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Critiques de Pascal Marmet (542)
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Tiré à quatre épingles

"Un polar haletant sur fond de sorcellerie qui nous dévoile les coulisses de la gare de Lyon et nous ouvre les portes du célèbre 36 quai des orfèvres" : voilà un résumé succinct de l'auteur qui m'a emballé et pourtant je ne suis pas une fana de ce genre de littérature.



Toutefois, j'ai eu le plaisir d'apprécier d'autres romans de cet auteur et me suis lancée, tête baissée, dans cette enquête "rondement" menée à travers une écriture fluide, précise et détaillée à souhait permettant de suivre pas à pas le cheminement/dénouement au combien passionnant de ces crimes.



Je n'en rajouterais pas plus... je vous conseille vivement de découvrir ce polar.



Merci une fois encore à l'auteur pour ce voyage historique (on apprend beaucoup sur l'art africain) et au 36 quai des Orfèvres (les descriptions permettent une immersion totale).



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Tiré à quatre épingles

Le commandant Chanel trime au 36.

Bosser avec de nouvelles recrues, pas son truc. Bosser avec des femmes, pas son truc, alors avec deux nouvelles recrues féminines, imaginez l'allégresse du bonhomme.

Ce matin, Chanel est convié chez son boss pour être mis au parfum.

Après un ex-préfet retrouvé mort il y a peu, c'est au tour de sa tendre moitié de passer l'arme à gauche.

Flanqué de ses deux bleusailles, Chanel envisage d'appréhender rapidement les meurtriers histoire de leur tailler un costard sur-mesure...



Tiré a Quatre Epingles est une très belle surprise.

Outre une enquête originale éludant tous les stéréotypes du genre, c'est d'une plume érudite que l'auteur trace son rouge sillon en prenant bien soin d'asseoir son récit sur des personnages travaillés et une partition parfaitement orchestrée.



Petit bémol concernant son dénouement un brin facile.

J'imagine que le facteur chance occupe une part prépondérante dans la résolution d'une enquête mais de là à ce qu'elle vous soit servie sur un plateau d'argent par le truchement d'une hasardeuse coïncidence accidentelle à forte teneur aléatoire ascendant bol dans le trigone veine de cocu, je tique un chouïa.



Comment évaluer un bon bouquin ?

Facile.

Sortir d'un Lansdale puis enquiller sur Tiré à Quatre Epingles.

En ressortir avec le sentiment prégnant d'avoir passé un très bon moment, n'était, au risque de frôler une sénilité précoce en rabâchant pesamment, un final quelque peu décevant.



Merci à Babelio, aux éditions Michalon et à Pascal Marmet pour ce Tiré à Quatre Epingles, loin de l'être par les cheveux, enfin les trois fidèles qu'il me reste...



3.5/5
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Tiré à quatre épingles

Un polar sympa plus tourné vers l'énigme qu'empreint d'action. Donc, peu de castagnes et pas de courses-poursuites en bagnoles puisque la scène de crime principale se situe à quelques rues du 36 Quai des Orfèvres. Ainsi, c'est à pied que le commandant Chanel va constater que la très belle quadragénaire Albane Saint-Germain de Ray a perdu de sa superbe pour toujours... Et cela juste après ou pendant un cambriolage.

On croirait volontiers que la chance ne sourit pas à certaines personnes... déjà que six mois plus tôt, le meurtre de son dernier mari, sous-préfet de police et grand collectionneur d'art primitif africain, avait rendu Albane veuve pour la troisième fois...

Chanel ordonne à son équipe en sous-effectif de rechercher immédiatement les crocheteurs : qu'ils aient oui-ou-non troué la peau d'Albane reste à prouver, mais il faut les alpaguer ! Or, si l'un des voleurs se trouve par un (premier !) heureux hasard rapidement derrière le miroir sans tain...l'autre semble avoir pu se mettre au vert, quelque part dans la "cité" labyrinthique de la Gare de Lyon...



J'ai donc emboîté le pas à la brigade et aux deux stagiaires-femmes imposées au commandant, pour suivre l'enquête qui se concentre bien vite sur l'envoûtant art africain et le passé mouvementé d'Albane...



Si j'ai pris plaisir à suivre cet imbroglio de meurtres qui se succèdent de façon antichronologique, je n'ai, hélas, pas trop "adhéré" au protagoniste principal qui est Chanel. Il n'est certes pas antipathique (malgré une apparente tendance à la misogynie) et il a même bon cœur, mais sa façon de s'exprimer trop ampoulé, m'a un peu agacé. Comme d'ailleurs le langage procédural dont l'auteur abuse un peu trop à mes goûts (en 270 pages) pour mettre le lecteur aux faits du système judiciaire.



Outre le fugueur-en-vert aux chaussures de Mercure, c'est surtout la jeune Salomé que j'ai apprécié. Personnage secondaire vivifiant et naturel qui représente par excellence la jeunesse perdue, rêveuse d'un monde meilleur, et par qui un deuxième heureux hasard arrive...



Il est évident qu'en si peu de chapitres, il est quasi impossible d'approfondir les caractères. L'enquête prime et là, on peut dire que, malgré un épilogue précipité, l'auteur tire au final, bien convenablement son épingle du jeu !



Je remercie Pascal Marmet, les éditions Michalon et Babelio pour ce moment de lecture divertissante.

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Le Roman du parfum

Découverte d’un nouvel auteur dont j’ai beaucoup apprécié l'écriture. Merci pour cette lecture « enchanteresse ».

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ENVOUTANT

On découvre l’histoire du parfum (us et coutumes, son univers impitoyable...) au travers d’un « nez absolu » en devenir en la personne de Sabrina qui s’est vue confier une première mission l’obligeant à un long voyage en avion, prétexte à une rencontre avec un acteur hollywoodien, Tony CURTIS, qui va être son répétiteur et ainsi nous permettre de comprendre, et d'entrer dans ce monde merveilleux des odeurs.

C'est un délicieux voyage aux pays des senteurs.



A lire absolument pour tous les amoureux du parfum.

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Tiré à quatre épingles

Voilà un petit polar bien honnête, fort sympathique, avec ce qu’il faut pour passer un bon moment :





- une série de crimes dont le lien entre eux ne saute pas aux yeux

des vraies pistes et des fausses pistes pour que l’on se creuse les méninges

ce qui est inutile parce qu’en fin de compte ce sont des rencontres de hasard qui feront la lumière sur l’affaire

des personnages suffisamment originaux pour bien accrocher le lecteur

- un enquêteur bien typé mais pas trop, et s’il est connu pour ses fulgurances, il ne me semble pas les avoir beaucoup mises à profit . C’est tout à fait le profil d’un personnage qui pourrait être récurrent de façon à permettre aux lecteurs d’explorer peu à peu ses zones d’ombre.



Ce qui pourrait augmenter sa cote :



des dialogues plus spontanés, plus prêts du langage parlé

un focus plus précis sur le milieu dans lequel se déroule l’intrigue : le marché de l’art africain. Car nous croisons une statuette aux étranges pouvoirs et l’on aurait bien aimé en savoir plus.



Pas de scènes gore, pas trop de suspense, peu d’action, on n’est pas dans le thriller type Grange ou Thilliez. C’est plutôt du côté de Simenon que l’on pourrait chercher des analogies. Cela reste cependant une lecture tout à fait agréable, qui fournit quelques heures de plaisir que l’on ne boude pas.





Merci à Babélio et aux éditions Machalon pour la confiance qu’ils m’ont accordé






Lien : http://kittylamouette.blogsp..
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Le roman du café



SAVEURS EXOTIQUES



En premier lieu, c’est la découverte du grain de café grâce à la passion et à l’histoire familiale du jeune Julien, aveugle, élevé par son grand-père, torréfacteur et de son amie d’enfance, Johanna, journaliste, qui souhaite en savoir plus sur l’amour de ce grain sombre, ce grand cru qu’est le café, de son origine à nos jours.

Nos deux héros nous font découvrir les cafés mythiques de Paris, puis voyager du Brésil au Costa Rica, et bien d’autres pays et ainsi titillent nos sens tant les descriptions de l’auteur sont précises ; on en envie de se délecter de tous ces cafés qui sont de véritables bijoux en bouche (et oui).

En second lieu, c’est une véritable encyclopédie sur le café et j’ai beaucoup appris ainsi que malheureusement sur le trafic financier et juteux qu’il peut susciter.

En troisième lieu, les annexes du roman : une excellente initiative.

Amoureux du café ou non ce roman est une véritable pépite à découvrir… avec un petit noir, un expresso.



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What else ?

Après « Le roman du parfum », Pascal MARMET a eu la gentillesse de m’offrir « Le roman du café » et là je suis encore sous le charme de cet excellent ouvrage qui m’a fait voyager au cœur du café.

Merci… j’attends donc le prochain sur le chocolat… peut-être… Puis-je humblement souffler cette idée à cet auteur plein de talents.
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Tiré à quatre épingles

François Chanel , le commandant Chanel chargé de l’enquête a son style, le « style Chanel » disent ses collègues, mélange d’expérience et d’intuition.

Il n’aime pas prendre la parole en public, n’aime pas les médailles, n’apprécie pas trop les stagiaires surtout féminines tout en finissant quand même par leur trouver quelques qualités.

Dans la présente enquête qui va lui échoir en plein mois d’août, il semble que son intuition va lui faire défaut peut-être contrecarrée par les ondes maléfiques d’ une statuette africaine minkondi, bardée d’épingles avec un coeur en tanzanite …

Ce sont les personnages, en apparence secondaires, de jeunes marginaux, qui lui permettront sans le vouloir, de dénouer cette affaire où plusieurs crimes se succèdent :

- celui d’Albane Saint-Germain de Ray, née Truchot, trois fois veuve, trouvée morte au 2 impasse Conti, dans un appartement digne de la remise du musée des Arts Premiers,



- d’Armand Nodul, ami d’Albane, expert en art primitif, rue Jacques Calot



- de René Saint Germain de Ray, préfet, assassiné deux ans auparavant avec un 9 mm comme Albane, mordu d’art africain. L’enquête, alors confiée au commandant Roland, qui vient de prendre sa retraite, n’avait pas abouti malgré de forts soupçons concernant la veuve.



Je retiens plus particulièrement les personnages de Laurent Bastos-Alex, immature atteint du syndrome de Peter Pan, un petit homme vert jusqu’aux baskets, habitué de la Gare de Lyon,

ou Salomé à la mèche violette, rencontrée par Chanel dans le TGV qui le ramène vers Paris après avoir rendu visite à son collègue Roland pour le consulter au sujet de l’affaire.

Elle s’est enfuie de chez elle et se définit en lui disant « « Je suis une perfusée de la haine, une ratée de la société, une poussière insoumise, une toxico de l’école buissonnière »

Il va l’accueillir chez lui, très courtois « Chère demoiselle, je suis l’heureux propriétaire d’un lieu enchanteur qui agonise à petits feux et où les fenêtres ne s’ouvrent plus. Il y a tout de même l’eau courante et l’électricité. » Salomé nous permet de découvrir alors un autre Chanel qui sait se laisser attendrir, bon vivant et musicien.



Ce petit polar classique, assez bien mené, dont j’ai aimé le ton, m’a dans l’ensemble fait passer une bonne après-midi. J’ai pris plaisir à découvrir ou redécouvrir l’art africain, la gare de Lyon et aussi la thérémine …



Merci à l’auteur qui a ajouté sa dédicace à l’envoi, à la maison d’édition Michalon et à Babelio qui m’en a proposé la lecture

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Commandant François Chanel : 36 quai des Orfèvres

Un jeune homme, Laurent, qui vient de rater son CAP en boulangerie, a été viré par sa mère qui estime qu’il vient d’avoir dix-huit ans et doit maintenant se débrouiller seul ; il vit seul et est hébergé dans un wagon désaffecté de la SNCF et vit de rapine. Il fait la connaissance de Samy, et se retrouve presque malgré lui à l’aider à cambrioler un appartement.



Malheureusement, en arrivant, ils découvrent une femme étendue au sol après une chute dans les escaliers ; elle souffre et demande de l’aide. Laurent lui propose un verre d’eau et fouille l’appartement. Il finit par découvrir, par inadvertance une grosse somme d’argent et une statuette vaudou…



Le problème, c’est que la femme va être retrouvée morte, tuée par trois balles de revolver !



Nous retrouvons donc le charmant Commandant Chanel qui va être chargé de l’enquête ; malheureusement il y a peu d’indices et personne ne retrouve le lutin vert que tout le monde a croisé et qui semble être impliqué dans le cambriolage, peut-être dans le meurtre ? De plus, le service du Commandant Chanel est en manque d’effectifs et comble de malheur on lui adjoint deux stagiaires, et des femmes en plus ! Seront-elles à la hauteur ?



La défunte, Albane, n’est autre que l’épouse d’un ancien magistrat qui a lui aussi été retrouvé assassiné ; coïncidence ?



Depuis le vol de la statuette, des choses étranges se produisent ; le musée du Quai Branly à Paris, qui devait hérité d’une partie des statuettes, va proposer ses services…



Et voilà, le décor est planté ; le Commandant Chanel ne va pas chômer ; il va falloir qu’il gère cette enquête et qu’il reprenne aussi celle du mari d’Albane. Il va falloir qu’il découvre qui était vraiment cette femme et qu’il retrouve le lutin vert…



Voici un nouveau roman avec le Commandant Chanel que nous avions déjà croisé dans le précédent roman précédent de Pascal MARMET. Pas d’inquiétude si vous ne l’avez pas lu (vous pouvez réparer cette erreur) les livres peuvent être lus séparément.



Pascal MARMET a toujours la même écriture, agréable et fluide ; les actions s’enchaînent et entre temps nous avons le plaisir de partager un peu la vie privée de Chanel.



Cette fois-ci, l’auteur nous entraîne dans une enquête palpitante, entre le meurtre à résoudre, les statuettes à retrouver, les rites vaudous, et l’univers du commissariat et nous allons faire la connaissance de Salomé (et bien plus encore…), dans un polar bien ficelé avec du suspense et des rebondissements. Et finalement, qui a tué Albane ? Les stagiaires vont-elles s’intégrer à l’équipe ?



Alors, prêts à affronter les statuettes maléfiques ?



En bref, c’est avec un réel plaisir que nous retrouvons ce brave Commandant Chanel, qui appréhende le déménagement du 36 quai des Orfèvres…



À lire chaussé(e) de baskets vertes, ou au moins avec un vêtement vert, éventuellement dans les beaux jardins du musée du Quai branly, en sirotant un Picon bière avec une miche aux châtaignes et aux figues...



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Si tu savais...

Merci à Pascal MARMET de m’avoir fait découvrir son livre que j’ai savouré avec délice.



CONTRADICTION OU PARCOURS INITIATIQUE (clin d’œil à l’auteur)



Très telle histoire de parfums autour de l’amour, des différences sociales, intellectuelles des deux principaux héros du livre (Sabrina et Marc) et sur la chance que l’on doit savoir/pouvoir saisir au bon moment afin que sa vie prenne enfin le tournant auquel elle était destinée (et oui, il faut y croire…).



Pascal MARMET a su par son écriture fluide, me faire partager sa passion du parfum, me faire rêver et m’attacher au personnage de Sabrina.



J’ai, par ailleurs, apprécié de connaitre la jeunesse de Sabrina que j’avais découverte dans « LE ROMAN DU PARFUM » où elle est en devenir d’un « nez » incontestable et non la stagiaire que l’on suit dans « Si tu savais… »



Merci pour cette lecture enchanteresse.

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Tiré à quatre épingles

J'ai trouvé ce roman policier dépourvu de suspens plutôt décevant. Les personnages étaient prometteurs et semblaient d'après la description faite par l'auteur, posséder une certaine personnalité, mais en avançant dans l'histoire il n'en fut rien ! le commandant Chanel, personnage principal, est présenté comme un fin limier qui se sert de son intuition, je me suis réjouie un peu vite en pensant qu'un nouvel Adamsberg avait vu le jour, or à aucun moment il ne montre cette qualité. Les deux stagiaires surdouées qui arrivent pour aider le commandant amènent le lecteur à penser qu'elles vont faire preuve de génie, elles auront toutefois un rôle très limité dans le dénouement. La victime, assassinée dans son appartement est décrite comme étant la dernière des ordures sans aucune nuance. Et quelle idée en début de roman, de faire déménager le 36 dans d'autres locaux et de supposer qu'on y mettrait un musée de la police ou un centre commercial ??? Je me suis longuement demandée si ce déménagement avait une fonction quelconque dans le roman, on ne sait jamais, mais non, une fantaisie de l'écrivain, rien de plus.

Je ne me suis pas ennuyée malgré tout, mais comme polar, je mettrai un «peut mieux faire ».



Je remercie Pascal Marmet, les éditions Michalon et Babelio pour ce partenariat.


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Exécution

Quoi de mieux pour fêter la fin d'année que de lire un bon polar au coin du feu? 😁

Je tiens tout d'abord à remercier Pascal Marmet et M+ Éditions qui ont su m'offrir cet agréable moment de lecture dont l'œuvre a su redonner vie au fameux 36 Quai des Orfèvres.



Au sein de la PJ, toute la brigade est en pleine effervescence. Le commandant Chanel et son équipe se voient confier une enquête très sensible qu'il va falloir boucler au plus vite; un éminent ténor du barreau a été retrouvé assassiné dans le parking du palais de justice de l'île de la Cité.



Le corps retrouvé sans vie ne laisse planer aucun doute : l'avocat a été torturé et mutilé avant d'avoir rendu son dernier souffle. Mais qui en voulait à Maître Fender pour perpétrer de tels sévices ?



En commençant leurs investigations Chanel et son équipe de la brigade criminelle sont loin de se douter que le ténor du barreau cachait autant de secrets et de déviances qui ne pouvaient qu'éveiller une haine à son encontre...



En refermant cet ouvrage, une exclamation m'est venu en tête : "déjà ?". Et oui, j'aurais voulu passer plus de temps avec l'équipe de Chanel!

Les mots de Pascal Marmet ont su me tenir en haleine tout au long de leur lecture. J'ai beaucoup apprécié les personnages auxquels je me suis tout de suite attachée car notre auteur a su les rendre très humains. J'ai trouvé ça sympa d'intégrer dans cette enquête des acteurs que l'on n'a pas l'habitude de côtoyer généralement sur des enquêtes policières.



J'ai aussi trouvé intéressante l'intégration en début de chapitre d'extraits du texte de "Madame de Bovary" qui trouveront une explication au fil des pages.



Si vous aimez les romans policiers et êtes fan de notre cher "Monsieur Maigret", personnage emblématique de Georges Simenon, je ne peux que vous conseiller cette lecture.
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Exécution

Tout d'abord, je tiens à remercier Pascal Marmet qui m'a généreusement offert son dernier livre avec une belle dédicace.

Comme toujours, je suis enchantée par cet auteur que j'ai eu le plaisir de lire pendant mes vacances à SITIA - CRETE et ai retrouvé le célèbre (désormais) commandant Chanel du 36 quai des Orfèvres qui mène cette nouvelle enquête criminelle avec ses collaborateurs non moins efficaces sur le meurtre d'un avocat renommé mais aussi ses travers sous fond de Madame Bovary (et ouiii, vous découvrirez pourquoi en le lisant). Les indices arrivent les uns après les autres et la surprise est toujours au rendez-vous.

C'est d'une main de maître que ce thriller est écrit et sa lecture un "délice" au fil des pages.

Je n'en dirais pas plus afin de vous permettre de courir l'acheter sauf peut-être qu'il s'agit d'une enquête à la "Maigret" au XVIe siècle.

A recommander sans modération.

Merci Pascal.

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Tiré à quatre épingles

« Tiré à quatre épingles », en voilà un roman intrigant. D’abord parce qu’il génère un nombre relativement important de critiques sur Babelio (45) et sur divers blogs, alors que Pascal Marmet n’est pas un auteur hyper-médiatisé ni hyper-prolifique, et la maison d’édition (Michalon) n’est pas non plus une grosse machine dans le genre des GalliGrasSeuil et Cie. Ensuite, deuxième chose vaguement surprenante, c’est que la très grande majorité des chroniques donnent à ce roman une cote allant de « bon » à « excellent ». N’osant pas aller jusqu’à penser que la plupart des chroniqueurs ont reçu ce livre avec une amicale dédicace de l’auteur lui-même, et se sont, de ce fait, sentis obligés d’être plus indulgents qu’à l’ordinaire, je me suis donc dit, avant de commencer à le lire, « chic, ça doit être un très bon bouquin ! ».

Et là maintenant, je le referme, et … non, je n’ai pas trouvé ça très bon. C’est donc que je dois être définitivement et totalement hermétique au polar à la française, dans tous ses styles, qu’il s’agisse de Vargas, Thilliez, Chattam ou … Marmet. La quatrième de couverture m’est donc apparue, a posteriori, trompeuse (une fois de plus) : « Un polar haletant sur fond de sorcellerie qui nous dévoile les coulisses de la gare de Lyon et nous ouvre les portes du célèbre36 quai des Orfèvres ».

« polar haletant » : j’ai mis une semaine à le lire (270 pages), c’est dire que je n’étais pas particulièrement pressée de tourner les pages.

« fond de sorcellerie » : certes on nous parle de fétiches africains envoûtés qu’il vaut mieux ne pas approcher sans protection, mais encore ? quoi-comment-qu’est-ce ? Cette sorcellerie n’est qu’un accessoire « ornemental », qui ne joue aucun rôle dans la résolution des crimes.

« les coulisses de la gare de Lyon » : là où on imagine que la gare sera un personnage à part entière (genre les Halles dans « le Ventre de Paris » de Zola), elle n’est qu’un décor comme un autre, certes un peu plus détaillé, mais on ne ressent pas son importance.

Quant à « ouvrir les portes du 36 », c’est surtout pour nous annoncer que la Crim’ va bientôt déménager de cet endroit mythique, et là aussi, cette insistance sur ce lieu est artificielle ou en tout cas inexploitée.

Inexploité, je crois que c’est le qualificatif qui convient le mieux à ce livre. Il y avait beaucoup d’ingrédients pour en faire un bon petit polar de derrière les fagots, mais la sauce ne prend pas (pour moi…) : la psychologie des personnages, le thème de l’art africain et des fétiches maléfiques, les décors, l’ambiance, tout est posé, mais reste à l’état d’esquisse, pas assez développé, et aurait mérité moins de "bavardages" et davantage de souffle et de profondeur. Et parfois de crédibilité : les as des as de la Crim’ qui ne suivent qu’une seule piste alors qu’un autre mobile existe (et qui explique d’ailleurs le meurtre d’Albane), la stagiaire qui pontifie sur le syndrome de Peter Pan devant ses supérieurs qui apparemment n’en avaient jamais entendu parler, le langage trop châtié de certains, qui ne colle pas à un vrai langage parlé…

Bref, pour moi, ce polar ne tire pas son épingle du jeu.

Mais cela n’enlève rien à la gentillesse de l’auteur qui a pris la peine de signer son livre avec un petit mot, et qui s’est manifestement investi dans un gros travail de documentation pour l’écrire.

Merci à Babelio, aux éditions Michalon pour cette découverte, et, donc, à l’auteur pour sa dédicace.


Lien : http://www.voyagesaufildespa..
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Tiré à quatre épingles

C'était à l'occasion d'une précédente masse critique que j'avais pu découvrir Pascal Marmet avec "le roman du café". Si l'aspect documentaire m'avait emballée, j'avais été beaucoup moins convaincue par le versant fictionnel de l'ouvrage. C'est donc la curiosité qui m'a passé à m'inscrire à cette nouvelle masse critique proposant le nouveau livre de l'auteur, un polar. J'ai été globalement agréablement surprise par ce changement de registre.



"Tiré à quatre épingles" a de belles qualités. J'ai retrouvé avec plaisir le style de Pascal Marmet. Son écriture est agréable, simple, fluide et non dénué d'humour. Les chapitres courts donnent au récit un rythme dynamique.



Pascal Marmet est un auteur travailleur et qui bosse son sujet avec sérieux. On sent qu'il s'est documenté à fond sur l'art africain et sur les rouages de la police criminelle.



Le défaut du roman vient du manque de caractérisation des personnages qui auraient mérité d'être plus fouillés. Pour cela, il aurait fallu que le roman soit plus long. Les protagonistes manquent un peu d'épaisseur ce qui donne à "tiré à quatre épingles" un aspect un peu désincarné. Cela m'a un peu fait penser à ces séries policières dans lesquelles seule compte la résolution de l'enquête.



Cependant, malgré ce petit bémol et malgré quelques facilités, notamment un deus ex machina un peu tiré par les cheveux, "tiré à quatre épingles" offre un bon moment de lecture. L'intrigue est bien menée, on ne s'ennuie jamais. L'incursion de l'art africain donne une note originale au récit, lui confère un charme mystérieux.



"Tiré à quatre épingles" n'est certainement pas un grand livre inoubliable mais un petit roman sympathique.

Je remercie Babelio et les éditions Michalon pour cette jolie promenade policière entre le 36 et le musée Branly.
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Tiré à quatre épingles

Un roman policier français ça me change des polars nordiques que j'apprécie beaucoup .

Dans ce premier roman policier de Pascal Marmet , auteur du Roman du café et du Roman du parfum dont j'avais entendu beaucoup parler sans avoir l'occasion de les lire , nous sommes à la mythique adresse 36 Quai des Orfèvres ..

Un cambriolage ´ au hasard ´ le cambrioleur attend que quelqu'un rentre dans un immeuble cossu , il a entraîné avec lui un jeune homme excentrique habillé tout en vert jusqu'à baskets , il a attendu le moment propice et le roman peut commencer .

On se retrouve avec le commandant Chanel , deux stagiaires irréprochables , un commandant qui va prendre une retraite bien méritée , quelques collègues un peu plus passe- partout , les crimes s'enchaînent , le lien entre eux est une collection de trésors d'art africain primitif .

Ce que j'ai beaucoup aimé dans ce livre c'est l'évocation du célèbre musée du quai Branly que je n'ai hélas jamais eu l'occasion de visiter lors de mes visites à Paris , et surtout d'avoir découvert un lieu magique le restaurant Le train bleu à la Gare de Lyon , je n'avais jamais entendu parler de ce lieu , j'en ai appris un peu plus en regardant les superbes photos sur internet .

L'art africain m'a moins attirée , et le côté magie noire m'a un peu dérangée .

Je serai un peu moins enthousiaste que la majorité des critiques , j'ai passé un bon moment de lecture mais sans plus , il me semble que les personnages auraient pu être un plus étoffés , j'ai peut être trop l'habitude des romans policiers à la psychologie plus développée .

Et autre petit point de réserve pour que ce soit une lecture coup de coeur , il me semble que l'auteur n'explique pas assez le syndrome de Peter Pan , ce qui est dommage car ça rend le roman intéressant .

Et oui moi aussi j'ai remarqué les petites incohérences sur l'âge d'Albane , la première victime.

Dommage que la ou les personnes qui ont lu ce livre avant sa parution ne l'aient pas signalé à l'auteur .

En résumé , je suis tout de même contente d'avoir lu ce livre qui malgré ces petits défauts a un côté addictif , je l'ai d'ailleurs lu sans pouvoir m'arrêter

Et ça me donne envie de découvrir les livres précédents de l'auteur , l'´histoire du café , ainsi que celle du parfum , hum ça me tente bien , moi grande amoureuse de senteurs diverses .

Je vais de ce pas lire quelques critiques sur ces deux ouvrages

Je remercie Babelio , ainsi que l'auteur pour l'envoi de ce livre

Quand je reçois un livre , je suis un peu comme une petite fille qui reçoit un cadeau du Père Noël , c'est un des rares domaines où l'émerveillement est toujours renouvelé .

Bonne lecture !

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Le Roman du parfum

Sabrina, jeune « nez absolu » de vingt-trois ans, rencontre l'acteur Tony Curtis – dont elle n'a d'ailleurs jamais entendu parler – dans l'avion qui la conduit aux USA pour le compte d'un grand parfumeur de Grasse. Très vite, elle pique la curiosité de Tony et leur échange devient prétexte au récit de l'histoire du parfum que Sabrina se doit d'apprendre dans le cadre de ses études. Mais c'est aussi la biographie de Tony Curtis qui nous est dévoilée, un gamin du Bronx que rien ne destinait à la sphère Hollywoodienne. Avec lui nous traversons les différentes époques d'Hollywood, de l'âge d'or au déclin amorcé par la démocratisation de la télévision, le tout placé sous l'égide de parfums au succès mondial et intemporel.



Le Roman du parfum est un récit multiple et original : tantôt roman initiatique, tantôt biographie, tantôt documentaire. Il m'a permis de découvrir un univers dont j'ignorais tout, de la création, véritable composition artistique aux dimensions symphoniques, au marketing actuel et au gommage éhonté du nom des nez. La narration à la première personne nous happe et nous plonge dans l'univers extraordinaire de Sabrina ; elle s'avère dès le début un personnage en décalage avec les autres, comme je les aime. Cette immersion à travers ses sens nous permet de partager sa passion, de percevoir comme elle les parfums infinis qui peuplent le quotidien. J'ai apprécié l'écriture délicate et sensuelle qui exhale diverses senteurs : « Mon parfum est un enfant sauvage né de la pleine lune, un asocial qui se refuse, un autiste éperdu de chimères. Il sait tout de moi ; de lui, je ne sais rien. Ma composition est anxieuse, dissidente, intranquille, méprisante et décline ma joie de l'étreindre. Et à la moindre fausse note, ma partition se fait volatile » (p. 24). Le point fort de ce roman est de nous proposer par le biais de la fiction (à moins que ce ne soit la vérité...) une approche de l'histoire à travers le kaléidoscope du parfum ; les grandes époques historiques sont savamment distillées au fil des chapitres, qui sont par ailleurs brefs et bien rythmés. Entre leçons d'histoire, anecdotes et formules de création quasi-incantatoires, Sabrina s'improvise en stimulant professeur. Aussi est-il intéressant de constater que la plupart des civilisations attachaient la plus grande importance au parfum, tels les Egyptiens, chez qui il confinait au divin : ainsi, l'ânti, viatique essentiel au défunt pour accéder à une autre vie. Des jeux olympiques à La Petite robe noire de Guerlain en passant par l'empire romain, c'est à un voyage des sens à travers l'espace et le temps que nous convie ce roman. Petit plus à la fin du volume, une bibliographie abondante sur le parfum bien sûr mais aussi la filmographie de Tony Curtis et une sélection des parfums les plus prestigieux depuis... 1714 !



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Exécution

Un ténor du barreau est retrouvé assassiné dans le parking souterrain du Palais de Justice de Paris. Exécuté dans sa voiture de luxe, Maître Fender a été torturé et mutilé par une meurtrière chaussant du 46, pas moins !



L'élégant commandant Chanel, fin limier, morphopsychologue et aguerri par ses 38 années de service au sein du fameux 36 Quai des Orfèvres est chargé de l'enquête, sous la houlette de sa tonitruante nouvelle patronne surnommée « Mlle Maigret ».



Il sera épaulé dans sa tâche par une jeune stagiaire surdouée, rapidement adoptée pour son indéniable talent qui fera voler en éclats les préjugés machistes de l'équipe de la Crim bourrée à la testostérone.



Plus à un chamboulement près, Alain, un jeune homme frappé par la foudre, débarque dans la vie du Commandant. Souffrant d'amnésie mais doté du « syndrome du savant acquis », c'est avec cette équipe pour le moins atypique que le Commandant Chanel part à la découverte de la vérité sur cette sombre affaire.

D'après ses nombreuses ex-secrétaires, Maître Fender, adepte de pratiques perverses, est loin d'être un modèle de vertu. Quel rapport avec Emma Bovary, la célèbre héroïne du roman de Flaubert, qui semble le fasciner ?



C'est avec plaisir que j'ai retrouvé le commandant Chanel, que j'avais découvert dans « Tiré à quatre épingles », dans ce savoureux roman qui mêle magie, terrorisme et vengeance.

De nombreux rebondissements alimentent un suspens omniprésent, emmenée par la plume fluide de l'auteur.



Je tiens à remercier l'auteur Pascal Marmet qui a eu la gentillesse de m'envoyer un exemplaire dédicacé.



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Tiré à quatre épingles

Un petit extrait pour donner le ton. p.32 " Dès sa première tétine piquée dans un Leclerc*, ses procréateurs, une maniaco-dépressive-picolo-écolo et un junk-parano-keupon, avaient bloqué son ascenceur social à l'entresol." Eh bien en terme d'échappée, cela commence fort ; il faudra tenir la distance. Idéal pour les gros rouleurs et surtout les sprinters qui attendent, bien calfeutrés, la fin avec impatience.



Tiré par les cheveux donc plutôt qu'à quatre épingles. Beaucoup trop d'éléments rapiécés pour faire joli, sans liens avec l'ensemble, n'ont d'autre intérêt que de rallonger un récit qui manque déjà de densité. Et les séances de psycho morphologie, vraiment pas fan !



Allez, se sont les vacances. Disons dans un langage de circonstances (tour de France) qu'après une journée de repos même une étape de transition en plaine peut faire de nombreuses victimes^^ ; attention à la chute !!! Tout se jouera donc dans l'emballage final, c'est la loi du genre. Mais il aura manqué quelque chose pour en faire un grand moment mémorable. Certes, il en faut pour tous les goûts, et ce fut une agréable échappée sans trop de relief. Cependant point trop n'en faut sur une saison !



Un tout grand merci à cette amie qui me l'a prêté et qui se reconnaîtra, j'en suis sûr.



* Ce qui a dû valoir une place en tête de gondole au bouquin à sa sortie dans les dits établissements ou alors c'est vraiment à se demander, rien par contre concernant la marque de la tétine ^^ (surement un rapport Freudien qui demanderait une enquête)
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Le roman du café

Au milieu du concert de louanges qui entoure Le roman du café, ma critique est un peu plus réservée sur l’intérêt de ce roman-documentaire.

Découvrir le monde du café à travers une fiction, pourquoi pas ?

Malheureusement, l’histoire du jeune Julien, passionné par le café, il a grandi dans la brûlerie de son grand-père, ressemble à un médiocre scénario de téléfilm pour TF1 ou M6 avec de grandes tirades des personnages dignes d’un documentaire sur Arte. Un copié-collé d’informations semées tous azimuts, Le roman du café aurait mérité un projet plus abouti comme une saga familiale plus subtile avec une intrigue prenante et riche d’enseignement.

Pourtant, Pascal Marmet s’est inspiré d’une large bibliographie et son amour pour le café est sincère et communicatif. Les descriptions des bouquets aromatiques sont très réussies et Pascal Marmet aborde tous les aspects du sujet, histoire, économie, botanique, dégustation et met l’accent sur les enjeux majeurs du café à l’échelle de la planète.

Je remercie chaleureusement Pascal Marmet et Babelio pour la découverte de ce roman qui donne envie de consommer différemment son café.

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Le roman du café

On est souvent « café » ou « thé »…

Pour ma part, j’ai la chance (parce que c’en est une, de chance…) d’aimer les deux ; à différents moments de la journée : le thé le matin, et le café, dans la soirée…



Je découvre cette collection, « Le roman des lieux et des destins magiques » par l’entremise d’une masse critique. Une collection riche de nombreux thèmes, qui, s’ils sont traités de la même façon que ce « roman du café » de Pascal Marmet, promettent de grands moments de lecture.

Car, Pascal Marmet, chroniqueur radio, organisateur de rencontres littéraires (voir la quatrième de couverture), n’en est pas moins un écrivain. Il n’est pas besoin d’entrer bien loin dans son « roman du café » pour en être convaincu… Il y a comme du Orsenna là dedans… Dans le style et par le coté quasi-encyclopédique de l’ouvrage.



La saison des vides-greniers s’annonce. Je vais les écumer dans le but de retrouver le moulin à café de ma grand-mère. Si, si, je suis sûr de le trouver : un Seb électrique qui faisait un boucan d’enfer. Même pas grave ! Il me restera ensuite à me rendre chez le torréfacteur pour y acquérir Maragogype du Méxique, Pacamara du Salvador, Sidamo d’Ethiopie, ou le Maracaïbo du Vénézuéla… Ou d’autres encore, Le Blue Mountain of Jamaïca… Rien que les noms font voyager : le tour du monde des hauts plateaux dans une tasse…

Pssitttt : je vais peut-être même voir si je peux trouver une « Cona » à un prix acceptable…



Merci encore à Babélio, aux éditions Du Rocher et à Pascal Marmet de m’avoir fait parvenir cette petite merveille. Une belle découverte qui en appelle d’autres dans cette collection ; en attendant que paraisse « Le roman du thé »…

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