«[...] Mais il existe une autre forme de solitude, terrible à endurer.»
Il fit une pause.
«Et c'est la solitude de celui qui voit un monde différent de celui où vivent les gens qui l'entourent. La vie de ces gens demeure éloignée de la tienne. Tu vois le gouffre, et eux non. Tu vis parmi eux. Ils marchent sur de la terre. Tu marches sur du verre. Ils se rassurent à grand renfort de conformité, de ressemblances soigneusement élaborées. Tu vis masqué, conscient de ta différence absolue. C'est pour cela que j'ai toujours vécu dans les bars – les lieux de drague – simplement pour être parmi ceux qui étaient comme moi.[...]»
Women’s lives are the dark continent, not our sexual selves. You can peer at our bodies, legs splayed open, whenever you like. Our bodies present a deceptively simple script. But our desires, so often unuttered, are fluid, protean, inconstant. We cannot be measured; we cannot be assessed. Our inner lives are the hidden space.