Cette série est vraiment bâclée. L'auteur accumule les poncifs de la fantasy sans jamais rien creuser. Les personnages ne sont pas attachants et, malgré des péripéties à tout-va, on s'ennuie ferme. Le premier tome ne m'avait pas emballée, mais j'ai vraiment eu du mal à terminer celui-là et ma fille a abandonné à mi-parcours. Passez votre chemin !
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Excellent ouvrage où un jeune enfant, Léo, doit mener une enquête afin de garder son poste ainsi que celui de son père dans un palace aux multiples facettes. Un jour l'enfant va découvrir une mystérieuse boîte dans un ascenseur qui lui permet de transporter des canards sur le toit de l'hôtel ... l'aventure commence. C'est, aidé de son ami Rémi, qu'il va tenter d'élucider la mystérieuse disparition du propriétaire de l'hôtel. Mais ce dernier réserve bien des surprises : chacune des pièces invite nos deux héros dans des univers magiques.
Je conseille ce livre aux jeunes de 9 à 12 ans. L'écriture est aérée et l'histoire fantastique. Il passionnera tous les lectures avides d'aventures.
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Colvert Palace, le plus fascinant des hôtels du monde, a toujours ses portes ouvertes. Pour ceux qui ont assez d'argent pour financer les travaux de son propriétaire Merganzer D. Whippet, évidemment ! Mais à présent, il l'est aux lecteurs. Découvrez chaque étage, extravagant, parfois dangereux, et frémissez face à la course contre la montre qui vous attend... Mais vous serez en bonne compagnie, étant donné tous les canards qui rôdent dans le coin !
Difficile d'être objectif avec une histoire qui offre autant de fantaisies et d'inventivité. À présent je m'émerveillerais plus difficilement, mais derrière un côté infantile trop fréquent (avec un héros auquel on s'identifie trop bien, un faire-valoir trop sympa, un univers TROP consensuel) se cachent les problèmes d'un adulte voulant rester enfant, Merganzer, et qui s'est enfermé dans son monde sans tenir compte des réalités.
Alors, Colvert Palace tome 1, comparable à Charlie et la Chocolaterie ? Il a beaucoup d'imperfections, mais pour moi l'élève a dépassé le maître...
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C'est l'histoire du jeune Léo qui, en allant chercher Betty, la chef des canards, trouve dans l'ascenseur disposé pour ces petits animaux jaunes, une boite violette qui va changer sa vie de banale agent d'entretien.
Par la suite Léo devra chercher les trois autres boites, qui, assemblées formeront le prestigieux Colvert Palace dirigé par Merganzer D. Whippet. Ce livre est extraordinaire et très attrayant avec son suspense immanquable.
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Je me suis laissée emporter par ce livre jeunesse... J'aurais aimé lire ce genre d'ouvrage à mon époque.
c'est l'histoire de Leo, 10 ans qui vit avec son pere au Colvert Palace. Le propriétaire a disparu depuis 100 jours. A ce moment apparaît une boîte violette au nom de Leo... une boîte qui va l'emmener dans des aventures aussi incroyables que sensationnelles pour lui permettre de sauver l'hôtel.
L'écriture fluide, le rythme de l'histoire m'a fait tourner les pages encore et encore... pour au final me retrouver à la fin du livre sans avoir vu le temps passé. je n'ai lâché le livre que le temos du travail pour vite y replonger une fois fini... un peu comme Leo et ses boîtes.
J'avoue avoir hâte de trouver le 2nd tome à ma mediatheque pour dévorer ce roman jeunesse même si je me demande ce que le 2nd tome nous réserve vu qu'on a une réelle fin... même si l'auteur nous lance sur une piste en une phrase... Mais j espère juste que ce sera pas juste la recherche de pièce secrète et qu'une véritable histoire en découlera.
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C'est dans un hôtel où vivent un garçon et son père que ça se passe. Le directeur de cet hôtel, avec des chambre plus étranges les une que les autres et regorgeant de secrets, se nomme Merganzer.D. Wippet et est très sympathique. Bizarrement il a disparue depuis cent jours. Léo Fillmore décide de mener l'enquête sur la disparition du directeur. Il y a des énigmes à résoudre sans se tromper, dans de différentes chambres étonnantes. Va-t-il y arriver ou échouer ? Vous le saurez en lisant ce livre. Mon appréciation: ce livre plein de suspense est tellement captivant qu'on ne veut jamais s'arrêter.
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Un récit délicieusement farfelu d’un auteur très original. Comme j'aimerais vivre dans une telle maison à sensations fortes !
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Imaginatif, original, poétique ! Quel bonheur de suivre Léo dans sa quête des 4 boîtes mystérieuses ! En refermant le livre cela m’a vraiment fait penser à Charlie et la chocolaterie : des salles secrètes, chacune avec son propre univers, et des épreuves en guise de test… Un vrai bijou, ou plutôt, un vrai bonbon, vu que la Chambre des Gâteaux est souvent évoquée !
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C'était une super aventure livresque. Un bon mystery cosy jeunesse. On est dans un hôtel fabuleux, avec Léo, un jeune enfant de 10 ans qui vit au sous sol avec son père qui travaillent en tant qu'agent d'entretien (il répare les casses). Léo s'occupe surtout des canards. Voilà maintenant 100 jours que le directeur et ami de Léo, Meganzer Whippet, a disparu. Et voilà que Léo trouve une mystérieuse boîte qui va l'amener à vivre une mystérieuse aventure....
Mystère, suspens et amitié sont les maîtres mots de cette histoire.
L'écriture est simple, fluide. J'ai tourné et tourné les pages sans réussir à m'arrêter et pourtant j'étais dans une période difficile moralement et je n'avais plus l'esprit à lire. Ça se lit assez vite, assez simplement, il n'y a aucune matière à réfléchir tout ça. Un vrai petit cosy mystery farfelue. Cela m'a bien fait écho à Charlie et la chocolaterie. Un adulte qui garde son âme d'enfant, un enfant qui n'a rien et qui est finalement le plus aimable et attachant, un bâtiment avec des pièces qui ont chacune un thème bien particulier....
Ayant terminé ce livre, j'ai bien envie de lire le tome 2/3.
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On retrouve les ingrédients succès du premier tome : salles secrètes, temps compté, avec une dose supplémentaire de coopération avec Rémi, des personnages loufoques et des dangers plus importants. Et que dire de l’enjeu ! J’ai hâte de me plonger dans le dernier tome !
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Autant différent qu'identique.
C'est ce que je ressens après avoir lu ce tome 2.
J'avais pleins d'espoirs pour ce tome, peut-être un peu trop. J'ai tellement aimé le tome 1 qu'il est normal que ce tome 2 me déçoive un peu finalement.
On suit Léo, désormais propriétaire de l'hôtel ainsi que Rémi, le groom, désormais son demi-frère !
Gros problème, il faut payer les taxes de l'hôtel avant que Mme Sparks ne le rachète grâce à son plan bien élaboré !
Après avoir visité les étages et les chambres dans le premier tome, ici on s'attaque au sous-sol, la face cachée de l'hôtel !
J'ai adoré découvrir cet hôtel plus en profondeur ainsi que les personnages qui y vivent.
Malgré tout, j'ai eu beaucoup de mal à me plonger dans cette lecture.. entre les chapitres trop longs, les détails inutiles (et aussi j'avoue la fatigue, le changement d'heure et la vie) je m'endormais dessus de nombreuses fois, peinant à terminer un chapitre.
C'était une lecture très longue et en même temps si rapide. J'en ressors avec de belles images, même si j'avoue ils font un peu flipper les sous-sols.
Je suis mitigée quand à l'avis de ce roman, j'ai aimé, c'est sur, et en même temps, ça m'a déçue, je ne sais même pas comment j'ai fais pour suivre puisque souvent je me rendais compte que je lisais sans lire et pourtant je peux vous raconter ce qu'il s'est passé !
C'est très étrange... C'est peut être ça, la magie
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Un second tome qui laisse sur sa faim.
Certes, l'idée des sous-sols est bonne. Après les étages, on découvre la face cachée de l'iceberg, soit quelque chose de toujours plus grand, de toujours plus incroyable. Qu'est-ce qu'on demande d'autre, au fond ? Le plan de l'antagoniste pour tout capoter fait monter une nouvelle fois la sauce et le suspense, même si le fait que ce soit toujours la même traduit un manque de prises de risques de la part de l'auteur. On redécouvre ce qui nous avait charmés dans le tome 1, avec malheureusement un côté puéril beaucoup plus présent, avec à la clé rots rigolos et savants fous.
Et puis... Ce qui faisait la force du tome 1, ce qui faisait sa sève, c'était bien évidemment les réflexions de Marganzer vis-à-vis de lui-même, de son passé, de son rapport à l'enfance. Willy Wonka qui se remettrait en question, on n'a vu ça que dans l'adaptation de Tim Burton, et d'une façon beaucoup moins intimiste. Ici, cette dimension est complètement absente. Ce qu'il faut faire, c'est collecter le plus d'items qui ne te serviront qu'au tome suivant et désamorcer le plan diabolique somme toute assez classique de la méchante de service (qui, évidemment, est très, très méchante).
À noter tout de même un final surprenant, bien que la suite nous soit teasée un peu maladroitement sur les deux dernières pages. Un bon moment sur lequel il vaut mieux s'arrêter plutôt que de poursuivre...
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Merganzer réunit les directeurs de tous ses hôtels pour désigner le directeur principal par une compétition : l’affiche est prometteuse ! L’esprit de la série est toujours là, mais malgré des salles et des énigmes toujours originales, la suite ne m’a pas embarquée autant que les deux premiers tomes, sans que je sache vraiment pourquoi.
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Ça y est, c'est le final, et force est de constater que si Patrick Carman s'en sortait très bien au début, à présent il se fourre les deux pieds dans le plat. Pour ceux que ça agaçait les trouvailles pseudoscientifiques, rassurez-vous il y en a à la pelle, avec en plus presque aucune nouvelle chambre à découvrir, des personnages plus archétypés que jamais et un chapitre intitulé "Des rots stratosphériques". Je suppose que tout est dit...
Non, le vrai non-sens de ce tome est du fait que plus encore que le précédent, il n'apporte RIEN. Et il fait régresser le lecteur au niveau d'un amateur de gentils robots avec des dinosaures et une happy end alors que pas un seul instant de l'intrigue il n'y a eu une dramatisation quelconque. La nouvelle antagoniste est elle aussi dénuée de tout intérêt (pour ne pas dire : une photocopie de l'ancienne), l'histoire d'amour (car il y en a une) pourrait tout aussi bien ne pas avoir lieu que ça n'impacterait pas le récit (c'est juste que Patrick a compris qu'il fallait de la mixité pour viser un plus large lectorat). Merganzer ne change de rien en rien, et pire, l'auteur commet la pire maladresse qui pouvait arriver à la série : expliciter l'analogie entre son personnage principal et son grand inspirateur, Willy Wonka.
Colvert Palace 3 est une suite de trop, sans budget et sans magie, le plus court tome de la série mais clairement le plus interminable. Seules quelques idées surnagent pour donner un peu de piquant au tout. Il était temps que tout s'arrête car on commençait sacrément à tourner en rond...
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C'était sympa. J'ai trouvé une petite longueur dans l'histoire, puisque Will faisait la même chose avant que ce ne soit son tour, ce qui a permis à ce moment là, de redonner un petit souffle à l'histoire. La fin ne m'a pas transcendé mais on va dire que ça se tien si on ne se pose pas de question. Une histoire qui ne me restera sûrement pas en mémoire mais j'ai quand même passé un bon moment de lecture.
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J?ai vraiment apprécié cette petite lecture qui traite sur les phobies, malgré que certain passage ainsi que la fin m?ont un peu déranger, je le recommande grandement !
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Le packaging a rempli sa mission. Tout est fait pour que vous l'achetiez. Une couverture attirante et une quatrième de couverture aguichante sont les ingrédients qui m'ont mis l'eau à la bouche. D'autant plus que chaque chapitre est marqué par des illustrations monochromes plus que réussies. Dès que je l'ai eu en mains, je me suis jetée dessus, moi qui parfois, achète des romans et ne les lits qu'un mois plus tard. Ma précipitations m'a bien desservie car l'histoire est décevante.
L'auteur survole son récit et ne joue pas suffisamment avec la psychologie de ses personnages, et ce, bien que ça soit la thématique de base. Les personnages sont bien trop en retrait pour être attachant. ça manque clairement de substance et cette fin ouverte n'a pour unique but de vous frustrer.
Par contre, on peut féliciter le découpage du récit. Chaque chapitre est définit par une phobie.
L'atmosphère est quasi palpable. On suit le parcours de Will qui est agoraphobe (peur de la foule et des grands espaces) et qui se cache des autres patients dans un abri-antiatomique.
La forêt et le bunker renforcent cette sensation de confinement, nous rendant presque claustrophobe.
Mais dans l'ensemble, l'intrigue reste prévisible -hormis l'intervention du surnaturelle vers le 3/4 du livre - et ponctuée de nombreux temps morts. Et le peu de points positifs que l'on peut accorder au roman ne compensent pas ses nombreux défauts.
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Will, quinze ans, suit une thérapie avec le docteur Stevens depuis plus de deux ans. Ses problèmes émotionnels qui le contraignent à rester reclus chez lui ne peuvent être soignés que dans un cadre très particulier. Sa phobie étant considérée maintenant comme un cas incurable, on propose à ses parents de l’envoyer dans un centre spécialisé, Fort Eden, pour une courte durée. Sept jours.
Il raconte… Ils sont sept adolescents, quatre garçons, trois filles, à pouvoir bénéficier de ce traitement ; sept à franchir le portail de la propriété. Le docteur Stevens a bien précisé que c’était une chance pour eux de pouvoir bénéficier des soins de Rainsford, un professeur expérimenté, et qu’à l’issue de cette semaine de thérapie, ils seraient tous guéris. Des sept, il est le seul à connaître les pathologies des uns et des autres car à chaque entretien avec le docteur Stevens, Will piratait sur l’ordinateur les dossiers confidentiels ainsi que les bandes sons de leurs entretiens… Connor, Alex, Ben, Avery, Kate et Marisa.
A l’écart, niché dans une forêt dense, le centre ressemble plus à une prison qu’à une institution médicale. La bâtisse, immense forteresse, fait face à un bunker. Aucun contact avec l’extérieur, ils sont accueillis par une vieille femme revêche, Madame Goring, l’intendante du domaine.
Alors que ses six compagnons se dirigent vers l’établissement, Will ralentit le pas et se fait distancer. Observateur méfiant, il préfère rester sur ses gardes et se cacher le temps d’un premier repérage. Planqué derrière la barrière d’arbres, il voit ses camarades disparaître dans Fort Eden. Il est sûr que quelque chose d’anormal se trame.
Dans le sous-sol du bunker, Will aménage sa planque et découvre une pièce de contrôle avec des écrans de surveillance. Une fois allumés, ils projettent avec indiscrétion les chambres de ses amis. A l’affut, Will ne veut rien laisser échapper. Les traitements se donnent dans une pièce étrange ; un fauteuil, un casque, des fils, les pensées sont vampirisées et s’étalent sur un écran comme pour un film… leurs pires cauchemars. Traiter le mal par le mal.
Qui est Rainsford ? pourquoi le traitement laisse des séquelles ? sortiront-ils vivants de Dark Eden ?
Une semaine après la lecture, je garde de ce livre un sentiment confus et je tiens à préciser que confusion n’est pas synonyme de déception. Le roman génère son angoisse petit à petit… les dernières pages n’apaisent aucunement cette anxiété, elles l’amplifient car le dénouement est amer.
Will, le narrateur, observe l’histoire à distance, ne s’impliquant que très rarement dans l’ambiance. Cela donne une mesure pesante, un peu doucereuse, racontée par un adolescent névrosé qui se parle beaucoup à lui même et qui se réconforte en pensant à son jeune frère. Une lenteur, des longueurs, on ne sait où tout va mener. Le suspens s’étoffe avec la venue du professeur Rainsford, un vieux monsieur charmant et bienveillant. Tout paraît trop tranquille, les guérisons sont rapides, les enfants peu curieux, le huis clos oppresse, leur solitude est étonnante. Madame Goring ne fait rien pour soulager la tension, elle ressemble trop à un pitbull. Une histoire d’amour se greffe, on n’y croit pas trop… Il faut donc arriver à la fin pour comprendre le cheminement et en percevoir toute l’horreur et le fantastique. Les enfants devront s’acquitter de leur guérison et le tribut est considérable.
Ce thriller de la littérature jeunesse est à conseiller, mais pas à tout le monde !
Particularité du roman, les sept phobies ont leurs chapitres et leurs illustrations à l’encre noire, de beaux dessins qui lestent un peu plus le livre.
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