Citations de Pascal Brissy (80)
(... ) une bibliothécaire.
Un nom savant, compliqué à écrire, juste pour dire qu"elle aimait beaucoup les livres....rectangles, carrés, fins, épais, avec ou sans images, tous les livres sans exception !
Il ne faut pas s'y tromper, moi aussi, j'ai une part de tigre à l'intérieur ! (Faut juste bien regarder... Mais si, la petite lueur qui brille dans ma pupille gauche !) D'ailleurs, si je le voulais, je pourrais très bien aller vivre dans la jungle !
Je suis un cadeau offert par l’ambassadeur de France en Inde au richissime Maharadjah « Janaï Plein-Lespoches » ! Alors, un peu de respect.
— MIAOU ! j’ai dit.
Ah ! Elle obéit enfin et m’ouvre la porte.
— Allez, ouste ! s’écrie-t-elle avant de me flanquer dehors sans ménagement. Du balai !
Cette attitude est tout à fait inacceptable :
— Miaou ! Je me plaindrai au Maharadjah ! Par les moustaches de ma tante Henriette, croyez-moi, ma petite, vous ne l’emporterez pas au paradis des chats !
Bon, puisque c’est comme ça, autant aller prendre mon petit déjeuner. J’ai faim et je ne mange pas n’importe quoi. Mes croquettes sont livrées de France par avion, et mon poisson… heu… de Poissonie !
Les détectives se rendent à leur grande réunion annuelle : l’inspecteur Jappe, le colonel Euréka Mouflon, le commissaire Miro Lataupe ou encore la mystérieuse belette, Miss Moustiflair.
Sans oublier, Hercule Carotte et son adjoint, Eusèbe Télégraf… Toujours en retard !
Bref, pour moi, les meneurs sont des bergers qui font des autres élèves leur troupeau. Et je ne compte pas faire partie du troupeau cette année ! C'est pour cette raison que je ne tisse aucun lien avec les moutons de ma classe....
( p 9)
Pendant ce temps, Tam-Tam et Lili chantent avec leurs amis de CP :
Au clair de la lune, mon ami mammouth,
Prête moi des poils, pour m'abriter des gouttes.
« – Je connais ce mal, dit-elle. Je sais aussi où trouver l’antidote. Il te faut une substance tirée de la glande d’une araignée géante (…) Cette araignée-là s’est nourrie de toutes les mauvaises choses dont regorge notre royaume, à commencer par la méchanceté des hommes! Maexia s’est rassasiée de tout cela jusqu’à en devenir énorme. Depuis, elle patiente dans l’ombre de sa tanière, dans l’attente du moment où ses congénères et elle tisseront leurs toiles sur Sombresecret. »
Les enfants de Paris se livraient ainsi à une lutte de territoire où tous les coups étaient permis et celui-ci était signé. La guerre des canards était déclarée! Le Grand Marcel et sa bande devaient bien rigoler.
Faites-vous vous-même votre avis mais moi je trouve ceci un peu caricatural :
"Chaque collège a son lot d'élèves qui font la pluie et le beau temps sur nombre de sujets plus ou moins importants : ça passe par la marque de vêtements qu'il faut porter, la couleur et les modèles des chaussures, la façon de marcher ou de se tenir, mais aussi le langage et les mots à utiliser absolument ou à bannir, sans oublier la marque de smartphone qu'il faut posséder. Bref, pour moi, les meneurs sont des bergers qui font des autres élèves leur troupeau. Et je ne compte pas faire partie du troupeau cette année ! C'est pour cette raison que je ne tisse aucun lien avec les moutons de ma classe..." page 9.
Il est heureux que tout ne soit pas encore si uniforme et que des individualités s'expriment.
« C'est la troisième fois depuis ce matin que nos dinosaures n'en font qu'à leur tête ! À croire que mon décor est maudit ! » (p. 14)
Vous devez prendre soin de moi jusqu'au coucher du soleil. Nous autres, gazelles, avons assez de soucis tout le reste de l'année !
Ah ! Les vacances ! Hercule Carotte, le célèbre lapin détective, est parti en vacances sur le Nil. Il a gagné le premier prix d’un jeu sur sa boîte de céréales aux légumes.
Son adjoint, Eusèbe Télégraf, l’accompagne. Lui aussi profite de cette magnifique croisière sur le fleuve.
Mathilde réfléchit aux mensonges qu'elle vient d'entendre de Maëlle : " S'est-elle inventé ces histoires parce qu'elle ne sait rien de la réalité ? Décidément, c'est une bien fâcheuse tendance que nous avons, nous les adultes, de taire les choses aux enfants dans le but, certes louable, de les protéger. Mais les résultats sont souvent pires... À défaut de connaître la vérité, ils sont bien obligés de l'inventer." Page 72
« – Ne te laisse pas faire! Papa le dit… le disait tout le temps : avec Baltazar, on n’abandonne jamais!
Certains mots forment des phrases capables de redonner du courage à n’importe qui, pour peu qu’elles soient prononcées avec la sincérité du coeur. »
Il la supplia comme un misérable pour avoir un livre lui aussi. Pas n'importe quel livre ... une bande dessinée !
Soudain, le renard renifle. Snif! Snif! Est-il déjà sur une piste ?
Hercule ricane. Il connaît son complice.
Eusèbe s'exclame :
" Pas d'erreur ! C'est l'odeur d'une tarte au fromage ! "
Par chance, Lili a une ardoise à prêter. Mais elle n'a pas de craie.
Alors madame fossile propose :
- Tam-tam, va vite en chercher une dans la "carrière de récré"!
Page 59 : "Tout écrivain sait combien l'incipit de son roman et capital. C'est lui qui va lancer votre texte sur les bons rails ; c'est lui qui attrapera le lecteur dans ses filets."
En l'occurrence j'ai eu un peu de mal avec le téléphone venu de Corée... mais maintenant je me laisse porter par l'histoire, l'alternance des deux points de vue, une héroïne attachante et le mystère qui entoure les personnages secondaires présents ou non.
L'amitié n'attend pas toujours le nombre des années. Elle s'ancre en vous, c'est tout.
bien , il y a beaucoup de suspens.