecture DISPARITION De Nicolas Nutten. Je pense que les livres c'est comme les films on aime alors que d'autres n'ont pas aimé et on n'aime pas alors que d'autres ont aimé.

Et bien pour ce thriller je fais partie des lecteurs,lectrices qui n'ont pas aimé. J'ai trouvé cette lecture d'une longueur pas possible, je n'ai pas du tout accroché aux personnages. 200 pages ce n'est pas le bout du monde (la oui quand même!!!) mais plus j'aurais abandonné c'est sur.

Mais comme je dis toujours ceci n'est que personnel.

Après Disparition l'année dernière que j'avais adoré, il me tardait vraiment de découvrir le second opus de cet auteur que j'apprécie vraiment beaucoup.



Et puis, exactement comme avec son premier roman, il m'a suffit de quelques pages pour que l'écriture m'emporte immédiatement. J'ai englouti les chapitres les uns après les autres.



La façon dont l'auteur arrive à sonder la psychologie féminine est impressionnante, ses personnages sont denses, son intrigue est à la fois pleine de rebondissements et surprenante.



C'est un polar extrêmement bien ficelé et que l'on peine à lâcher. Je me suis faite berner à plusieurs reprises.

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De fracassantes révélations en retournement de situations, l'auteur mène son lecteur par le bout du nez et m'a totalement bluffée, tant par son style impeccable que par sa maîtrise du suspense et de son intrigue. Nicolas Nutten n'a vraiment rien à envier aux grands auteurs du genre.



J'ai encore une fois passé un excellent moment de lecture et si vous ne connaissez pas encore la plume de Nicolas Nutten, vous devez absolument rectifier le tir, car vous passez à côté de quelque chose, croyez-moi !
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Wow ce thriller est terrible ! Totalement captivant et addictif !



C’est le second roman de Nicolas Nutten que je lis et à l'instar de 𝘾𝙤𝙢𝙢𝙚 𝙙𝙚𝙪𝙭 𝙜𝙤𝙪𝙩𝙩𝙚𝙨 𝙙𝙚 𝙨𝙖𝙣𝙜 j’ai eu un véritable coup de cœur !



L'auteur nous offre là un véritable page-turner et nous emmène sous terre, à la découverte de grottes et de cadavres...



Le style est rythmé, sans temps mort, j’ai trouvé l’écriture très cinématographique, les détails sont donnés avec tant de précisions qu’on a vraiment l’impression d’être au coeur de l’enquête et de progresser à la même vitesse que la lieutenante Romane Delmiez.



Les pistes sont multiples, les rebondissements nombreux, l’auteur maîtrise parfaitement l’intrigue et nous emmène exactement là où il veut, pas un seul instant de répis dans cette histoire.

J’ai lu les 100 dernières pages (environ) en apnée, le dénouement est à couper le souffle et quel final ! Je ne l’avais vraiment pas vu venir !

Un thriller remarquable qui vous mets les nerfs en pelotes et vous tient en haleine du début à la fin !



Petit + : les explications et détails très utiles et intéressants sur la spéléologie, les grottes, le géocaching etc... on sent le travail de recherches de l’auteur.

↪️ En bref, envie d’explorer les profondeurs de la terre ? Alors foncez !

Coup de ❤️
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Une angoissante initiation à la spéléo, ça vous tente ? Enfilez votre combinaison et coiffez-vous du casque avec frontale pour découvrir ce monde vu sous l’œil de Nicolas.



Bienvenue dans les Causses de l’Hortus. Erwan et Anthony explorent un aven, à la recherche d’un indice. En effet, ils participent à un géocaching, ce nouveau loisirs high-tech consistant à utiliser un GPS pour rechercher des caches dans divers endroits.



Le lendemain, le corps d’Anthony est découvert au fond du gouffre et Erwan est introuvable. Que s’est-il passé cette nuit-là ? C’est ce que va tenter de découvrir Romane Delmier, 36 ans, lieutenant, et maman de la petite Lola, 6 ans, qu’elle élève en alternance avec le papa, dont elle s’est séparée.



Je ne connais absolument rien à la spéléologie, j’ai appris plein de choses et durant cette lecture, il m’est arrivé à plusieurs reprises d’avoir envie de m’y mettre ! Avant de me raisonner. Entre mon vertige et ma claustrophobie, franchement, je suis plutôt mal barrée, vous êtes d’accord ? Sans oublier ma maladresse légendaire ! Mais revenons à cette lecture…



Ce qui est frappant avec « Terra Mater », c’est le rythme insufflé. L’air de rien, totalement innocemment, Nicolas passe les vitesses. J’ai littéralement dévoré ce livre en une journée. C’est bien simple, une fois attaqué, je n’ai pas pu le lâcher. J’avais trop envie de savoir qui était à l’origine de tout de bazar. Je sais, ma curiosité me perdra, je l’ai toujours dit…



J’ai adoré le personnage de Romane. Avec elle, on découvre le côté sombre de son métier, qui s’avère être vraiment passionnant, mais qui laisse très peu de place au reste. Son compagnon est parti, ne supportant plus ses absences répétées. Sa fille est devenue sa priorité, mais bien malgré elle, elle doit la délaisser lors de ses enquêtes. Romane est aussi blessée au plus profond d’elle-même suite à une précédente enquête plus que difficile. Elle revient d’un arrêt maladie et se doit de refaire ses preuves au sein de son équipe. Cette enquête arrive donc à point nommé pour la remettre en selle.



« C’était peut-être ça, l’insouciance. Une plage, la mer et le temps qui s’écoule au rythme lent du ressac. Que ne donnerait-elle pas pour retrouver cette légèreté. Mais la réalité était tout autre. Ces cauchemars récurrents lui sapaient le moral et accentuaient à chaque fois un peu plus cette pression qui lui comprimait la poitrine. »



L’enquête, parlons-en. Elle paraissait simple au départ, et puis ses ramifications se sont révélées nombreuses et complexes. Les rebondissements sont multiples, et honnêtement, j’ai bien vite cessé de faire des suppositions pour me laisser porter par le récit.



Nicolas arrive à retranscrire l’ambiance et les lieux, c’est étouffant, c’est le moins que l’on puisse dire. Outre le fait que l’on se retrouve à plusieurs reprises sous des mètres cubes de terre, l’enquête est pesante, elle aussi. On va de fausses pistes en indices, la plume est visuelle, légère, impactante. Nicolas nous propose de tenter de reconstituer un puzzle de 1000 pièces, en ayant un coup d’avance sur Romane, mais même avec cela, impossible de deviner cette fin qui m’a scotchée. J’ai lu le dernier quart du roman en apnée, vous comprendrez pourquoi si vous lisez « Terra Mater ».



Un mot de la couverture, superbe, qui colle parfaitement au contenu.



Dans « Terra Mater », j’ai retrouvé tout ce que j’avais apprécié dans « Comme deux gouttes de sang ». Nicolas tombe dans ma liste d’auteurs à suivre !



Un thriller maniant la psychologie avec maîtrise, qui vous fera passer de belles heures de lecture. A découvrir !



« Le spectacle qui s’offrit alors à elle la stupéfia. Sur sa gauche, de majestueuses concrétions cascadaient de la voûte et descendaient jusqu’à plonger dans des gours remplis d’une eau si limpide et étale qu’elle semblait presque irréelle. La palette s’étalait de l’ocre au turquoise en passant par la blancheur du cristal. »



Je remercie Nicolas, Jacqueline et Prisma pour cette lecture.



#TerraMater #NicolasNutten #Lesnouveauxauteurs
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✔️Mon ressenti : J’ai dévoré ce roman !

C’est le troisième de l’auteur et le moins que l’on puisse dire c’est qu’il sait se renouveler.

Cette histoire nous emmène dans une petite virée au cœur de la nature. Mais, comme tout le monde le sait, cette dernière peut être le théâtre de tragédies et de pièges…

L’auteur malmène son lecteur et semble prendre plaisir à l’orienter vers de fausses pistes.! Ce roman est très rythmé et visuel. Les rebondissements sont nombreux et m’ont obligé à poursuivre la lecture presque sans le lâcher. Gros bonus : je n’avais pas vu la fin arriver !

Si vous souhaitez une plongée sous terre pleine d’angoisses et de rebondissements, foncez !



🎯Mots Clefs : Geocoaching / Grotte / Disparition / Amis / Enquête



🏆Ma note : 19/20

Célia dans le métro



Ah, le métro parisien ! Pour ma part, dans Paris, je préfère le bus ou mieux, me déplacer à pieds. Mais quand on est pressé, rien de mieux que le métro, à condition de faire abstraction des effluves diverses (et pas si variées que ça finalement…) et de la foule. Et puis il faut qu’il fonctionne le métro, car bien souvent un « incident technique » vient perturber le trafic… Heureusement avec la ligne 1 totalement automatisée la fiabilité est généralement au rendez-vous. Généralement. Car pour Maxime et Célia qui rentrent chez eux un soir d’août 2018, c’est une vraie galère qui s’annonce : des rames immobilisées en pleine voies, plus de climatisation… pas d’information de la part de la RATP, des dizaines de voyageurs piégés dans les wagons qui ressemblent vite à des boîtes de sardines, la claustrophobie, la panique ! Une solution s’impose au bout de plusieurs heures d’attente : sortir et marcher au bord des voies, en dépit du danger. Dans la cohue, Maxime perd Célia de vue : il pense la retrouver à l’air libre, ou peut-être est-elle rentrée à leur domicile ? Mais les heures passent et Maxime doit se rendre à l’évidence, Célia a disparu. Une vidéo amateur postée sur Twitter l’alerte : on y voit une jeune femme qui ressemble beaucoup à Célia être littéralement happée par l’obscurité. Maxime va déclarer la disparition de sa compagne à la police mais en parallèle il va tenter de mener son enquête.

Lu en quelques heures ce court polar tient toutes ses promesses : un bon suspens, des personnages attachants mais aussi des sales types, Paris en toile de fond. Rien de révolutionnaire dans le genre, quelques défauts, des incohérences et des invraisemblances mais le tout est d’une lecture très agréable.